Grand Tournoi des Seifuku – Poules 3 et 4
Bonsoir Axel, Moi, Segjigen serai donc votre commentateur pour ces poules 3 et 4 du grand tournoi des seifuku
Ici Axel, et bonsoir Ninjigen. Enfin Segjifault… Euh, Ninjifault plutôt. Enfin bref! Comment ça se fait que ce billet soit autant à la bourre? Je veux dire, il est bientôt 10 heures du matin…
Ca a sûrement un rapport très étroit avec le fait que Ninjifault soit parti jouer à Valkyrie Profile et le fait que le gars à l’origine de ce foutoir passe son temps à mélanger ses personalités
Bref, ce n’est que le début du tournoi donc pas de panique, nous avions bien coupé les votes à temps et changé les sondages à minuit, c’est déjà ça.
Pour ce qui est des résultats, la poule 1 ne fut pas très surprenante ave une victoire écrasante des uniformes de CLANNAD et de Nanoha. La poule 2 en revanche a été un peu plus serrée. Certe ef remportait la majorité des suffrages avec ses dentelles, mais entre Rosario to Vampire et Maria Holic, ce fut un combat à mort en faveur du premier. Tout de suite les résultats.
Poule 1:
- CLANNAD : 45,5% avec 329 voix
- Nanoha : 27,11% avec 196 voix
- Utena : 14,8% avec 107 voix
- Kimi ga nozomu eien : 12,59% avec 91 voix
Poule 2:
- ef : 35,65% avec 256 voix
- Rosario to Vampire : 25,49% avec 183 voix
- Maria Holic : 25,07% avec 180 voix
- Da Capo : 13,59% avec 99 voix.
Maintenant, place au spectacle avec ces deux nouvelles poules d’uniformes!
Poule 3: Sailor Moon – Nogizaka Haruka no Himitsu – Hidamari Sketch – Green Green
Cette Poule est très intéressante pour un otaque, étant donné qu’elle propose des genres d’uniformes complètement opposés les uns aux autres. ( Deux à deux dirait l’autre féru de logique ). Chaque uniforme propose à lui seul des idées et valeurs qui sont propres à son genre et à son époque.
En effet, il y a du très vieux, du vieux, du moins vieux et du récent. On peut dire que chacun y trouvera son compte, finalement. C’est la poule de la variété!
J’avoue ne pas avoir de grosse préférence pour cette poule, même si je pense avoir une bonne idée de quel seifuku finira en tête de poule.
Sailor Moon
L’uniforme civil des Moon est ce que l’on appellerait le seifuku ( rappel seifuku == sailor fuku, costume marin ) typique, et certainement est devenu un modèle pour les générations futures d’animes. Nous avons donc ici une très chaste longue robe plissée descendant jusqu’aux genoux, un costume marin blanc, avec quelques bordures bleues et le typique col marin et le traditionnel noeud, un noeud que l’on peut facilement apparenter à un noeud papillon, souvent considéré comme la caractéristique moe des seifuku traditionels.
Seifuku signifie surtout uniforme d’élève. L’uniforme de Sailor Moon reste quand même d’un classique, mais c’est lui qui a plus ou moins popularisé l’uniforme dans les animes au début des années 90. Pas sûr que ce classicisme joue en sa faveur, mais on ne pouvait pas faire de tournoi de seifuku sans cet uniforme.
- Originalité : F
On ne peut donc pas vraiment parler d’originalité ici, plutôt de réalisme, ce qui paraît donc assez paradoxal, étant donné le synopsis de l’anime.
- (Dés)habillage : B
Ni plus facile ni plus difficile à enlever que des vêtements communs, je lui attribue ici une note moyenne
- Lavage : B
Lavage à la dure selon les critères des marins, avec des couleurs qui doivent rester solides et ne pas déteindre. Autrement dit, à laver à la main.
- Bonus : B
N’en déplaise à certains et d’autres auteurs de petits recueils d’images exprimant les fantasmes de nombreuses générations d’otaques aux mains moites, le côté chaste et pur de l’uniforme n’en est que plus aguichant, et tout manquement à l’intégrité dudit costume est ce qui fait justement le succès de tels doujins. N’est-il-pas, mon cher AxelTeriZaki ?
Les doujins Sailor Moon, c’est pas mon truc, mis à part ceux de Black Dog, fufufufu…
Nogizaka Haruka no Himitsu :
Le Seifuku de l’école d’Haruka est probablement issu d’une étude très précise des fantasmes otaques, en proposant un uniforme d’une couleur rouge-pourpre permettant de mieux mettre en évidence les caractéristiques principales des héroines, à savoir leurs grand yeux, la forme de leur chevelure, et le costume est étrangement seyant et colle au corps des héroines pour que le spectateur devine mieux leurs mensurations. Ce seifuku rappelle étrangement beaucoup d’autres seifuku d’animes, et réussit à garder les canons du genre ( le col marin et le ruban ) tout en se démarquant des autres, par sa couleur et son design très classe, donnant l’impression qu’il aura été fait par un certain designer légendaire de passage dans la région.
- Originalité : A
L’originalité de ce seifuku consiste à reprendre les éléments classiques et de les marier élégamment, tout en donnant un ensemble à la fois mignon et aguicheur, lorsque l’uniforme est utilisé à dessein dans des situations typiques du genre.
- (Dés)habillage : A
Un ensemble somme toute fort simple, avec trois boutons devant qui ont l’air fort faciles à déboutonner
- Lavage : D
Les couleurs ont l’air affreusement fragiles et difficiles à bien laver.
- Bonus : A
Bonus pour les collants qui permettent à la jupe d’être plus courte et d’ainsi mieux révéler la forme des jambes, tout en restant dans les limites de la pudeur. Le spectateur pourra donc ainsi mieux observer de longues et belles jambes cachées par une gaine de vinyl. Nous regretterons ici que cela empêche la forme ultime de beauté pour les jambes, le zettai ryouiki.
Certes, mêmes si les collants c’est bien aussi, mais pas forcément très pratique. Les jambes, c’est la vie.
En effet AxelTerizaki, les jambes sont un très important critère dans ce concours, et ce bonus est mérité.
Hidamari Sketch
Hidamari Sketch utilise trois éléments très étroitement reliés afin de séduire son public : la réalisation de SHAFT, le moe de ses héroines, et l’atmosphère paisible qui s’en dégage. Un point non négligeable du moe d’héroines écolières est évidemment le seifuku, principale raison de ce tournoi, et Hidamari Sketch n’est pas en reste face à ses concurrents là dessus. L’uniforme est donc un modèle étrange, entre le tablier de travail d’un artiste peintre et le blazer traditionnellement utilisé comme uniforme. On voit donc ainsi une utilisation intéressante du concept de blazer, qui se démarque du sailor fuku traditionnel par une velléité de privilégier le confortable au traditionnel, souvent utilisé comme un uniforme d’hiver. Là il s’agit bien évidemment d’un uniforme d’été ce qui explique l’absence de manches et la présence en dessous d’une chemise blanche ( encore une fois symbole de pureté ), et en gardant un discret noeud noir, fait dans un ruban fin.
- Originalité : A
Le traditionel blazer est ici utilisé à contre-courant, ce qui revient souvent pour pas mal de concepts introduits dans la série, et l’on apprécie à quel point l’uniforme reflète la série.
- (Dés)habillage : C
Le côté fonctionel du blazer le rend souvent plus long et difficile à enlever, et cet uniforme n’a pas pallié à ce défaut inhérent à ce vêtement.
- Lavage : C
Même remarque que pour le deshabillage, il faut laver chaque pièce séparément et ça peut être quelque peut ennuyant pour le geek bordélique moyen.
- Bonus : B+
Une courte jupe signifie une meilleure vision de jolies gambettes. Toutefois, les chaussettes ici ne permettent pas le zettai ryouiki qui est disponible si le personnage porte des bas. Ce n’est pas un certain bourreur de canard géant qui me dira le contraire. Qu’en pense donc l’hôte de ces lieux ?
J’en pense que le zettai ryouiki est de toute évidence la meilleure façon de montrer des jambes et qu’elle devrait être obligatoire dans toutes les écoles.
Green Green
Green Green représente un anime de poids dans cette compétition, avec encore une fois un uniforme classique parmi les classiques. Nous avons ici droit à deux uniformes classiques :
L’uniforme d’été, un sailor fuku à manches larges et courtes, mettant en valeur le dynamisme de certaines héroines ( et offrant une vue sur les arrrrrrrrrrrrrrrmpits sous le bon angle ), et surtout mettant en valeur la liberté offerte par l’école et l’âge auxquels se trouvent les protagonistes. L’âge auquel les vieilles gens ayant passé le quart de siècle aimeraient revenir prononçant la phrase clichée AA, seishuun desune ~ ( Ah, la jeunesse ). Âge où les adolescents sont les plus insupportables car soumis à leurs hormones et cherchant à l’apparier sans en connaître les conséquences et présentés de manière édulcorée par les animes. Green Green n’en est une exception que par le fait qu’ils les présente ainsi avec une animation particulièrement mauvaise.
Bien que je sois entièrement d’accord avec toi mon cher Seggen, on est pas là pour parler d’uniformes ?
Ah oui, l’uniforme … Nous avons également l’uniforme d’hiver, qui est lui un blazer, choisi pour son confort. Mais également étrangement unisexe, vu que le modèle est grosso modo le même pour les garçons et pour les filles, la jupe verte étant remplacée par un pantalon beige chez les garçons.
- Originalité : D
Des seifuku classiques qui ont le bon goût de rajouter de légères touches d’originalité par ci par là, comme sur le thème blanc et noir du seifuku d’été au lieu du traditionnel bleu et blanc
- Deshabillage : C+
Note moyenne, rien de particlier à signaler
- Lavage : A
Les deux seifuku devront, comme tous les seifuku, les vrais, passer au pressing
- Bonus : A
Un gros bonus pour les manches larges et courtes, permettant de révéler les arrrrrrrrrrrrrmpits des demoiselles, permettant par la même occasion d’apercevoir avec de la chance leur lingerie gràce à un angle favorable.
Poule 4: Minami-ke – Angelic Layer – Shugo Chara – Kanokon
Cette poule également nous présente des concurrents très disparates, aux styles très différents, mais cette fois ci, je ne sens pas un concurrent plus avantagé qu’un autre selon les critères qui transforment un tournoi en concours de popularité, et je sens un match très équilibré.
Minami-ke
Minami-ke nous arrive en vrac avec 3 uniformes, un pour chaque soeur. Nous avons celui d’Haruka, un blazer très classe, avec une cravate seyante et reflétant sa responsabilité en tant que soeur ainée. Typiquement le type de seifuku utilisé dans une école à très bonne réputation et à la discipline assez stricte. Le charme du seifuku vient du contraste entre l’apparence austère de l’uniforme et la longueur de la jupe, tout à fait de rigueur dans un anime. Le seifuku de Kana, la brune, reflète parfaitement son caractère enfantin, avec un design qui est étrangement très proche des seifuku que l’on trouve dans les petites écoles publiques équivalentes du primaire, on note particulièrement les manches courtes et plus resserrées au niveau des extrémités, en général caractéristique des habits pour petits enfants Le Seifuku de Chiaki, la plus jeune des soeurs est un blazer très similaire à celui de sa grande soeur Haruka, tout en présentant une amélioration d’une importance capitale : un zettai ryouiki
Et c’est là que tout se joue!
- Originalité : D
Trois seifuku classiques assortis aux caractères de chacune des soeurs
- (Dés)habillage : D
Rien de spécial à signaler, le blazer est plus dur à enlever, mais rien de bien différent des autres seifuku
- Lavage : D
Encore une fois un paramètre classique pour un seifuku, qui finira probablement au pressing
Finalement des notes assez moyennes pour des uniformes assez moyens, non? L’accent est mis sur l’uniforme d’Haruka, comme stipulé lors du tournoi. On ne vote pas pour la série, après tout.
Angelic Layer
Nous arrivons ici à un de mes favoris de la compétition, avec ici, selon moi, le type d’uniforme qui va se démarquer pour répondre aux critères qui vont toucher le coeur des otaques qui vont devoir voter. Nous avons ici un petit anime sans prétention issu d’un manga de CLAMP qui utilise à la perfection leur talent pour le design et parvenir ici à un sailor fuku au design à la fois original et mignon, qui convient parfaitement à la personnalité de l’héroine.
- Originalité : A
Nous retrouvons ici les principales caractéristiques du sailor fuku : le noeud, le col marin, les couleurs blanches et bleues, mais nous avons droit en prime à une illusion d’un véritable uniforme marin, avec une légère impression futuriste et l’image d’un dauphin qui vient lorsque l’on regarde plus en détail cet uniforme. Pour une fois les chaussures sont une partie intégrante de l’uniforme et participent à cette impression si particulière.
- (Dés)habillage : E
Le fait que l’uniforme soit en deux pièces, avec de longs bas à enfiler participent à faire penser que le déshabillage sera long
- Lavage : E
De même que les précédents, mais encore plus, du fait de l’apparence classe et de la présence d’une sorte de décoration pendant à la poitrine des écolières font penser que les frais de pressing seront plus qu’importants.
- Bonus : A+
Enfin, dans cette poule, un uniforme permettant de voir une bardée d’écolières munies d’un zettai ryouiki de grade S. Rajoutez l’originalité du costume et nous avons ici un concurrent de choix pour ce tournoi.
Je ne peux qu’approuver! A noter en bonus qu’une des élèves de cette école porte un très joli béret en plus de son uniforme.
Shugo Chara
Cependant, elle aura fort à faire face à cet adversaire, qui n’en a pas moins retenu mon attention. Cet uniforme se distingue ici clairement des autres par un design dont le mot d’ordre est : la classe. Avec un blazer aux couleurs noires sur une chemise blanche, et un brassard rouge qui ne sera pas sans évoquer des sentiments mitigés à certains membres d’une certaine secte ( ou pas ). Prenez correctement votre temps pour voter sans vous précipiter en lisant ce qui suit :
- Originalité : A
Un design spécial, qui se démarque complètement des autres, avec pour seul mot d’ordre : la classe.
- (Dés)habillage : C
Etonnament simple, apparemment, à enlever, malgré la parenté à un blazer
- Lavage : E
Probablement aussi coûteux à laver que le design est original, du fait sûrement du coût des matériaux
- Bonus : A
Un look étonnamment adulte et froid pour un seifuku, et en même temps des éléments tout à fait enfantins, tels que ces fausses manches de pantalon qui se mêlent étonnamment bien avec le reste de l’uniforme. Ce seifuku à lui seul résume l’intrigue de la série.
Kanokon
Que dire de Kanokon, cette série aurait pu marque le monde otaku, il n’aura marqué que les seiyuu whores, présentant leurs seiyuu préférées dans des rôles honteux, les laissant perplexes face à la situation à adopter. Comme disent les corses de russie, il y a des moments où l’on est confrontés à un choix simple : le manche ou le lance flamme.
- Originalité : D
Un blazer aux couleurs classiques se mariant parfaitement à la jupe au motif écossais. Un désign apparemment innocent.
- (Dés)habillage : A
D’une manière ou une autre ce seifuku a l’air étonnamment facile et prompt à s’enlever
- Lavage : D
Rien de spécial à signaler, se référer à la note précédente pour expliquer la nécessité de le laver souvent
Voilà pour cette manche, et encore désolé du retard pris sur le post, on va essayer de faire mieux la prochaine fois! Il faut bien qu’on se remette dans le bain…
Dream C Club – Le test dont vous êtes le héros
Axel Joue à Dream C Club – Part 1
Donc c’est simple, en plus du tournoi des Seifuku, un sondage est en place pour que vous, lecteurs de Meido-Rando, décidiez quelles filles subiront les tests. Je prendrai les 3 meilleures cu lassement (vu qu’on peut demander différentes filles à l’accueil du jeu)
Et pour vous aider à vous rappeler qui est qui, je reposte le trailer du jeu:
Dream C Club Trailer
(Quatre-Quart-)Beta: Aion
Ma relation avec les MMORPG est très ambigue. Je suis très sensible à leurs univers, leur gameplay, l’attrait de la nouveauté, et aussi le style, mais je m’en lasse relativement vite. Le seul qui ai réussi à me scotcher suffisament longtemps (plus d’un an et demi) fut Eve Online. Je ne suis pas là pour tester Eve Online, mais sachez juste que Eve est le jeu le plus chronophage de tout l’univers, et que les joueurs de WoW qui répètent inlassablement les mêmes raids et instances ne sont que des moutons primitifs comparés aux joueurs de Eve qui font évoluer leur monde par eux-même.
J’aimerais bien vous faire un test de Eve Online, mais vous montrer Ayako Suzumiya en action demanderait un peu trop d’efforts de ma part: réinstaller le client, réactiver le compte, et surtout me demander comment me dépètrer de la mouise dans lequel mon personnage doit être à l’heure actuelle: sans corporation ni alliance et au milieu de nulle part (Immensea, si ça vous dit quelque chose). Joie.
C’est pour ça que je vais donc vous parler d’Aion et de sa beta ouverte…
A la base je ne voulais pas me remettre ni toucher à un MMORPG. Plus jamais. Mon MMO idéal s’appelle Eve Online et il consomme trop de temps pour moi. Mais bon, ayant encore 2 jours de vacances et ayant terminé Tales of Vesperia récemment, vous vous doutez bien qu’il fallait que je trouve de quoi m’occuper. C’est à ce moment qu’un compagnon RafaL ayant précommandé Aion m’offre ses login et pass pour la beta ouverte. Lui, il s’en fout, car il est déjà convaincu et les persos seront effacés avant le vrai début du jeu. Pourquoi pas me dis-je, et ce n’est qu’après un long téléchargement de 9 Go que je me suis enfin mis à créer mon personnage. Ouais, 9 Go à télécharger, 11 une fois installé. On ne peut pas dire qu’ils y vont avec le dos de la cuillère.
En avant donc pour la création de personnage: ça a l’air super simple vu comme ça, mais j’y ai passé un sacré bout de temps: la forme du corps et du visage est entièrement customisable (façon City of Heroes) permettant de ne pas se ballader en voyant son clone partout: une quarantaine de coiffures différentes par sexe sont ainsi disponibles, et on peut donc se lâcher à tous les petits délires possibles. Par contre, début du jeu oblige, on est cantonnés aux mêmes vêtements que les autres.
Notez bien que ce petit test du jeu se base sur une bonne douzaine d’heures de jeu. Pas de quoi se fixer sur tout ce que propose un MMORPG, mais on peut s’en faire déjà une bonne idée. Le problème, c’est que douze heures de jeu, c’est ce qu’il faudra au joueur moyen pour terminer le (long) prologue, faisant penser quelque peu à l’Eden de Guild Wars. En fait, ce n’est pas la seule chose qui vous fera penser à Guild Wars en commençant Aion: beaucoup d’aspects du jeu, à commencer par les animations, le design des personnages et les décors, vous aurez comme l’impression somme toute légitime d’être en face d’une suite fantastique de Guild Wars. Sauf que là, c’est un vrai MMO avec des vrais bouts de jeu en ligne dedans.
Pour tester, j’ai donc pris Scout, l’une des quatre classes de départ disponibles parmi Guerrier, Mage et Prètre. Ca ne vole pas bien haut à priori, mais arrivé au niveau 10, c’est là que l’on choisit se spécialise. Dans mon cas, j’ai eu le choix entre Assassin et Ranger. Ca m’a rassuré, car le Scout ne manie pas d’arcs, alors que c’est ce qu eje cherchais en prenant cette classe. A voir ensuite comment les autres classes primaires se divisent une fois arrivés au niveau 10. J’ai d’ailleurs eu l’impression que ça montait bien moins vite qu’à World of Warcraft par exemple, malgré les 50 niveaux permis.
Pour les habitués du MMO, vous naviguerez en terrain connu: Aion ne révolutionne pas et ne tente pas de perdre les joueurs dans une interface voulant se démarquer. A part le placement, on retrouve grosso merdo le même genre d’outils que chez la concurrence. Pire encore, cette ressemblance se retrouve même dans le gameplay, avec des quêtes à loot somme toute basiques. Elles ont néanmoins le mérite d’être un tant soit peu intéressantes car elles mettent en scène les NPCs qui vous les confient, un peu à la façon de Guild Wars encore une fois. L’histoire se construit avec le joueur en son centre, et comme dans Guild Wars, toujours, on pourra entrevoir de courtes cinématiques avec notre héros dans la peau de l’acteur principal. Quoi qu’on en dise et malgré tous les défauts scénaristiques que ça comporte, ça motive un petit peu le ou les joueurs impliqués dans un grosse quête.
Sans révolutionner le genre du tout, Aion reste quand même plaisant à jouer avec des quêtes ici et là permettant de savoir exactement où aller chercher tel item nécessaire à une quête, ou où trouver tel NPC qui nous donnera une potion. A la manière des meilleurs add-ons de World of Warcraft ou de Guild Wars, on retrouve donc un système qui affiche sur la minimap là où l’on doit se rendre pour espérer trouver notre bonheur. A ce sujet, les monstres repop assez vite et surtout, droppent relativement souvent les items dont on a besoin. Chouette.
Outre l’aide pour les quêtes, l’aide pour le jeu prend par la main grâce à des petites vidéos montrant les mouvements à effectuer pour grouper, équiper un objet, incruster une manastone dans une arme, et d’autres éléments d’interface. Ces aides arrivent néanmoins un peu tard: j’avais en général besoin d’elles avant leur apparition et j’ai su trouver comment faire sans trop me casser la tête: c’est une bonne chose, ça prouve que l’interface est suffisament intuitive et claire pour se passer d’un manuel de 200 pages.
N’allez pas croire que le jeu est simplifié avec tout ça: je suis mort plus d’une fois et les régles standard d’un bon MMO s’appliquent toujours ici. En gros, on ne pull pas plusieurs monstres à la fois, on utilise tous les skills à sa disposition et on se fait de l’expérience comme un taré pour pouvoir se prendre une armure comme il faut. A noter que les skills augmentent avec votre niveau, il est donc impératif d’obtenir les skills dés que possible pour son propre niveau afin qu’ils n’aient pas de retard sur vous. Les skills s’achètent tout simplement chez votre entraîneur préféré. A noter que vous avez un entrepôt de compte qui vous permet d’échanger des items simplement entre personnages d’un même compte.
Non, le vrai problème d’Aion c’est qu’il ne surprend pas. Il n’y a qu’au moment où on voit pour la première fois son personnage voler avec les ailes que l’on se dit "woah". Mais à part ça, la mise en scène des cinématiques est trop rapide pour marquer, et les textes des quêtes pas asez captivants (en plus d’être difficiles à lire avec leurs polices minuscules). Ca ne devrait pas arrêter le fan de MMO accro au PVP et au grind en règle, mais pour quelqu’un qui cherche à se faire du bon PVE, à vivre une histoire avec ses amis et à s’intéresser à l’univers, la pente va être un peu rude.
Hélas, cette absence de surprise se retrouve aussi dans le gameplay avec des skills qui pour le moment manquent d’originalité, des quêtes aux objectifs de fond variés mais à l’execution et à la forme classique (va voir machin, va porter ça à truc, va tuer 6 abeilles carnivores, etc). Nul doute que le jeu doit se rattraper sur la suite des évènements: une fois niveau 10 on accède à la capitale du coin et on a droit à une belle brochette de quêtes et de possibilités qui redonnent espoir dans le jeu: car avant de passer ce cap du niveau 10, il faut quelque peu lutter pour s’intéresser à l’histoire qui ne concerne pas vraiment le joueur ni sa patrie.
On est pas lâchés dans la nature comme dans un bon Eve Online passé ce cap, mais on a enfin l’impression de respirer, d’avoir des possibilités, des choses à faire, des routes à explorer. C’est assez grisant de voir la grandeur de la ville et de ses hauteurs, car le jeu dispose d’une technique qui fait son travail. Difficile de faire plus moche que World of Warcraft de nos jours, et Aion s’en tire bien et avec une fluidité bien comme il faut sur ma Naru à moi (Intel Quad Core Q6600 4 Go de RAM avec Geforce 8800 GTS).
La question c’est, est-ce qu’Aion a une chance de percer? Très honnêtement j’y crois pas du tout. Les gens qui ont tous soit disant migré depuis d’autres MMORPG déjà établis comme FInal Fantasy XI, World of Warcraft ou d’autres, reviendront vers leurs terres d’origine à la prochaine mise à jour. Quant à savoir s’ils se lasseront d’Aion avant, je ne pense pas. Ils trouveront dans Aion ce qu’ils avaient dans leurs autres MMO puisque ce dernier emprunte un peu partout tout ce qui marche. Le problème, c’est que ça ne fait pas un MMO parfait, mais un MMO tout juste dans la bonne moyenne. Impossible de juger le contenu avec si peu d’heures de jeu et impossible de juger le reste du gameplay a un si bas niveau (j’ai encore à tester le gameplay avec les ailes après tout) mais pour le moment, je ne suis pas tellement emballé par ce que j’ai vu…
Quoi que en fait…
Y’a pas à dire, le design des personnages, des armures et des décors se débrouille bien par rapport à la concurrence, surtout par rapport à un Warhammer qui à mon humble avis ne ressemble à rien. Aion est joli, bien fignolé (pour une open beta) et exempt de bugs majeurs et chiants (a vrai dire je serais même incapble de vous citer le moindre bug mineur si on excepte le texte du jeu parfois mal cadré et l’absence de VF) et est poussé par NCSoft, habitué à sortir des MMO en série et à les soutenir (si on excepte Taboulet Rasé). Ceci étant dit, Age of Conan bénéficiait aussi d’un univers original, d’une grande beauté et d’un gameplay innovant… Aion connaîtra-t-il le même sort? Difficile à dire, en général les développeurs n’arrivent pas à créer du contenu High Level aussi rapidement que les joueurs mettent à y accéder, ce qui fera sûrement des déçus; Le RvR, le PvPvE et d’autres modes de jeu arriveront-ils à hisser Aion en haut de l’affiche?
Ce qui est sûr c’est que pour l’instant je ne vais pas m’y abonner. Peut-être m’y mettrai-je plus tard: en tous cas il est sur la liste des candidats potentiels, puisqu’il a réussi à me séduire, là où Age of Conan n’y était pas arrivé cette année.
Allez, pour terminer en beauté, quelques derniers screens:
Grand Tournoi des Seifuku – Poules 1 et 2
Je glisse la tête entre deux rideaux qui le séparent de la salle comble du Mariel Auditorium à Maid City, où sont rassemblés la fine fleur de la blogosphère d’otakus français, avec tout leur lectorat. J’ai déjà chaud dans mon smoking.
– Oh làlà, le monde…
– Axel-sama, le micro.
Une jeune meido avec de longs cheveux blonds en queue de cheval et en tenue de maid de soirée me tend le micro sans fil nécessaire à la présentation du tournoi devant le public. Elle portait également un serre-tête et des lunettes
– Ah, merci. Ton nom c’est…?
– Shizuka.
– Tu es nouvelle?
La meido au serre-tête orange et aux lunettes hocha la tête
– Je fais partie de la 51ème compagnie des meido de soirée, sous les ordres directs de mega-sama.
C’est vrai, depuis que j’ai permis à mes Meido d’Elite d’avoir leur propre armée de meido, il y a eu beaucoup de recrutement chez Meidolicious Inc.
– Tu peux m’amener jusqu’à la scène?
– Oh, bien sûr, Axel-sama.
Et c’est ainsi que la nouvelle recrue m’amène sur scène. Aveuglé par les projecteurs, je me place devant le pupitre qui m’est réservé, tandis que Shizuka se retire. Les applaudissements se calment après une petite minute…
– Comme vous l’aurez remarqué, ce pupitre était prévu pour deux, mais un certain animal est encore visiblement en vacances. Qu’à cela ne tienne, je m’occuperai du lancement de ce tournoi tout seul comme un grand. Le Grand Tournoi des Seifuku est donc officiellement ouvert!
Applaudissements… J’attends que la foule se calme.
– Vu la foule, j’ai décidé de démarrer le tournoi une demi-heure en avance. Cela vous permettra de vous familiariser avec les contrôles des sondages, et d’apprécier un peu plus longtemps les écolières qui défileront devant vous. Je rappelle que le but du tournoi est d’élire le meilleur uniforme scolaire parmi 64 écoles préselectionnées par les lecteurs de Meido-Rando, Raton-Laveur et moi-même. Ce n’est pas un tournoi de fanbases: j’ai été agréablement surpris de voir certains commentaires de fans expliquer qu’ils ne voteront pas pour leur série favorite car l’uniforme ne leur convient pas. C’est ce genre de comportement que je voudrais encourager ici. J’espère que cet esprit sera encore plus présent que pendant le Grand Tournoi des Tsundere de l’an dernier.
Applaudissements, encore…
– Nous allons commencer les hostilités avec les deux premières poules. Chaque semaine, deux poules de quatre uniformes se mettront sur la tronche sous vos yeux. Pour chaque poule, les deux meilleurs uniformes seront selectionnés pour des seizièmes de finale début novembre. La lutte va être rude, surtout que nous commençons avec une poule très chaude…
Poule 1
Kimi ga nozomu eien
On ouvre le bal avec l’uniforme de lycée de Kimi ga nozomu eien. L’uniforme de collège aurait pu être selectionné mais c’est celui de lycée qui a été retenu. Avec sa jupe plissée et ses tons bleus et blancs, de nombreux petits détails en font un uniforme à marinière très classe, même si le gros noeud au centre pourra en rebuter certains, tandis que d’autres pourront trouver la jupe trop longue à leur goût.
- Difficulté de (dés)habillage: A
(si vous avez d’autres idées de critères, faites-les connaître dans les commentaires)
CLANNAD
CLANNAD possède deux uniformes aussi intéressants l’un que l’autre, mais ils font partie de la même école malgré leurs différences. Nous avons d’un côté un uniforme d’hiver avec un e veste manches longues et un pull, mais avec bizarrement une jupe plissée assez courte, tandis que l’uniforme d’été possède une jupe plus longue et classique, et rappellera peut-être pour certains aspects l’uniforme d’Evangelion. Les deux mettent toutefois bien en formes celles qui les portent… Il y a également l’insigne de l’école sur la manche l’été, et sur la poitrine en hiver.
- Difficulté de (dés)habillage: B
Utena
L’uniforme d’Utena est très atypique et classe, rappelant sans doute l’univers militaire, tandis que l’uniforme classique féminin est plus simple et possède des épaules bouffantes. Ont-ils une chance dans ce tournoi? Ces uniformes sont assez spéciaux et ne conviendront pas à toutes celles qui le porteront…
- Difficulté de (dés)habillage: C-
Nanoha
L’uniforme de Nanoha risque d’être l’un des plus prisés de ce tournoi avec sa longue robe classe et ses tons blancs presque vierges. Ca et la veste courte à manches longues en surplus… Très conservateur, cet uniforme rappellera notamment celui de Otoboku, en compétition lui aussi dans ce tournoi. Peut-il néanmoins s’imposer parmi toutes ces jupes courtes?
- Difficulté de (dés)habillage: A
Poule 2
Ef
Avec un uniforme comme ça, ef risque bien d’être parmi le meilleur de cette poule, non? D’un côté, l’été brille par un uniforme doté d’un jupon en dentelles, qui le rend d’autant plus rare et sûrement trés agréable à porter (et à regarder) tandis que l’hiver plus classique se démarque surtout par sa courte veste à manches longues similaire à celle de l’uniforme dans Nanoha.
- Difficulté de (dés)habillage: A-
Rosario x Vampire
L’uniforme principal de Rosario x Vampire est doté d’une courte jupe à motifs, d’un chemisier à col ouvert, et d’un blazer digne d’un bon lycée privé. Pour les amateurs d’uniformes à blazer (et ils sont nombreux parmi le public) c’est un excellent choix qui se heurtera probablement à celui de Maria Holic qui fait partie de cette même poule. Lequel des deux fera un meilleur score que l’autre?
- Difficulté de (dés)habillage: B
Da Capo
L’école de Da Capo possède un uniforme plutôt classique, surtout parmi les écoles d’ero-game. Son signe particulier se situe au niveau du ruban au centre, qui change des gros rubans recouvrant généralement toute la poitrine. A noter qu’un bêret est disponible en option, semblable à ceux de Angelic Layer.
- Difficulté de (dés)habillage: A
Maria Holic
Et pour finir avec cette semaine, voici l’uniforme du (presque) lycée pour filles de Maria Holic: rubans, longues jupes et blazer également pour l’héroine. Ca a de quoi inspirer classe et respect. Cependant a-t-il une chance face à celui de Rosario x Vampire ou même celui de ef (qui ne jouent pas dans la même catégorie?)
- Difficulté de (dés)habillage : C
– Et voilà pour les premières poules du tournoi, que le fun commence! Vous excuserez les présentations relativement succintes et le manques de critères de notation: si vous avez des idées, je suis bien évidemment preneur afin d’améliorer les choses. Allez, c’est l’hiver, il faut que notre PASSION brûle pour nous réchauffer le coeur, vaincre nos ennemis, et élire le meilleur uniforme scolaire! Ce n’est que le début d’un long combat!
Tales of Vesperia – Fin
Pendant que les fans de la version 360 du jeu hurlent au scandale pour avoir joué à une beta version, moi je me mettais tranquillement à commencer ce RPG dont on a beaucoup entendu parler (surtout par une certaine fangirl).
C’est rare que je revienne sur ma propre critique, mais Tales of Vesperia m’a laissé un certain goût amer dans la bouche au début. Je veux dire, attendre un vingtaine d’heures pour voir le scénario du jeu décoller, ça en est presqu’assomant. Remarquez que The Last Remnant m’avait fait un coup presque pareil, sauf que le début avait l’air un tant soit peu épique.
Tales of Vesperia est mou du genou au début, et durant certains passages aussi, si bien que parfois, sitôt la partie commencée, j’avais hâte de trouver un point de sauvegarde pour m’arrêter. Ne riez pas: jouer à Tales of Vesperia est éprouvant. Les combats très dynamiques tiennent en haleine et son rarement chiants, mais ce qui tue le plus, c’est la quantité de sous-quêtes et de bidules à collectionner. Non sérieusement, Exelen a eu tous les succès du jeu. Et ça messieurs-dames, quand on a terminé Tales of Vesperia avec seulement 555G sur 1000G (la somme de tous les succès, en points), ça force le respect. Un respect éternel même. Et dire qu’elle compte se le refaire sur PS3…
Bref, après 75 heures de jeu j’en suis venu à bout non sans mal comme je disais. Certains passages sont exténuants et certains boss assez terribles (mention spéciale à Alexei le gros lourd avec son Arte Mystique de merde). Globalement j’en suis assez content même si j’ai mis autant de temps (2 mois) à le finir alors que comparativement et pour le même nombre d’heures de jeu presque, Star Ocean 4 m’avait tenu 2 semaines et demi là où Tales of Vesperia m’a forcé à jouer par petites périodes de jeu.
Ce que j’ai aimé:
- Les combats dynamiques une fois qu’on débloque toutes les options: le jeu vous ajoute des régles et des choses à gérer au fur et à mesure que le jeu progresse. C’est bien et pas bien dirons-nous, pas bien dans le sens où ça a tendance à simplifier et rendre chiant le début du jeu, et bien parce qu’on peut assimiler un peu plus aisément les mécanismes parfois un peu complexes du système de combat
- Les personnages. Quoi qu’on en dise, la patte du papa de Ah My Goddess y est pour beaucoup, mais leur personnalité a été grandement travaillée et ce grâce aux saynettes facultatives disponibles tout au long du jeu. Bon et puis avoir Rita en serveuse nekomimi et Judith en meido oppai, ça tue tout. En fait je crois que le jeu a commencé à devenir intéressant avec l’arrivée de Judith dans l’équipe. Que voulez-vous, on ne se refait pas.
- Le scénario dans sa globalité. Il est p’têt mou du genou, mais il se passe des tonnes et des tonnes de choses qui s’enchaînent sacrément bien. Les RPG nippons ont tendance à nous balancer des sections de l’histoire d’un coup d’un seul, mais dans Tales of Vesperia tout s’enchaîne avec une fluidité remarquable et sans artifices scénaristiques: ce qui fait qu’on a vraiment l’impression de participer à une aventure avec un grand A plus qu’à un défilé d’idées des scénaristes sans aucun vrai lien entre elles.
- Les passages dans les sources d’eau chaude.
- Le doublage US qui est excellent, faisant presque oublier que les doubleurs japonais sont bien souvent meilleurs à ce petit jeu. Non sérieux, ne pestez pas contre l’absence d’une piste japonaise pour les voix: Tales of Vesperia est bien doublé.
Ce que j’ai pas aimé:
- La musique, très quelconque.
- Certaines scènes ne sont pas doublées.
- Repede qui est un perso largement sous-utilisé tout au long du jeu.
- L’IA parfois un peu trop dépensière et qui n’a aucune idée du mot "Modération". Ouais, c’est à toi que je parle Estelle qui utilise tes Artes de soins à tout va dés que quelqu’un s’écorche le genou.
- Le contenu téléchargeable. Vous me direz que personne ne vous oblige à en acheter et c’est vrai, mais là ça frise le ridicule: 4 euros pour récupérer 300 000 pièces d’or dans le jeu d’un coup d’un seul, plusieurs euros pour débloquer des compétences ou augmenter le level de tous ses persos d’un coup, ça… dérange. On appelle ça du cheat payant, en fait. C’est nul.
- On ne sait pas toujours où il faut aller parfois. Les personnages vous disent "Oh il faut qu’on se rende là-bas!" mais en fait on a aucune idée de où ça peut être sur la (vaste) carte du monde. Une carte un peu plus lisible m’aurait sans doute évité d’avoir consulté GameFAQs pour savoir où je devais me rendre parfois.
Enfin voilà… Pas mécontent de l’avoir terminé. Tales of Vesperia reste un excellent RPG à l’ancienne (dans le sens où le nombre de sous-quêtes et d’endroits où l’on peut glander, faire de l’XP et collectionner des trucs est proprement hallucinant) et doté d’une grande liberté (mince alors, c’est trop demander dans les RPG d’aujourd’hui d’avoir une carte du monde dans laquelle on peut se déplacer librement plutôt qu’une liste de choix où aller ensuite?)
Si vous voulez vous lancer dans une grande aventure sur 360, n’hésitez pas. Si vous possédez une PS3 par contre, attendez jusqu’à la sortie européenne du jeu (on ne sait pas trop quand) qui est quand même sacrément mieux garnie que la version 360. Et non, ça me fera pas acheter de PS3.
Grand Tournoi des Seifuku – Préliminaires bis (et des excuses)
Ouais alors je sais, je fail grave, je manque même cruellement de PASSION sur ce coup, mais hier soir j’ai complétement zappé le tirage au sort.
Du coup, il interviendra tout à l’heure sur #haruhi #editotaku a partir de 21h, comme initialement prévu pour la veille. Je m’en excuse, c’est ces saloperies de vacances là, ça me dérégle complètement.
Pour ce qui est du Raton-Laveur il semble toujours aux abonnés absents en vacances. Cela n’a pas empêché Keul son fidèle sous-fifre (et mon esclave codeur N°1) d’adapter le plugin de sondage pour qu’il affiche et reflète les résultats sur nos deux sites. Les visiteurs de l’edito pourront donc voter eux aussi pour ce tournoi.
Comme initialement prévu et malgré les craintes de certains, on fera 2 poules par semaine. Ca prendra le temps que ça prendra, mais bon. Je mettrai à jour ce billet ce soir avec les poules qui auront été décidées.
Les poules:
Semaine du 7 Septembre:
- Poule 1: Kimi ga nozomu Eien – CLANNAD – Utena – Nanoha
- Poule 2: Ef – Rosario x Vampire – Da Capo – Maria Holic
Semaine du 14 Septembre:
- Poule 3: Sailor Moon – Nogizaka Haruka no Himitsu – Hidamari Sketch – Green Green
- Poule 4: Minami-ke – Angelic Layer – Shugo Chara – Kanokon
Semaine du 21 Septembre:
- Poule 5: Bible Black – Code Geass – Magic Knight Rayearth – Negima
- Poule 6: KareKano – Sayonara Zetsubou Sensei – Discipline – Vampire Knight
Semaine du 28 Septembre:
- Poule 7: Azumanga Daioh – Haruhi Suzumiya – Myself Yourself – Seto no Hanayome
- Poule 8: Air – Hyakko – Maria-sama Ga Miteru – School Days
Semaine du 5 Octobre:
- Poule 9: Kamichu – School Rumble – Shana – Stellvia
- Poule 10: Suzuka – Onegai Teacher / Twins – Toradora – Strawberry Panic
Semaine du 12 Octobre:
- Poule 11: Persona 3 – Evangelion – Kanon – Stringendo
- Poule 12: Shuffle – Mai Hime – I »s – Full Metal Panic
Semaine du 19 Octobre:
- Poule 13: Zero no Tsukaima – To Heart – Hayate no Gotoku – GTO
- Poule 14: Ikkitousen – Sex Friend – Fate Stay Night – Otome wa boku ni koishiteru
Semaine du 26 Octobre:
- Poule 15: Gate Keepers – Happiness – I My Me Strawberry Eggs – Kimikiss
- Poule 16: Card Captor Sakura – Dokuro-chan – Gunparade March – Kannagi
Et voilà, on a de quoi s’amuser pour le moment.
MaOTD #373
Une meido extrèmement rare de Katawa Shoujo. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, il s’agit d’un visual novel en anglais où les filles sont handicapées ou défigurées, comme c’est le cas ici, par des brûlures sévères. Mauvais goût ou pas, ce VN a suscité beaucoup d’intêret, et c’est pourquoi Meidolicious Inc. s’inscrit sur ce créneau avec ce modèle proposé à 9 500 Maid Points. Livrée avec une boîte d’alumettes.