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Haruhi Cosplay – le retour de la vengeance

On m’a fait comprendre que ma précédente cosplayeuse d’Haruhi était bof, alors je me venge:

Oui, ça a l’air d’être du bon vieux porno/érotique jap merdique, mais saluons l’initiative tout de même, qui montre bien à quel point Haruhi Suzumiya est célèbre. (erm :P)

(Pour ceux qui demandent un lien vers un torrent, let the police do the job, et croyez bien que dés qu’on aura plus d’informations, vous en serez les premiers informés… :P)

Ouran High School Host Club

Comme d’habitude je prends toujours certaines séries avec quelques mois de retard, mais bon, vieux motard que jamais comme on dit.

Le studio Bones qui nous fait un anime style shoujo ? on aura tout vu! 🙂 Et pourtant ils se débrouillent fort bien, avec une série mêlant humour un peu déjanté, une pointe de romance et des personnages bien typés.

L’histoire commence avec Haruhi. Un peu nerd au premier abord, avec ses cheveux en bataille, ses lunettes et son look d’un autre monde. D’un autre monde? Oui, car à Ouran, lycée privé immensement riche, on ne cotoie que des garçons et filles de bonne famille. Toute la Jet Set japonaise est réunie en ce lieu ma foi au demeurant fort agréable. Que fait Haruhi ici? Hé bien elle a tellement bien réussi ses études qu’elle a obtenu une bourse pour étudier à Ouran.

Voulant trouver un coin pepère où étudier, elle tombe sur la 3ème salle de Musique, supposèment inoccupée. Là elle rencontre les membres du Host Club qui ont élu domicile à cet endroit, et brise par inadvertance un vase très couteux.

Et là je me dis « Ca va se finir comme dans Kore ga watashi no goshujin-sama!? » et elle va finir en maid, hé bien en fait pas exactement. Haruhi va devoir bosser au Host Club pour payer sa dette. Seulement voilà, Haruhi est une fille, et ça va poser problème.

Car le Host Club, c’est quoi? C’est, tel que Tamaki Suou, son président, l’explique: un club où de jeunes et beaux garçons tiennent compagnie aux jeunes filles riches qui ont du temps à elles. En utilisant leurs charmes, les 6 garçons (dont 2 jumeaux) ont pour devoir de faire plaisir à ces jeunes filles au coeur pur qui viennent les voir. Rien de sexuel bien évidemment (je vois venir mon lectorat, hein.) Des mots doux, des gestes séducteurs, boire le thé ensemble, telles sont les occupations du Host Club.

Les deux jumeaux vont jouer la relation semi-incestueuse, mais tout cela pour faire plaisir aux jeunes filles. Parmi le host club, il y a aussi le sérieux à lunettes, l’amant sauvage, le blond charmeur, et enfin le petit a l’air gamin qui s’empiffre de gateaux et reste avec ses peluches, donnant tout de suite envie à certaines de le cajoler. Y’a pas de doute, c’est une équipe bien rodée pour plaire aux filles qu’il y a là.

Mais Haruhi dans tout ça? Que vient-elle faire parmi ces bishonen ? Simple. Lorsqu’elle est arrivée, ils l’ont d’abord prise pour un garçon, et puis finalement se sont rendus compte de la vérité lorsqu’elle a cassé le vase. Ils ont donc décidé de la faire travailler en tant que garçon pour le host club: le garçon effeminé est là, et Haruhi remplit très bien son rôle.

Un certain lien protecteur (voire plus) va se lier entre les garçons et Haruhi, qui est tout le contraire d’eux. Ce sont des garçons riche, elle est une jeune fille pauvre.

Et la série réussit bien à exploiter l’humour autour de ces contrastes: des garçons qui découvrent ce qu’est un supermarché ou un appartement, ou bien qui tentent de garder le secret d’Haruhi pendant la visite médicale obligatoire… Un style déjanté, un graphisme assez coloré et des doubleurs qui s’en donnent à coeur joie (les jumeaux sont excellents) contribuent sans conteste à donner à cette série un comique innatendu. A vrai dire je n’avais pas trop prévu de regarder cette série avant qu’on me la recommande vraiment chaudement. Au final je n’ai pas été trop déçu du voyage (la série est sur sa fin au moment où j’écris ces lignes) et bien que ça ne soit pas l’anime du siècle, c’est sans conteste une série bien faite pour la détente, au même titre que School Rumble.

Non, cet anime n’est pas gay, pour ceux pour qui l’abus de bishonen nuit gravement à la santé.

P.S.: Non, je ne ferai pas le parallèle entre les héroines de Ouran et de La mélancolie de Haruhi Suzumiya… Elles n’ont rien à voir entre elles ! Ah zut, trop tard je l’ai dit 😛

Haruhi cosplay

Bon, rien de nouveau en fait, il est évident qu’une série d’une telle popularité a déjà vu fleurir des tonnes de cosplays plus ou moins réussis, mais un peu par hasard je suis tombé sur cette image:

Je sais pas ce qu’elle a par rapport aux autres, peut-être que c’est le clin d’oeil, l’appareil-photo, je sais pas, je l’ai trouvé bien sympa ce cosplay.

Voilà, j’ai une image là que j’aime bien et je trouve pas pourquoi, rage 😛

Les 5 Lois de la parfaite petite Maid

Suite à une provocation ouvertesuggestion de Raton-Laveur, je me dois de rétablir la justice en ce bas monde en érigeant les 5 lois de la parfaite petite Maid.

Pour illustrer mes lois, je prendrai exemple sur Mahoro, qui est selon mes critères, la Sainte des Maids, l’OMEGA Maid, bref, la déesse des Maids.

C’est parti 🙂

1ère loi: En toutes circonstances tu souriras

Une Maid, c’est avant tout une domestique, et elle doit montrer qu’elle aime son métier parfois ingrât. Ainsi, que ça soit Mahoro, Mariel de Hanaukyo Maid Tai, CBD-May de Hand Maid May, ou encore Lilica dans Girls Bravo, même si son maître est un crétin et un pervers fini, elles gardent le sourire.

2ème loi: Des tâches ménagères comme une déesse tu t’occuperas

Les maids savent tout faire: le ménage, le repassage, la lessive, étendre le linge, la vaisselle, réparer des fuites d’eau, préparer à manger, tailler la haie, broutertondre le gazon, planter des arbres, organiser une fête, installer un sapin de Noël, mettre la table, passer l’aspirateur…

Oui, les maids savent tout faire, y’a aucun doute là dessus. Et même si il y a un truc qu’elle ne saurait pas faire, elle l’apprend en général vite et bien.

Note: Les maids dépourvues de qualités ménagères compensent par un uniforme miniaturisé et un sex appeal quadruplé, généralement manifesté par une énorme poitrine (syndrome Nanako) (sans parler des performances sexuelles à proprement dites.) Les maids dépourvues à la fois de qualités ménagères et physiques n’existent pas dans les animes.

3ème loi: En combat tout le monde tu surpasseras

Armée d’un simple pistolet automatique, d’un fusil à pompe, d’un lance-roquette ou d’une arme blanche, une maid est invincible grâce au grand pouvoir de la kawaiitude sacrée. Qui peut gagner contre Mikuru? Contre Mahoro? Contre Roberta (Black Lagoon) ? Contre Lilica? Contre Whilmelia (Shakugan no Shana) ? Contre Konoe (Hanaukyo Maid Tai) ? Contre Elenore (Madlax)? Personne, tout simplement. Que ça soit à l’arme blanche ou à l’arme à feu, ou encore à la spatule une maid sait se servir de ce qui lui tombe sous la main et s’en sert bien. Elle est capable de défendre son champ de bataille (la cuisine) aussi bien que la terre entière contre une armée de Gundams.

Note: Comme Mahoro, elle possède également tous les permis possibles, de la trotinette au camion-citerne.

4ème loi: Un uniforme unique tu porteras

Il suffit de faire un tour dans ma rubrique Maids pour se rendre compte qu’aucune maid ne porte le même uniforme. Chacune essaye de plaire à son maître et chaque maître est différent. De ce fait on trouve des robes courtes ou longues, des tabliers courts ou longs, des bottines ou des chaussures, des chaussettes ou des collants, des robes bleues ou noires, des rubans ou des broches, et toujours un petit serre-tête de dentelles. La maid est mode, la maid est fashion, la maid est stylée. Evidemment le plus grand défilé de mode reste Hanaukyo Maids Tai, mais ça vous le saviez sans doute déjà.

5ème loi: Dévouée à ton maître tu seras

Oui, car le maître est dieu. Le maître est la personne pour qui la maid vit, peu importe ses raisons (adoption, sauvée d’une mort certaine, achetée comme esclave, violée puis droguée, prise de remords après avoir tué le père de son maître, ou tout simplement une androide, rayez les mentions inutiles quoi.) La maid est dévouée pour son maître et fera tout pour exaucer ses désirs les plus fous, veiller sur lui, et le protéger au prix de sa vie. Aide ménagère, garde du corps, chauffe-lit, la maid est universelle et s’adapte à toutes les situations.

Et après on se demande pourquoi je compte dominer le monde par un croisement habile de nekomaids… 🙂

Allez, je passe le flambeau à Shikaze, qui même s’il a pas de blog, se fera bien un plaisir de poster quelque part les 5 Lois du parfait petit Mecha. Je sais qu’il en est capable le bougre.

EDIT: Evidemment Shikaze a bien relevé le défi. Qui sera la prochaine victime?

I’m hit! I’m hit!

Critical error… Recovery impossible… Kernel Panic…

(Indice: cliquez pour avoir la même mais en maxi plus grand)

Si jamais vous vous sentez l’âme d’un héros, capable de résister à n’importe quoi, de braver l’impensable, alors je vous invite à cliquer sur le lien "Lire la suite."

Si vous pensez être une âme sensible, passez votre chemin. Ce qui suit peut tuer un homme, voire 3 ou 4.

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Anime News

Un p’tit billet pas comme les autres aujourd’hui pour annoncer quelques bonnes nouvelles, que je suis sûr certains d’entre vous auront remarqué:

  • Un nouvel anime sur Kimi ga nozomu eien est annoncé. Annoncé le jour de l’anniversaire de Mitsuki, l’héroine (non, c’était Haruka!) de KGNE, le studio en charge de l’anime a fait savoir que le titre de cette nouvelle saison serait « Haruka’s Route ». Alors, cela va-t-il être la vie d’Haruka après qu’elle ait… euh, bon, disons qu’on va être gentils avec les lecteurs qui n’ont pas encore vu ce superbe chef d’oeuvre de drama animé qu’est Kimi ga nozomu eien. Le genre d’anime qui vous prend aux tripes sans que vous ne vous y attendiez.
  • La mélancholie de Haruhi Suzumiya est mentionné dans l’hebdo Newsweek!. Bon, c’est qu’une petite mention, l’article étant centré sur Youtube principalement. L’autre fausse info de l’article c’est qu’ils pensent que Haruhi est populaire grâce à Youtube… Ah j’aime le journalisme professionnel. Plus loin dans les commentaires du billet de Jason, on apprend que les ventes des 3 premiers DVDs sont des hits en puissance. Mais bon, c’est au japon, pas facile de dire si cela se produira ainsi si un jour Haruhi est licenciée en France. Aux States c’est déjà plus probable que ça arrive dans un avenir proche, mais j’imagine que le prix de la licence va être pharamineux.

Décidément, 2006 est une année faste en bons animes, et pour tous les goûts 🙂

Utawarerumono

Un titre un peu difficile à retenir au début mais on s’y fait vite, contrairement à plein de séries dont le nom m’échappe sans cesse.

Beaucoup de choses distinguent cet anime de ce qu’on a pu voir dans le même genre jusqu’ici. Pour commencer, c’est une adaptation d’un H-game de LEAF (les auteurs de To Heart, entre autres) et contrairement à leurs habitudes, il s’agit cette fois-ci d’un Tactical Hentai RPG. J’en vois d’ici esquisser un sourire à l’idée d’un « Tactical Hentai » et pourtant, c’est bien ce que Sakura Taisen aurait pu être s’il avait été developpé par une societé de jeux hentai, hein 😛

Mais revenons à nos moutons:

Le héros de l’histoire, qui n’a pas de nom au début, se reveille amnésique. Receuilli par la vieille d’un village et soigné par sa petite fille, Eruru, il va peu à peu gagner la confiance des gens sur place malgré son passé trouble, le fait qu’il soit un étranger et surtout, le fait qu’il ait un masque bizarre sur son visage et qu’il n’arrive pas à enlever…

Il va donc vivre dans ce village, menacé par une bête féroce de la forêt. Je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher la surprise, mais contrairement à n’importe quel anime adapté d’un H-game, l’histoire se suit plutôt bien et avance convenablement. D’ailleurs je trouve que l’anime emprunte aussi un petit air de Suikoden avec une rebellion qui se prépare… En tous cas on arrive très facilement à s’imaginer les phases Tactical qui s’imiscent entre les pans du scénario, et ils sont menés avec brio dans l’anime, même si on a jamais joué au jeu, comme moi.

La réalisation n’est pas tip top, mais certainement bien meilleure que la moyenne, avec des couleurs qui sortent bien et des animations très bonnes par endroits, à défaut de dessins très fins.

Au niveau ds personnages, j’étais un petit peu sceptique face à l’existence de personnage aux oreilles fury et même avec des queues pour certains, mais il faut bien dir que lorsqu’on voit Eruru et sa petite soeur Aruru, tout doute s’efface. Ce n’est pas mon fort en général, mais y’a pas à dire, Eruru is love.

Bon je sais que j’ai quelques trains de retard sur cette série de la saison passée, mais elle m’a agréablement surprise avec un début loin d’être fracassant mais bien plaisant tout de même. J’ai hâte de regarder la suite en tous cas: un très bon anime d’aventure dans un monde original et un tant soit peu sérieux (et adulte) ça manquait.

MaOTD #18 – Mecha Assault

Histoire de réconcilier les fans de mecha et de maids (mais bien souvent ils font bon ménage, y’a qu’à voir Gravion…) je vous proposer le premier prototype de la division mécanisée de mon armée de Maids à venir:

Bien sûr, l’image est disponible en plus grand… 🙂

Welcome to the NHK!

Welcome to the NHK est l’une de ces séries un peu étranges au premier abord dont le nom n’inspire rien ou presque rien au téléspectateur lambda. Pourtant, le terme NHK devrait être familier à certains connaissant un peu le Japon.

Welcome to the NHK ne parle pourtant pas de la compagnie de diffusion NHK, mais de tout autre chose. On suit l’histoire de Satou, qui entre deux délires proches de la folie, est un chômeur pur et dur depuis quelques années déjà. Vivant en réclusion, il est atteint du syndrome hikkikomori quand même assez répandu au japon quand on regarde de plus près. Les hikkikomori, ce sont ces gens qui s’enferment chez eux et se replient sur eux-mêmes, sans voir personne. Lisez donc l’article de Wikipedia plus haut si vous voulez en savoir plus, c’est assez intéressant…

Cependant, l’anime ne traite pas que de ça: Satou va faire la rencontre de Misaki, une jeune fille qui va s’intéresser à lui pour un certain « projet » bien mystérieux. Elle va le convaincre, non sans mal, de se guérir de son hikkikomori d’une façon peu banale.

C’est sans compter bien sûr sur quelques petits soucis, notamment le voisin de Satou, qui n’est autre qu’un ancien camarade d’école, et qui va l’engrainer dans l’otakisme, le lolicon et pire, dans l’écriture d’un jeu hentai. 😀

Welcome to the NHK est assez drôle à partir du moment où on ne prend pas la série pour un documentaire animalier sur les hikkikomori, mais comme une série animée comme une autre. Tirée de romans puis de mangas (je vous le disais que c’était la mode), Welcome to the NHK semble avoir plus d’un tour dans son sac, des personnages bien designés et simples à retenir. Clairement un bon divertissement, servi par une réalisation correcte de la part du studio GONZO. A mon avis, il lui manque néanmoins ce petit quelque chose pour en faire une série géniale, mais j’ai du mal à voir quoi…

Ca reste cependant à mes yeux une bonne série de l’été à regarder, sans aucun doute.

MaOTD #17

Je déclare cette MaOTD comme Maid of the Month.

(peu oseront me contredire, j’en suis certain.)

Ponytails turn me on.

Elle est même disponible en plus grand si on clique dessus 🙂

Petit teaser, au menu de cette semaine sur Maido-Rando, et si la flemmingite aigue ne me frappe pas trop fort: Welcome to the NHK, Utawarerumono (en fait faudrait que je commence à regarder avant) et encore d’autres Maid of the Day 🙂

Valkyrie Profile: Lenneth

Difficile de ne pas connaître Valkyrie Profile quand on est un amateur de RPG. On a forcément entendu parler de ce jeu sorti il y a de cela quelques années sur PSX. Difficile à trouver en anglais, le jeu est pourtant une perle rare comme on en fait plus dans le monde assez formaté des RPG japonais.

Valkyrie Profile vous met dans la peau, vous l’aurez deviné, d’une Valkyrie nommée Lenneth. Son but est de rassembler des héros afin de constituer une armée digne de ce nom pour la grande bataille là-haut, entre les dieux. Lenneth se bat pour Odin, divinité des Aesirs.

On a un certain nombre de « périodes » avant la fin du monde et chaque donjon ou ville visitée vous coutera un certain nombre de périodes. Chaque chapitre du jeu est divisé en 24 périodes. A la fin d’un chapitre, vous pourrez consulter l’état de la guerre là-haut, savoir quel genre de héros il manque à votre armée, obtenir des sous en récompense et savoir si Odin apprécie votre performance à Midgard, le monde des mortels.

On sent l’influence Nordique, et Lenneth ne sera pas sans rappeler Brunhilde de la mythologie en question, dans son apparence et ses actes au cours du jeu.

Dans les grandes lignes, le jeu se résume donc à recruter des héros proches de la mort, via des séquences non-interactives mais de fort belle facture narrative. Lenneth a en effet le pouvoir d’entendre les humains proches de la mort et d’aller les approcher pour voir si oui ou non ils sont suceptibles de devenir un jour de grand héros.

C’est ce qui fait la force du scénario du jeu: chaque personnage recruté a une histoire bien a lui, un style bien défini, un caractère bien différent des autres, et vous arriverez à trouver sans problème quels persos à envoyer à la guerre et lesquels garder avec vous pour explorer les donjons du monde de Midgard. Tout le dilemme du joueur se trouve là, car avant de les envoyer à la guerre, vous devrez les faire progresser pour qu’ils deviennent de vrais héros.

Le jeu est assez adulte par moment. Ca cause de mort, de sexe, de trucs un peu gores et violents, ça donne une certaine ambiance à l’aventure, qui a bien une trame principale, que vous avez le choix de suivre ou non. Il est quand même conseillé d’essayer de la suivre si on veut avoir la meilleure fin du jeu, et ça consiste à retrouver le passé de Lenneth. Le prologue, bien qu’assez long, vous donnera des indications sur le sujet.

Valkyrie Profile n’est pas seulement original scénaristiquement, il l’est aussi dans son gameplay.

En effet, tout le jeu se joue en deux dimensions. Pas de 3D, pas de déplacement vu du dessus, le jeu est uniquement vu de profil,e t on se déplace se droite à gauche un peu comme dans un jeu de plates-formes. Ca permet d’avoir des décors absolument somptueux, superbement dessinés, et un jeu rapide et fluide. On pourrait penser que les 2 dimensions limitent le joueur mais en fait non. Un peu à la manière d’un Castlevania du bon vieux temps, on peut sauter, grimper, éviter les combats, entrer dans les portes ou les sorties en haut et en bas, et c’est un plaisir absolu à jouer.

Come to me dark warriors, battle awaits us!

Quant aux combats, uniquement en 2D aussi, on se rapproche un peu plus de ce qui se faisait du temps de la Super NES, sauf que le mécanisme de jeu est aussi simple que complexe: chaque bouton de la PSP (enfin ceux de droite) sont affectés à un personnage et le fera attaquer. Presser le bouton plusieurs fois le fera attaquer plusieurs fois si son arme le lui permet. A partir de là, dés qu’une attaque est lancée, les autres peuvent être lancées en temps réel ici, et c’est à vous de réaliser les combos adéquats pour briser la garde de l’adversaire, l’envoyer en l’air pour le frapper afin qu’il donne plus d’XP ou des items, ou tout simplement faire une série de furies devastatrices.

Bien sûr ce n’est pas que bourrin, il y a des sorts à utiliser, des monstres plus balèzes que d’autres contre certains éléments, des armes spéciales qui peuvent se briser, des mix d’items à faire pour en obtenir d’autres, des skills à débloquer, des points de compétences à mettre aux Level Up, des choix à faire, des points d’XP à distribuer, bref… on s’ennuie pas.

Allez, encore une petite vidéo ingame courtesy of Gamekult.

Techniquement le jeu frise l’orgie globale: c’est beau, c’est super beau. Un peu flou par moments sur l’écran de la PSP mais c’est toujours vachement beau. Les temps de chargement tant redoutés se font difficilement sentir, les voix sont de très bonnes qualité, même les doubleurs anglais font du bon boulot, et le jeu bénéficie d’excellentes musiques, du même compositeur que les Star Ocean (normal c’est du Enix/Tri-Ace à la base…)

A noter que pour cette version PSP, sortie fin juillet en anglais aux US, Square-Enix a remplacé certaines séquences importantes du jeu par des séquences en CG absolument somptueuses. Je ne me souviens plus de leur équivalent ingame mais c’est quand même sacrément beau.

Bien qu’un peu spécial, Valkyrie Profile reste un excellent jeu pour sa PSP, une valeur sûre, avec une myriade de scénarios profonds, plusieurs fins, une réalisation excellente, et un gameplay facile à appréhender et difficile à maitriser. Il est populaire parmi les fans, et c’est pour une bonne raison.

MaOTD #16

Non, je ne suis pas mort, n’en déplaise peut-être à certains 🙂

Le manque de posts actuellement sur Maido-Rando se justifie par la saison estivale, Blind Spot, le NAGC 3, Eve Online ou bien tout simplement l’alignement des astres… 🙂

En attendant que je regarde tranquillement les premiers épisodes de Welcome to the NHK (oui j’ai du retard, je sais.), voici la Maid of the Day 16, maid of pure win, j’ai nommé, Saber 🙂

Cliquez pour l’avoir en plus grand, comme d’hab’.