[Test]Alan Wake – Le cauchemars d’un écrivain.
Et ouai, autant profité des dernières heures restantes du quartier libre, n’est-ce pas ?
Comme je l’avais annoncé sur mon article sur El Shaddai, j’avais l’intention de profité de ce quartier libre pour partager mes tests. Bon au final je l’aurais pas vraiment fait suite au fait que j’ai pas encore fini les animes et jeux que j’avais prévu de tester, et donc je n’ai poster qu’un seul test. Mais bon, je vais quand même poster un deuxième test que je viens de faire depuis deux-trois jours (mais pas eu le temps de le poster avant).
(D’avance, encore désolé pour les nombreuses fautes ^^ »)
Bref donc voici un « petit » test sur un jeu sur Xbox 360 et PC qui aura fait pas mal parler de lui…
Parce que ce logo, bah il est classe.
Alan Wake est un jeu mêlant des éléments survival-horror, jeux d’action, et thriller psychologique sortie en 2010 sur Xbox 360 après 5 ans de développement et de nombreux changements de programme. Une version PC est sortie cette année. Le jeu aura reçu un accueil mitigé, et fait partie de ces jeux qui divisent. Finalement qu’en est-il? Déception ou surprise?
Des vacances cauchemardesques (Histoire) :
Alan Wake est un écrivain à succès ayant sortie de nombreux best-seller. Cependant, depuis sont dernier livre il y a deux ans, il est atteint du syndrome de la page blanche (ou en d’autre terme le manque total d’imagination) et est sujet à des insomnies. C’est dans ces conditions qu’il décide de passer avec sa femme, Alice Wake, des vacances dans une petite ville prospère des Etats-Unis : Bright Fall. Cependant tout ne vas pas se passer comme prévu, car peu de temps après être arrivé dans la ville, Alice disparait dans des conditions mystérieuses. Alan commence à partir à sa recherche, avant de se réveiller une semaine plus tard en pleine nuit dans une voiture accidenté.
Et pour ne pas arranger les choses, il ne se souvient plus des évènements de cette semaine. Il va aussi tomber sur les pages d’un manuscrit qu’il ne se souvient pas avoir écrit. Un manuscrit racontant un histoire d’horreur dont il est le héros…
Et il va très vite se rendre compte que si Bright Fall semble être un petite ville calme et sympathique de jour, elle cache de nombreux secret la nuit. Car une fois le soleil couché, Alan devient la proie de l’Ombre Noire, une mystérieuse entité qui semble vouloir la mort de Wake. Et pour cela, elle n’hésitera pas a possédé les habitants ou les objets se trouvant dans la ville… Et si Wake veut retrouver sa femme, il va devoir déjà réussir à survivre, surtout quand il va comprendre que tout se déroule comme indiqué sur les pages du manuscrit…
Notre pauvre petit écrivain ~~
Une jolie bourgade (Graphisme) :
Graphiquement, le jeu s’en sort vraiment très bien. Les aires sont plutôt vaste, même si le jeu est linéaire : on a aucun mur invisible et ont peut explorer les alentours sans aucun limite, et ça c’est fun. Certe on passe les 80% du jeu en foret, mais très bizarrement, ça ne fait pas du tout répétitif, car ça arrive quand même à varier par moment. Et puis au moins on a vraiment l’impression d’être dans une vraie foret, bien vaste et dense, et ça c’est vachement cool. Quant aux autres décors, ils tiennent largement le coup également. Non Franchement bien surpris par l’aspect graphique.
Techniquement ça tient tout autant la route. Sans être le jeu le plus beau jeu de la console du coté téchnique, c’est quand même loin d’être moche, et la gestion de lumière est maitrisé parfaitement. Par contre gros point noir pour la modélisation et l’animation des visages et des mains(ces dernières semblants constamment figés limite), et on peut regretter que certaines cinématique soient téchniquement plus moche que certaines phases in game, ce qui est assez moyen. Mais à par ça, franchement le jeu est vachement réussi graphiquement.
En ce qui concerne le problème du fameux faux 720p, je ne peut rien dire car je joue sur TV Cathodique.
Croyez-moi, il y a VRAIMENT de quoi être heureux quand ont aperçoit cette lumière au loin.
L’art de l’écrivain (Gameplay) :
Voici un point qui a divisé pas mal de monde. Alan Wake se divise en deux phases : les phases de jours et celles de nuit.
-Les phases de jour :
Ici rien de spécial, on fait juste avancer l’histoire au travers de passages scénaristes très linéaire. Certe on peut visité les décors afin de trouver des objets, mais dans l’ensemble, on se contente juste d’avancé d’un point A à un point B sans rien faire d’autre. Mais bon, généralement ces phases ne sont pas très longue et servent à faire avancé le scénario. Mais là où le jeu commence réellement, c’est lors des phases de nuit.
-Phases de nuit :
Ici on dois traverser une map (foret en générale) de nuit sans mourir (logique quoi). On doit suivre un chemin plus ou moins linéaire, mais avec la possibilité d’explorer quand même l’environnement afin de déniché certains truc. J’y reviendrais plus tard.
Les ennemis du jeu, les possédés, apparaissent généralement à certains point précis de la map. Et c’est là qu’on entre dans le système de combat qui est assez bien trouvé. Les ennemis sont protégé par l’Ombre Noir qui les possèdes. Le seul moyen de les blesser est de d’abord les éclairés avec la lumière de notre lampe torche (ou par le biais d’autres objets, tel que des sortes de torches rouges (me rappelle plus le nom) ou des fusées éclairantes). Un cercle va alors apparaitre sur l’ennemi et rétrécir petit à petit, jusqu’à disparaitre. Dés lors, l’ennemi ne sera plus protégé et vous pourrez alors lui tirer dessus. Ont peut également essayer d’utiliser l’environnement pour les tuer (comme par exemple essayer de faire en sorte qu’ils tombent d’une falaise).
L’autre solution consiste simplement à courir vers un lampadaire allumé, ce qui fera alors totalement disparaitre les ennemis alentours et constituera un point de contrôle. C’est aussi là que vous pourrez récupérer rapidement votre énergie, car même si la barre de vie se régénère automatiquement n’importe quand, ça se passe très lentement, et lorsqu’on est entouré d’ennemis, ont a pas trop le temps d’attendre. Attention cependant, car certains de ces lampadaires s’éteindront une fois arrivé a eux, et il faudra les rallumés en activant un générateur généralement au pied du lampadaire, ce qui peut être assez dangereux quand beaucoup d’ennemis sont présent, car cela fait appel à une sorte de QTE où vous ne pourrez pas vous défendre. Néanmoins, quand ont se retrouve entouré d’ennemis, il est quand même souvent sage de chercher un lampadaire au lieu de se battre. Précisons également que la lampe torche consomme de l’énergie, qui se régénère mais lentement. C’est là qu’entre en jeu l’utilisation des piles, qui nous permettes de recharger rapidement une partie de l’énergie de la lampe.
Un système de combat assez intéressant donc, mais assez répétitif, ce qui risque d’en dérangé beaucoup. Personnellement c’est tout a fait le contraire, et j’ai vraiment surkiffer certains des gun fights, surtout que faisant le jeu en mode difficile, ça devenait tout de suite plus stratégique. Je regrette cependant le peu d’armes dans le jeu, ce qui varie pas grandement les choses, mais pas grave. Par contre gros défaut, Alan ne peut sprinter que très très peu de seconde, ce qui est particulièrement embêtant lorsqu’on est poursuivi par une nuée d’ennemis et qu’on cherche à aller jusqu’au point de lumière le plus proche. J’ai d’ailleurs du recommencer deux passages une bonne dizaine de fois dans le chapitre deux à cause de ça, mais bon… Aussi, il est incapable de se battre à mains nue, ce qui veut dire que si vous tomber à cours de munition, vous ne pourrez plus combattre, et il vous faudra fuir.
Autre petit défaut, l’absence de « vrai » boss (à par le boss de fin, et encore). Certe il y a bien des possédés plus puissant que d’autre qui peuvent-être considéré comme tel, mais les combats contres eux ne sont pas vraiment génial car super répétitif.
Soulignons quand même de très bon passage niveau gun fight, comme un passage du chapitre 4 par exemple.
Sinon à par ça, ont peux, comme dis plus haut, explorer les environnements afin de dénicher les nombreux objets cachés du jeu. Parmi eux, ont a des thermos de café, qui ne servirons que à débloquer un succès, des panneaux touristiques nous en apprenant un peu plus sur l’histoire et les habitants de la ville, mais aussi et surtout les pages du manuscrits. Ces dernières sont éparpillés un peu partout dans le jeu, soit sur notre chemin, soit caché dans les décors, et permettent d’en savoir plus sur l’histoire du jeu et certain personnages, ainsi que sur les évènements qui vont arriver. C’est un véritables plaisir de les lires tant ils sont bien écrits. D’ailleurs, il vous sera impossible de toutes les avoirs lors de votre première partie, puisque certaines de ces pages ne sont disponibles que dans le mode cauchemardesque, que l’on ne débloque qu’une fois le jeu fini. Bref, de quoi largement nous pousser à explorer les maps à l’architecture assez bien pensé 🙂
D’ailleurs autre chose d’intéressant, ont peut aussi trouver des émissions de radio que l’ont peux écouter, ainsi que des télés où ont pourras regarder deux types de programmes différents que je vous laisse découvrir.
Par contre, attention car si vous sortez du chemin principale, des ennemis pourrons vous attaquez sans prévenir, et autant dire que voir d’un coup arriver un possédé derrière nous la hache levé, ça fait quand même pas mal stresser 🙂
Sinon pour en finir avec le gameplay, il y a quelque passage où vous pourrez contrôler des véhicules, mais c’est loin d’être les passages les plus intéressants. Aussi, il n’y a pas que les humains qui peuvent se faire possédé. Il n’est pas rare de se retrouver avec des objets possédés qui nous fonces dessus. Et ça va du simple baril au gros bateau bien massif. Bref, de quoi filer quelque sueur froide. Pour s’en débarrasser, il suffira simplement d’éclairer l’objet pendant un quelques secondes et il disparaitra.
Et je crois que c’est a peu près tout sur le gameplay.
Certe il devient rapidement répétitif, il y a peu d’armes, et il existe certaine petite imperfection qui le rende vachement perfectible, mais perso il ne m’a pas lassé un seul instant et j’ai trouver que ça allais bien avec le reste de l’aventure. C’est sûr que certains n’aimerons pas, mais perso j’ai bien accroché.
Faites attention, se prendre une voiture balancée sur la tronche peut faire mal, très très mal …
Old Gods of Asgard (OST) :
La aussi c’est du très bon. L’ambiance sonore est franchement super bien travaillé et stressante. Car oui, ya rien de plus flippant que de se retrouver complètement seul en foret, avec juste le vent qui souffle, sans savoir quand on va se faire attaquer. Non franchement une superbe ambiance sonore 🙂
Niveau musique, ont a plusieurs titres chanté et franchement ils sont pas mal du tout. D’ailleurs chaque fin de chapitre a sont propre thème musical qui colle vraiment bien à la mise en scène.
Par contre, là où ça devient tout de suite moi cool, c’est à propos des doublages Français. Si certain sont tout à fait correct (comme pour Hartman par exemple, ou encore Alan, même si lui c’est kif-kif on va dire), l’ensemble du temps c’est quand même plutôt mal doublé et exagéré. Mais bon, il y a toujours la possibilité de mettre la VO(mais il faudra faire le jeu en anglais) et on a quand même vu bien pire de ce point de vu là.
Bref une très bonne bande sonore dans l’ensemble.
Une des meilleurs pistes de L’OST ~~
Deux anciennes star du rock devenues quelque peu…folles…
Des vacances plutôt courtes (Durée de vie) :
Ici entre un autre défaut du jeu, il est plutôt court : Il y a 6 Chapitre, de 2-3 heures chacun, ainsi que les deux DLC (de 2 heures environs). Perso j’ai du mettre une 15ène d’heures en tout, sachant que je m’était enchainé les chapitres 4 a 6 en une après-midi. Alors certe, il y a pire, mais franchement, j’ai trouvé que la fin arrive trop vite ce qui est sacrément dommage.
Niveau difficulté, je ne commenterais pas le mode normal, mais à propos du mode difficile, il propose un bon petit challenge sans pour autant être impossible (sauf peut-être lors des deux premiers chapitres, quand ont a pas encore récupéré toutes les armes). Bon ceux qui sont habitué à faire les jeux en difficile risque de trouver le jeu facile, mais moi qui joue toujours en normal, ça m’a quand même offert pas mal de challenge, ce qui m’a bien plus 🙂
Niveau rejouabilité, pour peu que vous ayez apprécié le gameplay et que vous voulez récupérer toutes les pages, elle est plutôt bonne, vu qu’il vous faudra obligatoirement recommencer le jeu en cauchemardesque. Par contre si vous n’êtes pas intéresser par ces pages, vous risquez de ne pas revenir sur le jeu.
Donc pour résumé, la durée de vie est bonne, mais passe malheureusement trop vite.
Peut-être un des meilleurs chapitres du jeu
Un roman noire (Scénario) :
Parlons enfin du scénario. C’est clairement le GROS point fort du jeu ! L’ambiance est excellente, le background et la plupart des persos bien travaillés, et l’histoire est assez psychologique et entrainante. Et je ne parle même pas de la superbe mise en scène, servis par une superbe narration raconté par le biais du héros. De plus certain passage sont juste vraiment excellent (le chapitre 4 quoi !)
Ont soulignera aussi les nombreuses références souvent direct à Stephen King ou Twin Peaks. D’ailleurs, le jeu s’inspire largement de cet auteur et de cette série, nous offrant un univers étrange et sombre bien délectable.
Bref vraiment excellent….ou presque. Car oui, il y a quand même quelques défauts.
Ainsi, j’ai trouvé que le scénario partait un peu trop vers la facilité lors des deux derniers chapitres, et que le dernier ne faisait pas trop dernier chapitre à partir de la moitier(je suis arrivé au boss de fin je me suis dis » Déjà Oo? »).
Pour faire plus simple, disons que j’ai été déçu par les révélations qui partaient un peu trop dans la facilité et étaient moins tordu et compliqué que ce à quoi je m’attendait. Et puis je sais pas, j’ai trouvé la mise en scène un peu moins bonne quoi. Vraiment dommage.
Mais tout cela, ce n’est rien, strictement RIEN à côté de la fin qui pour moi gâche littéralement tout le scénario, mais alors vraiment quoi. En fait, la première partie, c’est à dire les scènes justes apres avoir battu le dernier boss, commençais plutôt bien : la mise en scène était très bonne, et on se demande comment ça va tout finir, on se dit « ouai on va enfin avoir le fin mot de l’histoire 🙂 ». Puis arrive la dernière cinématique, qui conclut le jeu. Et franchement j’ai rarement autant été dégouté d’une fin. Le pire c’est que franchement l’idée était bonne, mais c’était mal fait. Plusieurs mystères reste en suspens, ont se rend compte qu’il y a quand même des trucs assez bizarres, et ont ne comprend pas trop ce qu’il se passe. le pire dans tout ça, c’est que ont n’a pas trop l’impression que ça laisse la place à une suite, on a plus le sentiment que les développeurs ont voulu terminer leurs histoires comme ça, sans tout expliquer, et sérieusement ça passe mal quoi. j’ai vraiment été déçu par cette fin qui pour moi est une véritable blague, et franchement, j’ai tellement été énervé que sur le coup, que même si j’ai adoré le jeu dans son ensemble, j’ai eu comme un gout amère dans la bouche quoi…
En bref, un excellent scénario, qui perd malheureusement en rythme dans les deux derniers chapitre, et se retrouve au final plus simple que ce que les quatre autres chapitres laissaient pensé. De plus il se retrouve juste complètement gâché par une fin littéralement frustrante…
Heureusement, les DLC viennent sauver un peu tout cela.
Le genre de moment qui peut faire flipper quand ont ne voie pas le gentil Monsieur arrivé.
Le cauchemars continu ! (DLC) :
Ici je parlerais des DLC, qui au final se révèle plutôt indispensables.
Le premier DLC, The Signal (Le Signal), se déroule juste après la fin du jeu original et permet de comprendre un peu mieux ce qu’il se passe (mais juste un peu). Ici le scénario n’a pas vraiment une grande importance et est assez peu présent. Cependant je n’ai pas du tout trouvé ça dérangeant au vu de la très bonne mise en scène, qui renoue largement avec les premiers chapitres du jeu original, le coté purement surnaturelle en plus (le coup des TV était….miam 8) ). Niveau direction artistique, le DLC ose un peu plus d’originalité que le jeu original. On retrouve certe les mêmes environnements, mais avec une touche plus bizarroïde et surnaturelle que je ne saurais expliqué. Mais là où le The Signal se concentre, c’est sur les Gun Fight qui se révèle assez bien trouvé. Ici déjà, premier changement, l’apparition de « mots ». Pour être plus précis, il n’y a plus de munition réellement présente. Pour en récupérer, il faudra faire disparaitre (de la même manière que pour les objets possédés, c’est-à-dire en les éclairants) des « Mots » dispersé dans le jeu afin de faire apparaitre certains objet (par exemple pour le mot « outils » ont aura divers munitions et piles, alors que pour le mot « Fusil a pompe »… je vous laisse deviné 🙂 ). Mais ça ne s’arrête pas à là, car ont retrouve aussi par exemple des mots qui ont d’autres effets. Ainsi, « Boum » fera apparaitre une explosion occasionnant des dégâts aux ennemis autours, « Feu d’artifice » lancera une fusée éclairante en l’air ce qui créera une source de lumière, etc … Et ceci est très bien utilisé, permettant certain passage juste vraiment trippant. D’ailleurs, c’est là que ce DLC fait fort : on a quand même des passages assez originaux. Par exemple il faudra à un moment passer un endroit où on se fera attaquer par des livres volants et où on devras faire attention à ne pas éclairer les mots cité au dessus car ces derniers font apparaitre des ennemis. Et ce n’est qu’un des passages. D’ailleurs, j’ai trouvé ce DLC assez dur par moment.
Enfin, pour en finir avec le premier DLC, soulignons un très bon boss qui nous attend à la fin et qui se révèle plutôt coriace et fun.
Ensuite le second DLC, The Writer (L’écrivain). Celui ci se base moins sur l’action que le précédant, et un peu plus sur le scénario, qui même si il suit plus ou moins la même architecture que The Signal, se révèle plus présent (sans en devenir le point principal). Ici c’est surtout du côté direction artistique et level design qu’on s’attardera. Les petits gars de Remedy nous ont offert un univers particulièrement tordu et qui colle bien avec la tournure que prend le scénar. Il est d’ailleurs beaucoup plus réussi que le dernier chapitre du jeu de ce point de vue : ici on a vraiment l’impression d’être à la fin du jeu, contrairement au chapitre 6. Comme pour le premier DLC, ont a quelques petits passages bien fun. J’ai beaucoup aimé par exemple la fin, quand ont doit suivre le sentier jusqu’au phare, en « effaçant » des rochers pour faire passer la lumière du phare et tuer les ennemis. Vraiment fun. Et puis j’ai trouver la fin assez bien foutu : le boss de fin est plutôt inattendu, et la conclusion, même si elle ne répond pas à toutes les questions, est quand même largement plus réussie et moins frustrante que celle du jeu original je trouve, et laisse bien la place à une suite.
Bref, même si il est dommage que ce soit justement des DLC payant (quoique le premier est gratuit si vous avez le jeu en neuf), je les ai vraiment aimé, et j’ai bien apprécié la conclusion que The Writer apporte, ce qui m’aura réconcilier avec le scénario. Personnellement je vous conseille de les prendre, même si vous êtes contre ce genre de pratique. Au pire, ils sont de toute façon gratuit dans la version PC du titre (quoique vous avez meilleurs temps de prendre le jeu neuf ou d’occas sur xbox(il coute pas bien cher) et les DLC à coté, ça vous reviendra moins cher que prendre la version PC je pense).
Et oui, le tout flotte bien en l’air. Voici typiquement le genre de décors qu’on retrouve dans les DLC.
Épilogue d’une sombre aventure (Conclusion) :
Alan Wake est un jeu qui aura divisé les foules. Avec un scénario remarquablement bien écrit et intéressant, une ambiance maitrisé, une direction artistique magnifique, et une bande son qui s’intègre parfaitement à l’univers, il a tout pour plaire aux amateurs d’aventure sombre, horrifique et psychologique, sans pour autant tomber dans le gore. De plus, ses nombreux emprunts aux romans de Stephen King et à la série Twin Peaks risque d’en faire fondre plus d’un. Cependant, sont gameplay assez répétitif risquera d’en lasser pas mal, et le jeu n’est tout de même pas dénuer de défauts.
De plus, la très mauvaise fin du jeu original risque d’en faire rager beaucoup et ferait presque tout gâcher. Heureusement, les deux très bon DLC (dont un gratuit si ont a prix le jeu en neuf sur 360, et les deux gratuits dans la version PC) apporte une meilleurs conclusion, qui même si elle n’apporte pas franchement beaucoup de réponses, est suffisamment bien mise en scène pour qu’on puissent s’en contenter en attendant une suite. Il est cependant dommage que cette conclusion n’arrive que en DLC, alors que ces deux chapitres auraient pu très bien s’intégrer dans le jeu original.
Finalement, Alan Wake est plus un jeu d’ambiance qu’autre chose. Certains attendaient peut-être autre chose de ces 5 années de développement, et les déceptions sont largement compréhensibles. Cependant, comme ont peut le voir dans le test, j’ai pour ma part adoré ce jeu (excepter la fin du chapitre 6) et je le recommande quand même. Pour peu que vous arrivez à passer outre le gameplay (que je n’ai pas trouver si ennuyeux personnellement), vous découvrirez une petite perle d’ambiance comme ont en voie rarement dans un jeu.
Bref pour ma part j’attends impatiemment une suite, et je compte bien me prendre American Nightmare dés que je peut connecter ma Xbox 360 sur le net, ne serait-ce que pour découvrir la folie de Mr Scratch 8)
Les plus :
-Un scénario excellent dans l’ensemble
-Une ambiance unique et une mise en scène exemplaire
-Des personnages très bon pour la plupart
-Une direction artistique bien foutue
-Une bande son qui participe bien à l’ambiance
-Certains passage culte
-Le chapitre 4
-De très bon DLC(pour une fois)
-Le premier DLC gratuit si ont a le jeu neuf, et les deux offerts dans la version PC
Les moins :
-Un gameplay qui paraitra lassant pour beaucoup
-Peu d’armes
-Des animations faciales mauvaises
-Des cinématiques moins bien réalisé que les phases ingame
-La VF qui peut se révélé très bonne comme assez mauvaise (la VO est cependant disponible, mais il faudra mettre la console en anglais)
-Un fin pour le jeu original frustrante au possible et la quasi obligation d’acheter les DLC pour pouvoir profiter d’une meilleurs conclusion
-Une baisse de rythme vers la fin
-Au final moins tordu et compliqué que ce qui parait
-De nombreuses zones d’ombres, et certains persos sous développé (Nightingale et Hartman)
Le cauchemars ne fait que commencé…
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