Accueil

The Legend of Heroes

ENFIN un RPG sur PSP. Et pas un petit: Legend of Heroes semble être un épisode parmi une série de jeux qui sont parus sur PSOne. La PSP a elle aussi eu droit à d’autres épisodes, malherueusements, non encore traduit.

The Legend of Heroes: A tear of vermillion, est une histoire pour le mien classique au demeurant. Avin, notre jeune héros, cherche sa soeur Eimelle dont il a été séparé lors qu’ils étaient enfants. Il semble qu’Eimelle soit promise à un destin pour le moins mouvementé, mais l’affection que notre héros lui porte le pousse à la retrouver, des années plus tard.

Graphiquement, on est loin de froller l’excellence. Des persos en 2D se déplacent dans un décor en 3D non pivotable, ma foi d’une fort belle facture. La musique, assez anecdotique, essaye de nous envouter, mais c’est assez difficile.

Bref, techniquement, le jeu ne vole pas super haut pour de la PSP, mais depuis quand a-t-on besoin de bons graphismes pour un RPG ? Il faut ajouter que la maniabilité est parfois hasardeuse, car il vous faudra être orienté dans la bonne direction et bien comme il faut avant d’user de la touche action pour déclencher un quelconque event, prendre un item ou fouiller une bibliothèque.

Pourtant, le jeu est suffisament simple pour qu’on le comprenne tout de suite, et bénéficie d’un univers assez fouillé et recherché. On se plonge alors tant bien que mal dans le scénario qui semble se développer néanmoins lentement au début.

Malheureusement, quelques autres défauts viennent tâcher la qualité du jeu: une traduction anglaise un peu bancale parfois, rendant confus certains petits passages. Néanmoins, ça reste simple à comprendre, et n’importe qui ayant fait quelques années d’anglais pourra en profiter.

Globalement cependant, et vu que ça reste rare, un RPG en anglais sur PSP, on va être indulgents, et le style manga, les designs réussis et les graphismes mignons vous aideront à mieux apprécier le jeu, qui se trouve très adapté à la PSP.

Du petit bonheur en boite pour tout fan de RPG 🙂

L’année du dragon

Pas vraiment un manga, mais bon… 🙂

Oui bon il manque le titre, mais j’aime assez l’illustration.

Cette BD m’a été offerte dans son intégralité (3 tomes) par un ami (Morgan) le jour du nouvel an, et je dois avouer que, n’étant pas trop fan de BD dû à leur format trop grand pour moi, j’ai été plutôt séduit par l’histoire relativement simple mais intéressante à suivre. Avec un langage très jeune et un humour parfois piquant, parfois imagé, L’année du Dragon se caractérise avant tout par un style clairement inspiré du manga. Sans le recopier de façon ridicule, et sans tomber dans des tonnes de clichés juste pour attirer le chaland, les deux auteurs ont un style bien a eux, et les petits clins d’oeils à l’Asie ne manquent pas (rien que Mononoke Hime au ciné…)

Au niveau histoire, il est difficile d’en parler, car on suit en fait un moment de vie difficile d’un jeune homme nommé Franck, qui galère de boulot en boulot, et aussi dans sa vie amoureuse. Seule la fin m’a laissé un peu de marbre, mais toute la lecture était vraiment sympathique, et on arrive très bien à s’imprégner des personnages.

C’est donc clairement rafraichissant par rapport à mes lectures habituelles, preuve en est que j’ai dévoré les trois tomes très rapidement,

En tous cas Momo, si tu as d’autres lectures comme ça, n’hésite pas 😛

The Movies

Ca faisait un p’tit moment que je lorgnais sur ce jeu, depuis son annonce en fait, il y a de cela 3 ans. Imaginez un peu: pouvoir gérer son studio de cinéma, ses stars, ses films, écrire ses scripts, tout ça. Peter Molyneux, a qui l’on doit de nombreux autres jeux de légende tels que Dungeon Keeper, Theme Hospital et Theme Park, entre autres, nous a promis monts et merveilles avec ce jeu. A-t-il tenu ses promesses? Voyons voir…

A l’allumage, outre le gros logo « Fonctionne bien sur Intel Pentium 4 et ATI » qu’on oubliera très vite tellement c’est hideux, on peut voir d’ors et déjà qu’une option En Ligne et Montage sont présentes. Ca s’annonce bien, ça veut dire que l’on peut créer ses films, les exporter dans un format lisible en dehors du jeu, et les diffuser sur le net.

Cat l’un des attraits de The Movies, c’est aussi son mode online, qui permet de diffuser ses films sur un site web spécial. Selon le succès de vos petits films, qui durent d’une à 5 minutes, selon le nombre de scènes, vous gagnerez des credits virtuels qui vous permettront de vous payer de nouveaux costumes, décors, et autres trucs sympa pour agrémenter vos futures oeuvres.

Niveau créativité, j’aime.

Passons tout de même au jeu lui-même:

Là, ça se déroule comme un thème hospital/park bien classique. On construit des batiments, on embauche du personnel trié sur le volet, on ménage son petit personnel en leur proposant des cures de désintox, des lifting, du relookage, en leur payant des caravanes… Bref, au niveau de la gestion des caprices de stars, il y aura de quoi faire.

Niveau personnel, vous trouverez donc des acteurs, des réalisateurs, des figurants, des équipes de tournage, des équipes de maintenance, des batisseurs, des scientifiques, et des auteurs de script. Tout ce petit monde va devoir bosser dans votre studio, et c’est déjà pas mal.

Comment se passe donc la réalisation d’un film? Ca suit en fait un procédé simple. – On donne un script à écrire à des auteurs, ou bien on écrit le notre (pas testé) – Une fois le script fini, on l’envoit au bureau de production, qui permet de réaliser le casting: on choisit un réalisateur, un ou des acteurs pour les rôles principaux, des figurants si beosin, et une équipe de tournage. A noter que l’humeur des acteurs, mais aussi leurs expériences dans d’autres films comptent. – Une fois le casting et la répétition terminée, on envoie le truc à tourner, et on peut voir les acteurs aller dans les décors faire leurs scènes. Si tout se passe bien, au bout d’un moment vous avez un film, que vous sortez, et qui est noté selon la qualité du script, de la réalisation, du tournage, des acteurs, tout ça quoi.

Ca parait simple mais des petits ennuis peuvent survenir pendant le tournage, et pour bien rentabiliser le temps, il faut avoir au minimum 2 films en production en même temps, ce qui occasionne parfois des retards de l’un car un décor est déjà occupé.

Les films sont divisés en plusieurs catégorie: action, comédie, horreur, science fiction, et amour.

Je ne vais pas parler de tout pour laisser la surprise, mais vous aurez de nombreux événements historiques et d’autres joeusetés pendant votre parcours, ainsi que des mini objectifs à accomplir (le jeu commence en 1925)

J’ai cependant oublié de parler de tout l’aspect humour. Un peu à la Dungeon Keeper, vous aurez une voix off (ici un animateur radio) qui ne cessera de lâcher des petits commentaires sympa, sans que ceux-ci ne se répetent de trop au fil du temps. Aussi, les noms des films, tels que « Les oiseaux se cachent morts de rire » ou « Bang bang t’es mort » ou encore « C’est laid une tortue! » ou bien « La petite prison dans la prairie », vous voleront quelques pouffement de rire lorsque vous les verrez.

Pour moi, c’est une bonne surprise, quoi que ça aurait pu être quelque peu mieux réalisé: ça a une allure de the sims sans toutefois le même panache visuel. Le jeu est cependant très fluide sur n’importe quelle config moderne.

A essayer donc, pour ceux qui aiment comme moi, pouvoir créer des choses avec un jeu. Aaaah, Stunt Island…

Lui ou rien! – Zettai Kareshi

Yuu Watase ne cessera jamais de m’étonner. Chaque fois qu’un de ses manga sort, je me dis toujours « Bah, c’est du Shoujo (manga pour filles) » et puis en fait, le coup de crayon, l’histoire, les personnages, rendent le tout tellement attachant qu’on a du mal à s’en séparer une fois qu’on a commencé à le lire. S’il y a bien un auteur dont j’achèterais n’importe quel bouquin les yeux fermés, c’est bien elle.

Zettai Kareshi, donc, traduit plus ou moins bizarrement par « Lui ou rien » par Kana, l’éditeur français, nous plonge dans la vie d’une fille assez banale, Rikko (galerie de portraits ci-dessous) qui a la particularité de se faire jeter par n’importe quel mec avec qui elle veut sortir (mais je comprends pas, moi, une fille comme ça, je sors avec direct…)

Seulement voilà, un jour elle retrouve le portable d’un vendeur bizarre, le lui rend, et pour la remercier, lui offre un passe pour un site web bizarre, le « Lover Shop » où on peut commander son petit ami idéal. Rikko n’y croit pas une seconde, fait la folle, ajoute plein d’options et commande un modèle Nighty pour un essai gratuit de 3 jours (super promo).

Le lendemain, il arrive, et forcément, après la panique, elle s’y attache… Premier problème: elle doit le rendre dans trois jours. Second problème, c’est un modèle Night, qui est donc fait pour fonctionner la nuit… vous voyez ce que je veux dire hein? Oui, le premier truc qu’il fait c’est essayer de lui faire l’amour, a la pauvre jeune fille qui n’est jamais vraiment sortie avec un type avant et qui en plus croit au romantisme pur et dur. Vous alllez vous dire qu’il va quand même se la faire, hé bien non. « Night » comme elle l’a nommé, est un petit ami parfait après tout, et se retiendra pour elle.

J’en entends au loin déjà penser que Yuu Watase nous pond un clone de Chobits ou Hand Maid May au masculin, mais en fait il n’en est absolument rien, contrairement à mes peurs. Yuu Watase a parfaitement réussi a éviter le cliché et nous livre une histoire assez touchante. Classique mais touchante. Disons que comme d’habitude, l’héroine choisie par l’auteur, à mi chemin entre Tampoko de Imadoki et Aya de Ayashi no Ceres (ça reste un avis personnel), Rikko est plus mignonne que sexy, voire même naïve avec son envie de romantisme si fort.

Voilà donc Rikko, qui va devoir faire avec Night, payer sa dette envers la societé à qui elle l’a acheté (ah ben oui, c’est pas donné ces petites bêtes) et faire face à de nombreux autres obstacles… Mais je vous laisse la surprise 🙂

Un fansite plutôt bien foutu où j’ai récupéré quelques images: Zettai Kareshi

Cliquez sur « Lire la suite » pour voir quelques extraits du manga.

Lire la suite

Les japonais, des pervers? Noooooon…

Vu sur Factornews, une news pour le moins… étrange.

C’est sûr, quand on voit des jeux comme Bikou (où il faut suivre une fille afin de le se la faire tel un stalker), Battle Raper (où on peut se faire les filles qu’on terasse au combat) ou bien encore Artificial Girl 2 (où on crée la fille de ses rêves et on s’amuse avec sur une île déserte) et Oppai Slider (simulation de grosses poitrines), on est obligé de se dire que les japonais sont vraiment de gros pervers. Le pire dans tout ça, c’est que ça va sûrement se vendre dans l’archipel nippon.

Enfin, peut-être qu’il y a pire, avec l’opening d’un Hgame dont je terrai le nom de peur qu’on tombe sur ce blog en le recherchant sur Google. Attention préparez les kleenex, vous allez peut-être saigner du nez.

Cliquez sur l’image pour avoir un superbe wallpaper 1280×960.

Karin

Mes animes actuels se résumant à peau de chagrin (Mai Otome, Yakitate Japan!, et Suzuka), il fallait bien que je trouve quelque chose de potable dans la nouvelle saison. Et c’est chose faite avec Karin, qui a défaut d’être excellent, reste assez drôle et mignon juste comme il faut;

Karin est très malchanceuse. Elle est issue d’une famille de vampires qui a immigré au Japon. Son gros problème, c’est qu’elle n’est pas tout à fait vampire… Elle vit le jour, elle ne craint ni l’ail, ni l’argent, ni les croix, ni l’eau, et pourtant… pourtant, elle a besoin de sang aussi.

C’est très dur pour elle en temps normal, et voilà qu’en plus un nouveau fait son apparition à l’école. Rien qu’en croisant son regard, Karin s’évanouit. Elle découvrira très rapidement qu’il y a quelque chose, chez lui et chez la mère du type, qui l’attire, qui voudrait les mordre, mais quoi…?

Sous cet aspect un peu sombre, l’anime s’en sort agréablement avec des petits moments comiques, une héroine assez kawaii, et des personnages facilement reconnaissables. Pour l’instant peu d’épisodes sont sortis et il est difficile de bien cerner l’intrigue principale, mais j’ai l’impression que malgré ses airs humoristiques, la série va devenir bien ténébreux sur la fin. Nous verrons bien! En attendant, vous pouvez y aller, ce n’est même pas ecchi en plus.

Tremblez, XBOX360 et PS3, voici la Polystation!

Pour ceux qui auraient loupé ce grand moment de télévision, j’ai nommé les premières années de Game One dont l’article sur Wikipedia résume très bien l’historique, voici le Level One de la Polystation.

Le Level One, c’est quoi? C’était une émission présentée par Marcus qui, pour nous chers téléspectateurs, faisait le premier (ou le deuxième selon les cas) niveau d’un jeu. Il nous racontait comment le jeu était et ce qu’il en pensait, tout en nous montrant ses possibilités. C’était ainsi super sympa de découvrir des jeux vus par un testeur pendant qu’il se débrouille à jouer pour nous.

Et un jour, ce dernier a ramené du maroc la Polystation. C’est quoi donc? Vous le verrez en regardant la vidéo d’environ 27 Mo qu’un téléspectateur a bien voulu encoder pour immortaliser ce moment (grâce à Infogrammes les archives de la chaîne ont été détruites malheureusement.)

La XBOX360 et la PS3 n’ont qu’à bien se tenir 🙂

Petites reviews Anime

Etant donné l’activité proliférante (erm) des fansubbers en ce moment, j’ai décidé de commenter un peu l’avancement de certaines séries que je regarde encore, ou que j’ai lâchées. Après tout, les premières impressions c’est bien mais ça ne fait pas tout.

Amaenaide yo!

Plutôt déçu par cette série qui s’annonçait assez marrante et ecchi comme il le falait. Finalement les persons sont tous sans profondeur, et l’humour est très lourd à force. C’est dommage, un peu de varietés aurait été bien. Il faut quand même avoir vu au moins le premier épisode pour ne pas mourir idiot.

Okusama wa joshikusei

« Ma femme est une lycéenne » m’a laissé la même impression que Amaenaide yo! de ne pas aller suffisament en profondeur. On ne sait même pas comment les deux protagonistes se sont rencontrés et en sont arrivés à leur situation, et le découpage de chaque épisode, en deux petites histoires, rend le tout très saccadé et pas très intéressant. Ca a très bien marché pour Full Metal Panic Fumoffu, mais pour Ichigo 100% et Okusama wa joshikusei, c’est plutôt raté. Réellement dommage, je suis sûr que la série a un bon potentiel en manga.

Ichigo 100% OAVs

Alors là, c’est peut-être la plus grosse déception. C’est à se demander ce qui peut bien passer par la tête des gens chez Madhouse. Les 3 premières OAVs suivaient plutôt bien le manga et apportaient chacun leur petit plus à l’histoire, même tout petit. Par contre les deux dernières, à part introduire Kozue dans l’histoire, elles n’apportent strictement rien, et se permettent même d’être tout bonnement ridicules en ne suivant pas le mangas (L’OAV 5 est royalement médiocre)

Suzuka

Bon, ne soyons pas déçus par tout, il y a quand même Suzuka qui reste un anime plutôt sympa et sentimental, sans être lent à mourir. Je trouve juste dommage que Yamato soit un sale petit con qui n’y connait rien aux filles.

Yakitate Japan!

Toujours aussi bon, toujours aussi fort, toujours aussi doux et croustillant. L’épisode 45 se paye même le luxe d’être un peu ecchi, que du bonheur en boite. A noter que le manga est sorti en France ce mois-ci

Karin

J’en parlerai lors d’un prochain billet avec des screens. C’est une petite série qui a l’air fort sympathique au demeurant 🙂

Voilà pour le résumé des séries en cours 🙂

Metal Gear Solid All Movies

Attention, le type qui a fait ça est un malade.

Sur ce site, vous trouverez toutes les séquences cinématiques de MGS 1 (version Gamecube) 2 et 3 (versions PS2) sous forme de fichiers de 600 Mo à mettre sur des CDs. Le tout forme une sorte de film, un peu décousu il faut bien l’admettre, mais où l’histoire du jeu est parfaitement regarde et compréhensible. Que du bonheur, en somme, que du bonheur. Attention vous allez avoir besoin de beaucoup de place sur votre disque dur, mais pour tout fan de la série, ça en vaut la peine!