To the Moon – un visual novel SF touchant et mélancolique
Après un hiatus de deux semaines, je reviens de vacances (des vraies, à la campagne et tout) mais pas trop loin d’Internet quand même. La preuve, j’ai passé déjà plus de 100 heures sur Guild Wars 2, le jeu qui mange mon âme après Diablo 3.
Donc, j’aurais dû très logiquement vous faire un article long et carré sur Guild Wars 2, mais non, entre deux, je me suis fait happer par un mystérieux petit jeu qui est apparu sur Steam : To the moon.
Sorti l’an dernier déjà, To the moon n’est apparu sur Steam que la semaine dernière. Il s’agit d’un visual novel crée par Freebird Games. Pour ceux qui ont la flemme de cliquer sur le lien du visuel novel, je rappelle brièvement qu’il s’agit d’aventures généralement peu interactives qui se concentrent sur la narration d’une histoire. C’est comme un roman amélioré, avec des images, des sons, des voix et de la musique qui accompagnent le récit.
Habituellement, les VN nous proposent un décor, un personange et une boite de dialogue… Ici, Freebird Games a utilisé ce bon vieux RPG Maker pour créer une histoire, représentée par du pixelart d’un fort beau gabarit. Tout cela fait penser aux bons vieux RPG sur Super NES de la grande époque.
Malheureusement je vais devoir vous en dire très peu sur l’histoire, car le mystère qui l’entoure au début fait intégralement partie de l’aventure et de l’expérience. Eva Rosaleen et Neil Watts se rendent dans un coin paumé au sommet d’une falaise où ils ont été appelés par un client à l’article de la mort. Les docteur Watts et Rosaleen sont des agents d’une boîte qui « vend du rêve » si l’on peut dire. Ils sont là pour exaucer un souhait et pour se faire, plutôt que de tenter de modifier le temps, ils vont plonger dans les souvenirs d’une personne pour y inscrire le désir du voeu au plus proche possible de l’enfance. Bien sûr, cela ne se fait pas en un claquement de doigts : quand on est vieux, les souvenirs les plus lointains sont les plus difficiles à atteindre… Sans compter que d’autres mystères et difficultés attendent nos deux agents…
To the Moon n’est pas une expérimentation élitiste qui tente de vous raconter une histoire d’une façon peu commune. Même si le gameplay est relativement simpliste (pas de combat, impossible de mourir…) et l’histoire linéaire, ça n’en fait pas moins une expérience touchante et pleine de rêves qu’on nous offre là, grâce à une écriture intelligente et des dialogues plein d’humour. Les personnages ont bénéficié d’un soin tout particulier, surtout les deux agents que le joueur contrôle qui se lanceront des piques à la figure régulièrement. Quand en plus l’OST est faite par la madame qui nous a servi l’OST très rigolote et mélodieuse de Plants vs Zombies, ça ne fait que renforcer l’ambiance de cette aventure. J’ai même eu des petites larmichettes à la fin, c’est vous dire.
A l’heure où j’écris ces lignes, le jeu est encore à -20% sur Steam et est donc à moins de 7€ au lieu de 10€. Et pour ne rien gâcher, le jeu est intégralement traduit en français, et d’une bien belle manière qui plus est. Ca ne vous occupera que quatre à cinq heures maximum, mais ça sera beaucoup plus intéressant qu’un Call of Duty. Si vraiment vous n’êtes pas convaincu, allez sur le site officiel où une démo gratuite d’une heure est proposée. Il y a déjà @Wyrine_fmx qui m’a remercié pour la découverte 🙂
Tari Tari – Du chant, du badminton, trois filles, deux garçons, des tonnes de possibilités.
Tari Tari, ça paye pas de mine, mais c’est très sympa à suivre. Oui, des fois je commence par la conclusion, comme ça.
C’est encore une auter agréable surprise de cet été 2012 : Tari Tari est le dernier rejeton de P.A. Works. Avant qu’un certain nombre de spectateurs un peu difficiles à satisfaire ne se mettent à aller vomir au souvenir de Angel Beats, Another ou Hanasaku iroha (bon ok, je laisse aller vomir pour Another, qui était assez raté au final.) sachez que tari Tari ne démarre pas de la meilleure des façons, mais sans qu’on sache trop pourquoi, se révèle fort agréable. Un peu comme K-on au final. On se surprend à vouloir voir la suite et à apprécier les personnages.
L’histoire tourne autour de Konatsu. Ejectée du club de chorale du lycée parce qu’elle a perdu ses moyens l’année précédente lors du grand récital en public, elle est bien décidée à chanter quand même, quitte à se mettre à dos la prof en charge du dit club. Elle va monter un club de chorale dissident avec l’aide de sa copine Sawa. Ensemble, elles vont tenter de trouver trois autres membres pour avoir les cinq requis pour faire un club. Quitte à changer un peu l’intitulé du club pour faire plaisir à tout le monde…
Il y aura surtout la mystérieuse Kyonko Wakana qui viendra leur donner un coup de main à contrecoeur, ayant abandonné la musique pour une raison étrange, alors qu’elle est douée. Deux garçons, dont un joueur de badminton et un mec qui a passé 12 ans à l’étranger (et qui a un peu du mal à se réhabituer au Japon) les rejoindront ensuite.
KININARIMASU
On va suivre les aventures de ce charmant petit groupe dans une ambiance estivale (ce qui colle bien à la saison.) Les séries sur un groupe de jeunes qui font un club est très à la mode depuis quelques années (allez, oserais-je dire depuis Haruhi Suzumiya ? Quand même pas, mais…) si bien qu’on a un peu du mal à les différencier les uns des autres. Comme je l’expliquais en parlant de Kokoro Connect, c’est un pan important de la vie lycéenne, où les élèves apprennent à travailler ensemble sur des projets, à prendre des responsabilités au sein de la vie de l’école (avec des objectifs comem faire quelque chose pour la fête de l’école ou le festival d’été…) Bref, c’est un passage obligé pour chaque élève, sauf certains qui préfèrent aller faire des petits boulots (ou même des courageux qui cumulent les deux, puis qui vont à leurs cours du soir. Tant qu’à faire.)
L’idée du club renégat est plutôt bonne en soi, mais c’est surtout la dynamique entre les personnages qui va donner de la consistance à la série. Rien que l’épisode du World Music Festival développe deux ou trois personnages d’un coup d’une fort belle manière. On est loin des problèmes de rythme constatés dans Hanasaku iroha.
Graphiquement c’est du P.A. Works, c’est plutôt joli, surtout dans les décors, et contrairement à Another c’est animé correctement. J’ai un peu de mal avec le charadesign de Konatsu par contre, et je sais pas trop pourquoi. La façon dont sont dessinés ses yeux sur son visage m’interpelle à chaque fois, alors qu’un personnage comme Sawa ou Wakana ne me fait pas cet effet là.
Je n’avais pas vraiment accroché au synopsis (j’ai failli écrire psygnosis, avis aux vieux joueurs.) et je me suis finalement décidé à regarder après avoir vu des images de Wakana. Ca n’a rien à voir avec sa petite queue de cheval, hein. Rien du tout. J’ai donc vraiment été surpris de passer un moment agréable et d’en redemander à la fin de chaque épisode. Sans être mémorable, Tari Tari permettra à ceux qui aiment le chant et la musique de passer un été sympatoche à n’en ps douter.
MaOTD #633
Pour tous vos besoins dans l’au-delà, faites confiance à cette meido Yuri de Angel Beats. Elle sera à vous (armée) pour seulement 3 000 Maid Points, et pour seulement 1 Maid Point si vous la prenez avec une meido Haruhi, histoire de faire la paire et de ne jamais vous ennuyer.
Source : Juri Nattoutomato
Kokoro Connect – Prête-moi ton corps deux minutes, je te dirai qui tu es.
La seconde série de cet été après Sword Art Online, en ce qui me concerne, c’est bien Kokoro Connect. Une jolie surprise, comme vous allez le voir.
Le lycée. Les clubs… On ne s’en rend pas vraiment compte parce que dans nos lycées il n’y a pas autant de choses à faire mais au Japon il y a des écoles avec des tonnes de clubs. Cependant il y a toujours des élèves qui n’arrivent pas às e trouver un club pour une raison ou une autre. C’est comme ça que cinq élèves, deux garçons et trois filles (rien à voir avec une quelconque Brigade d’un anime peu connu), se retrouvent ensemble dans une salle de club. Ils forment le StuCS, un club culturel bidon. C’est ainsi que Taichi (fan de catch), Iori (présidente du club), Himeko (ancienne membre du club d’info), Yoshifumi (pote de Taichi), et Yui (qui ne savait pas trop où aller) vont se retrouver à plus ou moins glander dans leur salle.
Ca c’est jusqu’au moment où Taichi discutait dans la salle du club et en clignant des yeux se retrouve soudainement dans une salle de classe, devant le bureau de Iori… et aussi dans le corps de Iori. Le temps de « mesurer » la situation, Taichi est vite rapatrié dans la salle du club, où les cinq élèves réalisent que Taichi et Iori ont échangé leurs corps. L’effet se dissipe au bout de quelques minutes, et tout revient à la normale, sauf que plus tard dans la journée, bien après que l’école soit finie, ce sont deux autres membres du club qui échangent leurs corps. Après une petite enquête il semblerait que les changements se fassent de façona léatoire, jamais avec les mêmes personnes mais toujours entre membres de ce club…
Bien sûr, quelques gags un peu forcés en découlent, comme Yoshifumi qui se retrouve dans le corps de Yui et qui se trompe de toilettes, mais globalement, les personnages tentent plutôt de vivre avec ce phénomène étrange de façon à peu près sensée. Des règles sont établies, et c’est aussi l’occasion pour eux de finalement mieux se connaître… Ce qui fait surtout la force de Kokoro Connect, ce n’est pas tellement ses personnages, mais plutôt les interactions qu’il y a entre eux. J’irai même jusqu’à dire qu’à part Yoshifumi qui est aussi plat qu’une table à repasser, les autres personnages sont agréables et réserveront quelques surprises. J’ai une très nette préférence pour Iori, même si je ne sais pas trop pourquoi. En tous cas, Kokoro Connect prend vraiment par surprise à bien des moments (dans les épisodes 2 et 4 par exemple) et c’est plutôt agréable et rafraîchissant de voir qu’on peut encore se prendre à aimer une énième comédie romantique lycéenne qui se cotoient via un club. Au delà des surprises, les personnages réagissent de façon sensée à ce qui leur arrive. Certains prennent peur, certains trouvent ça cool…
C’est justement pourquoi Kokoro Connect est si symapthique. Plutôt que de se concentrer sur leur petit problème de changement de corps et comment le résoudre, nos héros tentent plutôt de s’adapter à la situation.
Techniquement parlant, c’est très propre même si ça ne casse pas trois pattes à un canard. On doit l’adaptation anime de ce light novel à Silver Link, qui nous a surtout sorti Baka to test. Je n’ai pas du tout aimé la réalisation de Baka to test, mais c’est sûrement parce que Kokoro Connect est bien plus sage niveau loufoqueries.
S’il vous manque une série cet été ou que vous avez juste envie de passer un bon moment, donnez sa chance au moins aux 3 premiers épisodes de Kokoro Connect. Vous ne le regretterez pas, surtout si les comédies romantiques légères (j’ai dit légères) sont votre tasse de thé.
Sword Art Online – .hack 2.0
Tout doit bien aller cette année pour Reki Kawahara : la saison passée son roman AxelTerizaki World (hoho) est adapté en animé par Sunrise, et cet été, c’est au tour de son autre oeuvre Sword Art Online d’être adaptée, cette fois par A1 Pictures, le studio à qui l’on doit entre autres Kannagi et The Idolmaster. Autant dire qu’avec A1, sa licence est entre de bonnes mains. Parce que bon, autant Kannagi était bien mais pas top, Idolmaster quand à lui était une belle tuerie, un anime fort plaisant à suivre et avec des personnages très bien restrancrits, sans parler de l’animation plutôt chouette.
SAO et Triple-Axel World (Ok, j’arrête.) partagent le même amour du jeu vidéo, mais au lieu de réalité augmentée, ici ça sera de la réalité virtuelle, comme on a pu en avoir dans Hack Sign et ses dérivés. Hack Sign envoyait du paté. Des décors magnifiques, des musiques de Yuki Kajiura à tomber par terre, des personnages intéressants… Sauf que c’était animé par Bee Train et qu’il y avait du Ali Project au générique. Par conséquent l’anime était relativement chiant, beaucoup plus chiant qu’un Noir sorti quelques années plus tôt. Ceci étant dit la fin de Hack Sign était chouette et m’avait beaucoup touché à l’époque sans que je ne me rappelle trop bien pourquoi.
On se retrouve donc ici dans un jeu en ligne type MMORPG. C’est neuf, ça vient de sortir, et Kirito installe le jeu sur son ordinateur avant de revétir le casque de réalité virtuelle et de plonger dans ce monde d’héroic fantasy somme toute très classique au premier abord. Kirito a participé à la beta du jeu et sait donc se débrouiller, il y rencontrera un autre personnage nommé Klein à qui il apprendra les rudiments du jeu. Comment taper du monstre sans se faire mal, glaner de l’XP et des items… Tout allait bien jusqu’à ce que Klein annonce qu’il attend sa pizza et qu’elle ne devrait pas trop tarder. Sauf que voilà, il n’y a pas d’option de déconnexion. Impossible de quitter le jeu.
Les personnages sont alors transportés après une annonce globale du jeu dans une cour où une sorte de divinité apparaît. C’est le créateur du jeu et il leur annonce cash que pour pouvoir se déconnecter, ils devront terminer le 100ème étage de la tour du jeu. Ah oui et que si quelqu’un dans la vraie vie tente de leur retirer le casque de réalité virtuelle, leur cerveau va griller. Même punition s’ils meurent dans le jeu. Pas de résurrection.
Les morts pleuvent déjà. Sur les 10 000 joueurs de cette version finale du jeu, déjà plus de 200 se sont « suicidés » de la sorte. Dans ce piège géant, notre héros accepte bon gré mal gré sa novuelle situation et part devant pour se faire de l’XP et des pièces d’or, qui semblent être limitées, bien que le monstre qu’il a tué au début avec Klein avait ressucité juste après. Etrange.
S’il n’y avait que ça… on a beau être dans une fiction, il y a quand même des choses qui m’échappent : comment un type qui ferait prisonnier 10 000 personnes avec danger direct de mort pour la plupart (et je suis prêt à parier qu’il n’y aura qu’un seul survivant à la fin…) peut s’en tirer comme ça ? Je veux dire, ça passe les premiers jours, mais la police devrait pouvoir le retrouver et le forcer à arrêter ça, rien qu’en prenant d’assaut la boîte qui a développé et publié le jeu… La série ne montre aucune image du monde réel, si ce n’est au tout début quand le héros met son casque, ce qui est une bonne excuse pour ne pas montrer davantage de ce qu’il se passe en dehors du jeu. Manque de pot, c’est un aspect que j’aimais beaucoup dans Hack Sign et qui n’était que très peu effleuré au final.
Il y a aussi le fait que techniquement pas mal de familles ne doivent pas être au courant du danger de retirer le casque, j’imagine bien les mecs qui meurent comme ça sans savoir pourquoi alors que c’est maman ou la femme ou la frangine qui a retiré le casque du joueur parce que sinon le dîner allait devenir froid.
Ce n’est pas le seul défaut de SAO à mes yeux : l’histoire est également carrément décousue, avec des sauts dans le temps bien trop espacés. Les puristes vous expliqueront qu’il y a respect de l’oeuvre originale et que A1 a choisi d’en faire un récit chronologique où l’on suit à chaque fois Kirito, mais ça a du mal à prendre une fois en anime, surtout quand tout un chapitre est condensé en un seul épisode et où on a bien du mal à s’apitoyer sur le sort des personnages qui meurent brutalement alors qu’on les a rencontrés 10 minutes plus tôt…
Après, l’animation est plutôt pas mauvaise pour du A1, les décors claquent bien, les personnages se distinguent bien les uns des autres… Limite, les musiques de Yuki Kajiura se font bien trop discrètes pour être mémorables, elle nous a habitué à bien mieux par le passé.
Le truc, c’est que Sword Art Online est une longue série de romans, avec de nombreux arcs. Difficile de ne pas être un minimum interessé quand on a déjà pratique du MMORPG en centaines d’heures (j’en ai plus de 1500 sur Eve Online. Et non je n’ai pas mis de zéro en trop.) On sent bien que l’univers a du potentiel, mais j’ai peur que l’anime ne nous en montre pas suffisament, ou bien trop rapidement pour qu’on puisse l’apprécier. Je reste persuadé que le roman doit offrir quelques explications sur les questions que je me posais plus haut mais que l’anime esquie pour le moment. C’est ce qui me pousse à continuer pour le moment.
Par ailleurs, la série est disponible chez Wakanim en streaming gratuit et légal, avec un sous-titrage en français de qualité et avant même la sortie des subs anglais. Que demande le peuple ?
Tournage de page associatif, Nanami et petite modification sur Meido-Rando
(Random image de Kyonko. Pour l’amour du genderswap.)
Pour ceux qui n’ont pas trop suivi Twitter ce week-end, ou qui n’ont pas assisté à l’assemblée générale de la Brigade SOS Francophone, je ne suis désormais plus président de l’association. C’est Jaerdoster désormais.
Cependant, n’allez pas croire qu’un président d’asso est le seul a décider de quoi que ce soit : il ne sert qu’à représenter l’association dans la vie de tous les jours et pour tous les actes en civil. La Brigade est dirigée par un conseil (chez nous on aime pas les comités.) qui est composé d’un nombre assez étendu de membres. Par exemple je suis toujours dans le conseil car je suis le responsable informatique de l’asso.
Tout ça pour dire que mine de rien cela fait du bien. Je me sens un peu plus libre, même si en l’état ça n’a pas beaucoup changé vu que je participe toujours à la vie de l’association. C’est juste dans la forme, mais une forme qui va me permettre petit à petit de me détacher un peu et de me centrer sur autre chose, ou peut-être qui sait, de créer quelque chose de nouveau avec d’autres personnes. Ce ne fut toutefois pas un choix facile, et vous m’excuserez si je parle de ça ici, mais ça reste pour moi un moment important. Cela faisait 3 ans que j’étais à la tête de l’association, et au bout d’un moment, je pense qu’il faut savoir laisser la nouvelle génération prendre le pouvoir et voir comment ça se déroule.
Je profite de ce billet pour également parler un peu de Nanami.
En gros, je recrute du monde pour s’occuper de l’agrégateur avec moi. Le réseau IRC ça y’a pas de problème, mais l’agrégateur a cruellement besoin d’un peu de changement, que ça soit graphique ou en nouvelles fonctionnalités (j’ai bien quelques idées, mais il faudrait les mettre en forme, et fouetter Keul, le codeur principal.) En gros je recherche soit :
- Quelqu’un sachant coder en PHP/MySQL pour aider Keul et qu’il se sente moins seul.
- Quelqu’un capable d’aller lire, apprécier les blogs, les valider lorsqu’ils s’inscrivent s’ils sont suffisament bien, et vérifier de temps en temps qu’un blog ne poste pas n’importe quoi dans l’agrégateur
- Quelqu’un avec des idées qui aurait envie de prendre les choses en main.
- Quelqu’un qui sache faire un layout pour un site web comme Nanami.
Donc si vous répondez à l’un de ces critères de recherche, faites-vous connaître. Je trouverai bien quelques avantages en nature pour vous remercier.
Enfin, j’ai activé un module WordPress qui modifie un peu le comportement des commentaires, dites-moi ce que vous en pensez, si je remets l’ancien ou si je garde celui-là (qui permet de se co avec son profil FB ou Twitter en plus du profil de Meido-Rando.)
I’m hit! I’m hit! #14 – Harry Potter version manga
(Sur votre gauche la version originale. A droite la version avec les noms. Merci à @JikonDD sur Twitter pour cette version.)
En ce moment tourne sur les réseaux sociaux un artwork hyper classe des personnages de Harry Potter dessinés façon manga, à tendance très shojo, mais ça bute fort quand même.
Là je kiffe bien Ginny sur l’image, et Hermione aussi qui a la rage de vaincre, ça se sent. 🙂
Pour ceux qui ne connaissent pas très bien Harry Potter ou qui ont de vagues souvenirs de la série comme moi, regardez la version de droite.
Et pour ceux qui n’étaient pas là en 2009 vu que c’est de cette année que date le dernier I’m Hit, cette petite rubrique annexe de Meido-Rando est dédiée aux illustrations qui me tapent particulièrement dans l’oeil. Vous pouvez revoir les anciennes via ce tag : I m hit.