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MaOTD #548

Une petite meido blonde, ce n’est pas tous les jours que ça arrive. Celle-ci vous est offerte avec une collection complète de boites à chaussures de toutes taille, pour la modique somme de 2 000 Maid Points.

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Ghost Trick

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S’il y a bien un truc que j’apprécie particulièrement ce sont les histoires qui touchent au surnaturel. Que cela soit fantômes, esprits, forces démoniaques ou angéliques, c’est toujours quelque chose qui me touche d’une façon ou d’une autre. C’est peut-être pour ça aussi que j’ai tellement accroché à CLANNAD, pour ne citer que cette série. Quand Raton-Laveur m’a parlé de Ghost Trick sur DS au détour d’une conversation sur le serveur Mumble de Nanami, j’ai pris ma carte bleue, ma carte Micromania et je suis… bon, en fait j’ai filé de l’argent, ma carte et tout le reste à mon nouveau sbire personnel (quand il squatte sans vergogne chez moi) et je l’ai envoyé chercher ça au Micromania du coin. J’ai commencé le jeu le samedi midi et j’ai reposé la DS lundi soir, la cartouche terminée, et un bon sourire sur le visage. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas arrêté tout visionnage, toute lecture et toute activité vidéoludique autre pour un seul jeu. Certes, je l’ai peut-être rushé dirons certains, mais je préfère penser que j’en ai juste profité intensément plutôt que sur la durée. Mais parlons un peu du jeu en lui-même…

Vous excuserez tout de même le mélange d’images provenant de la version Japonaise et de la version Française, mais je me suis fourni chez Gamekult.

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Le jeu commence en effet bien : vous êtes mort. Heureusement le jeu est buggué et vous ne verrez pas l’écran de Game Over au dessus de votre carcasse. A la place, une lampe de bureau vient vous parler. Il faut dire qu’après avoir vu son preopre cadavre tomber dans une décharge et le type qui vous a tiré dessus abattre froidement une jeune femme qui passait par là, ça a de quoi choquer. C’est alors qu’une lampe de bureau vient vous parler, et vous explique que vous êtes dorénavant un fantôme. Vous ne vous souvenez que de très peu de choses car les fantômes perdent leur mémoire immédiate, ou elle est très floue. La lampe qui se fait appeler Ray, vous annonce que vous n’avez que jusqu’à l’aube (et qu’il est déjà genre 19h) avant de disparaître définitivement de ce monde pour trouver qui est votre assassin et pourquoi on vous a tué, surtout. Ray enfonce le clou en vous expliquant que la seule piste que vous pouvez suivre, c’est la jeune femme nommée Lynne qui vient d’être tuée…

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La condition de fantôme vous octroie néanmoins de précieux avantages : déjà vous pouvez manipuler certains objets inanimés, mais pas les êtres vivants. Déplier une barrière, actionner un interrupteur, ouvrir un parapluie, faire bouger une lampe, ouvrir une trappe… Le panel d’actions réalisables est extrèmement varié tout au long du jeu même si certains concepts reviendront de temps à ature histoire de ne pas trop dépayser le joueur. Ces actions appelés « Tours » en VF (ou Tricks, en VA, ou encore un autre mot qui ne veut pas tout à fait dire Tour en japonais, mais dont j’ai oublié le nom exact…) vous permettront bien souvent d’arriver à vos fins : pour faire peur à un humain, ou atteindre un autre objet ou un endroit éloigné…

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Le truc c’est que vous prenez possession de l’objet en question, mais que vous ne pouvez pas atteindre les objets trop éloignés. Le but premier dans certains chapitres sera donc d’atteindre l’objet désiré via le stylet en mode « Fantôme » avant de l’actionner. Et pour ça il faudra parfois faire preuve d’ingéniosité ou de bons réflexe, pour « sauter » d’un objet  à un autre qui passerait par là (une goutte d’eau qui tombe, une balle de baseball lancée par quelqu’un, etc.) Le jeu étant représenté sur un plan 2D il est beaucoup plus facile de s’y retrouver qu’on ne le pense au départ. Comme vous prenez possession d’un objet, ça marche aussi pour les téléphones, et des téléphones il y en a plein. Partout. Ils permettent d’écouter les conversations des personnages, mais aussi de se téléporter en passant par les lignes téléphoniques jusqu’à l’endroit désiré. On découvrira ainsi dés le début du jeu un grand nombre d’endroits où l’on aura pas forcément grand chose à faire avant bien plus tard dans le jeu.

Le dernier pouvoir de Sissel (qui apprendra son nom très rapidement dans le jeu) est le pouvoir de retourner dans le temps, très précisément 4 minutes avant la mort de quelqu’un, afin de peut-être modifier le destin. et ça, vous allez le faire très souvent, car Lynne a une très facheuse tendance à mourir souvent dans ce jeu, mais ça ne sera pas la seule personne à le faire, je vous rassure. Les façons d’éviter la mort sont parfois très ingénueuses, parfois un peu beaucoup capilotractées. Parfois on ira même 4 minutes avant la mort de quelqu’un 4 minutes avant la mort de quelqu’un (Pas de blagues sur Inception, merci.) Ces séquences dont le temps est compté pourront être réinitialisées comme bon vous semble (il y a même des checkpoint, si vous avez enchaîné les bonnes actions.)

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Scénaristiquement parlant, Ghost Trick assure. On commence avec trois tonnes et demi de questions, et chaque nouveau chapitre (il y en a 18) nous en amène d’autres. Il faut dire qu’avec l’auteur des Phoenix Wright aux commandes, on en espérait pas moins. Certains retournements de situation sont complètement improbables et vous feront vous demander si tout cela n’est finalement pas un peu trop convenu, mais les tous derniers chapitres vous feront changer d’avis. La toute fin est particulièrement grandiose dans le sens où tout d’un coup, tous les passages qui vous semblaient étrangement convenus vous semblent logiques. Les personnages quant à eux sont tout aussi singuliers que ceux qui habitent le monde de Phoenix Wright avec leurs coupes de cheveux taillées sur mesure et leurs manies bien à eux. Non, de ce côté là rien à dire, ils sont tous très hauts en couleurs

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Du côté de la technique, le jeu ne casse pas trois pattes à un canard, mais à le mérite de proposer des animations de personnages d’une fluidité rarement vue auparavant. Enfin si, le premier jeu qui me venait à l’esprit en voyant les personnages déambuler était Another World (puis plus tard Flashback). Les musiques par contre sont assez quelconques mais pas énervantes. Le thème du jeu est peut-être la seule composition musicale à sortir du lot. Vous aurez peut-être remarqué que les captures d’écran montrées ici n’affichent que l’un des écrans de la DS : en fait l’écran du haut n’est presque jamais utilisé, à part pour indiquer quelle action sera effectuée si on manipule l’un des objets. Un peu dommage, mais en même temps il était difficile d’imaginer vu le gameplay du jeu ce que l’on aurait pu faire avec deux écrans. D’un autre côté, il est à noter que le jeu est sorti sur iOS (iPhone / iPod Touch / iPad) sur l’App Store japonais, mais pas l’européen ou américain encore. Capcom fait partie de ces éditeurs qui commencent à beaucoup miser sur les plate-formes mobiles et à délaisser les consoles portables plus traditionnelles, malheureusement je dirais…

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Mais revenons à Ghost Trick : contrairement à Phoenix Wright, le gameplay évite d’être répétitif étant donné que chaque chapitre propose plus ou moins une scène différente, avec des objets différement placés et par lesquels il faudra vous frayer un chemin. Sans compter que les choses se compliquent avec l’arrivée d’un autre pouvoir plus tard dans le jeu. Un peu tard, je dirais, car pendant facilement les deux tiers du jeu, voire même les trois quarts, il est suffisament aisé de trouver comment faire pour actionner tel mécanisme ou atteindre tel personnage et lui parler. Le pouvoir supplémentaire ajoute une dimension toute nouvelle qui ajoute une vraie fraîcheur et permet de faire travailler ses méninges. Bien sûr, il n’y a qu’une seule façon de finir chaque scène ou de sauver chaque personne, ce qui est un peu dommage. En gros, il faut surtout trouver dans quel ordre le jeu attend que vous actionniez chaque objet. Comme il n’y a souvent qu’un seul chemin, il est dur de se tromper. Le vrai challenge consiste surtout à analyser le décor et trouver l’idée qui vous permettra de vous en sortir. La façon d’y arriver est elle, toute tracée. Les personnages vous aideront même un peu sur la façon de faire… Difficile dans ces conditions de parler de réel challenge, surtout que les solutions sont bien moins invraisemblables que dans un Phoenix Wright ou on savait pertinemment ce qu’il fallait dire ou faire, mais où le plus difficile était finalement de trouver la façon dont les concepteurs voulaient qu’on le fasse. Là, point de frustration de la sorte, et on passe au final un agréable moment à parcourir les chapitres.

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Doté d’un humour présent mais pas aussi percutant que celui des Phoenix Wright, Ghost Trick a néanmoins plus d’un tour dans son sac et représente pour moi une bonne surprise, hélas bien trop courte à mon goût, même si elle était fort intense (rappelez-vous que les fantômes disparaissent à l’aube…). Mon seul regret étant peut-être qu’il n’y a pas de réelle romance durant le jeu alors que l’idée que Sissel sauve Lynne chaque fois aurait pu mener à une histoire sympa. Tant pis, ça sera peut-être pour un deuxième volet sur 3DS, qui sait ? En tous cas si l’acheter au prix fort vous emmerde, jetez-vous dessus dés que vous le trouverez d’occasion.

MaOTD #547

Comme c’est un peu trop rare, voici une meido bunnygirl pour les maîtres les plus exigeants d’entre vous. Meidolicious vous l’offre contre 4 5000 Maid Points. Un peu cher, mais c’est rare ! 🙂

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MaOTD #545

Avec cet uniforme original, voici une meido à la ponytail aguicheuse pour passer une xcellent week-end. Elle sera pour vous pour 4 000 Maid Points. (les ponytail ça coute cher à produire.)

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Source : jiyu2

Puella Magi Madoka Magica

Le monde s’écroule…

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J’aime un anime du studio SHAFT. Et dirigé par Shinbo, qui plus est.

Je me sens bizarre.

Pour la petite histoire, et avant que l’on ne rentre dans le vif du sujet, sachez que je nourris une aversion très prononcée pour Shinbo et SHAFT. Bien sûr, SHAFT a aidé la Gainax pour Mahoromatic, mais quand je vois ce qu’ils ont fait de Negima, ou de Ef, la pillule est difficile à avaler. Je veux dire, ces deux séries méritaient amplement une réalisation plus conventionelle, mais non, il a fallu que SHAFT parte dans des délires avec l’un ou l’autre qui ne collent pas tant que ça avec l’oeuvre originale (surtout pour Negima en fait). Bien sûr, j’ai quand même apprécié Bakemonogatari, surtout grâce à Hitagi Senjougahara, et aussi grâce aux dialogues fichtrement bien écrits, mais si il y a bien un truc que je ne peux pas supporter dans les animes de SHAFT, c’est bien les panneaux partout, tout le temps, et les personnages qui parlent vite, sans compter les décors et angles de vue étranges qui me font perdre tout repère.

Cette haine s’excuse peut-être aussi par le fait que, étant malvoyant, il m’est habituellement très difficile de suivre une série sous-titrée. Avec l’habitude je m’y suis fait, mais je passe généralement plus de temps à lire les sous-titres à l’écran, car je n’ai pas de vue globale de l’image, étant trop près d’elle. De ce fait, et à moins que je ne me tue à faire pause pour lire chaque sous-titre, il faut que l’image l’accompagnant ait du sens pour que je l’identifie rapidement, que je reconnaisse ce qui s’y passe en un clin d’oeil et que je la situe… chose qui est très difficile dans une scène avec des jeux de lumière frisant l’étrange. Il faut bien se dire qu’avec des yeux défaillants, on ne capte pas tous les détails permettant à notre cerveau de dire « Tiens, nous sommes dans une salle de classe. » Alors si en plus vous ajoutez des panneaux incessants avec des écrits restant une demi-seconde, vous comprendrez que regarder un anime de SHAFT est bien souvent pénible pour moi.

Mais assez de tout cela ! Reconnaissons à SHAFT qu’ils ont un sens de l’animation hors normes, et souvent de qualité. Et ça sert bien Puella Magi Madoka Magica. Attention, même si je m’efforce de ne pas trop spoiler, je vais bien être obligé pour donner envie et exprimer ce que je ressens d’en dire un peu plus que d’habitude. Ne m’en veuillez pas.

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Madoka est une jeune fille qui vit avec son frère et sa mère. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes malgré le rêve étrange que Madoka a fait cette nuit-là, où elle a vu une fille de son âge tenter de se battre contre un monstre hideux… Ce n’est qu’une fois à l’école qu’elle va rencontrer la jeune fille, Akemi, qui vient d’être transférée dans sa classe. Intriguée par la nouvelle, Madoka va tenter de s’en faire une amie, mais Akemi est plutôt taciturne et semble vouloir la repousser. Ce n’est que plus tard alors qu’elle écoute de la musique dans un centre commercial avec sa copine Sayaka, qu’elle va entendre une voix la supplier de l’aider. Guidé par cette voix, elle va sauver une petite bestiole nommée Kyubey des griffes d’Akemi qui tente de lui faire du mal. C’est là que Madoka et Sayaka rencontrent Mami, une autre magical girl qui s’occupe de Kyubey et de cette ville…

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Difficile d’en dire plus sans trop spoiler, et encore, je vous en ai déjà sûrement beaucoup trop dit. Si vous avez unt ant soit peu d’expérience avec les séries de magical girls, vous savez forcément qu’elles obéissent toutes plus ou moins à certains codes : un uniforme mignon, des pouvoirs magiques, une double identité, un familier qui les accompagne… SHAFT joue ainsi avec ces clichés mais à sa manière, en offrant au spectateur un regard complètement différent sur le genre.

En fait, pour tout vous dire, je vous déconseillerais fortement de mettre votre petite soeur devant Puella Magi Madoka Magica. Malgré son thème, la série est sensiblement adulte. Pas dans le sens érotique du terme, loin de là, très très loin même. Encore moins dans le sens Nanoha-esque du terme, d’ailleurs, même si les combats offrent un certain spectacle de surenchère visuelle. Quand je dis adulte, c’est juste qu’il y règne une atmosphère pesante, malsaine, voire oppressante. C’est limite dérangeant… Madoka et ses amies ont un chara-design arrondi et volontairement enfantin, et pourtant, les décors dans lesquels elles évoluent lors des combats, une sorte de dimension parallèle onirique, fait peur. Franchement peur. Pas peur comme une frousse qu’on aurait en voyant un monstre sortir du plafond dans Doom ou Dead Space, mais plutôt peur parce qu’il ne ressemble à rien de connu. Il est admis que les êtres humains ont généralement peur de ce qu’ils ne connaissent pas, et là on est en plein dedans : les décors forment un patchwork improbable de formes et d’objets. Les monstres semblent également tout droit sortis d’un cauchemar, un vrai. Un véritable travail artistique a été effectué sur le monde parallèle de PMMM.

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Ca fait limite froid dans le dos. On a rapidement la très nette impression qu’il y a un truc qui cloche dés les deux premiers épisodes, et le troisième ne fait que le confirmer. Un épisode duquel j’en susi ressorti choqué, retourné même. Je me suis senti mal, vraiment mal. Si a cela vous ajoutez le fait que les magical girl de cet univers sont en compétition entre elles, que Kyubey semble être tout sauf digne de confiance, et qu’il a l’air de vouloir forcer la main à Madoka et Sayaka pour qu’elles deviennent elles aussi des Puella Magica (avec un souhait de leur choix exaucé à la clé, rien que ça !), vous vous direz certainement comme moi que tout cela a des chances de se finir très mal.

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J’ai honnêtement pris une grosse claque. Déjà parce que c’est du SHAFT et que je n’étais pas sensé aimer, mais force est de constater que je dois réviser mon jugement. PMMM est sans conteste pour moi l’un des animes phares de cette saison. C’est le genre magical girl qui a été revisité totalement, loin du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » habituel, et ça apporte un grand vent de fraîcheur même si l’ambiance inquiétante et malsaine fera fuir les plus sensibles d’entre vous. Moi j’ai adoré, et j’en redemande.

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MaOTD #544

Réservée aux amateurs de chevelures à vrilles (et on sait qu’ils sont nombreux, les bougres) voici une meido somme toute classique mais qui leur plaira sûrement. Elle est disponible au petit prix de 2 500 Maid Points jusqu’à la semaine prochaine (3 000 après.)

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Source : Reia

MaOTD #543

Aujourd’hui c’est un duo de meido très élégantes qui sont proposées pour le prix très attractif de 5 000 Maid Points. Couteaux et gateaux vendus séparément.

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Source : Shikishima

Un nouveau chapitre de Blind Spot ? Sans déconner ?

Ah ben si, c’est possible !

Le chapitre 8 est disponible.

L’occasion pour moi de vous montrer le passage à WordPress sur un thème pas tout à fait finaliser mais qui fera l’affaire pour le moment. Je tiens à remercier les gens qui ont aidé pour le début de la traduction de ce chapitre et aussi ceux qui filent un coup de main pour les corrections des premiers.

Pour ceux du fond qui ne connaitraient pas Blind Spot, il s’agit d’une fiction que j’écris dans laquelle une lycéenne japonaise, Ayako, est malvoyante, et où elle va devoir trouver un sens à sa vie, un projet pour son futur et plein d’autres petites choses. C’est basé sur mon expérience en tant que personne malvoyante et sur ma passion pour la culture nippone ainsi que mon expérience après avoir vécu environ deux mois là-bas (c’est déjà pas mal, hein. D’ailleurs j’y retourne en décembre 2012 !)

Voilà, bonne lecture à tous !

Ce que je pense de Haruhi Suzumiya

Cet article a en fait été déjà posté il y a quelques jours sur les forums de Haruhi.fr suite à un topic plutôt interessant initialement posté par ZettaiRyouiki. Considérez mon message là-bas comme un brouillon de celui-ci (en gros, n’allez pas le lire, vous allez vous faire spoiler l’article !). Le topic en question demande ce que les habitants joyeux et plein de vie du forum pensaient de Haruhi Suzumiya, bien sûr avec le recul, une fois passé la découverte et surtout, une fois qu’on ait vu d’autres oeuvres… Car Haruhi, c’était quand même y’a bientôt 5 ans. Ca fait un petit paquet de temps mine de rien.

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Ah oui, et cet article sera également intégralement rempli d’images de Kyonko. Parce que Kyonko, c’est la vie, l’univers, et tout le reste. Si vous ne savez pas qui est Kyonko, mon confrère FFenril avait fait un joli petit article sur le sujet. (Mais moi aussi j’en ai fait un au fait.) Je suis dans ma période Kyonko en ce moment, je n’y peux rien, et quand je vois comment Kyoto Animation est fan de ponytails (beaucoup de persos figurants en ont dans La Disparition de Haruhi Suzumiya, cherchez bien !) je me dis qu’un jour, peut-être, ils referont eux-même la série avec toute la brigade en genderswap. Au lieu de faire une suite à Full Metal Panic, bien sûr, juste parce que j’aime bien faire rager FFenril.

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Mais revenons à notre sujet initial.

Evidemment mon avis sera forcément un peu biaisé mais je vais essayer de rester le plus objectif possible.

On va d’abord remonter à mon introduction à la série en 2006.

Tout d’abord, j’avoue ne pas avoir prêté attention à l’anime passé le premier épisode. C’était assez étrange. Intriguant mais étrange. Ca avait l’air complètement nul mais il y avait des petites choses ici et là qui me rendaient curieux et qui montraient une certaine attention du détail. Parfois je ne vois pas l’image dans son ensemble à cause de ma mauvaise vue, et c’est peut-être pour ça que je n’avais pas tilté que par exemple, le premier épisode était en 4/3 sur du 16/9…

Au final, après avoir regardé la première saison, je me suis trèèèèès lentement mis aux romans que j’ai finis (jusqu’au début du tome 10 quoi) et bien sûr j’ai regardé la S2 et le film.

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Qu’en dire ? Objectivement, Haruhi a surtout marqué les esprits par son marketing à outrance et original, mais pour ceux qui ont vraiment regardé la série, ils auront vu plus que ça : c’est tout d’abord une histoire pour faire rêver. On a une sorte de duo improbable qui est Haruhi et Kyon, et des personnages hauts en couleur au charadesign singulier et aux personnalités propres. Tout ce petit monde se bouge autour de la survoltée Haruhi ce qui permet d’avoir des épisodes dynamiques (principalement dans la S1) et plus réfléchis ensuite (dans la S2) Le tout est saupoudré d’un mélange des genres qui permet d’avoir des épisodes qui se suivent mais qui ne se ressemblent pas (ouais je sais, Endless Eight.). Ce melting pot, bien qu’il n’invente rien, rend l’univers bien plus original qu’il n’y paraît. On passe d’un épisode tranche de vie à des combats spatiaux, un concert ou bien un match de baseball. Dans un sens, c’est revenir aux recettes qui marchent, à ces comédies romantiques interminables où les personnages sont plongés dans des situations chaque fois différentes et revisitent à leur manière des situations déjà vues ailleurs ou appartenant à d’autres genres (un exemple bateau qui me vient à l’esprit immédiatement, sans être le meilleur, c’est Abenobashi Mahou Shoutengai de la Gainax).

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Pour moi c’est ça, avec tout l’aspect hypothèses fumeuses, qui ont fait de Haruhi un succès et un « Impact » sur la japanime. Je dis impact car même s’il n’a pas forcément influencé d’autres oeuvres (Haruhi n’a pour l’instant pas influencé d’autres oeuvres, mis à part Yuri de Angel Beats) il aura surtout marqué les esprits de pas mal de monde, et aura laissé son empreinte aussi controversée soit-elle, dans le paysage otaku.

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Car il faut bien admettre que pour qu’une oeuvre soit encore l’objet de discussions 5 ans après sa sortie, c’est qu’il y a bien quelque chose à dire, parce que les auteurs ne nous ont pas apporté toutes les réponses, et parce qu’il y a énormément d’hypothèses farfelues à faire autour. Ca n’est pas du niveau de Evangelion bien entendu mais il y a suffisament à faire et à penser dans le monde de Haruhi avec ses multiples factions et evenements surnaturels que les possibilités sont infinies. C’est parce qu’il n’y a pas de réponse officielle que l’on peut se permettre d’en parler encore. C’est à la fois frustrant et stimulant, en fait, pour le fan. Ca le pousse surtout à discuter avec ses pairs pour confronter leurs idées.

Et c’est ça que je trouve génial : que ça permette de rassembler des gens autour d’une table, capables de parler des mêmes délires, de se poser les mêmes questions… et au final de nourrir des discussions.

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Après je ne vous cacherai pas non plus que Endless Eight ou même les Soupirs ont été assez éprouvants à mater. Et encore, le tome 7 du roman fut pour moi un long chemin de croix que je n’ai pas envie de revivre. Pourtant, malgré ces défauts, pour peu que l’on s’intéresse au monde de Haruhi, la saison 2 vaut le coup d’être vue en entier. Elle serait moins indiquée à des gens qui ont apprécié la série initiale mais sans plus, bien sûr.

Rematter la série complète via le box blu-ray m’a aussi permis de voir que l’ordre de diffusion chronologique forme un tout cohérent. Pas aussi destabilisant et accrocheur que la version TV, mais certainement bien plus simple d’accès pour le spectateur lambda. Un revisionnage permet également d’apprécier encore plus la série lorsque l’on se rend compte de tous les petits détails distillés ici et là en avance par Tanigawa et parfois par Kyoto Animation, et qui prennent tout leur sens une fois que l’on sait ce qu’il se passe ensuite. Le « On s’est pas déjà rencontrés ? » de Haruhi au tout début de la série quand elle parle à Kyon était anodin jusqu’à ce qu’on voie le premier épisode de la saison 2…

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Bref, Haruhi me laissera un souvenir impérissable comme Eva l’a fait en son temps. Je l’affirme sans conteste : il y a eu un avant et un après Haruhi dans le paysage otaku (et moins sur l’animation japonaise dans son ensemble) pour moi, quoi que les mauvaises langues elitistes puissent en dire.

En y repensant, un billet sur ces animes que l’on peut revoir plusieurs fois sans se lasser, ça serait pas mal…

Bon, et vous, objectivement et en mettant de côtés vos possibles griefs contre Kyoto Animation et/ou Kadokawa, ou bien votre fanboy attitude envers Haruhi, qu’avez-vous sincèrement pensé de cette série ?

MaOTD #541

Voici une meido plus mature, plus différente pour vos besoins les plus particuliers. Elle se situe entre la iMeido de Charme et la iMeido d’Elite. Nous l’avons appellée la iMeido Speciale. En vente pour 3 500 Maid Points dans tous les meido store.

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Source : Nozomi Fuuten

MaOTD #540

Ceci est une révolution.

Pour seulement 4 000 Maid Points, vous pourrez profiter de votre musique où vous voulez grâce à cette meido Azusa. Disponible dés aujourd’hui dans tous les Meido Store de la planète !

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Source : shuri9818