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Grand Theft Auto Liberty City Stories

…ou comment vous dire qu’une PSP, ça poutre quand même.

GTA LCS étant enfin sorti outre-atlantique, mais aussi outre-manche, je me suis procuré la version Royaume-Uni (donc européenne, donc compatible avec vos futurs petits copains qui prendront la version française le 2 Décembre. On notera que le jeu contient toutes les langues) sur le site Play.com pour seulement 45€.

Après plusieurs heures de jeu, de nombreuses morts, voitures bousillées, piétons écrasées, putes ramassées, je peux donner un verdict qui je pense s’approche de la réalité.

GTA est donc, premièrement, une claque technique. Pouvoir faire du GTA sur cette petite console, presque comme si c’était une PS2, c’est tout simplement bluffant. En fait, tous les défauts du jeu que je citerai après sont complètement gommés par cette jouissance fort agréable que procure le fait de pouvoir jouer à GTA pendant sa pause café.

On commence donc par ce qui fâche: l’histoire. Bien que neuve, elle se déroule quand même dans Liberty City, que l’on a bien connu dans GTA3 déjà. De ce fait, on mettra de côté l’excitation de découvrir une nouvelle ville et ses rues… Bon, Liberty City était quand même bien plus agréable à parcourir que San Andreas par exemple, ce qui atténue un peu ce point négatif…

Autre souci, les missions: elles sont un peu plates, sans être complètement ennuyeuses non plus. Les briefings sont toujours aussi fun, avec des dialogues entre pourris jusqu’à la moelle. Prendre ça au deuxième degré est bien évidemment nécessaire afin d’apprécier l’humour (noir) du jeu. Bref les missions, c’est rien que du déjà vu. D’un autre côté ça reste simple et efficace, contrairement à San Andreas qui offrait des objectifs bien plus complexes, mais parfois un peu chiants.

GTA reste GTA, et bien que l’originalité ne soit pas de mise dans cet épisode,^surtout dû au fait qu’on connaisse déjà la ville, le plaisir de pouvoir y jouer n’importe où, n’importe quand, à moto ou à bicyclette, et même à plusieurs, fait de GTA Liberty City Stories clairement un incontournable sur PSP. C’est à mon sens LA killer-app de la PSP, le jeu qui peut vous en faire acheter une, avec Lumines, et Wipeout. On commence enfin à voir débouler des jeux d’envergure.

Un petit mot sur le multi, que je n’ai pas encore pu tester: sachez que pour en profiter pleinement vous vous devez d’être plus que deux. Les terrains de jeux sont tellement grands qu’on peut passer un moment à se chercher si l’on est qu’à deux. Il y a une bonne diversité de modes de jeux, dont capture the limousine, deathmatch Free for all (chacun pour soi) ou en équipe, un king of the hill, ou encore un mode où l’un des joueurs pilote un tank et doit le garder le plus longtemps possible. Les autres joueurs étant armés eux de lance-roquettes, ce qui équilibre bie. Il y a en tout six modes de jeu multi, et j’ai réellement hâte de les tester.

Non franchement, je ne regrette pas mon achat, et Rockstar ne s’est pas foutu de notre gueule avec un GTA « comme sur PS2 ou presque » qui tient dans la main. A mon avis l’UMD doit être sacrément plein. A noter qu’on peut faire sa radio perso avec de la musique stockée sur le memory stick.

Que du bonheur pour les amateurs du genre 🙂

Megatokyo – I’m in love again.

J’avais délaissé Megatokyo il y a environ 1 an. A l’époque, l’histoire qui se barrait dans tous les sens et n’avançait pas m’avait laissé de marbre. Aujourd’hui, devant l’ennui général de mon boulot, je me suis permis de me replonger un peu dedans. Et je n’ai pas été déçu.

Megatokyo (site officiel, version française est un Webcomic (en gros un manga online) qui parait a peu près toutes les semaines. Au début, c’était bourré de références jeu vidéo et anime. Il fallait être initié, mais l’humour de Largo était quand même terrible.

Puis, Largo est parti un an après le début de Megatokyo, laissant le dessinateur, Piro, seul assume et continue l’histoire, tournant petit a petit à l’eau de rose, tout en restant un tant soit peu humoristique.

J’ai beaucoup aimé l’histoire et les nombreux personnages. Le problème principal que je reprochais, et reproche toujours, c’est de ne pas trop avancer. Une semaine, c’est long pour un bout d’histoire sur une page, surtout quand ça ne fait pas avancer l’intrigue qui nous tient à coeur.

A part ça, on se demande quand et comment ça va se terminer. Entre Largo qui délire complètement, Piro qui a trop du mal avec les filles, Erika au passé trouble…

Le dessin est très agréable, ce qui est un plus indéniable.

Bref, Megatokyo, on aime ou on aime pas, mais commencez à lire depuis le début, c’est un excellent passe-temps et le format est agréable à lire, adapté à un écran d’ordi.

Résident Méchant 4

Resident evil 4 c’est un peu pour moi le dernier espoir sur lequel repose toute la série Resident Evil.

Ayant commencé avec le permier volet sur PSX, en jap s’il vous plaît (bon ok, j’ai vite arrêté pour trouver une version européenne) c’était l’âge d’or des acteurs qui faisaient des cinématiques excellentes, d’une maison abandonnée, close, et qui faisait affreusement penser à Alone In The Dark, sorti sur PC quelques années plus tôt. Capcom nous avait enfin sorti quelque chose d’autre qu’un jeu de baston, et RE a été très bien acceuilli parmi les jeunes adultes du public de la PSX, pour son ambiance gore, stressante, et pleine de rebondissements, au scénario léché, avec même plusieurs fins selon les gens qu’on arrivait à sauver, ou avec qui on jouait (Chris Redfield ou Jill Valentine).

Bref, comme d’hab, c’était le bon vieux temps.

Après 2 autres volets biens mais pas non plus extraordinaires (le 2 avait pas le même feeling, mais m’a quand même bien accroché, et le 3 je l’ai sitôt redonné une fois fini), et une multitude de jeux batards (Code Veronica, Dead Aim, et j’en passe) où Capcom s’est un petit peu foutu de notre gueule avec un gameplay repris presqu’intégralement, ou bien des side-stories pas très utiles, voilà qu’ils daignent nous gratifier d’un RE 4, un vrai, un pur, et avec de la mayo’.

Sorti sur GameCube il y a un moment déjà, Capcom nous le pond sur PS2, et c’est là que j’ai enfin pu m’y essayer.

Bon en gros, on joue Leon, un peu vieilli, mais toujours égal à lui même (bonne tête de vainqueur, en fait) et on se retrouve largué en plein milieu de l’europe de l’est, à chercher la fille du président, cette conne s’étant faite kidnapper et retenue prisonnière dans un village peuplé d’habitants bizarres. Pas zombis, non non, ils n’oseraient pas. Mais au comportement pour le moins étrange, et qui n’hésiteront pas à vous attaquer.

Ce qui surprend le plus, c’est le changement de jeu. Resident Evil devient un TPS. Un Third Person Shooter (jeu de tir à la troisième personne.) La maniabilité évidemment change avec, et on a un petit peu de mal à s’y habituer pendant la première heure de jeu. Après ça vient relativement tout seul, et le maniement de Leon se fait aisément. Bon d’accord c’est encore un peu rigide, mais ça ne serait pas un Resident Evil sinon… 🙂

J’ai joué un peu moins de 8 heures, et pour le moment ça progresse bien, c’est intéressant et ludique, diversifié et pas trop difficile. On est donc devant un bon jeu vidéo, sans aucun doute.

A tous ceux qui ont aimé les deux premiers Resident Evil, c’est bon, vous pouvez y aller, ça fait évoluer le genre sans pour autant le dénaturer. Entre ça et Soul Calibur 3, je suis content de mes nouvelles acquisitions sur PS2 moi 🙂

Katamari Damacy

Katamari Damacy (fiche Gamekult) est un concentré de délire japonais, qu’on aurait dû mal à imaginer être sorti d’un studio européen ou américain de jeu vidéo. Le concept du jeu en est lui-même tellement ridicule, tellement simple, mais tellement fun que n’importe qui peut accrocher tout de suite à ce grand bol d’air frais de jeu vidéo, dans un monde où les suites et concepts se succèdent sans une once d’originalité.

Lui, c’est le Roi du Cosmos, votre père. Par un excès de folie, et en jouant de la guitare comme un pied, il détruit les étoiles dans le ciel. Vite, il faut les reconstruire! Pas de problème: Le Roi va vous envoyer, vous le prince son fils, utiliser les katamari sur Terre pour faire de nouvelles étoiles. Pour les curieux, vous pouvez voir l’intro en cliquant sur ce lien

Un Katamari c’est une boule adhésive géante. Jusque là vous vous demandez encore ce qu’il va bien falloir faire avec ça… En fait c’est simple, il suffit juste de faire rouler la boule sur le maximum d’objets possibles, afin de la faire grossir. Alors ça commence avec un gomme, un crayon, des beignets, des poissons, puis ça continue avec des cuillères, fourchettes, des ours en peluche, de la boisson, et ,plus on grandit, plus on peut ramasser de choses: On ramasse des personnes, des voitures, des immeubles, des avions, des bateaux, des maisons…

Chaque niveau est constitué d’une épreuve, qui peut être soit atteindre un katamari d’une certaine taille en un certain temps, ou ramasser le plus de crabe ou d’oeufs, ou chopper la plus grosse vache du pré… Tout un programme.

Un extrait de gameplay ici.

Katamari Damacy est donc une énorme claque vidéo-ludique. Un concept incroyable, mais pourtant, ça marche: on accroche tout de suite, on s’amuse à entendre les cris poussés par les chats quand on les attrape… Voir une bestiole vous courir après du haut de vos 10 centimètres, pour ensuite s’enfuir quand vous revenez 5 minues plus tard avec un katamari de 1 mètre au bout des bras, c’est assez jouissif.

La durée de vie n’est certes pas énorme, car le jeu compte en réalité peu de niveau. Il vous tiendra en haleine pendant quelques heures ceci dit. Mais le plus fun, ça reste de jouer avec quelqu’un et de le regarder se dépatouiller avec les deux sticks analogiques qui permettent de contrôler le Prince et son Katamari

Non sérieusement, Katamari Damacy est un excellent jeu, quel dommage qu’il n’ait pas encore été édité en France, mais seulement aux Etats-Unis et au Japon pour le moment. A noter qu’une suite, « We Love Katamari Damacy » est également disponible.

Le jeu est également prévu sur PSP. Ca va donner :]

Mahou Sensei Negima / Magister Negi

Mahou Sensei Negima est la dernière oeuvre en date de Ken Akamatsu, auteur entre autres de Love Hina et Ai ga tomaranai (connu comme AI Non Stop chez nous, voir mon précédent billet à ce sujet), nous gratifie encore une fois d’une comédie haute en couleurs avec des vrais morceaux de ecchi dedans. Sans blague, vous vous attendiez à autre chose d’autre de la part de Akamatsu-sensei? Moi pas.

L’histoire en gros, c’est celle du petit Negi, 10-11 ans (dans ces eaux là) qui est un jeune magicien tout juste sorti de l’école. Il va devoir faire un stage de fin d’année en tant que professeur dans une école japonaise, à l’école Mahora (a une lettre près, c’est dommage, ça aurait fait Mahoro.) Il ne faudra toutefois pas qu’il révèle ses pouvoirs magiques.

A partir de ce constat, auquel on associe immédiatement l’idée de Harry Potter, en fait on change bien vite d’avis: ça n’a rien à voir.

Negi va donc être prof dans une école de filles, et pas dans n’importe quelle classe. Ca sera celle des 2-A, qui sont on va le dire, pas super doués niveau études. Les filles ont dans les 15 ans, ce qui bien sûr, va handicapper notre petit Negi pour faire ses cours (mais bon, elles, elles le trouvent mignon et s’occupent bien de lui, la chance qu’il a 🙂

Car, manga de Ken Akamatsu oblige, on se retrouve confronté à non pas 3, non pas 5, mais bien une trentaine d’anime girls toutes plus kawaii les unes que les autres, et chacune avec un caractère plus particulier. C’est là que le génie du design de Akamatsu fait toute sa lumière. Contrairement à l’histoire, les persos sont très attachants, et à défaut de retenir tous leurs noms, on va rapidement savoir qui parle de qui.

Un héros ne serait rien sans héroine, ceci dit, et c’est la jeune Asuna qui va remplir ce rôle. Orpheline, énergique, qui fait un petit boulot de livreuse de journaux tous les matins avant les cours, qui va s’occuper de Negi et l’héberger dans sa chambre, avec son autre collocataire. (Quelle chance :P)

A tous les deux, et à toute la classe en général, il va arriver des tas de trucs dans le plus pur style Akamatsu. Sans se prendre au sérieux, l’histoire ne va pas bouger d’un iota avant la fin, comme d’habitude, et ce n’est pas la pseudo jeune vampiresse qui va inquiéter Negi. Bref, niveau pure trame scénaristique, on repassera, Negima est un anime/manga qui se suit tranquillement.

C’est du Akamatsu, on aime ou on aime pas, mais ça se laisse lire sans broncher, pour moi en tous cas. Oui bon faut aimer les plans culotte mais on commence à avoir l’habitude, depuis Love Hina…

Une autre pour la route.

Non, ce blog ne vire pas au ecchi et au catalogue lingerie de La Redoute, mais l’effervescence de news anime et manga, jeux vidéos et autres m’oblige à poster ceci.

Quoi que, je pourrais aussi poster quelque chose sur le manga de Negima, ou encore sur Black Cat, Soul Calibur 3 ou Civilization 4… On verra, car ce week-end, c’est le AXL’s Game Center 17 à Nantes, alors je vais être occupé 🙂

Nouvelle rubrique, nouveau cliché

J’inaugure cette nouvelle rubrique « Sexy » avec une photo de la maid mystère trouvée par un collègue RafaL, ce cher Motenai/FluoCrazyKenny.

Alors, qui cela peut-il bien être ? Bonne question, et j’aimerais bien le savoir… 😛 Etre aussi kawaii et faire un cosplay de maid, c’est pas possible d’être aussi parfaite.

Ah, pour ceux que ça intéresse, voici l’image en grand.

J’ai également déplacé les autres billets du même genre dans la nouvelle catégorie.

F.E.A.R.

(vous pouvez voir les commentaires d’autres personnes sur ce billet sur les forums du AXL’s Game Center)

Je viens à peine de commencer le jeu et déjà j’accroche bien.

Pour résumer, on fait partie d’une unité d’assaut type SWAT mais en plus bourrin, et le début du jeu, lent mais pas trop (on se ballade mais on ne tire pas beaucoup, enfin pas sur des ennemis. Néanmoins ça reste beaucoup plus dynamique que le début de DOOM 3 par exemple.)

Sur ce, c’est un excellent point car s’il y a bien un truc où DOOM 3 était mauvais, c’était tout de même la lenteur générale de l’action.

Comme je n’ai pas testé encore beaucoup le jeu, je ne peux pas encore parler du scénario, mais le gameplay, comme la technique, impressionne.

Au niveau du gameplay tout d’abord. On peut réaliser des petites actions fort bienvenues dans un FPS, comme se planquer derrière un mec et avancer tout doucement avant de lui filer un coup bien placé dans le dos ou derrière la tête, en général ça calme direct. Ensuite, il y a une touche SlowMotion, un peu à la Max Payne, permettant de ralentir le temps pour mieux viser et réaliser des actions.

Et là, la technique tue. En SlowMo, on voit les balles partir des fusils et laisser des trainées, les mecs cracher du sang et se tortiller de douleur. Ce n’est pas Soldier of Fortune, mais les combats sont violents, et jouissifs, rien que le bruit des armes, leur modèles, leur maniement… On peut également « viser » pour tirer plus précisément. Enfin, n’espérez pas faire des tirs à distance avec la mitraillette: le recul est plutôt bien géré et la disperssion vous fera vraiment mal viser.

Je n’ai pas encore parlé des graphismes, mais ça doit être ce qui impressionne le plus dans ce jeu au premier abord. C’est fin, beau, on a l’impression de jouer à un jeu tout droit sorti des demos de 3DMark. Ceci dit, DOOM 3 était déjà fort joli, mais faisait preuve d’une certaine plastique et rigidité dans ses décors et environnements. DOOM 3 jouait en fait beaucoup trop sur ses effets de lumière. Ici, on a d’autres effets, du feu, de la fumée, quelques jolis effets de lumière, de la physique… Tout y est au niveau de la technique.

Pour résumer, ça ressemble à ce qu’un jeu comme Chaser aurait dû être: l’utilisation d’armes contemporaines, des niveaux bien foutus, des ennemis avec une IA plutôt bonne (sans être transcendante, elle saura vous surprendre un peu)… bref, un FPS contemporain/futuriste comme on en fait plus du tout.

Ah oui, FEAR fait peur, cela va sans dire, mais les développeurs n’ont pas joué sur la surprise d’un ennemi qui arrive au coin d’un couloir comme on le voyait en permanence dans DOOM 3. Non, ici, on voit les ennemis avant, mais c’est d’autres choses qui attireront notre attention. Des visions, des objets qui bougent tout seuls, des rats, des bruits suspects… Du bonheur en boîte.

Config de test: Athlon 64 3200+ 1 Go de RAM Disque dur SATA pour stocker le jeu (il tient sur un DVD) Geforce 6800 GT 256 Mo en AGP 8x.

Détails? A fond. C’est pas exactement fluide (n’espérez pas 60 FPS quoi) mais parfaitement jouable. J’obtients une moyenne de 25 FPS avec les tous derniers drivers NVIDIA en beta (81.xx)

En faisant des tests, je n’ai pas trouvé de paramètres qui permettent d’augmenter drastiquement les FPS. J’ai donc tout laissé à fond.

Les maids, c’est bien.

Après tout, on est sur un blog appelé « Maido-rando », non? non? Mince, on m’aurait mal renseigné? 🙂

Un petit wallpaper glané sur 4chan par Minotaure des Rafaux (Un RafaL, des Rafaux)

Je décline toute responsabilités sur les dommages corporels pouvant être causés par la visualisation de cette image chez les mâles (et certaines femelles 😛 )

Mai Otome

Mai Otome vient de débuter au japon, et est une série inspirée de l’anime de l’an dernier, Mai Hime. Je dis inspirée car en fait, ce n’est pas du tout une sequelle mais on retrouve de nombreux personnages de Mai Hime, qui ne gardent que leur design de la précdente série. C’est néanmoins agréable de retrouver Natsuki ou Shizuru… voire même Mai, dans les épisodes suivants.

L’histoire, c’est un peu compliqué à définir pour le moment, mais l’ambiance est clairement là et originale. En gros on a l’héroine au pendentif mystérieux, enjouée mais pas chiante, et l’autre plus hautaine et sérieuse. Un duo qui va marcher, sans doute, si on compte les autres personnages plutôt sympathiques, les design agréables de Mai Hime aidant beaucoup au charme de la série. Notre héroine donc, décide de devenir une Otome, une sorte de soldat d’élite aux pouvoirs élémentaires puissants (comme le pouvoir des Hime en fait). Il y a également une histoire de princesse et de guerre contre des mechas.

Un peu comme beaucoup de séries, il est pour le moment difficile de savoir de quoi il en retourne après exactement un épisode. On a plus l’impression que le premier épisode a essayé de caser le plus de personnages possibles en son sein, sans clairement poser le décor. Espérons que ça s’améliorera.

A noter que la musique est encore assurée par Yuki Kajiura qui pour rappel nous a pondu les musiques de Hack Sign, Mai Hime, Noir, Madlax… Heureusement, Mai Hime et Mai Otome sont plutôt loin d’être aussi lents que les animes de Bee Train 🙂

Ah sinon, je vous ai mis un petit papier-peint fort sympathique. On en trouve énormément dans les magazines tels que Megami.

Full Metal Panic The Second Raid

C’est avec une très légère appréhension que je commençais, il y a quelques mois, Full metal Panic – The Second Raid (J’aime Wikipedia.) Que penser d’une série qui, lors de sa première saison, avait laissé une impression bonne mais pas top, notamment avec un rhythme d’intrigue sacadé et une action molassonne, puis lors de sa seconde saison, m’a totalement fait rire aux éclats à me rouler par terre? Fumoffu, la seconde saison, est de loin la meilleure considérée par les fans de la série, grâce à son humour décapant développant les passages hilarants de la première saison avec Sousuke à l’école.

En voyant la tête de l’opening, le ton était donné, ça allait être mechas et action à fond. Les deux premiers épisodes me l’ont en tous cas confirmé. Reste que la pillule est certainement bien mieux passée qu’en 2002 lors de la première saison, notamment grâce à une technique améliorée, et surtout parce que le studio d’animation chargé de The Second Raid est Kyoto Animation, le même que celui qui nous a pondu Fumoffu, contrairement à GONZO qui s’était chargé de la première saison. Et ça se sent tout de suite. C’est bon, c’est net, ça amuse, et c’est tout ce qu’on demande.

On a la le trio de héros de notre série. Je vais résumer vite fait pour les ignorants qui n’auraient pas encore goûté à la série:

Sousuke Sagara, jeune soldat oeuvrant au sein d’une équipe de mercenaires appellée Mithril, totalement indépendant d’aucun gouvernement, va être chargé de protéger la jeune et jolie Chidori Kaname (à gauche). Cette dernière serait en effet la cible d’un kidnapping de la part du KGB, mais ça, on ne sait pas encore pourquoi (et je vous rassure, on le découvre assez vite.)

Jusque là pas de soucis, Sousuke, sa supérieure sexy Melissa Mao et son collègue ladykiller Kurz Weber (heureusement que ses talents de dragueur sont inversement proportionnels à ses talents de sniper) vont tous trois partir en mission au Japon pour protéger Chidori à coup de micros cachés, de filature, et, pour mieux la protéger, d’un transfert arrangé de Sousuke en tant que lycéen dans l’école de Chidori.

Mais le hic, c’est que Sousuke n’est pas du tout fait pour la société japonaise. Ayant grandi parmi les champs de batailles au moyen-orient, et une fois lâché dans la nature au Japon, il se débrouille TRES mal. Sortant son flingue à tout va chaque fois qu’il croit Chidori menacée alors que ce n’est pas le cas, il va vite se faire taper sur les doigts et Chidori va le prendre pour un débile profond très rapidement.

Mais, comme vous vous en doutez, arrivera le moment où Sousuke va se rendre très utile, lorsque Chidori sera effectivement menacée. L’humour principal de la série vient du décalage permanent entre comment Sousuke se comporte en société, tel un alien en milieu hostile. Là où c’est encore plus drôle, c’est à quel point cela est exaggéré dans Fumoffu, et chaque épisode est un grand bol de rire.

Qui est la jeune fille à droite vous allez me demander? Hé bien il s’agit de Theresa Testarossa, communément appellée Tessa par les gens qui la connaissent. Cette jeune fille de 16 ans (comme Chidori et Sousuke) n’est ni plus ni moins que la capitaine du sous-marin d’où opére Sousuke, et bien qu’elle occupe un poste aussi important à un si jeune âge, elle est pourtant douce et frèle, mais terriblement déterminée. Son génie tactique en temps de crise donne des frissons dans le dos. Elle partage également le secret de Chidori…

Pour en revenir donc à The Second Raid, la série marche sur les traces de la première saison, sans pour autant sombrer dans le tout-action bien relou. On assistera à des scènes un peu plus « adultes » (pas exactement ce que vous pensez bande de pervers.) et vraiment très bien réalisées, ne serait-ce que l’angoisse de Chidori a l’idée d’être seule, la scène où elle tente de lui couper les cheveux, ou bien lorsque Sousuke rencontre une prostituée au look très familier (je n’en dis pas plus) à Hong-Kong.

Bref, la série surprend et bien, l’action est bonne, les épisodes filent trop vite, on a même droit à un peu de ecchi pour faire passer le tout. Non sérieusement, voilà une saison incontournable, même pour ceux qui n’ont pas aimé la première, car elle corrige bien ses défauts.

La guerre des consoles

Vous trouverez sur ce lien une excellente animation flash qui parodie la dernière bataille + la fin de Final Fantasy 6 (le meilleur, sans conteste). Ah oui c’est en anglais mais bon, c’est tellement bourré de références que les plus nostalgiques apprécieront.

Flash mis à part, je n’ai pas trop pu mettre à jour le blog ces derniers temps à cause de problèmes avec les disques durs de Mahoro, et aussi à cause d’une formation constructeur a paris qui m’a bloqué toute la semaine.

Mais bon, la nouvelle saison d’animes arrive, et avec quelques séries fort intéressantes 🙂