Auteur/autrice : Axel Terizaki

Sésame ouvre-toi!

Au fur et à mesure que je lis le manga Open Sesame actuellement en traduction chez AnimeWaves, je commence à comprendre le titre. C’était vraiment loin d’être évident au début, mais maintenant ça l’est a peu près.

Ce que je pense donc de ce manga? Il est fort charmant. Loin d’être transcendant, mai sfort agréable à suivre. Les filles sont d’un kawaiisme, il y a peu de pantsus pour déranger la vue, et le seul truc un tant soi peu ecchi reste les décoltés de certaines des filles montrant toujours un soupçon de leur sainte vallée… Ahem, mais à part ça, rien de choquant.

Les personnages sont assez nombreux et fort attachants, et bien que certains chapitres remplissage sont à déplorer, il y a quand même une histoire qui avance un peu. Ca ne s’adresse pas aux fans de boxe en fait, malgré le fait que le héros soit un boxeur expérimenté, mais l’intrigue est surtout centrée sur les déboires amoureuses et scolaires des protagonises, le tout restant très sérieux.

Définitivement une bonne lecture pour s’occuper! 🙂 Si vous avez aimé Ichigo 100%, ou encore d’autres histoires romantiques se passant dans un lycée, vous aimerez Open Sesame, c’est sûr.

La Loose

Oui bon d’habitude je ne poste pas ma vie dans mon blog, j’aime pas ça du tout. Mais cette journée là n’était absolument pas comme les autres, alors autant vous la faire partager un peu hein?

Hé oui, moi qui d’habitude fait preuve d’une moule légendaire, d’une chance de cocu, ben vendredi dernier, le jour du début de la SLF 11, j’avais la loose, mais genre la maxi loose.

J’vous explique en détail…

08:00 – Je me réveille sur un coup de fil « Guillaume je passe te prendre dans 10 minutes! » c’était un collègue… De toute évidence mon réveil n’a pas sonné, je ne suis pas prêt. Résultat, coup d’eau vite fait, rasage grande vitesse, bouffage de pain rapide et jus d’orange pour avoir un semblant de vitamines et tenir jusqu’à midi. Pour rappel on avait cours à 08:30.

09:15 – On est arrivés. Un putain d’accident sur le périphérique toulousain (oui, els toulousains conduisent comme des cons) nous retarde et on arrive avec 3/4 d’heure. Bah de toutes façons c’était un cours chiant sur Active Directory…

09:30 – Les affectations tombent. On attendait ça depuis le début de l’année, alors vous vous imaginez que de voir que je me retrouve à Orléans au lieu de Nantes (c’est en cours de débat à la comission d’appel au moment où j’écris ces lignes) ça me met pas de super méga bon poil.

12:30 – Je retourne à l’ENC avec quelques collègues pour manger là-bas et pour que j’aille voir les syndicats. Je choppe un type du SNUI (Syndicat National Unifié des Impôts) et là je passe bien une heure à obtenir les informations qui m’interesse, à passer des coups de fil…

13:59 – J’arrive devant ma boite aux lettres… Facture EDF (ça fait toujours plaisir) et surtout, una vis de passage du facteur qui venait me livrer ma carte graphique revenue (vous savez la 6800 GT) mais bon, je l’aurai que dans 2 semaines maintenant… A faudrait que j’appelle la poste pour leur dire de la garder quand même! Grmble.

14:00 – De retour chez moi j’ai l’aspi à passer et de la vaisselle à faire. Ben oui c’est pas que ça me fasse chier mais j’aimerais pas que mon appart déclenche le prochain scénario de Half-Life 3 quand je vais rentrer chez moi dans 2 semaines.

15:00 – Je fais ma valise, je m’aperçois que j’ai un peu un peu abimé mon calendrier Ichigo 100%… Et meeeerde.

15:30 – Valise faite à l’arrache, enfin y’avait plein de trucs de prêts, de toutes façons.

17:20 – Mon taxi n’arrive pas… Il devait arriver à 17:10. J’appelle la societé, on me dit que la fille a oublié son portable et n’a donc pas pu m’appeler, ça fait 20 minutes qu’elle m’attend en bas. Eeeet merde…

17:40 – On arrive à l’aéroport. On cherche avec la fille du taxi où ils ont foutu le nouveau comptoi de Champagne Airlines (la compagnie que j’utilise pour retourner au Havre)

17:45 – Je m’enregistre. Je pose ma valise sur le tapis roulant. Un p’tit crac et… « Ah il fonctionne plus? » eeeet meeerde…

18:20 – Je suis dans la navette qui me conduit vers l’avion. Juste devant on ne peut pas encore descendre: l’avion a besoin de maintenance. Ca n’augure rien de bon.

19:00 – Deux représentantes de la compagnie sont avec nous et annoncent que ce vol sera celui du 2000ème passager, et que donc celui-ci se verrait offrir un aller-retour gratos qu’il peut prendre quand il veut. En attendant on est servis avec du champagne et des p’tits toasts de fort beau gabarit. En entendant le coup du 2000ème, je me dis « Ca y est, c’est pour moi. J’ai eu pas de bol toute la journée pour avoir ça en fin de compte! » Manque de pot, le 2000ème passager est juste à côté de moi.

21:30 – Départ pour la SLF. En montant dans la fluomobile j’accroche mon t-shirt Mahoro sur sa caisse. heureusement les maids c’est du solide.

22:00 – Arrivée à la SLF, on s’installe, on se branche. PAF, plus de courant. Vive les AGC!

22:30 – Test de Teamspeak, mon casque-micro est mort. Je m’y attendais mais il marchait bien pourtant la veille sur le portable… Allez savoir.

23:30 – Avec stok on se dit qu’on va faire du DDR et là, l’horreur, mon disque dur de PS2 a semble-t-il souffert pendant le voyage, et est donc déclaré cliniquement mort.

23:45 – La Loose est contagieuse! Stok explose le port ethernet de sa carte mère par inadvertance. Normal, il était assis juste à côté de moi.

Voilà en gros la super journée, ça laisse réveur hein?

Retrouvez ce post en topic sur le forum du AGC!

Une personne plus agée

Enfin le nouveau chapitre de Toshiue no hito, ce manga qui m’a étonné par son scénario et sa romance pour le moins peu ordinaire.

Vous pouvez lire mon post à ce sujet pour avoir les détails du scénario, si jamais vous avez loupé.

Ce nouveau chapitre apporte en tous cas plein de promesses et donne un nid douillet à notre couple un peu bizarre au premier abord. Ageha est assez cute dans son genre, et j’ai vraiment hâte de voir comment ça se développe.

Y sont-y pas mignons?

Vous allez sûrement vous demander ce que je peux trouver à ce manga pas super bien dessiné et aux persos aux grandes oreilles? Ben en fait j’aime bien le personnage d’Ageha: elle dit avoir eu des histoires de coeur malheureuses à cause de son « handicap » (oui on peut parler de handicap, au moins social) et je peux m’identifier un peu elle à ce niveau. Vivre en societé pour elle doit pas être drôle, c’est sûr. En tous cas pour mio c’est pareil: j’arrive peut-être à attraper des trucs haut placés, mais pas elle, par exemple, avec sa petite taille, et le fait que tout le monde la prend pour une petite fille alors qu’elle a facile 25 ans si ce n’est plus.

C’est difficile à retranscrire là mais je pense que je peux m’identifier à elle un peu.

Bref, j’ai vraiment hâte qu’ils traduisent plus de chapitres, là ça devient urgent 🙂

Pour les chopper, faites un tour sur AnimeWaves, groupe qui traduit ça, entre autres, avec Open Sesame, dont je reparlerai très prochainement, vu tous les tomes que je gobe.

Battle Royale – Un manga qu’il aurait pu être mieux

Il y a de ces mangas qui partent d’une bonne idée. Celle d’adapter Battle Royale par exemple, film japonais qui n’a laissé personne indifférent.

Le manga est actuellement en vente chez les Editions Soleil.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’auteur ne ménage pas ses ambitions. Du gore, même du sexe, sont à foison dans ce manga, clairement exaggéré par rapport à l’oeuvre originale. Tellement exaggéré que ça en devient un peu désagréable, tellement c’est bourrattif, comme de la purée avec pas beaucoup d’eau, vous voyez?

Ce qui est fort dommage, car le dessin en lui-même pourrait ne pas être désagréable s’il n’était pas aussi volontairement mal disproportionné. Les personnages ont tous des têtes assez immondes, des yeux énormes pour les filles. C’est presqu’une faute de design chez beaucoup d’entre eux. Ce qui est, comme je le disais, dommage, car tout le reste: les vêtements, les actions, les décors et les objets, font tous preuve d’un détail assez impressionnant parfois. On sent que chaque scène a été bien dessinnée en prenant son temps.

Niveau scénario, ça suit basiquement la trame du film avec d’autres choses qu’on aurait ne pas pu voir. C’est vraiment une bonne idée et dans l’ensemble c’est bien executé, mais le dessin se trouve sérieusement être un obstacle et ne rend pas le tout crédible.

Je suis un peu déçu après neuf tomes, vous en conviendrez. Je pense que je vais néanmoins finir, car la fin approche (d’après le film) et je pense pouvoir en tirer quelques brouzoufs au prochain dépôt vente de l’Epita (une série complète a plus de chances de partir à un prix raisonnable)

Open Sesame

Dans ma quête sans fin pour trouver de l’occupation afin de passer mes passionnants cours sur Windows 2003 Server et Terminal Server, je me suis mis en tête d’essayer quelques mangas traduits par AnimeWaves. J’y ai trouvé quelques petites choses bien sympa comme Heaven’s Prison, Pastel, ou encore là, Open Sesame, que j’ai commencé.

On va commencer par l’histoire: notre héros est un homme, un vrai, il fait de la boxe, et il aime ça. Il est même très bon d’ailleurs. Sur sa petite île du japon il finit champion du tournoi régional. Seulement voilà, il est obligé de laisser derrière lui son ami d’enfance, Aoi, pour partir à Tokyo où son père doit s’occuper d’un dojo. Il y va donc avec sa soeur, Yayoi, et tous deux vont chacun dans une école différente.

Le problème, c’est l’école de notre héros (Banjo Yamato je crois). Jusqu’à l’année de son transfert, l’école était réservée aux filles. Ce qui fait qu’en première année, il y a peu de garçons. Le rapport est même d’un mec pour neuf filles ! Où est le problème, me direz-vous? Ben le problème, il est tout trouvé: les filles font carrément leur loi au sein de l’établissement, et sont du genre méprisantes vis à vis des garçons, qui s’écrasent et obéissent au doigt et à l’oeil de ces demoiselles. De vraies garces!

Yamato ne sait que boxer, il va donc avoir du pain sur la planche pour se faire respecter, car lui est bien décidé à ne pas se laisser faire.

La fille en image plus haut est Mogami-san, c’est un peu la « chef » des filles de la classe, et elle ne semble pas apprécier notre héros, qui se demande bien pourquoi elle lui en veut, et surtout, pourquoi de temps en temps, elle semble avoir ce petit sourire qui en dit long sur ses intentions machiavéliques (genre elle s’approche discrètement, et paf, prise au sol :p)

Mon avis après avoir dévoré le premier volume (une dizaine sont disponibles sur le site web pour le moment) c’est que c’est assez agréable à lire. Le dessin n’est pas transcendant mais clair et précis. Les filles sont relativement mignonnes, et montrent plus souvent un soupçon de poitrine plus qu’un bout de pantsu, ce qui est tout de même rafraichissant par rapport à la moyenne. Le manga n’est néanmoins que très peu ecchi, n’en déplaise à certains.

Gokujou Seitokai

Alors là, bonne surprise.

C’est après avoir lu quelques blogs sur cette série que je me suis mis à y goûter. A la base c’est pas du tout mon style mais on m’a promis un mix entre Mai Hime et un humour assez déjanté, donc là, j’ai pas pu résister.

Rino est une jeune fille naïve, pleine d’entrain, et qui est sans le sou. Elle arrive dans sa nouvelle école où elle a été recommandée par un mystérieux Mr. Poppit. Problème: elle a pas une thune et le dortoir où elle devait vivre a brulé juste avant qu’elle n’arrive. Où va-t-elle manger et dormir? Pour l’instant elle va à l’école, et contre toute attente se retrouve nomée déléguée de classe!

Il faut savoir que dans cette école est établi un mystérieux mais tout puissant conseil des élèves, le Gokujou Seitokai. Ce conseil est régi par une poignée de jeunes filles qui ont chacune leur responsabilité et leur spécialité. Elles sont là pour faire reigner l’ordre au sein de l’école, mais il faut tout de même souligner qu’elles ont pratiquement plus de pouvoir que les professeurs!

L’héroine est quand même vachement bizarre. Non seulement elle est naive mais en plus elle a toujours une petite marionette nommée Puuchan (tout en bas de l’image) qu’elle fait parler et qu’elle considère comme une personne à part entière…

Par un concours de circonstances, elle aidera à attraper un pyromane qui sévissait dans la région, ce qui lui vaudra des regards insistants de la directrice du Gokujou Seitokai, la très prisée reine de l’école, Kanade-sama.

Tellement prisée d’ailleurs, que lorsque cette dernière montre des signes d’affection certains pour la jeune RIno, la moitié de l’école devient carrément jalouse et peine à comprendre comment Rino, nouvelle, naïve, limite idiote, a réussi à devenir secrétaire du Gokujou Seitokai, club apparement très fermé!

Beaucoup d’humour en perspective, des personnages féminins tous haut en couleur, bien designés. Malgré leur nombre important, on arrive facilement à se souvenir d’eux et à les différencier de part leur design plutôt réussi. Un très bon point car d’autres séries ont souvent echoué ici à cause de designs moyens voir ratés. Une série que je recommande à ceux qui ont aimé l’humour d’Azumanga ou de School Rumble, un peu exaggéré parfois. (Si si, le Gokujou Seitokai a les moyens de détruire un porte-avions nucléaire!)

Elfen Lied

Oui bon, c’est pas tout jeune comme série, mais il faut bien des moments pour rattraper ce qu’on a pas vu, hein?

En l’occurence, Elfen Lied n’a d’elfique que le nom (et les oreilles bizarres mais pas elfique) des principales protagonistes.

Pour résumer l’histoire, disons que notre héros, un garçon tout plein de bonne volonté emmenage avec sa copine dans une vieille baraque qu’ils vont retaper. Seulement voilà, en allant sur la plage, ils tombent sur une jeune fille nue qui se comporte assez bizarrement. Disons qu’elle a l’air d’avoir 2 de QI ou pas très eveillée aux subtilités de la vie. Une blonde, somme toute.

Et là, c’est le drame, car il s’avère que leur protégée, Nyu (parce qu’elle arrête pas de dire Nyu, c’est logique non? En même temps ça fait animal domestique.) est en fait une arme de destruction massive (beeeeeen voyons…) qui peut vous réduire en charpie en 1/4 de seconde.

Elle est bien entendu recherchée et tout, ce qui va occasionner quelques problèmes à nos héros.

Ca c’est pour l’intrigue, après la série fait relativement dans le classique: longs flashbacks, enfance douloureuse des protagonistes, lutte pour le pouvoir au sein du labo de recherche…

Qu’est-ce qui fait de Elfen Lied une série unique en son genre? Ca tient en deux mots.

– Du sang

– Et du sexe.

Enfin pour le sexe, façon de parler. On dira plutôt que c’est très ecchi, avec beaucoup, beaucoup de nus, sans honte aucune. C’est même pas dérangeant en fait, c’est juste relativement étrange quand la fille totalement nue ne bouge pas d’un cil et tranche en deux un type en face d’elle dans une explosion d’hémoglobine sensée rappeler les meilleurs moments de Berserk.

Et oui, car du sang il y en a, et beaucoup. Ca en devient d’ailleurs presqu’indigeste tellement la violence dans Elfen Lied est totalement graphique et abondante. On voit les membres découpés, les mares de sang s’afficher sans aucun tabou.

Le pire dans tout ça, c’est que le héros, Kouta, ne voit même pas que Nyu est capable de tuer ainsi avant le dernier épisode, il le fait vraiment exprès 🙂

Je vous passerai également les thèmes beaucoup plus sérieux tels que la pédophilie ou l’inceste, dont fut victime l’une des protagonistes. Elfen Lied est vraiment un monde pourri et sensé être réaliste, sauf que dans la réalité, les filles avec des cornes qui tabassent un squad entier de troupes d’élite, ça n’existe pas.

Bref, vous l’aurez compris, la série ne m’a pas plus branché que ça, même si la fin était toute mignonne mais triste (tout mignon avec plein de sang partout? Oui c’est presque possible.)

Si en plus on ajoute à ça des fansubs totalement pourris qui m’ont même fait pousser un coup de gueule, ça n’a pas aidé à prendre la série au sérieux on va dire.

N’achetez pas de MSI

Et plus précisément une Geforce 6800 GT AGP 256Mo:

Car celle qui était dans Naru vient de méchamment me claquer entre les doigts.

Ce matin j’allume la machine, et là horreur: l’écran est bourré d’artefacts, même en mode texte. Autant le dire tout de suite, ça fait peur. Après démontage, dévissage, enlevage, remettage, revissage, remontage, rallumage, ben redégoutage.

Elle avait 7 mois d’âge, ne m’avait posé aucun problème jusqu’à présent, bref, c’est la grosse surprise. Surtout pour une carte à 450€, oui oui. Autant vous dire que si le SAV de LDLC me la reprend pas, ça va chier des bulles >_<

En attendant, j’ai emprunté à Mahoro sa miséreuse Geforce 2 MX 200. Autant vous dire que ça à côté d’un Athlon 64 3200+, ça la fout vraiment tarte, mais vraiment, vraiment, vraiment tarte 🙂

iPod d’Apple

A l’heure où Apple décide de passer du PowerPC de IBM au x86 d’Intel, moi je décide de m’acheter un iPod. Oui oui oui, un de ces petits balladeurs à la mode.

Je m’explique, car beaucoup d’entre vous reprochent à l’iPod: – C’est du Apple – C’est trop cher – C’est nul y’a même pas de TunerFM/lecture de vidéos…

Mais voilà, on achète un balladeur pour écouter de la musique non, à la base?

Hé bien l’iPod fait exactement tout ça, mais le fait bien, et c’est ce qu’on lui demande. Les avantages que je lui trouve:

– Agréable au toucher – Peu encombrant – Bourré d’idées: on branche le casque et l’ipod s’allume tout seul et joue de la musique, il y a un jeu Music Quiz qui joue quelques secondes de chacune de vos chasnons, a vous de trouver quel morceau parmi les 5 proposés, le shuffle disponible depuis le menu de départ, les smart playlist qui se créent automatiquement sleon vos désirs, etc. – Recharge via le port USB ou Firewire – Plein de housses et d’accessoires sont dispos (allant du classique kit auto à la lampe torche en passant par l’émétteur FM qui permet d’écouter la zik de son iPod sur son autoradio ou sa chaine hifi!)

Et le prix dans tout ça, ben il est plutôt simple pour se donner une idée: iPod Mini 4Go: 190€ iPod Mini 6Go: 240€ iPod 20Go: 302€

Et ça c’est avec la réduction étudiants sur l’Apple Store. A noter que sur le même magasin, vous pouvez choisir de graver deux lignes de 32 caractères au dos de votre iPod. Sur le mien il y a écrit « Aya – Mahoro Networks » au dos, huhu 🙂

Franchement, je kiffe bien, surtout parce qu’il est agréable à utiliser, démarre immédiatement et fait ce que je lui demande.

Vous l’aurez compris, si vous cherchez un balladeur MP3 qui a la classe et qui fonctionne, c’est le bon choix.

Toshiue no Hito

Attention série ecchi.

Elle a donc toute sa place dans ce blog! 😀

Grands mercis à Corsaire du channel -chan (IRCNet) qui m’a conseillé de commencer ce manga, qui devait me plaire. En tous cas il a bien deviné, et on peut vraiment dire que j’ai été scotché par les 4 premiers chapitres.

L’histoire: Le héros (au nom que j’ai déjà oublié) semble faire des rêves étranges de temps en temps, des rêves où il voit une jeune fille dans la grande maison qu’il visitait dans son enfance. Cette jeune fille, très belle, était toujours en kimono, et ça l’a apparement traumatisé, si bien que depuis, il est impuissant…

Or voilà, à son université (le type doit bien avoir 20 ans maintenant) on lui présente une nouvelle élève, qui a décidé de revenir à ses études à 25 ans… Ageha. Cette jeune fille ressemble alors trait pour trait à la fille de son rêve, et ça le trouble le type.

Bon seulement la fille a un léger problème… elle ne grandit plus depuis son adolescence, et comme vous le voyez, malgré ses 25 ans, elle en fait facile 15, voire moins!

Et là j’entends déjà les affreux pousser des cris scandaleux « Lolicon! », je ne dirais qu’une chose, vos gueules 😀

Ageha semble entourée d’un mystère assez profond. Elle vit seule (à 25 ans vous me direz c’est normal) elle parle très peu de son passé (on sait juste pour le moment qu’elle a fui une relation qui s’est mal terminée) et surtout, elle est très coquine… et bizarrement, elle est la seule à pouvoir faire « réagir » la libido du héros, si vous voyez ce que je veux dire, ce qui n’arrange en rien les affaires du héros qui voulait sortir avec une autre de ses camarades de classe (qui elle n’a pas eu droit au chapiteau quand ils ont voulu passer à l’acte… la honte quoi :))

En plus, Ageha étant une femme de 25 ans, elle s’y connait, elle aime bien aguicher aussi, et on sent qu’elle souffre aussi de quelque chose, mais après seulement 3-4 chapitres, difficile d’en dire plus!

En tous cas, c’est assez intéressant tout ce mystère qui entoure Ageha, on se demande où ça va mener le manga. Et puis les passages ecchi, très prononcés, ne manqueront pas de titiller le bas ventre.

Je m’attaquerai à Koi Kaze ensuite, encore une histoire incestueuse, parait-il, j’ai hâte de voir ça…

Mes systèmes

Bon en fait je reprend un de mes posts sur le forum du AGC, donc je le copie-colle ici, tant qu’à faire? 🙂

Certains vont me demander pourquoi donner des noms à des machines? Ben tout simplement je pense, pour pouvoir les reconnaître facilement quand on en a plein. Mahoro c’est mieux que "Mon serv" ou Mariel mieux que "Mon portable" etc etc 🙂

Et puis on s’attache, que voulez-vous, et y’a toujours un côté marrant quand quelqu’un qui connaît la série d’où vient le personnage s’aperçoit que j’ai nommé un de mes trucs avec son nom, il essaye de comprendre pourquoi 🙂

NARU: Athlon X2 Dual Core 3800+

  • Asus A8N-SLI Deluxe
  • 1 Go DDR 3200
  • 2 x 80 Go SATA
  • Graveur DVD-DL 8x Sony
  • Lecteur DVD Sony
  • Sound Blaster Audigy 2
  • Asus Geforce 7900 GT
  • Logitech Cordless Mouse MX700 et Keyboard pareli
  • Imrpimante Scanner DELL
  • Kit enceintes Creative Inspire 5.1
  • 17′ Sony

MAHORO: Athlon XP 1800+

  • 768 Mo de RAM
  • 2 cartes réseau
  • 1,2 To de disques durs (8 disques)

AYUMI: Playstation2 v9

  • HDAdvance 2.1
  • Modchip Ripper Gold
  • 120 Go de disque dur

SATSUKI: iPAQ hx4700

  • 64 Mo de RAM
  • 128 Mo de ROM
  • 512 Mo de SDCard
  • Bluetooth / Wifi
  • Ecran 640×480

ECLAIR: GPS Bluetooth EMTAC

HIKARI: PSP premières séries européennes

SHIMA: Nokia E61

AYAKO: iPod 30 Go 5ème génération

MARIEL: DELL Inspiron 8600 (portable) ;Centrino 1,7Ghz ;512 Mo RAM ;60 Go de disque dur 7200 tours/min ;Wifi G ;Ecran 1280 16/9ème ;Graveur DVD+R

Voilà le contenu de Mahoro Networks 🙂

Après les fraises, les cerises.

Quoi, comment ça je parle trop d’Ichigo 100%? Ca se voit que je suis complètement accro? (C’est assez facile de trouver mes différents posts sur le sujet ici, et je ne vais pas les repêter à chaque fois.)

Bien sûr, je ne vais pas trop spoiler, mais sachez tout de même que les ennuis de Manaka continuent encore et encore, même après 15 volumes, si bien même qu’ne nouvelle fille luiu court après. Kozue-chan, qui pourtant a une peur bleue du sexe masculin (mais qui ne l’empêche pas de fantasmer des trucs ecchis 100% du temps) va tomber amoureuse de lui contre toute attente (enfin bon elle est bien aidée par le scénario tout de même)

Mes pensées dans tout ça?

Ben après 15 volumes l’histoire avance plutôt bien par rapport à la concurrence: les personnages grandissent, evoluent, et il y a vraiment peu de chapitres sujets à remplissage. Chaque moment est bien calculé, et le temps s’écoule…

Ce qui est surprenant, c’est tout de même les relations entre les personnages (attention là ça va spoiler, vous êtes prévenus… MAINTENANT!), Satsuki qui tente de jouer la carte de l’amitié en voyant qu’elle n’a pas gagné le coeur de Manaka, Aya qui se pose des questions et qui réalise qu’elle en pince pour Manaka, et Nishino qui décidément hésite b ien entre aller étudier la confection de gâteaux en France et Manaka. C’est qu’il en a du bol lui, non?

La réalisation des protagonistes est vraiment bien foutue, car ils se comportent de façon assez humaine; On ne tombe pas dans la miévrie romantique, les bulles roses partout et les roses rouges. Ici c’est vraiment des jeunes d’aujourd’hui qui sont dans une situation où ils ne sont pas sûrs. C’est surtout que Manaka pour une fois est assez aimable comme personnage: on peut s’identifier à lui, car on peut aisément comprendre son choix difficile, contrairement aux autres héros du genre où on sait éperdument que l’héroine leur est destinée, on attend juste de voir comment ça va se passer. Dans Ichigo 100%, a priori toutes les héroines partent à pied d’égalité, même si certaines sont plus égales que d’autres…

Mais il suffit avec les comparaisons! Ceci dit, c’est ce qui donne tout son charme à Ichigo 100%: son originalité derrière ses airs de série harem où le héros est entouré de jeunes filles qui n’aiment que lui. Ses personnages réagissent de façon sensée et ne voient pas en l’amour juste une pulsion sentimentale et romantique: c’est aussi partager un rêve avec quelqu’un (Aya) se sentir confortable avec une personne et pouvoir parler de tout (Satsuki), vouloiir protéger quelqu’un et lui apprendre des choses, partager ses connaissances et initier l’être cher (Kozue) ou encore euh… hmmm ben honnètement pour Tsukasa Nishino, je ne vois pas, mais à vrai dire, c’est certainement le perso que j’aime le moins. Elle est trop imprévisible, trop volatile, pour être une bonne partenaire pour Manaka…

Et pourtant, le pire, c’est qu’elle a sûrement le plus de chances que les autres de faire de Manaka son petit ami. Pourquoi? Très bonne question. Sûrement parce que c’est elle qui va s’en aller en premier (en France) et il voudra la retenir car il réalisera que sans elle rien ne sera comme avant (alors que dans le chapitre où Satsuki risque de changer d’école, ça secoue Manaka mais… il aurait réagit différement avec Tsukasa.

Bon, assez parlé, demain c’est l’Epitanime 2005, rude journée en perspective 🙂

Ai ga tomaranai! (A.I. Non Stop)

Derrière ce jeu de mots à deux brouzoufs de la part de Ken Akamatsu (auteur de Love Hina, Negima, entre autres) se cache l’un de ces premiers mangas publics.

Alors si vous le lisez en ce moment chez Pika, vous remarquerez que le dessin est très vieillot et n’a rien d’extraordinaire (il est parfois même très fouilli, genre Ah My Goddess à ces débuts)

L’histoire? C’est celle de Hitoshi, un étudiant en informatique célibataire (ça coule de source) qui programme une IA (Intelligence Artificielle) dans son PC chez lui avec les moyens du bord. Un orage frappe alors sa maison, puis son PC, et voilà que l’IA qu’il a crée, Satie, prend forme humaine et sort de l’écran de l’ordinateur. En fait elle s’appelle Thirty pour 30, et non pas Satie (Satie-Thirty vous me suivez?), puis Fortie, puis Tweeny, un peu à la manière d’Ah My Goddess (décidément!)

En fait, tout comme dans Love Hina, on retrouve le thème du Harem (harem harem, une fille qui tousse) propre aux mangas d’Akamatsu: un gars, presque seul, au milieu de plein de jolies filles.

Passé ce cliché du manga, on trouve une histoire plaisante a lire. C’est juste dommage que les allusions micro-informatiques soient si vagues et si mal faites. Ca fait très ridicule par moments quand le type utilise plein de disquettes 5′ 1/4 ou même se met à parler de choses et d’autres… Oui bon c’est pour les besoins de l’histoire d’avoir un univers un peu fantastique mais tout de même…

Le pire dans tout ça c’est que c’est une pale copie d’Ah My Goddess:

– Satie = Belldandy, même caractère, même figure. – Fortie = Urd, idem. – Tweeny = Skuld (mais là enfin on sent qu’elle est bien différente)

Bref, un cruel manque d’originalité pour Akamatsu, c’est à se demander comment il a pu accoucher du très bon Love Hina après ça…

Bon ça se laisse lire, mais à réserver aux plus fervents fans du genre.