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Grand Tournoi des Seifuku – Préliminaires (ahem)

Le Grand Tournoi des Seifuku commencera le Dimanche 6 Septembre ou plutôt le Lundi qui suit à 00:00. Vous pourrez assister à la cérémonie d’ouverture en direct live sur le channel #editotaku sur le réseau IRC Worldnet.

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D’ailleurs, comme c’est un tournoi effectué en collaboration avec Raton-Laveur, justement, les votes seront disponibles sur les deux sites, mais vous ne pourrez bien sûr voter qu’une fois pour votre candidate préférée. Nous avons 64 écoles participantes, et pour déterminer les poules, nous utiliserons Ryouko, le fidèle bot IRC du channel, le Mercredi 2 Septembre à partir de 21:00. Ryouko tirera au sort les 16 poules de 4 écoles qui s’affronteront alors dés le dimanche qui suit. Bien sûr la liste des poules sera disponible sur Meido-Rando dans la soirée du Mercredi.

Cependant y’a un truc qui nous turlupine (enfin surtout moi), avec 16 poules dont 2 par semaine, cela absorbe déjà 2 mois et nous propulse début novembre. On laisse une semaine entre les poules et les éliminatoires le temps de tirer au sort les finalistes, ce qui nous laisse 32 participantes et à raison de 2 matchs de 2 par semaine, ça nous fait 8 rounds de seizièmes de finale, 4 rounds de huitièmes, 2 rounds de quarts, un round de demi-finales et un round de finale… et autant de semaines! (8 + 4 + 2 + 1 + 1, ça fait 16 semaines) ce qui nous amène à un truc du genre Février 2010.

Autant vous dire que c’est super long et j’ai un peu peur que ça soit relativement indigeste sur la longueur: le GTS va durer 6 mois!

Alors la question du jour c’est: êtes-vous prêts à supporter le GTS pendant 6 mois ou bien quelle idée peut-on trouver pour rendre la chose plus rapide?

Vous avez moins d’une semaine pour proposer vos idées, mais il se peut qu’on en retienne aucune et qu’on fasse comme on a initialement prévu si l’idée d’un tournoi sur la longueur vous plaît. Après tout, ça va égayer nos longues soirées d’hiver.

MaOTD #370

C’est presque la fin de l’été, mais pas chez Meidolicious Inc. qui vous propose ce nouveau produit en partenariat avec QCTX Publishing. ! Cette meido spéciale est livrée avec son bikini et une épée pour se défendre, et vous coûtera la bagatelle de 39 950 Maid Points (le bikini ça coûte très cher, c’est comme les rubans).

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MaOTD #369

Pour cette très jolie meido qui égayera vos journées, vous n’aurez qu’à débourser 8 500 Maid Points.

Vous l’aurez sans doute remarqué, mais les prix baissent cet été, grâce notamment à la crise qui diminue grandement, mais aussi au fait que Meidolicious Inc. a pu racheter 60% de Touhou Megacorp. et ainsi faire de grosses économies sur la production des Maids!

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(NyoronZUNlo n’a pas lu toutes les clauses du contrat (en times new roman 4pt) qu’il a signé en me cédant ses parts, haha. Comme s’il croyait que j’allais lui offrir ma plus fidèle meido d’élite!)

L’Alpha et l’Omega des maids est de retour

C’est le 17 et 24 Octobre prochains que ma bien aimée Mahoro va être de retour parmi nous. (Source: le Twitter de FFenril et ANN

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Oui, vous avez bien lu. Cet anime diffusé en 2001 et 2002 et déjà longuement abordé dans ce billet a donné naissance à Meido-Rando et va donc nous revenir sous la forme de 2 épisodes spéciaux (ou plutôt un épisode spécial en deux parties) cet automne.

Autant vous le dire tout de suite, ma PASSION est difficile à contenir. Je dirais même qu’elle s’étend, qu’elle déborde, qu’elle est en ébulition! Tout cela ne peut être qu’une récompense de la déesse pour tous les bons et loyaux services que je lui rends tous les jours. Comme quoi elle existe! Elle nous observe et nous juge.

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Pour fêter se jour exceptionnel, et ce jusqu’à minuit seulement, TOUTES les Maid Of The Day parues à ce jour seront à 1 Maid Point*. Qu’on se le dise!

* Dans la limite de un exemplaire de MaOTD particulière par personne et dans la limite de 25 Maids par personne. Délais de livraison inconnus.

La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, maintenant en librairie

C’est aujourd’hui un grand jour pour les Haruhiistes de France et d’ailleurs: Hachette nous a enfin sorti le premier tome du roman (et il paraît que le second arrive rapidement) et malgré quelques déconvenues, on peut dire que la qualité du contenu est au rendez-vous:

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Voici donc le roman (en 3 exemplaires, moi je lésine pas.). Il est imprimé avec une police assez grande et fait 320 pages.

Je vous conseille de ne pas trop attendre s’il vous intêresse, car à la FNAC de Nantes par exemple, ils n’en avaient que six, visiblement, et les plus grandes FNAC en ont eu une cinquantaine seulement et avaient déjà tout vendu. Apparement les vendeurs avaient l’air surpris du succès, j’ai entendu celui qui m’avait vendu ces exemplaires ensuite téléphoner pour demander comment ça se faisait qu’il y avait autant de demande.

Les choses à savoir:

  • Le prix: 14 euros ça fait cher pour un roman de ce type.
  • Il n’y a aucune illustration de Noiji Ito à l’intérieur. Peut-être pour une réédition collector?
  • La couverture toute rouge est directement tirée de l’édition américaine sans illustrations. J’ai appris plus tard qu’une certaine personne se voulant Wotake (sic) et un peu trop prétentieuse que je ne nommerais (nom nom nom nom) pas a conseillé à Hachette la couverture rouge. Bravo, mec.
  • Le roman fait partie de la collection "Planete Filles". Ce n’est qu’une collection, vous savez.
  • A la FNAC, le roman est rangé parmi les "+ de 9 ans" alors que ça ne convient pas du tout à cet âge. Parfois ils sont même encore dans les cartons donc si vous ne le trouvez pas, demandez aux vendeurs Jeunesse.

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Mais bon, la traduction rattrape tout. Si si, je ne déconne pas, elle est honnête, décontractée et bien foutue. Guillaume Didier a fait un très bon travail, plein de recherches et de sens. Et c’est bien le plus important. Malgré les soucis exprimés plus haut, il faut bien avouer que ce qui compte c’est le texte: et à ce niveau, vous n’avez aucune crainte à avoir, alors foncez! Offrez-le à vos connaissances qui ne lisent pas de manga et ne regardent pas d’anime. Qui sait, ils arriveront peut-être à accrocher à Haruhi, et puis ça ferait un très bon test. Qui plus est, les light novels sont si rares de par chez nous, qu’il faut encourager le mouvement. Impérativement, même.

MaOTD #366

Amateurs de sensations fortes, cette meido peut vous défendre mais aussi vous transporter où vous le désirer grâce à ses ailes de nouvelle génération. Disponible pour 8 800 Maid Points, avec présentation d’un permis de Goshujin-sama de niveau 2 ou supérieur.

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MaOTD #365

Hé oui, déjà 365 Meido, de quoi faire un calendrier avec une meido par jour. Du coup, je vais reprendre les Maid of the Day depuis le début et vous en proposer une par jour, et les recycler tous les ans, ça me fera moins de boulot, et plus de billets sur Meido-Rando, histoire d’agrandir mon e-penis encore plus.

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Nan, j’déconne.

Pour fêter ça, cette petite meido est disponible pour la somme symbolique de 1 Maid Point, aujourd’hui seulement!

Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

Gurren Lagann, 2nd film : Lagann-hen (Spiral Stone Chapter)

Tengen Toppa Gurren Lagann.

Le staff, tout comme les fans connaisseurs, aiment à découper la série en quatre grands arcs, toutes un hommage à une époque du genre "mecha". (Les années 70, 80, 90, et le "post-Evangelion")

Non contents d’une série de 27 épisodes (26 + 1 épisode résumé au milieu), Gainax a décidé de rééditer Gurren Lagann sous la forme de deux films. Dixit le producteur, Takami Akai lui-même, la série a été réalisée en 26 épisodes, "avec la substance d’une série de 52 épisodes", d’où un rythme rapide, parfois trop peut-être pour certains trips que le staff voulait caser. Et il faut dire que le staff de Gainax ne tarissait pas d’idées, la série leur avait vraiment mis le feu, malgré pourtant une gestation très douloureuse (le projet existait depuis quatre ans avant sa production proprement dite !).

Quoi qu’il en soit, des gens à la GAINAX ont dû se dire qu’ils avaient des idées qui auraient besoin du support film pour être exploitées à 100%, ou que ça serait bien de pouvoir animer tous ces délires dont ils ont discuté lors des réunions entre animateurs et scénaristes, mais qu’il n’était pas ou plus possible de mettre dans la série faute de temps.

Et là, on voit le premier film, et on se demande quand même…

"Ca sert à quoi ?"

Ben oui, parce que franchement, c’est vaguement un résumé des 13 premiers épisodes de la série, très raccourci, avec certes une introduction mythique (voir le clip dans les Parallel Works, mais sur fond de "’Libera me’ from hell", avec Lord Genome et Antispiral en train de débattre de l’existence humaine) quelques nouveaux plans, mais ils n’ont même pas pris la peine de refaire les scènes tirées du si-controversé episode 4. Bon, il y a un retour en force de Simon, et un final qui ne manquent pas de punch, incluant comme vous le savez déjà du "qu’on a pas vu dans la série", la forme fusionnée des forteresses Gunmen des quatre Shitennô, et son poutrage par toute la Brigade Gurren. Oui, vous avez bien lu, ça ne va même pas jusqu’à Lord Genome : il reste juste pour faire une annonce que Simon ne connaît pas encore la véritable peur…

Bref, un film avec le minimum syndical de fanservice, mais au final pas franchement transcendant à première vue. Les nouvelles scènes ont un trait nerveux très appréciable et des couleurs éclatantes, mais c’est pas suffisant pour oublier quand même qu’on nous sert à 90% du réchauffé fade, même si le 10% restant est visuellement superbe… à défaut d’être innovant. (Un poncif du calibre de "Seiya endosse l’Armure d’Or du Sagittaire et poutre le méchant", je veux pas dire, mais j’ai du mal. Notez, vu qu’en termes d’"arcs" on en était à l’hommage aux années 70~80, c’est peut-être normal et voulu). On sait juste, du coup, que "ce qui sera refait dans le second film sera au moins aussi beau".

Tout ça nous revient à l’esprit quand on approche Lagann-hen (tiens, des kanjis pour "Lagann"; on savait pour Gurren, ce sont les kanjis pour "lotus rouge", Lagann, lui, s’écrit avec les kanjis de "pierre spirale"), et on espère ne pas avoir encore une dose de réchauffé à peine corrigé par endroits…

Pour être tout à fait honnête, la série gagne également en maturité, en intensité, en… tout, justement après sa moitié, et gère son climax de façon admirable, une réussite du niveau de Nadia, là où Evangelion s’était pris les pieds dans le tapis pour diverses raisons (qui ne sont pas le propos de cet article), et donc cela fait autant de moments qui auront à gagner d’une adaptation en film, du budget conséquent qui va avec, et du soin graphique apporté, comme précédemment évoqué. Du coup, on part d’un Gurren-hen qui nous laisse un peu mitigé, mais qui nous conditionne bien comme il faut.

"OK, la série était déjà allé très loin, et avait fait très fort ; le film est un pari pour faire encore MIEUX, mais QU’EST-CE QU’ILS ont bien pu trouver ?"

Vous l’aurez deviné, ça met le feu. Et vous connaissez tous Gainax : quand ils se mettent en mode "King of the Hill", et qu’ils mettent leur honneur en jeu, ils ont assez de passif pour prouver qu’ils sont capables de relever le défi, et pour écraser ce que le fan moyen imagine.

On se demande notamment comment ils vont gérer les climax des trois derniers épisodes, tous accompagnés de la désormais légendaire musique "’Libera me’ from hell", combinaison inattendue de rap et d’opéra, qui trace littéralement la voie vers la divinité, chemin épique que les héros vont devoir emprunter pour arriver à leurs objectifs, par delà tous les sacrifices héroïques et déclarations enflammées du droit de l’humanité à exister.

Plaisir visuel : Superbe. Une bonne, très bonne réponse aux attentes des gens qui ont vu le Gurren-hen, on est vraiment pas déçus par le niveau visuel atteint. De ce côté-là le but du Gurren-hen d’allécher le spectateur est largement rempli.

Plaisir auditif : Les OSTs n’ont pas changé d’un iota. C’est toujours aussi bon, mais rien de neuf. Il y a juste eu un choix musical qui était inévitable mais malgré tout qui laisse un tout petit bémol. Voir plus bas. Niveau doublages ? Tout le monde s’est surpassé, et ça s’entend. Tout le staff voulait dépasser ce que la série avait déjà fait, et Dieu sait qu’elle avait mis la barre haute. Pour ma part, ils ont réussi.

Ambiance globale : Ce que j’ai ressenti en sortant du cinéma. "Putain les cons, ils l’ont fait. Ils ont réussi à dépasser la série." Shikaze, Axel et Corsaire ne me contrediront pas : on ressort de ce film avec le coeur qui bat la chamade, on a pas perdu son temps, et ça a bien déchiré, même en ayant vu la série.

Scénario : A plus de 80% le contenu des épisodes "post-timeskip". Le combat contre Lord Genome qui était vraiment épique a été taillé plus que court de chez court, mais d’un autre côté, ce n’est pas ça l’important ici et on pardonnera sans mal.

(Attention, le reste de l’article contient un descriptif de ce que le film apporte de nouveau, à l’attention exclusive des gens qui ont vu la série !)

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