Pastel

Je crois que ce qui m’a intéressé en premier lieu sur le manga Pastel dispo chez AnimeWaves (décidément, encore eux!) c’est son graphisme plutôt agréable à l’oeil sur la couverture. Comme j’ai du temps à perdre en ce moment (comment ça, ça se voit avec tous les billets que je fais en ce moment?)

Pour en revenir donc à Pastel, c’est un manga, qui, une fois n’est pas coutume, commence par le héros, Mugi qui rompt avec sa copine, Hinako. Tout ça parce qu’elle s’en va à Tokyo pour ses études, comme si la distance ça avait tellement d’importance…!

Pour lui éviter la déprime totale, son pote un peu rasta Kazuki va l’inviter chez sa tante qui tient un p’tit restau sur une île du Japon, pour lui changer les idées et lui permettre de draguer des filles.

Ca ne loupe pas: Mugi surprend une jeune fille qui se change en maillot de bain devant lui, et c’est le coup de foudre. En voyant cela, la fille en question n’hésite pas à lui demander 120 yens parce qu’il l’a vue se changer… 😛

Mugi va alors sortir un peu avec lal jeune fille, Yuu, sur l’île où il est, mais ça ne va pas super bien se terminer. C’est ainsi que Mugi va tenter de la retrouver sans succès. Décidant d’abandonner, il rentre chez lui plus tôt que prévu, et tombe nez à nez avec Yuu, chez lui. Comment ça se fait? C’est très simple: les parents de Yuu (et de sa soeur, Tsukasa) sont morts récemment, et le pèrèe de Mugi, qu’on ne voit pratiquement jamais vu qu’il bosse, avait fait une promesse à son grand ami qu’il s’occuperait de ss deux filles s’il lui arrivait malheur. Voilà donc l’aimable et un peu naive Yuu, et son énergétique petite soeur Tsukasa, devant des « membres de la famille » de Mugi, aux yeux des villageois (pour éviter toutes rumeurs…)

C’est là que le héros, très gentil au demeurant, tombe nez à nez avec un cas de conscience: Il aime Yuu, mais peut-il lui dire sachant que ça pourrait rendre leur situation plus que bancale, et trop embarrassante pour elle, au point où elle devrait quitter la maison, et ne plus avoir de toit où aller? Pour elle, il cachera ses sentiments au mieux, mais c’est sans compter les interférences extérieures que je ne citerai pas pour vous gâcher le plaisir.

Comme vous le voyez, le dessin est très agréable, et surtout, surtout, Yuu n’est même pas kawaii. Elle est tout simplement super mignonne. Elle a en tous cas gagné un bon pour avoir son nom sur un des disques durs de Mahoro ^^. Elle fait également preuve d’une naiveté toute rafraichissante, comparée aux anime girls faisant habituellement l’objet de convoitise des héros dans ce genre d’histoire. Bien sûr, elle ne manquera pas de se mettre en colère lorsque Mugi se rincera « accidentellement » l’oeil mais elle le pardonnera presqu’aussitôt. Les situations ne sont pas du tout exagérées à la Love Hina, le tout restant assez réaliste pour qu’on s’accroche à cette histoire qui a l’air super mignonne mais un peu tordue au premier abord.

En tous cas, moi j’adhère complètement. Les dessins sont très jolis, c’est agréable à lire, pas prise de tête, et évidemment, un peu ecchi (ah que voulez-vous, fallait bien que ça me captive d’une façon ou d’une autre… :D) sans être graphiquement explicite. Du tout bon!

Pour ceux qui voudraient voir d’autres scans, j’en ai mis quelques uns de Yuu dans la suite de ce billet, vous n’avez qu’à suivre le lien pour admirer sa kawaiitude.