MiOTD #7
Pour me faire pardonner du retard pris sur les Miko of the day et les Maid of the day, et aussi parce qu’il n’y a pas encore eu de MiOTD #7, la voici, ou plutôt les voici!
Pour me faire pardonner du retard pris sur les Miko of the day et les Maid of the day, et aussi parce qu’il n’y a pas encore eu de MiOTD #7, la voici, ou plutôt les voici!
Avant de commencer, quelques nouvelles du front:
En essayant de faire découvrir La mélancolie de Haruhi Suzumiya au monde entier, je suis parfois confronté dans ma mission divine pour répandre le Haruhiisme, à des personnes qui ne voient aucun intêret dans cette série pourtant excellente sur bien des points. C’est simple, je n’avais jamais été aussi en transe pour une série depuis Mahoromatic, c’est dire.
Le reproche fait à la série? Trop populaire, fanservice, pas drôle, cliché, et d’autres raisons que j’oublie encore. Je ne vais pas m’amuser à défendre la série sur tous ces points: ceux qui reproche à Haruhi d’être cliché n’ont bien évidemment jamais regardé plus de 3 épisodes. Tant pis pour eux.
Je ne vais pas non plus m’éterniser sur le fanservice affiché dans la série. Je considère le fanservice comme étant un terme très large. Pour moi, ça ne veut absolument rien dire. En regardant une série qu’on aime, qu’elle soit sérieuse ou pas, ecchi ou pas, on consomme du fanservice, puisque ça nous fait plaisir de la regarder, non? Ca parait simpliste comme raisonnement, mais pourtant… il serait temps pour certains de se poser des questions.
Mais alors, pourquoi tout ce hype autour d’une bête série de 14 épisodes seulement? Tentons de voir d’un peu plus près ce qui fait de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, une histoire si populaire.
En premier lieu, les personnages, avec chacun leur petit trait personnel:
Mais c’est aussi un opening et un ending difficiles à oublier. En tous cas lors de l’epitanime 2006 cela a fait son petit effet lors du Karaoké.
Il y a également de nombreux hommages à différentes séries ou livres, à commencer par Full Metal Panic qui font bien sourire.
Cependant, ce qui est le plus attirant à mon avis dans cette série, c’est toute l’étrangeté de la situation, qui amène à se poser plein de questions. J’en veux pour preuve toutes les hypothèses délirantes qu’on peut trouver sur le Net. Il y a des choses tout à fait possibles, et d’autres complètement loufoques. Je vous laisse juger (attention ça va spoiler grave) :
L’épisode 00 peut surprendre voir dégouter de suivre le reste, mais depuis quand faut-il se fier au seul premier épisode d’une série? On aime ou on aime pas. Qui plus est, rien n’empêche de le zapper, étant donné l’ordre bien mélangé des épisodes (à noter que les DVDs japonais auront les épisodes dans le bon ordre.)
C’est assez rare de voir un anime monter en popularité dés ses premiers épisodes diffusés, et ce de façon internationale. La Mélancolie de Haruhi Suzumiya fédère en effet beaucoup de genres à lui tout seul: romance, science-fiction et humour principalement. L’attention du détail (les livres lus par Yuki, les objets dans les pièces, les décors, les réactions des personnages) est assez bien rendue par Kyoto Animation, et l’anime rend justice aux romans pour le moment. Enfin j’ai lu que le premier, mais ça m’a déjà beaucoup plus.
J’invte tout le monde à découvrir cette série et à la montrer à vos amis. Nerae Fansubs fait d’ailleurs un travail correct sur les 2 premiers épisodes (même si j’aime pas trop leur typesetting, la police utilisée quoi) en français.
Haruhi dominera le monde! 🙂
EDIT: J’en ai marre, quand c’est pas Matt, c’est FFenril qui me bat sur une idée de billet 🙂 Voici donc une autre vision sur la popularité de Haruhi, avec un résumé de l’épisode 10 en cadeau bonus.
School Rumble est l’une de ces séries sans queue ni tête mais divertissantes, où l’on sait que chaque épisode viendra nous combler en humour. Il faut dire que l’anime a un certain goût de Azumanga Daioh mais en moins enfantin. Je n’ai rien contre Azumanga, hein, ne vous méprennez pas. J’adore aussi cette série. 🙂
Pour en revenir à SR, il n’y a pas vraiment d’histoire, mais une situation de base: La jeune Tenma Tsukamoto aime son camarade de classe Karasuma, qui lui ignore tout le monde. Mais Harima, le grand loubard de l’école, lui, en pince pour Tenma, et chacun va tenter de faire comprendre à l’autre ce qu’ils ressentent. Malheureusement à chaque fois ça loupe, de façon plutôt amusante.
Encore une fois, comme pour Azumanga, il n’y a pas qu’un ou deux héros, mais plusieurs. On suit en fait les tribulations de toute une classe (et de quelques camarades hors de celle-ci parfois) et il faut bien admettre que chaque personnage est plutôt attachant, sans tomber dans un quelconque stéréotype. La force de SR réside dans ses personnages originaux et ses petites histoires qui permettront de mieux s’attacher à toute cette classe de lycéens.
La série tire quelques scènes pleines de références, comme cette course poursuite à vélo où Tenma et Karasuma-kun grillent sans problème la Trueno 86 de Takumi dans Initial D, je ne parle même pas d’autres hommages à Matrix ou Battle Royale… Ces passages sont toutefois assez rares pour surprendre le téléspectateur et être appréciés à leur juste valeur.
Pour le moment, la série est composée d’une bonne poignée de Mangas (12 à l’heure actuelle), qui ne sont toujours pas terminés. La série animée est néanmoins très bien, et vous réjouira pendant 2 saisons de 26 épisodes (la seconde est en cours de diffusion en ce moment.)
Si vous avez aimé Azumanga, nul doute que vous adorerez School Rumble. Pour ceux qui n’ont pas connu Azumanga Daioh, ce n’est pas grave. Enfin, si, mais pas pour l’appréciation totale de la série 🙂
Bref, si vous voulez une série légère qui détend, foncez de suite, School Rumble se dévore comme du pain sorti du four.
Cinquième opus de la série Suikoden, cet épisode 5 n’augurait rien de bon. A vrai dire, avec les flops successifs des 3 et 4, on se demande encore comment Konami a pu remettre le couvert pour un cinquième. Et pourtant, ils l’ont fait…
Je situe l’histoire rapidement: vous êtes un Prince, un vrai, un blond, qui sent le sable chaud. Vous revenez d’un voyage accompagné de Sialeeds, votre tante, Georg, son garde du corps et ami de votre père, et Lyon, votre adorable garde du corps.
Lyon, avec le prince sur le screenshot à droite. Oui, elle est très mignonne. Oui, j’espère qu’il va se passer quelque chose entre les deux d’ici la fin du jeu.
Vous revenez donc au palais où votre père, le commandant en chef des chevaliers, et la reine, votre mère, vous attendent. Falena est un royaume, ou plutôt un reinaume, dirigé par des reines et non des rois. De ce fait, votre petite soeur, Lymsleia, sera la prochaine sur la liste. Elle est encore une petite princesse, mais elle vous adore et vous coulez des jours heureux. Enfin presque: un jour, suite à une rebellion à Lordlake, une ville non loin, la Reine a utilisé la Sun Rune contre la ville, les privant ainsi d’eau, créant de nombreux malades et morts dûs à la sécheresse et l’absence d’eau potable. Ah oui, vous revenez justement d’un voyage à Lordlake, où on vous a pas super bien acceuillis il faut dire. C’est tout a fait compréhensible, non?
Mais voilà, il va se passer des choses qui vont forcer notre héros à combattre et à prendre en main une armée, comme tout bon Suikoden qui se respecte.
La marque de fabrique des Suikoden, c’est avant tout:
Soyons clairs, Suikoden 3 et 4 ont failli sur plusieurs de ces points, mais Suikoden 5 sonne la réconciliation, le retour aux sources, bref, le bonheur intégral. Enfin non, pas exactement: ce dernier opus a quand même quelques lacunes d’ordre technique. La réalisation est pour le moins perfectible, les temps de chargements assez nombreux (sauf lorsque vous installez le jeu sur le disque dur, là ça tourne tout de suite mieux), et les combats d’armée qui sont un peu pénibles et creux. (rien n’égalera les batailles du premier)
Le bon retour aux sources, c’est bien évidemment les combats à 6, cette fois avec plusieurs formations possibles qui donneront divers bonus, mais aussi une vue du jeu de haut, comme dans le 1 et le 2. Forcément, comme c’est en 3D, on a une vue un peu de côté, mais ça reste néanmoins très agréable à piloter, à dix mille lieues des déplacements lourds à la 3ème personne de Suikoden 4, et ne parlons même pas des déplacements en mer de ce dernier, une véritable horreur…
C’est définitivement un retour aux sources, avec quelques améliorations comme la possibilité de se spécialiser dans différentes compétences (attaque, agilité, technique, défense, endurance…) de faire des runes a partir de pièces éparpillées, et d’autres petites choses sympathiques.
Viki, un personnage récurrent des Suikoden
Le design des personnages est plutôt coloré et agréable, et le rendu 3D, a défaut d’être très détaillé, rend plutôt bien. Oui, c’est cubique et les textures sont pas terribles par rapport à un Final Fantasy XII, mais l’émotion de certaines scènes passent. J’en ai parfois ressenti des frissons, ce qui confirme que ce Suikoden 5 est plutôt bon 🙂
En haut, Luserina, la fille d’une des grandes familles de nobles du jeu. Elle vous sera très utile. En dessous, la jeune princesse Lymsleia et sa garde du corps, Miakis.
Non, sincèrement, je ne suis pas déçu de ce Suikoden, même si après un petit temps de jeu je viens d’avoir mon chateau à peupler, j’ai la trés désagréable sensation d’avoir fait une bonne partie du jeu déjà. J’espère que ce sentiment ne sera pas confirmé par la suite 🙂
Je vous recommande de vous jeter dessus en import, si l’anglais ne vous effraie pas. C’est assez facile à comprendre ceci dit.
Comme j’en ai un peu marre du spam sur mon blog, j’ai décidé de me bouger un peu les fesses, et j’ai mis un captcha (un système de détection d’humains :P) sur le blog lorsque vous voulez laisser un commentaire.
Faites donc bien attention si vous décidez de poster dorénavant, il ya un champ de plus à remplir, il suffit juste de répondre à une bête question de maths.
J’ai trouvé ça sur le forum de Dotclear pour les intéressés.
J’ai décidé de faire un petit résumé des séries que je regarde en ce moment, déjà à un état bien avancé (une petite dizaine d’épisodes) et celles qui se sont terminées récemment. C’est parti pour un tour!
En parlant de Gainax justement, il se trouve qu’ils vont faire la nouvelle saison de Negima avec l’aide de SHAFT (REC, Mahoromatic, Konomini, et quelques autres trucs). J’ai hâte de voir ce que ça va donner.
Comme pour les vidéos du Japon, ces vidéos ne vont pas rester 107 ans, donc ayez le réflexe du leecher en herbe et téléchargez à tout va. 🙂
C’est par ici que ça se passe.
Bon, je suis a peu près reposé pour faire une petite review de cette Epitanime, édition 2006.
Cela fait maintenant 5 ans que je cotoie l’Epitanime, et quoi qu’on en dise, pour moi ça reste la meilleure convention d’anime en France: elle est peut-être à ranger dans le camp du « amateur » mais elle a ce petit charme justement qui fait qu’on s’y sent entre fans d’anime et de manga, et pas entre commerciaux voulant vendre des produits et organisateurs voulant vous extorquer votre fric.
Enfin, retournons à nos moutons.
J’arrive sur le coup de midi avec Rasta, et on entre, bien aprés tout le monde, mais au moins pas de queue interminable.
Bizarrement, ça commence par une fouille de sac: au moins cette année ils ont pas lésiné sur la sécurité. Le type, loin d’être une armoire à glace, tate le sac et est plutôt aimable pour un gars de la sécurité. Il nous laisse passer et on achète nos places.
Deuxième nouveauté cette année, les bracelets velcro. Ouais, des bons gros bracelets qui abiment mon poil soyeux quand on les enlève, mais qu’importe. Ils sont de couleurs différentes selon la nocturne ou la journée. C’est disons beaucoup plus visible qu’un badge une fois au bras.
Bon, le temps est pas super, mais au moins il ne pleut pas. Je retrouve mes potes les Rafaux, pour une fois en grand nombre, dehors, et on s’immisce à l’intérieur de la cour.
En un an, rien n’a changé, toujours des spectacles, des concours délire par l’équipe Tsubasa, des salles de jeux et de projection… De toutes façons je n’étais pas venu pour découvrir mais pour être avec mes potes. On fait un petit tour au sous-sol en premier, en se séprant en petit groupes…
Cette année, un grand absent: Konci. Enfin, disons qu’ils l’ont un peu cherché. Lorsqu’on leur a bien fait comprendre qu’il n’y aurait pas de marchandise HK cette année, sous AUCUN prétexte, ils ont trouvé une excuse bidon pour ne pas venir. Qu’à cela ne tienne, ça a permis à d’autres magasins de s’installer pépère et de montrer leurs produits. Globalement il n’y avait rien de transcendant, mais chacun des Rafaux a trouvé un petit truc à acheter. Moi, j’étais principalement venu chercher des mangas que j’achète d’habitude par le net. Ca évite de me faire livrer.
Les différents stands faisaient des promos intéressantes, mais rien qui ne me tente plus que ça. C’est que, avec un voyage au japon le mois d’avant, tout ça me paraissait bien petit comparé à Akihabara. J’ai quand même appris que Ichigo 100% sortait en manga dés juin chez Tonkam. J’ai quand même bien rigolé quand j’ai vu que leur accroche était « Le nouveau Video Girl Ai ». Oui les gars, c’est bien… continuez à fumer la moquette du sous-sol de l’epita, ça vous fait du bien 🙂
Bref, la journée du samedi s’est plutôt b ien déroulée, et on s’est globalement bien amusés à voir tous les stands, et à écouter le concours de chant dehors. Il y a eu quelques chanteurs plutôt talentueux, notamment la fille qui a interprété Get Wild de City Hunter. Vraiment bien 🙂 J’aurais dû la filmer.
Le soir, repas au Lai Lai Ken avec tout le monde, plus nOsi et Scytale/Dom. Corsaire et Darksoul nous rejoignent pour l’occasion. On bouffe tout ce qu’on peut, il faut dire que ce restaurant, dans le quartier Pyramide, est vraiment excellent. J’ai cru un moment être rtourné au Japon 🙂
Mais le plus gros morceau c’était le soir, pour le Karaoké Toyunda. Une fois sur place, on s’est un petit peu divisés, certains sont allés en salle de jeux vidéos, moins peuplés que d’habitude, et d’autres sont partis s’asseoir à la salle de karaoké à côté. On sent que l’Epitanime c’est rodé maintenant. Des pauses toutes les deux heures pour aérer et prendre des requêtes des gens. Certains, comme moi, voulaient entendre certaines chansons plus que d’autres, et l’orga chargé de les récolter a rempli deux colonnes de son calepin avec. De quoi tenir bien 2 heures facile.
La salle jeux vidéos était bien rempli, avec des consoles d’il y a 20 ans, et d’autres beaucoup plus récentes. On a vu pas mal de jeux de passionés, des shoot’em up de folie, des vieux jeux de baston, ou encore une belle Neo Geo sur laquelle tournait Windjammers. Neogeo que Minotaure a beaucoup beaucoup beaucoup squatté 🙂
Mais retournons au Karaoké: J’ai pu filmer quelques passages comme le traditionnel X-Japan ou bien d’autres moments que Minotaure a filmés pendant que je m’égosillais la voix. Ma soirée n’aura pas été vaine, car l’ending puis l’opening de Haruhi Suzumiya no Yuutsu sont passés, et ont apparement plu (surtout l’ending. On notera aussi la version longue de Ike Ike! de la HINOI Team, qui a servi d’ending à Ichigo 100% en anime. Du tout bon, surtout si on ajoute à ça l’ending de Mahoromatic, Mahoro de Mambo.
Non, la programmation de la nuit était très bien, même si moins fournie en animes Français que d’habitude, ce qui tend à perdre certains peu habitués à chanter en japonais et ne connaissant que peu d’animes.
Dehors, on a eu droit à quelques attractions comme un spectacle de Yatta! (si vous connaissez pas… vous manquez quelque chose.) en live.
Le Karaoké a duré toute la nuit, et vers 6h du mat, on a trouvé un coin ou dormir après avoir été photographier Allion, Burn et Darts qui pionçaient dans la caisse de Burn, garée pas loin d’Epita.
Après ben, sortie de l’Epita, p’tit déj dans un café avec croissants, pain et autres joyeusetés, avant de retourner s’installer pour le cosplay.
Oui, car l’attraction du dimanche, c’est le cosplay. Je ne m’attendais pas à grand chose. En fait ça fait des années que je ne m’attends plus à rien en cosplay. J’en ai assez des costumes de jeux vidéos sortis d’on ne sait où. Les Final Fantasy, les Magna Carta, les Naruto, les Saint Seiya, on en a vu cette année, et ça ne m’a pas impressionné plus que ça. Oui, je vais me faire haïr des cosplayeurs, et je sais très bien que l’effort qu’ils mettent dans leurs costumes est impresionnant parfois, mais un peu d’originalité bordel! Il y a tellement de séries sympa avec des costumes qui ne demandent pas grand chose. Je sais pas moi, pourquoi pas un cosplay Genshiken par exemple? 😀
Bref, il y avait un beau défilé avant le cosplay, vu que les cosplayeurs devaient bien se rendre sur place. En attendant on aeu droit à une petite animation signée Tsubasa mais aussi à un DJ God (jeu où il faut reconnaitre des génériques d’animes de quelques secondes mis bout à bout) spécial « consoles de jeux ». Un pur bonheur: tout était fait en sons NES, et il était difficile de retrouver tous les animes parfois. Du super boulot de la part de celui qui a préparé ça, j’ai tout filmé et je me le garderai pour plus tard.
N’empêche, à un moment, alors que le grand écran passait des clips du Toyunda pour passer le temps, je discutais avec Stok qui lisait ses mangas de GTO fraichement achetés, quand mes oreilles entendent quelque chose. Une musique troublante, suivi de petits cris. Je lève la tête, et je reconnais tout de suite le clip promo / intro du jeu Air, le truc à absolument ne pas diffuser en projection, vu qu’on y entend une fille pousser des cris de jouissance alors que du texte et des images défilent à l’écran. Là où c’est l’echec critique total de la part du mec qui a fait la playlist, c’est que quand même, on était dehors bordel, avec les enceintes à fond… C’était limite si on aurait pu croire qu’un film de cul passait dans la cour! Enfin, d’aprés mes sources, le responsable a été pendu haut et court.
Passé ce petit imprévu, le cosplay a pu démarrer. Et a ma grande surprise, cette année a été plutôt bonne. J’ai due barrer chopper mon train avant la moitié du cosplay de groupes, mais je n’ai pas regretté ce que j’ai vu: du Scrapped Princess, du Street Fighter (très rigolo le Zangief) et d’autres joyeusetés originales et bien sympathiques. Pour une fois, je ne me suis pas ennuyé du cosplay, contrairement à l’an dernier par exemple.
A noter qu’il y avait une cosplayeuse japonaise sur place, visiblement invitée: Maya était en cosplay de Rozen Maiden, et elle a franchement fait bonne impression. Qui plus est, elle était bien mignonne. 🙂 Mino a réussi a prendre une photo avec elle.
Au final, je me suis bien amusé. L’Epitanime reste pour moi un bon moyen de voir tous mes amis du Havre, et puis certains de Paris. Cela fait longtemps que j’ai passé l’âge de faire mes emplettes. Le seul truc qui me manque c’est le fansub en projo… Mais bon, je comprends aussi les motivations des orgas, c’est juste dommage, ça faisait aussi parti du charme de l’Epitanime.
Voilà mes impressions, encore une bonne année. Moins de visiteurs que l’an dernier, je trouve, mais ça s’explique facilement par le fait que cette année, Epitanime n’est pas la seule convention parisienne.
Je suis encore un peu naze même un jour après la convention. je dois avoir 8 heures de sommeil à tous casser sur les 3 derniers jours.
Vous trouverez quelques photos par ici. Pour ceux qui ne connaissent pas trop les Rafaux, le plus intéressant sera le dernier batch de photos, avec du cosplay.
Oui, je suis nul en cadrage, mais vous ferez avec.
Plus tard, genre demain, ou tout à l’heure si j’arrive pas à dormir, je ferai un rapport bien plus complet sur ce que j’ai pensé de la convention. Ca n’égalera jamais les rapports du Raton, mais je tiens à donner mes impressions personelles 🙂
Vu sur le blog z’a n0si, voici un webcomic pour le moins… spécial 🙂
Je vous laisse le découvrir, j’ai nommé: Mes Voisins Les Pixels.
C’est totalement nul et dépouillé mais j’adore 🙂
Une Maid of the Day un peu particulière aujourd’hui car… elles sont plusieurs, et en plus, elles sont toutes de Fate Stay Night. Je vous présente le Harem de Shirou (ou de Rin, c’est selon :P)
Avant de commencer, vous trouverez toutes les ressources ici:
Et maintenant le récit du voyage…
Fate/Stay Night est l’un des derniers jeux du studio TYPE-MOON à qui l’on doit notamment Tsukihime.
FSN est donc issu d’un jeu hentai , tout comme Tsukihime, mais doté d’une histoire profonde et pleine de magie. Les fans de TYPE-MOON ne seront pas déçus du voyage:
En gros, tous les dix ans, une guerre pour le Saint Graal occupe sept magiciens, qui font appel à des Servants, sortes d’esprits de héros défunts pour les aider à obtenir le Saint Graal tant convoité, qui permet d’exaucer n’importe quel voeu.
Il y a tout un tas de régles, ce qui rend cette grande bataille assez intéressante.
L’histoire se focalise sur Shirou et Rin, deux jeunes qui vont s’allier par la force des choses afin de battre les 5 autres magiciens et leurs Servants. Shirou obtiendra l’aide de Saber, la plus puissante, qu’il aura invoqué sans vraiment savoir comment, et Rin aura Archer.
Chaque esprit, qui possède un corps matériel une fois invoqué, est en fait issu d’un héros légendaire (je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler) et qui reflète bien leurs capacités. Ainsi, Saber se bat essentiellement avec une épée invisible, en robe et armure, par exemple. Ils affronteront des servants comme Assassin, Caster, Lancer…
Bref, tout y est pour une sorte de Battle Royale entre Masters et Servants. Si on ajoute à cela une animation plus que correcte, des designs qui poutrent et une ambiance très magie et esprits, on obtient un anime sérieux mais agréable à regarder.
Bien évidemment les scènes H du jeu ont été brillament « oubliées » ou un peu « masquées ». Il faut savoir par exemple que pour recharger la mana de Saber, Shirou doit coucher avec… 🙂
Comme vous aurez pu le voir sur les photos de mon voyage J’ai acheté une Saber en figurine, 1/6, super belle de surcroit.
Si on ajoute à cela le fait que Saber est doublée par une trés sérieuse et très dangereuse Ayako Kawasumi-sama, je ne pouvais pas rester de marbre devant une telle série 😛
Un très bon cocktail en tous cas si vous aimez les histoires un tant soit peu sérieuses avec leur lots de surprises et rebondissements.
Cliquez sur l’image pour l’avoir en grand 🙂
Qu’est-ce que Blogchan ? C’est le pendant français de Blogsuki qui est ni plus ni moins qu’un aggrégateur des blogs sur l’anime et le manga. Son créateur m’ayant ajouté très courtoisement je ne vois pas pourquoi je ne lui rendrais pas la pareille… 🙂
Je vais très souvent sur Blogsuki lorsque des épisodes de séries que j’aime sortent. C’est également un très bon moyen de découvrir les réactions de gens sur de nouveaux animes qui sortent. Je vous invite donc à consulter et Blogsuki et Blogchan quotidiennement.
Tous mes voeux à Blogchan, j’espère que l’aventure continuera longtemps 🙂
Titre logique après un « Je pars » soudain pour certains, je suis de retour du Japon et ça poutre vachement quand même.
Corsaire et moi avons uploadé un bon paquet de photos et vous allez vraiment halluciner avec certains clichés 🙂
Je posterai bientôt plus d’infos et des vidéos, vous verrez 🙂