Open Sesame
Dans ma quête sans fin pour trouver de l’occupation afin de passer mes passionnants cours sur Windows 2003 Server et Terminal Server, je me suis mis en tête d’essayer quelques mangas traduits par AnimeWaves. J’y ai trouvé quelques petites choses bien sympa comme Heaven’s Prison, Pastel, ou encore là, Open Sesame, que j’ai commencé.
On va commencer par l’histoire: notre héros est un homme, un vrai, il fait de la boxe, et il aime ça. Il est même très bon d’ailleurs. Sur sa petite île du japon il finit champion du tournoi régional. Seulement voilà, il est obligé de laisser derrière lui son ami d’enfance, Aoi, pour partir à Tokyo où son père doit s’occuper d’un dojo. Il y va donc avec sa soeur, Yayoi, et tous deux vont chacun dans une école différente.
Le problème, c’est l’école de notre héros (Banjo Yamato je crois). Jusqu’à l’année de son transfert, l’école était réservée aux filles. Ce qui fait qu’en première année, il y a peu de garçons. Le rapport est même d’un mec pour neuf filles ! Où est le problème, me direz-vous? Ben le problème, il est tout trouvé: les filles font carrément leur loi au sein de l’établissement, et sont du genre méprisantes vis à vis des garçons, qui s’écrasent et obéissent au doigt et à l’oeil de ces demoiselles. De vraies garces!
Yamato ne sait que boxer, il va donc avoir du pain sur la planche pour se faire respecter, car lui est bien décidé à ne pas se laisser faire.
La fille en image plus haut est Mogami-san, c’est un peu la « chef » des filles de la classe, et elle ne semble pas apprécier notre héros, qui se demande bien pourquoi elle lui en veut, et surtout, pourquoi de temps en temps, elle semble avoir ce petit sourire qui en dit long sur ses intentions machiavéliques (genre elle s’approche discrètement, et paf, prise au sol :p)
Mon avis après avoir dévoré le premier volume (une dizaine sont disponibles sur le site web pour le moment) c’est que c’est assez agréable à lire. Le dessin n’est pas transcendant mais clair et précis. Les filles sont relativement mignonnes, et montrent plus souvent un soupçon de poitrine plus qu’un bout de pantsu, ce qui est tout de même rafraichissant par rapport à la moyenne. Le manga n’est néanmoins que très peu ecchi, n’en déplaise à certains.
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