Les Waifus d’Axel
Alors voilà, il y a quelques temps Amo a fait une liste de ses waifu, ces personnages féminins que l’on apprécie particulièrement dans les animés et mangas. Car waifu, c’est une prononciation weaboo de « wife », épouse, et effectivement, marier ce personnage permettrait d’accéder à une sorte de strate supérieure du bonheur. Les seuls qui ont marié leurs waifu 2D en vrai sont perdus, il est donc difficile de confirmer cette hypothèse.
Après, une vraie waifu 3D c’est encore mieux, mais il faut pour cela la trouver 🙂
Bref, c’est plus une liste de mes personnages d’animation préférées, et je trouve que ça en dit pas mal sur l’auteur de la dite liste, finalement. Cerner les goûts de quelqu’un, ça permet de mieux le connaître ! Jugez-moi donc !
Attendez-vous à beaucoup de mauvais goût, c’est trié par animé, et il y a probablement dans ce lot des trucs que vous n’avez jamais regardé. C’est mieux pour vous la plupart du temps.
Akane Maniax – Akane Suzumiya
En fait, l’anime est daubesque et je triche un peu (ça commence bien) car Akane est aussi la petite soeur de Haruka Suzumiya de Kimi ga Nozomu Eien (voir plus bas). Akane Maniax se passe dans le même univers mais met l’accent sur Akane, pseudo-tsundere de son état qui est super fun pour une petite soeur. En vrai j’ai plus beaucoup de souvenirs d’elle mais je sais qu’elle est encore là dans mon kokoro.
Amagami SS – Haruka Morishima
Il y a des waifu qu’on explique pas. Haruka en fait partie. Et comme ça s’explique pas je peux pas en dire vraiment plus à son sujet, juste que j’avais dû mater l’anime uniquement pour son arc et que j’avais droppé après comme un sale.
Amagi Brilliant Park – Latifa Fleurenza
Ha HA ! Je vous surprends là, je le sais. Vous vous attendiez tous à ce que j’aie Sento comme waifu dans Amagi Brilliant Park mais en fait non ! Latifah fait partie de ces rares persos moe à outrance que je supporte, non seulement parce qu’elle a un « handicap » si l’on peut dire mais aussi parce qu’en tant que princesse elle a la classe et que quand elle doit se servir de ses mains, elle sait bien bosser. C’est clairement le genre de personnage à ranger dans la case « A protéger »
Ano natsu de matteru – Ichika Takatsuki
J’ai toujours eu un faible pour les héroines des Onegai* et comme Ano natsu est un peu dans le même univers, je retrouve dans Ichika ce petit côté hésitant et finalement craquant qu’on trouvera chez Mizuho et les soeurs de Onegai Twins plus bas. Tuez-moi.
Aria – Akari Mizunashi
Akari est une héroine pleine de bonne humeur et de tendresse, et surtout, elle fait un boulot pas comme les autres, elle est gondolière. Et ça, ça vaut tout les kokoro du monde. Je pourrais me laisser porter sur sa gondole toute la journée si je le pouvais.
Armitage 3 – Naomi Armitage
Ca c’est mon côté amour des androides qui ressurgit. Naomi part avec un sacré malus face au héros de Armitage 3, mais arrive à s’en tirer d’ici à la fin de cette série d’OAVs. C’était plutôt chouette, faudrait que je revoie la série en fait. Je ne sais pas d’où j’aime les androides comme ça, ça doit probablement venir du fait que je les trouve plus vulnérables qu’elles n’en ont l’air. Elles ont beau avoir des équipements high-tech, un corps plus résistant, à chaque fois elles sont vulnérables d’une façon ou d’une autre, doivent découvrir des sentiments humains… Désolé, je craque.
A Town Where You Live – Yuzuki Eba
Yuzuki est le prototype même du personnage qu’on déteste pour mieux l’aimer ensuite. Un peu comme tous les personnages dans ce manga de Kouji Seo, elle évolue et si on peut trouver la Yuzuki des débuts maladroite et chiante à baffer, elle sait amplement se rattraper par la suite de l’histoire, mais ça je n’en dis pas plus, ça serait vraiment spoiler.
Bakemonogatari – Hitagi Senjougahara
Bizarrement je n’arrive pas à entrer dans les Monogatari. C’est juste pas possible. J’y arrive pas. J’ai dû voir l’arc de Nadeko et de Hitagi et j’ai fait c’est bon, stop. Du coup, Hitagi reste pour moi la seule waifu possible, et c’est aussi parce que quand elle met une ponytail, elle fait pas ça à moitié.
Bishoujo Senshi Sailor Moon – Ami Mizuno
Probablement le seul personnage aux cheveux courts ou presque de mon harem (ou régiment c’est selon). Ami/Amy/Molly est celle sur qui j’avais craqué quand j’étais collégien, du coup ça serait quand même ballot de ne pas la mentionner. Après je sais pas, ça veut probablement dire que les goûts changent. A l’époque je l’aimais bien parce qu’elle était intelligente, c’était la seule intelligente du groupe d’ailleurs…
Boku wa tomodachi ga sukunai – Rika Shiguma
En parlant de persos intelligents, Rika me fait penser qu’elle serait parfaite si elle aimait pas le yaoi et les grorobos, mais je la garde quand même car elle a une chouette petite ponytail. Ca et puis aussi le fait que j’ai involontairement pensé à elle en créant Akari Ayase de mon dernier livre en production, Eternity. Je suis faible.
Clannad – Tomoyo Sakagami
Là on attaque les choses sérieuses. Un passé de délinquante qu’elle tente par tous les moyens de racheter, une force peu commune, mais aussi une volonté de faire bouger les choses, une amante sexy, une femme au foyer de premier choix, une cuisinière hors pair, Tomoyo a toutes les qualités du monde, et pourtant ce gros con de Tomoya est parti voir Nagisa à la santé fragile. Heureusement Kyoto Animation nous a offert le Tomoyo Chapter et pour ça, je le leur serai à jamais reconnaissant. J’avais, pour info, fait sa route dans le VN alors que j’avais une crève pas possible. Ca m’avait pas empêché de chialer devant tous ces sentiments à la fin de celle-ci. Tomoyo, c’est mon top tier.
Da Capo – Yoriko Sagisawa (runner up : Kotori)
Avant Clannad j’avais regardé Da Capo et même si aujourd’hui je n’en ai plus beaucoup de souvenirs Yoriko avait une histoire très touchante, et puis, une meido catgirl qui avait réellement la personnalité d’un chat, c’était quand même bien foutu pour l’époque. On en fait plus des comme ça de nos jours.
Evangelion – Sohryu Asuka Langley
Deuxième top tier après Tomoyo, Asuka c’était mon amour de lycéen après Ami Mizuno de Sailor Moon au collège. J’y peux rien. C’était une tsundere, ok, et j’aime bien les tsundere quand même (ne nous mentons pas) mais c’était surtout ses trop rares passages dere que j’adorais par dessus tout à tel point que j’ai écrit des fanfictions qui aujourd’hui encore me hantent comme c’est pas permis. Le pire dans tout ça, c’est que ces fanfictions sont ce qui m’ont fait grandir en popularité parmi mes pairs de l’époque et aussi certains d’aujourd’hui. Et sans celle où Asuka tombe enceinte de Shinji, j’aurais jamais rencontré Darksoul, et sans ça on aurait jamais fait des trucs de ouf ensemble en matière d’otakerie, alors hein.
Free! – Gou Matsuoka
Source : Inconnu (pixiv)
La pauvre Gou. Elle est entourée de garçons tous plus beaux les uns que les autres mais ils ne la voient pas. Ils ne voient pas cette ponytail luxuriante, son amour des pectoraux, et tout ce qu’ils pourraient faire avec elle au lieu de faire joujou dans l’eau. Heureusement y’a les dojins.
Full Metal Panic – Kaname Chidori
Encore une tsundere ! Vous allez en bouffer quelques unes dans cette liste alors ne faites plus cette tête par pitié. Kaname, ou Chidori j’ai jamais su quel était son prénom et son nom de famille, avait beau maltraiter ce pauvre Sagara Sousuke, elle avait ses petits moments à elle aussi et savait se débrouiller. A vrai dire, on pouvait sentir sa peur par moments, et ça la rendait beaucoup plus humaine qu’il n’y paraissait.
Full Metal Alchemist – Winry Rockbell (runner up : Rose)
Source : Inconnu (pixiv)
J’ai presque plus de souvenirs de Winry en fait, mais j’ai un certain faible pour les personnages qui sont laissés un peu en plan, qu’on ne voit pas souvent et qui sont bien entendu là pour aider les héros, mais bien sûr les héros eux s’en foutent royalement. Vous allez en voir plein dans la liste qui suit.
Gate Keepers – Ruriko Ikusawa
Elle est doublée par Ayako Kawasumi et elle a un arc. Fin de la discussion.
Genshiken – Kanako Oono
Doublée également par Ayako Kawasumi (sauf dans Genshiken Nidaime), elle fait du cosplay, et elle devient présidente du Genshiken à un moment. J’étais presque jaloux du type qui lui prépare ses costumes dont j’ai oublié le nom, et puis la façon dont ils se mettent ensemble c’était mignon.
Girls Bravo – Miharu Sena Kanaka
Source : Mario Kaneda
…OUI BON D’ACCORD encore un personnage doublé par Ayako Kawasumi. A part ça et son amour pour les bananes, ce perso et l’anime dernière n’avaient pas grand chose pour eux, mais que voulez-vous ! Je suis un homme ! Je suis faible !
Glasslip – Touko Fukami
Source : Inconnu (pixiv)
Encore un animé qui n’avait pas grand chose pour lui au final, mais l’héroïne avait une chouette ponytail quand elle se mettait à faire chauffer du verre. Et c’est suffisament rare pour que ça soit signalé. Je dois aussi aimer les personnages avec des hobby et métiers bizarres. Ou alors peut-être celles qui attachent parfois leurs cheveux… Hmmm… Ca demande une étude approfondie.
Golden Time – Kouko Kaga
Source : matsurika (j297021302)
Ah Golden Time. J’ai adoré, sauf le héros. En fait, Kouko avait tout pour que je la déteste, mais elle avait aussi de bons arguments : malgré son côté fifille pourrie gâtée qui a toujours ce qu’elle veut, elle a fait preuve durant la série de rares mais brillants moments où j’ai juste eu envie de la prendre dans mes bras. Sa relation avec le héros était attendrissante (parfois chiante aussi) et ça m’a donné envie d’écrire de la romance entre adultes, chose qu’on voit trop rarement.
Grisaia – Sachi Komine (runner up : Amane Suou)
Sans surprise, Sachi remporte ex aequo avec Amane le titre de waifu dans Grisaia. Sans trop spoiler disons que l’une comme l’autre ont des handicaps qui me donnent envie de veiller sur elles. Ca n’a bien sûr ABSOLUMENT RIEN A VOIR avec le fait que Sachi soit une meido accomplie. Rien. Du. Tout.
Gundam Build Fighters Try – Fumina Hoshino
Ponytail, sportive et vraiment attachante, Fumina est ce personnage qu’on aurait jamais pensé voir dans un Gundam. Ce qui du coup la rend bien plus spéciale que les deux héros un peu oubliables de Build Fighters Try.
Hanasaku Iroha – Ohana Mastumae (runner up : Minko Tsurugi)
Source : Ratsuku Kinoko
Rinko est celle avec la ponytail, alors pourquoi Ohana ? J’aime les personnages qui évoluent au cours d’un animé, même si en soit Ohana est restée un peu conne vis à vis de son ami qu’elle friendzone durant toute la série. Au début je pensais à un remake de princesse Sarah mais au lieu de se plaindre Ohana a prouvé vaillament qu’elle avait sa place à l’auberge.
Hanaukyo Maid Tai – Mariel
Encore une maid, sans déconner, vous êtes surpris ? Mariel fut probablement la seule et unique raison pour laquelle j’ai regardé et aimé Hanaukyo Maid Tai. Avant que l’auteur n’envoie tout valser dans un scénario serious business invraisemblable, la série était surtout drôle pour son manque de sens total, avec le héros qui évolue dans un manoir bourré de maids à n’en plus finir, où il y a différentes divisions, des uniformes différents, et surtout il y avait Mariel. Tantôt grande soeur, tantôt maman, tantôt directrice, elle avait l’attitude bienveillante nécessaire à toute bonne maid qui se respecte.
Hand Maid May – May
Avant Hanaukyo Maid Tai, avant Mahoromatic, il y a eu Hand Maid May, et la petite May. Petite, car au début, c’est une poupée autonome qui se connecte en USB. Commandée par erreur par le héros. Petite donc, mais costaude : elle fait le ménage dans l’appartement toute seule, et arrive plus tard dans la série en version « taille humaine ». En soit, la série était très très moyenne, avec un antagoniste parfaitement insupportable, et des gags qui tombaient bien souvent à plat. Mais la fin, elle, était particulièrement émouvante et faisait la part belle à l’importance des souvenirs et de ce qu’on a vécu avex ceux qu’on aime. Un sujet qui reviendra quinze ans plus tard dans Plastic Memories, tiens.
Happiness – Jun Watarase
Source : Yukine
Jun est un trap et j’assume parfaitement ce choix. C’est même l’un des meilleurs traps du monde et il ne s’en cache pas le saligaud.
Hayate no Gotoku – Maria
Source : Kuwashima Rein
Maria, c’est un peu la Mariel de Hayate no Gotoku, les deux personnages sont assez semblables au premier abord (mais heureusement très différents par la suite) et c’est probablement pour ça que j’ai flashé dessus. Et puis, les meidos qui ont d’autres meidos sous leurs ordres, ou tout simplement un poste à responsabilité, ça en jette. Ca les sort du cliché décrié de la meido soumise. J’aimerais bien l’avoir en meido en chef, en tous cas.
Hikaru no go – Akari Fujisaki
Source : Ishihara Souka
Comme dit plus haut, j’ai un faible pour les personnages de shonen laissés sur la touche. Elles ont souvent un charadesign soigné mais le personnage principal lui s’en fout royalement. C’est encore plus vrai pour Akari, l’amie d’enfance de Hikaru, qui pourtant se donne tout le mal possible pour lui crier « NOTICE ME SEMPAI » sauf que ça marche pas. Et c’est triste.
Hitohira – Nono Ichinose
Autre personnage que j’affectionne, c’est bien évidemment celles qui sont prêtes à sacrifier leur santé, voire leur vie, pour leur passion, et Nono en fait partie. J’aurais pu citer Full Moon, mais c’est pas ma came, alors que Hitohira j’ai honnêtement bien aimé, malgré tout le mal qu’en pense ce cher Amo. Ah j’oubliais, Nono est doublée par Ayako Kawasumi, ce qui rend ce choix totalement biaisé, mais j’assume.
Hyouka – Eru Chitanda
Source : cp9a
Certains personnages sont particulièrement choupis. Eru en fait partie bien évidemment. Quand elle vous tombe dessus avec sa curiosité vous avez juste envie de la satisfaire. C’est difficile à résister. Ca et puis elle fait partie d’une famille riche, se débrouille en cuisine, bref, a défaut d’être réellement intelligente, elle remplit toutes les conditions d’une bonne waifu. Sauf que dans la vraie vie, une fille comme Eru, je crois qu’elle m’énerverait plus qu’autre chose. C’est triste cette différence entre 2D et 3D.
Ichigo 100% – Satsuki Kitaouji
Satsuki c’était mon crush d’il y a dix ans sur Ichigo 100%. Moi j’aimais pas les deux héroines, elles étaient trop carrées, alors que Satsuki c’était l’élément imprévisible, surprenant, et attendrissant de la série. Moi j’étais là à voter pour elle alors que c’était évident que l’auteure allait coller le héros avec l’une des deux héroines (et en plus de ça elle a pris la plus mauvaise). Mais Satsuki, a défaut de waifu, elle ferait une super sexfriend. Ouais.
Attention les articles sur Ichigo 100% de Meido-Rando sont très, très, très fanboyesques. Je en réponds plus de rien si vous les lisez.
Idolmaster – Azusa Miura
Source : ima (lm ew)
Azusa sort du lot, cheveux courts ou pas, à cause de son âge, anormalement élevé pour une idol, alors que toutes ses collègues sont bien plus jeunes. Du coup, elle a le rôle de la grande soeur du groupe. Et j’ai toujours eu unf aible pour les persos « grande soeurs ».
Initial D – Trueno AE86
Avec ses 125 chevaux (tunée à 150 au début de l’animé) et ses 940 kilos tout mouillés, la 86 est sans conteste la meilleure waifu possible d’Initial D. Si je pouvais conduire, j’en aurais probablement déjà acheté une. Ou une DeLorean. Non, en fait peut-être une DeLorean. Mais une 86 quand même quoi ! C’est la première voiture que j’achète dans un Forza Motorsports, après tout.
Infinite Stratos – Charlotte Dunois
Source : Hinama Amu
Elle est française, c’est un reverse trap (une fille qui se fait passer pour un garçon) et c’est la seule pas tsundere du groupe, ce qui en soit est un exploit quand on connaît le reste du cast d’Infinite Stratos. Il lui manque juste un bêret et une baguette de pain pour parfaire son portrait, j’ai envie de dire.
Isshukan Friends – Kaori Fujimiya
Source : huanxiang heitu
Isshukan Friends c’était un peu ma dose de sucre quotidienne quand je l’ai regardé (bien après sa diffusion initiale.) Et comme vous le savez déjà, j’ai un gros faible pour les waifus vulnérables dont il faut s’occuper. Kaori entre parfaitement dans ce concept avec son problème de mémoire de poisson rouge. L’anime joue très bien là-dessus en plus, même si le dénouement est finalement assez quelconque.
K-On – Mio Akiyama
Source : Inconnu (Pixiv)
A cause d’elle j’avais quand même pris le domaine k-on.fr, que je n’ai évidemment jamais utilisé. Mais c’était fun à l’époque, tout le monde faisait des articles sur Mio, parce que c’était déjà la waifu d’une partie de la population otaque. Et le pire c’est qu’en y regardant de plus près, je n’arrive pas du tout à comprendre pourquoi. C’est vrai ça, pourquoi Mio? Pourquoi elle? Pourquoi? Encore une question à rajouter aux grandes questions de l’humanité.
Kaichou wa Maid-sama – Misaki Ayusawa
Oh une meido, QUE C’EST SURPRENANT. Mais celle-ci est originale, car ce n’est pas une vraie meido, juste une meido qui bosse à un maid café. Ca et puis elle est aussi présidente du conseil des élèves, super pauvre, et un peu pas mal tsundere sur les bords. Tout ce qui me donne envie de briser cette carapace pour en faire une waifu. Je suis comme ça.
Kaleido Star – Sora Naegino
Apprentie artiste de cirque, Sora est l’héroïne qui te fout la banane tout le temps, en toutes circonstances. Kaleido Star était parfaitement maitrisé, un des rares animés de Gonzo qui se matte et se rematte sans faim. Sora, c’est celle qui ne perd jamais face à l’adversité, qui montre son amour du cirque à tous et qui se bat pour ses idées. Et puis, une fille qui travaill dans le monde du cirque, c’est souple…
Kancolle – Haruna Kongou
Alors là, c’est un peu le flash, le coup de foudre. Je ne joue pas à Kancolle, j’y ai jamais joué. Je suis un faux fan. Je l’assume, mais s’il y a bien un personnage dont je kiffe le design comme pas deux, c’est bien les soeurs Kongou et plus particulièrement Haruna. Ca fait juste miko moderne. Et puis avec ses gros canons je sais qu’elle me défendra s’il m’arrive quelque chose.
Kanon – Akiko Minase
Source : yukirin
Allez lire les dojins hentai « Akiko to issho », ça résume à peu près tout. Akiko est une des rares MILFs de ma liste de waifus, alors que tous les persos de Kanon me passent au dessus la plupart du temps (sauf peut-être Mai que j’aime bien.) Si vous arrivez à survivre à sa confiture radioactive, Akiko sera plus que la waifu idéale.
Kimi Ga Nozoum Eien – Haruka Suzumiya
L’une des Suzumiya de ma vie est Haruka. Le pire c’est que personne ne l’aime alors que pourtant sa vie c’est de la merde. Oui OK elle est niaise voire gnan-gnan, elle est timide, pas très remarquable, mais bordel, quand on voit ce qui lui arrive, on ne peut qu’être admiratif quand vient le moment pour elle de se battre. Ca calme direct, et ça contraste avec cette salope de Mitsuki. Ouais PARFAITEMENT. Vous m’avez bien entendu. C’est Haruka l’héroïne de Kimi ga Nozomu Eien (uassi connu sous le nom de Rumbling Hearts, parfois.) et personne d’autre !
Kimikiss Pure Rouge – Asuka Sakino
Asuka est, encore une fois, un de ces personnages secondaires oubliés de tous. Pourtant, mis à part sa ponytail ui lui donne immédiatement 100 points, c’est surtout qu’elle joue au foot (ce qui est trop rare pour être oublié) et son côté garçon manqué mais pas trop est super craquant. Encore une injustice. Ma collection de waifus n’est qu’injustice.
Kokoro Connect – Himeko Inaba
Source : Niporin
« Je pense à toi quand je me masturbe. »
On ne peut pas résumer le personnage à cette citation, mais quand même, dans la vie tumultueuse des personnages de Kokoro Connect, Himeko c’est le haut du panier. Un personnage à la fois touchant et complexe, là où les autres pèchent un peu à mon avis. Bref, c’est elle qui ressort immédiatement et qu’on a envie d’avoir comme copine. Ou sexfriend aussi, tiens. Je pourrais faire une liste des personnages que je verrais en sexfriends, mais y’aura probablement encore plus de choix.
Kono minikuku mo utsukushii sekai – Hikari Hoshino
Honnêtement, c’était de la merde comme anime. Vraiment. C’est le moment où la Gainax a commencé à faire n’importe quoi. Ceci étant dit, Hikari avait un charadesign choupi as fuck (oui, ça fait contraste, choupi as fuck) et je suppose que le charadesign de l’animé du même illustrateur que celui de Mahoromatic a clairement joué dans la balance. Pour tout vous avouer je me souviens même plus du scénario tellement c’était grave n’importe quoi.
La Corda d’Oro – Kahoko Hino
Probablement l’une des seules waifus d’otome game de ma selection, Kahoko avait cet avantage d’être musicienne, d’être pas trop conne (comparée à beaucoup d’héroïnes de jeux de drague pour filles) et surtout d’avoir comme instrument le violon, et ça c’est la mega-classe. Mais comme le prouve très bien Shigatsu wa kimi no uso, le violon ça ne fait pas tout.
Love Hina – Naru Narusegawa
Source : okingjo
Moment personnel et gênant de cette sélection, Naru représente pour moi le top tier de la waifu, parce qu’à l’époque elle, et Love Hina dans son ensemble, m’ont sorti d’une rupture amoureuse désastreuse. Imaginez le truc : j’entretenais une relation avec une fille à distance vivant à Montpellier alors que j’étais au Havre. On devait se rencontrer un été, alors qu’on s’adorait. Et la veille de mon départ pour Montpellier, elle a été froide, distante, me suppliant de ne pas venir la voir. J’en ai pas dormi de la nuit, et le lendemain matin, au moment de partir, j’ai hésité, puis j’ai dit à ma mère qui m’emmenait en voiture faire 900 kilomètres qu’on y allait quand même. Quand j’y suis allée, elle n’a même pas voulu me voir. Je ne l’ai jamais rencontrée, j’y ai vu juste sa mère avec qui on a discuté. Après coup je me dis que j’ai été quand même sacrément con, mais on l’est tous quand on est amoureux. Je suis reparti le lendemain après avoir passé une journée de tourisme dans la ville. C’était il y a 15 ans déjà, 15 ans ! Au final on a rompu peu de temps après, et moi, j’étais déprimé comme pas possible, jusqu’au jour où quelqu’un me file des scans, mes premiers scans d’ailleurs, de Love Hina. Et là c’est un peu la révélation, le méga-kiff, le feu d’artifice d’émotions. J’avais trouvé ma nouvelle muse, j’en ai fait un site web. J’étais à fond la caisse, et ça m’a permis de rebondir depuis le fond du trou. Même si Naru avait ses côtés mignons derrière sa façade tsuntsun, vers la fin du manga je dois bien avouer que j’avais juste envie de lui en coller une tellement son indécision m’exaspérait.
Mais je voulais dire merci Ken Akamatsu. Mon seul regret de Japan Expo 2015, c’est de ne pas avoir pu le remercier pour ce que Love Hina a fait pour moi.
Bon par contre pour Negima je te remercie pas, hein.
Love Live – Eli Ayase
Source : Siva
D’habitude j’aime pas les blondes, mais Eli, elle a la classe. Elle est métisse, mi-russe, mi-japonaise. Elle dirige le conseil des étudiantes, elle est lesbienne comme une limace avec Nozomi, elle sait être sévère, mais juste, elle a fait de la danse, elle a une ponytail, elle est active, elle se laisse pas faire. Bref, elle est parfaite.
Mahoromatic – Mahoro Ando
Je me suis déjà étalé en long en large et en travers pourquoi Mahoro reste, quoi qu’il puisse arriver, ma waifu numéro 1, 14 ans après. Parce qu’elle est adorable, parce qu’on a envie de lui faire des câlins, parce qu’elle est responsable, adulte, juste et aussi traditionnelle. Elle veut aider les autres, mais voilà, elle est condamnée à mourir dans un an, et ça, ça calme direct. Même si la série aurait pu avoir un meilleur dénouement (dans le sens, plus recherché), il y a quand même tout au long de la série, des moments qui te clouent sur place, une quinzaine d’années avant des animes comme Shigatsu wa kimi no uso. Ces moments font tout le charme de Mahoromatic, une série à la fois, drôle, attendrissante et sérieuse à en chialer. Quand tu proposes à celle que tu aimes de revenir l’année prochaine au festival d’été, et que celle-ci te répond d’un « Oui, revenons l’an prochain. » mélancolique, sans que tu saches qu’elle va mourir entre deux, c’est violent. Ca calme, tout comme quand elle fond en larmes et répête encore et encore qu’elle ne veut pas mourir… alors qu’à côté elle complexe sur sa poitrine et fait la guerre au hentai. Et puis elle a ses mèches de cheveux qui bougent selon son humeur ! Mahoro est la petite androide la plus courageuse du monde, et pour toutes ces choses là, Mahoro restera à jamais numéro un dans mon petit coeur.
Bon, par contre faut pas qu’elle tombe sur les 5 To de hentai sur mon NAS.
Maoyuu Maou Yuusha – Maou
Source : Goldengear870
Maou, c’est p’têt la reine des démons, mais bon sang, j’en veux d’autres des comme ça. Tantôt naive, tantôt sévère, son décolleté infini vous envoûtera, et son intelligence et sa stratégie vous subjugueront. Pour une reine des démons, c’est quand même une adorable reine des démons.
Mikakunin de Shinkukei – Kobeni Yonomori
Source : Sekiyu
Kobeni représente la waifu idéale, en tous cas, telle qu’on se l’imaginait dans les années 90 voire début 2000. C’est un peu le truc que j’avais remarqué lors du visionnage de la série : le charadesign, l’histoire, les situations, ça faisait très daté, mais ça faisait daté qui a du charme. Et Kobeni ne manque pas de charme : jolie, douée pour tout, excellente cuisinière, c’est typiquement la fille idéal que l’on veut emmener devant l’autel et passer la bague au doigt pour la protéger toute sa vie. Mais bon, au delà de lutter contre ses prétendants, il faudra avant tout battre sa grande soeur, et ça, c’est chaud. Vous avez pas idée.
Mobile Suit Gundam Seed – Flay Allster
Ah je vous vois venir, vous vous attendiez à ce que je prenne Lacus comme ma waifu, mais en fait j’ai toujours eu un faile pour la perfide Flay. C’est con mais c’est comme ça, l’amour ça ne s’explique pas. Et ça n’a rien à voir avec sa ponytail. Enfin je crois…
Myself;Yourself – Nanaka Yatsuhiro
Nanaka, c’est la fille à qui il est arrivé de la merde et que tu as envie de protéger de tout ce mal qui lui est arrivé. Après bon, elle fait du violon, est issue d’un adultère, bref, il lui manque juste une ponytail, en fait.
Narue no Sekai – Narue Nanase
J’ai aucun souvenir de cette série à part qu’elle était très, très, très moyenne et que l’opening c’était du CooRie. Par contre Narue, l’héroine, je l’aimais bien, car à l’époque c’était elle qui courait après le héros et qui montrait tout son amour de façon très mignonne. Mais bon, quand ton anime est à chier, ça aide pas vraiment, faut bien l’avouer.
Nodame Cantabile – Megumi Noda
Source : matsurica
Encore le syndrôme du personnage adorable en 2D, insupportable en 3D. Nodame, je l’ai surtout vue en drama plus qu’en animé, à vrai dire, ce qui est idiot parce qu’en animé elle est doublée par Ayako Kawasumi qui a été pianiste avant de faire du doublage. Ca n’a rien à voir avec le fait qu’elle ait une ponyt… ah non attendez, elle n’en a pas, ouf.
Nogizaka Haruka no Himitsu – Haruka Nogizaka
Adorable à souhait, Nogizaka Haruka est la petite otaku qui se cache en chacun de nous (et des autres gens.) et rien que pour ça, elle mérite une place dans votre liste de waifus.
Onegai Teacher – Mizuho Kazami
A une époque où les histoires de romance se traitaient entre lycéens, Onegai Teacher arrivait avec un graphisme léché et coloré, et surtout une histoire d’amour un peu capilotractée entre un lycéen (adulte dû à des circonstances spéciales) et une jeune enseignante bien propre sur elle mais qui est en fait une extra-terrestre. Un cocktail fort détonnant et bourré de bons sentiments. C’était surtout la différence d’âge, le côté adulte et responsable de Mizuho qui faisait tout son charme. Un charme mature. Un charme GRAOU.
Otome wa Boku ni Koishiteru – Takako Itsukushima (runner up : Mizuho Miyanokouji)
Ah Takako. La tsundere de service de Otoboku… Présidente du conseil des étudiantes (encore une blonde tiens), elle tombera sous le charme de Mizuho (encore un trap, tiens, et pas des moindres, un trap tellement féminin que les filles de l’école l’élisent comme la meilleure élève du lycée, et estiment qu’elle est cent fois plus « lady-like » qu’elles. Ah et puis elle est doublée par Yui Horie aussi.) Le truc c’est que Takako joue vraiment bien son rôle, à tel point que dans l’OAV surréaliste de la série, elle joue dans un Cendrillon rebaptisé Tsunderella (vous l’avez? vous l’avez?). C’est peut-être le côté un peu ojou-sama, tsundere et avec des responsabilités qui me plaît.
Outbreak Company – Myucel Foaran
Source : Rizky
Ca faisait longtemps, une meido, n’est-ce pas ? Myucel (c’est aussi le nom de ma PS4) a un sérieux complexe. Comme elle a été traitée comme une sous-merde parce que c’est qu’une demi-elfe, et en plus une meido, elle refuse qu’on lui parle normalement et qu’on la traite comme une véritable personne. Tout le travail du héros va conssiter à l’éduquer pour lui expliquer qu’en fait elle peut avoir une vie à elle, posséder des choses, et surtout être plus qu’une simple maid soumise. Et ça, c’est chouette. Dommage que l’anime n’ait pas si bien marché.
Plastic Memories – Isla
Source : inconnu (Pixiv)
Dans la famille androides je voudrais Isla. C’est marrant comme les japonais arrivent à rendre leurs androides aussi attachantes. Isla ne m’a pas du tout attiré au début, puis une fois passé la moitié de la série, c’était parti pour l’ascenseur émotionnel d’un personnage condamné à la mort quoi qu’il arrive (ou tout du moins à « oublier » ce qu’elle a vécu) et bordel, j’ai chialé comme une gamine devant le dernier épisode. C’était courru d’avance mais c’était superbement bien executé. Maladroite mais attachante, voilà comment je définirais Isla.
Read Or Die – Yomiko Readman
Rat de bibliothèque (au point où les libraires ont des posters d’elle pour informer que c’est leur meilleure cliente), une dégaine négligée au possible (on se demande si elle se change des fois) et une grosse poitrine, voilà Yomiko Readman, alias « The Paper ». Si déjà vous étiez pas conquis par cette description, sachez qu’elle peut aussi faire des tas de trucs en manipulant le papier à sa guise, ce qui crée des scènes d’anthologie lors des trois OAVs de Read or Die. La série télé elel est pas mal mais honnêtement pas très bien rythmée. Faites juste attention avec une waifu comme Yomiko de ne pas lui donner accès à votre compte en banque sous peine de vous retrouver fauché et enseveli sous une tonne de livres.
Et pour mémoire, Yomiko fut le nom de mon premier serveur à la maison, avant Mahoro.
REC – Aka Onda
Petite, adulte, craquante, porte une ponytail, et surtout apprentie doubleuse. Comment pouvais-je ne pas adorer ça ? C’était clairement le personnage qui m’était destiné. Même pas besoin de faire des horreurs comme le perso de VN imaginé dans Welcome to the NHK, moi, il suffit de peu pour me satisfaire, mais bon, vous avez dû vous en rendre compte depuis le début de cette liste.
Sakurasou no Pet na Kanojo – Nanami Aoyama
Je sais pas si je dois me réjouir ou quoi de voir Nanami et Aka l’une à côté de l’autre dans cette liste tellement ces deux personnages ont les mêmes caractéristiques, sauf que Nanami, elle, elle a pas eu de bol avec le héros de Sakurasou, et c’est ballot parce qu’elle méritait vraiment un peu de bonheur avec tout le mal qu’elle se donne pour devenir doubleuse. Comme je l’ai déjà dit, j’ai un faible pour les personnages à qui le scénariste n’a pas sourit.
Scrapped Princess – Pacifica Casull
A l’époque de sa sortie Scrapped Princess avait fait l’effet d’une bombe car son charadesigner n’était autre que Mogudan, aussi connu pour ses dojins hentai couleur assez hardcore sur Rei Ayanami. Ca et puis les seins comme des ballons de baudruche aussi, il faut aimer. Pacifica n’avait pas un destin choupi non plus, dans cette série : elle est sensée être signe de la fin du monde, et du coup tout le monde lui en veut à mort, mais elle a son frère et sa soeur qui sont là pour la protéger, entre autres. L’opening, signé JAM Project, est particulièrement plaisant à écouter et est très différent de leurs habitudes en la matière.
Seto no Hanayome – Sun Seto
Sun, c’est un peu le même trip que Kobeni : elle cherche à devenir une bonne épouse. Japonaise évidemment. Mais Sun, c’est aussi la caution honneur et yakuza de mes waifu, celle à qui je peux demander un coup de main pour casser les genoux de quelqu’un s’il me fait trop chier. Son esprit chevaleresque n’a que peu d’égaux. Bon, après faut aimer bouffer du poisson, et ça j’avoue c’est paaas vraiment mon trip le poisson. Mais quand même !
Shirobako – Shizuka Sakaki
Doubleuse, ponytail, tout ça tout ça. Les doubleuses ont souvent des ponytail vous avez remarqué ? Pourquoi je n’ai pas mis de ponytail à Ayako en fait ? Pourquoi ? Je me le demande encore aujourd’hui. Comme Nanami, Shizuka est sensée nous rappeler que le monde du doublage, c’est chaud, c’est super chaud même. Par contre, quand ça marche, putain. J’ai chialé à cette scène, j’étais à fond avec Aoi pour le coup. Et merde, j’ai envie de me remater Shirobako du coup.
Sister Princess – Sakuya
A l’époque de la sortie de Sister Princess, j’étais genre à fond à fond à fond. Imaginez ! 13 petites soeurs pour un héros ! Je m’imaginais un truc de ouf avec une intrigue, une traitresse, des prétendantes pour un héritage, du mystère, etc etc. Hé ben NON. C’était plutôt mauvais. Par contre, l’illustratrice à l’origine des personnages dessine comme une déesse, et ça calme à fond quand on regarde ses artbooks. Sakuya ? C’est probablement l’une des plus adultes et sensées du lot, celle qui n’hésite pas à flirter avec le protagoniste, alors que toutes les autres c’est des lolis qui savent pas de quoi elles parlent. A noter que Sakuya était doublée par Yui Horie qui faisait l’opening de la première saison.
Steins;Gate – Suzuha Amane
Source : Yukiharu
Si je devais vous expliquer pourquoi Suzuha est ma waifu de Steins;Gate, ça vous spoilerait, je vais donc m’en tenir au strict minimum : elle a un vélo.
Je peux rien dire d’autre.
Suzumiya Haruhi no Yuutsu – Haruhi Suzumiya
Beaucoup aiment la détester, mais moi j’adore Haruhi. A tel point que j’ai voulu lancer le site Haruhi.fr parce que ça déchirait tout. Aujourd’hui la série a un peu vieilli mais se regarde toujours autant avec délice grâce au bon travail de KyoAni. Haruhi, c’est un peu cette fille qui ne veut pas grandir, qui n’en fait qu’à sa tête mais qui sait montrer ses bons côtés aux gens qu’elle aime. ca et puis bon, le jour où j’en ai marre de ce monde j’ai juste à lui demander d’en refaire un, par exemple en éradiquant les animés de SHAFT de la surface de la terre (sauf Madoka, j’ai des principes quand même.)
Sword Art Online – Leafa
Source : Gabiran
Leafa a pour moi beaucoup plus de classe et de prestance qu’Asuna, mais bon, c’est pas elle que le héros choisit, évidemment. Faut dire qu’elle part avec un handicap la pauvre, mais c’est pas grave, j’aime bien les laissées sur le bas côté. Celles que les fans mainstream n’aiment pas, celles qui méritent mieux que ça. Ah et l’inceste dans tout ça ? On s’en fout, c’est pas ma soeur/cousine/whatever Leafa, je fais donc ce que je veux avec ses cheveux.
Tengen Toppa Gurren Laggan – Yoko Littner
Source : otaku
Si j’avais un truc à dire au sujet de Yoko, c’est qu’elle a vraiment pas de bol : tous les mecs pour lesquels elle s’entiche meurent. Mais comme elle est ultra mignonne (et mieux habillée) en version « prof » on lui pardonne tout ça et on a envie d’assister à l’un de ses cours. Et puis tout le monde sait qu’il ne vaut mieux pas contrarier une fille armée d’une arme. Ah elle a 14 ans aussi. Le truc c’est que devant le juge, ignorer qu’elle avait cet age est difficilement contestable.
To Heart – Akari Kamigishi
J’ai toujours eu un faible pour les amies d’enfance. D’habitude elles se font toujours avoir sur le héros qui les ignore royalement mais dans To Heart, c’est pas ce qui se passe. Akari gagne, c’est cool, et en plus elle est mimi tout plein. Et c’est un eds premiers rôles de Ayako Kawasumi, en plus.
On dit beaucoup que Tsukasa de Lucky Star rend hommage au charadesign d’Akari.
To Love-ru – Presque tout le cast.
Je triche, en vrai c’est Mikan que je veux en waifu. J’assume mes choix déviants. Hein ? Pourquoi vous vous approchez avec des menottes ?
Usagi Drop – Rin Kaga
Bon ok après Mikan va falloir que je sorte un argument en béton armé pour Rin. Abandonnée de tous, trimbalée comme un poids au sein de sa famille, moi c’est le genre de trucs qui m’attendrit. Si j’avais été le protagoniste de ce manga, j’aurais probablement réagi exactement pareil et je me serais occupé d’elle. Voilà. N’appelez pas les flics s’il vous plaît.
Utawarerumono – Yuzuha
Un des rares personnages aveugles qu’on trouve dans les animés, Yuzuha est alitée pratiquement en permanence et pourtant elle est très perspicace et tranche nettement, avec Eruru, avec les autres personnages de Utawarerumono. Yuzuha on a envie de se battre pour elle, c’est tout. Faut juste se taper un beau-frère insupportable qui perd systématiquement tous ses duels et hurle à chaque fois qu’il attaque. Ca doit pas être facile tous les jours les repas de famille.
Et arrêtez tout de suite avec ces blagues sur un malvoyant et une aveugle ensemble, je vous ai vus venir.
White Album 2 – Setsuna Ogiso
Ouais j’ai un problème avec les personnages laissés sur le bas côté de la route. C’est triste mais Setsuna elle émritait mieux. Le pire c’est que dans un des endings du jeu, elle est complètement OK avec le fait que son mari aille se taper sa meilleure pote à côté. C’est chaud, c’est vraiment chaud, là. Je sais pas qui a pu avoir une idée pareille.
Yakitate Japan! – Tsukino Azusagawa
Ceux qui me connaissent doivent savoir que j’adore le pain. Je suis panivore à un point où le seul truc qui me manque au japon c’est du bon pain. C’est pour ça qu’une waifu comme Tsukino, qui a sa propre chaîne de boulangeries, conserve une petite place dans un coin de mon kokoro.
Yoake Mae yori Ruriiro na: Crescent Love – Feena Fam Earthlight
J’ai aussi un faible pour certaines princesses. A vrai dire je serais incapable de dire ce qui m’a plu chez Feena, j’ai trop peu de souvenirs de son anime et si elle figure dans cette liste c’est parce que j’ai quand même appelé une de mes machines par son nom, et que j’ai aussi une figurine d’elle dans ma vitrine. Ca veut dire que QUELQUE PART je devais être accroc. Ou alors des aliens m’ont enlevé pour effacer cet anime de ma mémoire. C’est possible, remarquez : la version TV était tellement laide… TELLEMENT LAIDE.
Et voilà !
Comme vous pouvez le voir c’est super, super varié :
- Des maids
- Des tsundere
- Des ojou-sama/princesses
- Des filles à ponytail
- Des filles avec Ayako Kawasumi comme doubleuse
Je suis facile à cerner maintenant, zut.
6 commentaires