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Yuka Haneda

A yé, j’ai enfin placé un nom sur la jeune femme très kawaii, très sexy, très… oh oui, très… hmmm. Bref.

Mon cher compagnon d’armes RafaLien a réussi à dénicher le nom de cette idole de ma future armée de maids, j’ai nommé, Yuka Haneda. Alors oui, 1,57 mètres, c’est classique pour une japonaise, et puis 20 ans, c’est très bien ça… Ah mais je m’égare.

Allez, pour la route, une tite n’image d’elle en bon costume… Après tout, nous sommes sur Maid Land 🙂

Cliquez ici pour l’avoir en (un peu) plus grand.

Merci Minotaure en tous cas 😛

L’immeuble d’en face

L’immeuble d’en face est une autre production de Vanyda, et sa petite équipe, qui a réalisé également L’année du Dragon dont j’ai parlé dans un précédent billet. C’est encore grâce à Morgan que j’ai pu découvrir cette petite BD en noir et blanc.

L’histoire, c’est… ah non attendez, en fait il n’y en a pas: L’immeuble d’en Face, n’est rien de plus qu’un recueil de petites histoires retraçant la vie quotidienne de quelques personnes vivant au sein d’un immeuble: on y trouve un couple de vieux, une mère seule et son gamin, un couple de plus jeunes… On y voit donc toutes les tranches d’age et on découvre leur vie qui se mèle et se démèle au fur et à mesure.

Bien que plaisant à lire, la découpe des histoires laisse surtout filtrer un certain manque de cohésion, et arrivés à la fin, on regrette un peu qu’il n’y ait pas une histoire de contée. En même temps, c’est un peu le but du bouquin: relater l’histoire de la vie d’un immeuble, mais que voulez-vous… C’est comme ça que je préfère les choses 🙂 Ceci dit, on s’attache tout de même aux différents protagonistes. Il parait qu’un volume 2 est en cours, je crois…

Si vous aimez les BD un tant soit peu originales et plutôt modernes, jetez-y un oeil, c’est plutôt sympathique dans son ensemble, même si ça ne remplacera pas un bon vieux manga. (vite, des sous que je puisse acheter les dernières sorties Pika et autres, comme Lui ou Rien volume 3 ^^)

In YOUR world ouvre ses portes

In YOUR world est un site très sérieux propulsé par DotClear, mais qui traite de tout ce qui se passe dans notre monde et qui n’est pas montré à la télévision habituellement. Cela peut être des reportages assez critiques et controversés, mais toujours fort instructifs, pour que chacun puisse se rendre compte que sur notre planète, il se passe des choses horribles, qu’on nous montre pas forcément. Ou parfois, cela peut être tout simplement, un regard différent sur l’actualité passée.

Le site se propose donc de vous faire découvrir tout cela à travers des documentaires vidéos, en anglais mais aussi en français, sur tout un tas de sujets. N’hésitez pas à le mettre dans vos bookmarks!

Le site est tenu par un très bon ami, Christophe. (comment ça, je fais de la pub à mes amis? 🙂 )

The Legend of Heroes

ENFIN un RPG sur PSP. Et pas un petit: Legend of Heroes semble être un épisode parmi une série de jeux qui sont parus sur PSOne. La PSP a elle aussi eu droit à d’autres épisodes, malherueusements, non encore traduit.

The Legend of Heroes: A tear of vermillion, est une histoire pour le mien classique au demeurant. Avin, notre jeune héros, cherche sa soeur Eimelle dont il a été séparé lors qu’ils étaient enfants. Il semble qu’Eimelle soit promise à un destin pour le moins mouvementé, mais l’affection que notre héros lui porte le pousse à la retrouver, des années plus tard.

Graphiquement, on est loin de froller l’excellence. Des persos en 2D se déplacent dans un décor en 3D non pivotable, ma foi d’une fort belle facture. La musique, assez anecdotique, essaye de nous envouter, mais c’est assez difficile.

Bref, techniquement, le jeu ne vole pas super haut pour de la PSP, mais depuis quand a-t-on besoin de bons graphismes pour un RPG ? Il faut ajouter que la maniabilité est parfois hasardeuse, car il vous faudra être orienté dans la bonne direction et bien comme il faut avant d’user de la touche action pour déclencher un quelconque event, prendre un item ou fouiller une bibliothèque.

Pourtant, le jeu est suffisament simple pour qu’on le comprenne tout de suite, et bénéficie d’un univers assez fouillé et recherché. On se plonge alors tant bien que mal dans le scénario qui semble se développer néanmoins lentement au début.

Malheureusement, quelques autres défauts viennent tâcher la qualité du jeu: une traduction anglaise un peu bancale parfois, rendant confus certains petits passages. Néanmoins, ça reste simple à comprendre, et n’importe qui ayant fait quelques années d’anglais pourra en profiter.

Globalement cependant, et vu que ça reste rare, un RPG en anglais sur PSP, on va être indulgents, et le style manga, les designs réussis et les graphismes mignons vous aideront à mieux apprécier le jeu, qui se trouve très adapté à la PSP.

Du petit bonheur en boite pour tout fan de RPG 🙂

L’année du dragon

Pas vraiment un manga, mais bon… 🙂

Oui bon il manque le titre, mais j’aime assez l’illustration.

Cette BD m’a été offerte dans son intégralité (3 tomes) par un ami (Morgan) le jour du nouvel an, et je dois avouer que, n’étant pas trop fan de BD dû à leur format trop grand pour moi, j’ai été plutôt séduit par l’histoire relativement simple mais intéressante à suivre. Avec un langage très jeune et un humour parfois piquant, parfois imagé, L’année du Dragon se caractérise avant tout par un style clairement inspiré du manga. Sans le recopier de façon ridicule, et sans tomber dans des tonnes de clichés juste pour attirer le chaland, les deux auteurs ont un style bien a eux, et les petits clins d’oeils à l’Asie ne manquent pas (rien que Mononoke Hime au ciné…)

Au niveau histoire, il est difficile d’en parler, car on suit en fait un moment de vie difficile d’un jeune homme nommé Franck, qui galère de boulot en boulot, et aussi dans sa vie amoureuse. Seule la fin m’a laissé un peu de marbre, mais toute la lecture était vraiment sympathique, et on arrive très bien à s’imprégner des personnages.

C’est donc clairement rafraichissant par rapport à mes lectures habituelles, preuve en est que j’ai dévoré les trois tomes très rapidement,

En tous cas Momo, si tu as d’autres lectures comme ça, n’hésite pas 😛

Ah la SNCF.

Une fois n’est pas coutume, un petit billet « Life ».

Contrairement à ce que vous pouvez penser, ceci n’est pas un billet anti SNCF. Non. En fait, plus ça va plus je trouve que ces gens font un boulot plus que correct, et sont traités comme de la merde par des gens. Je m’explique.

D’habitude, quand je prends le train, j’ai toujours besoin d’un accompagnateur, parce que les gares sont d’une grandeur abyssale et insondable pour moi qui ai de gros problèmes de vue. Et là, à la SNCF, on les trouve toujours à vous aider, à vous indiquer le chemin, voire à vous accompagner où vous voulez dans la gare. Enfin pour les handicapés en tous cas.

C’est pareil, quand vous demandez un renseignement, ils vous le donnent, dans la mesure de leurs moyens. N’importe qui, que ce soit un agent SNCF ou une réceptionniste, n’a pas tout le temps l’info qu’il vous faut à jour et à sa disposition, c’est normal et ça devrait être compris de tous.

Mais ça ne l’est pas.

Aujourd’hui (enfin hier là il est déjà bien tard), il y a eu des intempéries que l’on connait en cette fin d’année, mais aussi, beaucoup de monde: c’est les départs ou les retours pour le jour de l’an, c’est normal. Seulement pas de bol, ils ont tout eu aujourd’hui: neige, catainer (c’est comme ça que ça s’écrit?) qui pête sur la voie, suicides, problèmes d’alimentation… Résultat, la majeure partie des trains en partance de gare Montparnasse étaient bloqués, ainsi que ceux sensés arrivés, et ce depuis 15h, alors que je débarque à 17h. C’est ma première « perturbation SNCF » et j’avoue que j’en suis resté bouche bée.

Plein de gens étaient là, visiblement énervés alors que la perturbation n’est même pas dû à une grève. A les entendre ces gens, il faudrait que la SNCF alimente tous ses trains en panne, dégage les corps des sucidés de ses voies en claquant des doigts, amène le soleil pour faire fondre la neige, et remonte les pendules pour que les trains en retard arrivent comme par magie.

Non mais franchement, quand j’entendais gueuler ces demeurés (pour la plupart des +40 ans) j’étais mal pour la pauvre agent qui était en face au guichet. Faut dire que le quartier des handicapés (enfin le box où y’a l’accueil des handicapés à Montparnasse) était submergé de monde, qui voulait des infos alors que les agents de ce box étaient bien moins lotis. Il fallait qu’ils sachent, ils fallaient qu’ils disent tout, il fallait qu’ils fassent aparaitre le train pour partir « je veux me faire rembourser! Pourquoi vous nous dites pas tout? Pourquoi vous nous dites pas carrément qu’il n’y aura pas de train? On va pas poireauter toute la nuit dans la gare! » Hé coco, tu te calmes, il est à peine 17 heures…

Non sans rire, les voir se dépatouiller comme ça, c’était dur, et en plus se faire insulter et parler hautement, forcément ça énerve, et pourtant, ils doivent nous répondre gentiment, aimablement et sans s’énerver. Moi, perso, j’pourrais pas.

Bref, la SNCF, quand même, quand ils font pas grève… on est bien contents qu’ils soient là.

The Movies

Ca faisait un p’tit moment que je lorgnais sur ce jeu, depuis son annonce en fait, il y a de cela 3 ans. Imaginez un peu: pouvoir gérer son studio de cinéma, ses stars, ses films, écrire ses scripts, tout ça. Peter Molyneux, a qui l’on doit de nombreux autres jeux de légende tels que Dungeon Keeper, Theme Hospital et Theme Park, entre autres, nous a promis monts et merveilles avec ce jeu. A-t-il tenu ses promesses? Voyons voir…

A l’allumage, outre le gros logo « Fonctionne bien sur Intel Pentium 4 et ATI » qu’on oubliera très vite tellement c’est hideux, on peut voir d’ors et déjà qu’une option En Ligne et Montage sont présentes. Ca s’annonce bien, ça veut dire que l’on peut créer ses films, les exporter dans un format lisible en dehors du jeu, et les diffuser sur le net.

Cat l’un des attraits de The Movies, c’est aussi son mode online, qui permet de diffuser ses films sur un site web spécial. Selon le succès de vos petits films, qui durent d’une à 5 minutes, selon le nombre de scènes, vous gagnerez des credits virtuels qui vous permettront de vous payer de nouveaux costumes, décors, et autres trucs sympa pour agrémenter vos futures oeuvres.

Niveau créativité, j’aime.

Passons tout de même au jeu lui-même:

Là, ça se déroule comme un thème hospital/park bien classique. On construit des batiments, on embauche du personnel trié sur le volet, on ménage son petit personnel en leur proposant des cures de désintox, des lifting, du relookage, en leur payant des caravanes… Bref, au niveau de la gestion des caprices de stars, il y aura de quoi faire.

Niveau personnel, vous trouverez donc des acteurs, des réalisateurs, des figurants, des équipes de tournage, des équipes de maintenance, des batisseurs, des scientifiques, et des auteurs de script. Tout ce petit monde va devoir bosser dans votre studio, et c’est déjà pas mal.

Comment se passe donc la réalisation d’un film? Ca suit en fait un procédé simple. – On donne un script à écrire à des auteurs, ou bien on écrit le notre (pas testé) – Une fois le script fini, on l’envoit au bureau de production, qui permet de réaliser le casting: on choisit un réalisateur, un ou des acteurs pour les rôles principaux, des figurants si beosin, et une équipe de tournage. A noter que l’humeur des acteurs, mais aussi leurs expériences dans d’autres films comptent. – Une fois le casting et la répétition terminée, on envoie le truc à tourner, et on peut voir les acteurs aller dans les décors faire leurs scènes. Si tout se passe bien, au bout d’un moment vous avez un film, que vous sortez, et qui est noté selon la qualité du script, de la réalisation, du tournage, des acteurs, tout ça quoi.

Ca parait simple mais des petits ennuis peuvent survenir pendant le tournage, et pour bien rentabiliser le temps, il faut avoir au minimum 2 films en production en même temps, ce qui occasionne parfois des retards de l’un car un décor est déjà occupé.

Les films sont divisés en plusieurs catégorie: action, comédie, horreur, science fiction, et amour.

Je ne vais pas parler de tout pour laisser la surprise, mais vous aurez de nombreux événements historiques et d’autres joeusetés pendant votre parcours, ainsi que des mini objectifs à accomplir (le jeu commence en 1925)

J’ai cependant oublié de parler de tout l’aspect humour. Un peu à la Dungeon Keeper, vous aurez une voix off (ici un animateur radio) qui ne cessera de lâcher des petits commentaires sympa, sans que ceux-ci ne se répetent de trop au fil du temps. Aussi, les noms des films, tels que « Les oiseaux se cachent morts de rire » ou « Bang bang t’es mort » ou encore « C’est laid une tortue! » ou bien « La petite prison dans la prairie », vous voleront quelques pouffement de rire lorsque vous les verrez.

Pour moi, c’est une bonne surprise, quoi que ça aurait pu être quelque peu mieux réalisé: ça a une allure de the sims sans toutefois le même panache visuel. Le jeu est cependant très fluide sur n’importe quelle config moderne.

A essayer donc, pour ceux qui aiment comme moi, pouvoir créer des choses avec un jeu. Aaaah, Stunt Island…

Lui ou rien! – Zettai Kareshi

Yuu Watase ne cessera jamais de m’étonner. Chaque fois qu’un de ses manga sort, je me dis toujours « Bah, c’est du Shoujo (manga pour filles) » et puis en fait, le coup de crayon, l’histoire, les personnages, rendent le tout tellement attachant qu’on a du mal à s’en séparer une fois qu’on a commencé à le lire. S’il y a bien un auteur dont j’achèterais n’importe quel bouquin les yeux fermés, c’est bien elle.

Zettai Kareshi, donc, traduit plus ou moins bizarrement par « Lui ou rien » par Kana, l’éditeur français, nous plonge dans la vie d’une fille assez banale, Rikko (galerie de portraits ci-dessous) qui a la particularité de se faire jeter par n’importe quel mec avec qui elle veut sortir (mais je comprends pas, moi, une fille comme ça, je sors avec direct…)

Seulement voilà, un jour elle retrouve le portable d’un vendeur bizarre, le lui rend, et pour la remercier, lui offre un passe pour un site web bizarre, le « Lover Shop » où on peut commander son petit ami idéal. Rikko n’y croit pas une seconde, fait la folle, ajoute plein d’options et commande un modèle Nighty pour un essai gratuit de 3 jours (super promo).

Le lendemain, il arrive, et forcément, après la panique, elle s’y attache… Premier problème: elle doit le rendre dans trois jours. Second problème, c’est un modèle Night, qui est donc fait pour fonctionner la nuit… vous voyez ce que je veux dire hein? Oui, le premier truc qu’il fait c’est essayer de lui faire l’amour, a la pauvre jeune fille qui n’est jamais vraiment sortie avec un type avant et qui en plus croit au romantisme pur et dur. Vous alllez vous dire qu’il va quand même se la faire, hé bien non. « Night » comme elle l’a nommé, est un petit ami parfait après tout, et se retiendra pour elle.

J’en entends au loin déjà penser que Yuu Watase nous pond un clone de Chobits ou Hand Maid May au masculin, mais en fait il n’en est absolument rien, contrairement à mes peurs. Yuu Watase a parfaitement réussi a éviter le cliché et nous livre une histoire assez touchante. Classique mais touchante. Disons que comme d’habitude, l’héroine choisie par l’auteur, à mi chemin entre Tampoko de Imadoki et Aya de Ayashi no Ceres (ça reste un avis personnel), Rikko est plus mignonne que sexy, voire même naïve avec son envie de romantisme si fort.

Voilà donc Rikko, qui va devoir faire avec Night, payer sa dette envers la societé à qui elle l’a acheté (ah ben oui, c’est pas donné ces petites bêtes) et faire face à de nombreux autres obstacles… Mais je vous laisse la surprise 🙂

Un fansite plutôt bien foutu où j’ai récupéré quelques images: Zettai Kareshi

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