Auteur/autrice : Axel Terizaki

Des bannières pour Meido-Rando !

Comme vous le savez, ou peut-être pas, j’ai un énorme point faible : je suis une bille en graphisme. Mais vraiment hein : je suis désemparé devant un photoshop, incapable d’y piger quoi que ce soit. Les bras m’en tombent quoi.

Vu que j’ai changé le thème de Meido-Rando, je suis à la recherches de nouvelles bannières pour l’accompagner. Contrairement à la dernière fois où j’avais laissé la création de bannières plus libres en terme de taille, cette fois j’en ai une à vous donner et qu’il faudra respecter. En fait, voici les quelques points importants :

  • Limiter le texte à « Meido-Rando »
  • La bannière doit contenir au moins une meido, et/ou des miko.
  • La bannière doit faire du 950 pixels par 200.

Et là comme ça c’est à peu près tout !

Les participants seront remerciés avec des petits cadeaux en nature comme des accès privilégiés ou des adresses mail gratos d’un de mes domaines, donc si vous avez envie de participer, n’hésitez pas 🙂

MaOTD #610

Voici une petite meido prête à vous servir, et seulement pour 2 500 Maid Points. Une affaire au vu de la conjoncture actuelle. Elle est livrée avec un service de maintenance en option à 100 Maid Points par mois.

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Ryukishi07 sera à Epitanime 2012 !

La nouvelle vient de tomber : Ryukishi07, l’auteur des jeux Umineko no naku koro ni et de Higurashi no naku koro ni sera présent à Epitanime 2012 pour dédicaces et conférences sur la scène dôjin au Japon.

La news sur le site d’Epitanime.

Bien que n’étant pas un grand grand fan de ces univers (même si je les ai appréciés) je ne peux que soutenir la venue de Ryukishi07, puisqu’elle est organisée dans l’esprit « fan » comme l’était la venue de Noizi Ito en 2010 à la même convention. En ce sens, une collecte de dons a été mise en place pour que les fans puissent offrir à leur auteur préféré un mémorable voyage à Paris, comme ce fut le cas il y a deux ans avec la Brigade SOS Francophone et l’illustratrice de Haruhi.

Alors si vous êtes un tant soit peu fans, faites comme moi et allégez-vous de quelques euros pour faire un don. Tous les détails sont sur le lien de la news sur le site d’Epitanime. Pour le moment, seul Paypal est disponible comme moyen de paiement, mais le virement bancaire pourrait bientôt l’être également.

Sacrée nouvelle en tous cas !

Quartier Libre de printemps de Meido-Rando

Il y a longtemps, dans une galaxie très lointaine, une boule de poils nommé Raton-Laveur entretenait son blog, l’Editotaku. Symbole de toute une époque pour la blogosphère, le site est maintenant un peu à l’abandon. Parmi les articles tous plus intéressants les uns que les autres de ce blog (que je vous invite à parcourir si les pavés ne vous font pas peur) il y avait des périodes où un Quartier Libre était ouvert.

Un blog en self-service

Le principe est tout bête : un compte est spécialement crée pour permettre à n’importe qui de se connecter et d’écrire des billets sur le blog, sur le sujet qu’il veut et avec le style qui lui chante. Bref, c’est un espace de libre expression, dans la limite bien sûr des lois en vigueur tout ça tout ça.

Je me suis dit que ça serait rigolo de reprendre ce flambeau via Meido-Rando, même si des blogs communautaires comme Soviet Voice existent.

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Voilà en gros ce qu’il faut savoir :

  • La période de Quartier Libre va durer 2 semaines, du Dimanche 18 Mars au Dimanche 1er Avril inclus. Vous pouvez donc préparer votre article tranquillement.
  • Le choix du sujet est libre même s’il n’a rien à voir avec le thème ed ce blog. Si si.
  • Pour poster, vous devrez avoir un compte sur Meido-Rando. Le dimanche 18 au soir, je vais passer tous les comptes qui existent déjà en « Auteur », ce qui permettra à ces derniers de se connecter via l’adresse que j’indiquerai dans un nouveau billet le dimanche en question. Pour ceux qui prendront le train en route, chaque nouvel utilisateur inscrit aura son compte promu en « Auteur » automagicalement. Et pour s’inscrire c’est par ici. Pour se connecter par contre, c’est par là.
  • En tant que « Auteur » vous ne verrez que vos propres billets sur le site. Pensez à remplir vos infos de profil !
  • Votre billet devra au moins contenir un lien vers ce billet afin que les gens puissent comprendre de quoi il retourne.
  • Vous êtes encouragés à stocker vos images sur Meido-Rando, car les liens vers d’autres sites peuvent crever comme des chiens du jour au lendemain, ce qui rendrait votre article moins rigolo pour les générations futures. Et on sait tous que les générations futures auront besoin de trucs rigolos à se mettre sous la dent.
  • Si vous avez des questions, techniques, pratiques, n’hésitez pas à me contacter ou à laisser un commentaire sur ce billet si vous pensez que votre question et sa réponse peuvent aider votre prochain.
  • Si vous voulez faire des choses sales sur ce blog (comme parler de Hentai), précisez dans le titre de votre billet le mot [NSFW]. Aussi, utilisez la boîte « extrait » pour taper le début de votre article, et tout ce qui doit être caché ensuite dans la boîte du corps de l’article, comme ça les gens devront cliquer sur « Lire la suite » pour voir vos cochoncetés.
  • Je rajouterai d’autre points d’ici dimanche si j’en vois la nécessité.

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Voilà, à vous de vous préparer maintenant  !

MaOTD #609

Amis fans de CLANNAD, Meidolicious pense à vous avec ce modèle Kyou avec oreilles de chat. Livrée avec tous ses dictionnaires, ce modèle de type tsundere sera parfait pour vous accompagner partout, surtout grâce à sa capacité à se rouler en boule au pied du lit. Attention, il faut la nourir avec des croquettes spéciales. Prix généralement constaté de 4 000 Maid Points.

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MaOTD #608

Pour les maîtres stressés, rien de tel qu’une meido calme et pleine d’attention. C’est ce que Meidolicious Inc. vous propose aujourd’hui avec ce modèle à seulement 2 000 Maid Points !

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Un Thème et des questions metaphysiques sur Meido-Rando

Meido-Rando approche de ses sept années d’existence. Du coup, je me suis demandé si un petit ravalement de façade ne serait pas bénéfique. Je pense que j’en ai également besoin dans ma vie, histoire de prendre un nouveau départ. J’ai l’impression en effet de me trouver à la croisée des chemins, et ce sur tous les plans.

Mais passons ces considérations purement personelles et qui n’intéresseront pas grand monde pour se concentrer sur les thèmes.

J’en ai trouvé quatre. Je vous propose du coup un sondage sur votre gauche pour voir quel thème remporterait le plus de suffrages, alors n’hésitez pas à voter, et à donner vos avis dans les commentaires.

Bien sûr ces thèmes seraient un poil modifiés au final : je ne compte pas m’en servir tels quels. Donc si vous en aimez un mais qu’unt ruc vous chiffonne, ça se discute aussi.

Si vous connaissez d’autres thèmes suceptibles de m’intéresser, je prends aussi : dans l’idée, je cherche un thème sombre qui ne pique pas les yeux et avec une présentation somme toute classe. Par contre j’aimerais éviter les artifices graphiques autant que possible : a part le contenu des articles, le graphisme de Meido-Rando doit se limiter à un fond et une bannière.

En parlant de bannières, j’aimerais aussi en avoir de nouvelles. Je remercie déjà tous ceux qui en ont fait pour moi la dernière fois qu’on a changé le thème :é tant une bille en photoshop (sans compter mon problème de vue) il ne m’est pas très simple de créer quoi que ce soit de graphique comme je le voudrais (pourtant j’ai des idées :p)

Pour les dimensions des bannières, on verra ça une fois le thème choisi, je suppose. Mais si vous avez déjà des idées, et que ça ne vous dérange pas de la redimensionner plus tard une fois le thème choisi, alors faites vous plaisir :

  • Il doit y avoir le nom du site (pas l’URL)
  • Il doit y avoir des meido ou des miko, ou les deux à la fois.

Pour récompense, je dois bien pouvoir vous offrir un petit quelque chose du Mahoro Network, que ça soit un accès FTP ou une adresse mail, par exemple…

Et pour finir, je réfléchissais à la possibilité d’organiser une sorte de Quartier Libre, comme au bon vieux temps de l’Editotakus ur Meido-Rando. Le problème étant que beaucoup de gens ont des blogs maintenant donc n’ont plus forcément la nécessité de squatter le blog de quelqu’und ‘autre pour y pondre un article. Pour ceux qui ne connaissent pas, le principe est que je fournis un compte lambda sur Meido-Rando qui permet à tous ceux qui le souhaitent d’écrire un article de leur choix, sur le sujet qu’ils veulent, sans restrictions.

Comme pour le thème, vous trouverez un sondage à gauche, mais n’hésitez pas à détailler votre avis dans les commentaires !

Voilà, merci à tous les lecteurs de votre participation !

La PS Vita

Je ne me considère pas un fan absolu de Sony. Même si j’ai finalement possédé à un moment ou un autre toutes leurs consoles, j’ai toujours mis un peu de temps avant de me prendre une PSOne, puis une PS2, puis une PS3. Les seules exceptions sont donc la PSP et la PSVita que j’ai achetées le premier jour de leur commercialisation dans nos contrées.

Avec la Vita, Sony nous pond le successeur de la PSP. PSP qui a eu une vie hélas bien difficile. Si on remonte en 2005, déjà dés sa sortie les jeux se faisaient rares, les UMD Vidéo ont fait un flop inégalé, l’absence d’un second stick directionnel, des boutons mal réglés, une croix directionnelle impraticable, et comble du comble, la console est tombée en proie au piratage facilité par les multiples failles trouvées dans la console, son firmware, ou ses jeux. Pourtant, elle avait des qualités : un rendu à mi chemin entre une PSOne et une PS2, un grand écran confortable, une connectivité WiFi à toute épreuve (contrairement à la DS Lite sortie à la même époque et qui ne gèrait pas la protection WPA pour le WiFi, empêchant donc son utilisateur de se connecter à son réseau à la maison, par exemple), l’absence de zonage des jeux permettant de se trouver de bons petits RPGs sortis aux US, et… le piratage facile.

Je me suis donc procuré la nouvelle console de Sony, et même si de loin on pourrait la prendre à juste titre pour une PSP, l’intérieur en est tout autre. Même si l’extérieur n’a que peu changé, on trouve un écran plus grand en hauteur que celui de la PSP, un second stick, et des emplacements carte mémoire à la place du lecteur UMD.

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Avant d’aborder l’intérieur, parlons du package. Parce que ça ne démarre pas fort : Sony nous fait l’affront de fournir la console sans aucune carte mémoire. Pire : la console n’a pas de mémoire interne et il faudra donc forcément prévoir l’achat d’une carte avec votre console sous peine de voir certains jeux refuser de se lancer. Et c’est pas fini : les cartes mémoire, aussi petites que des cartes micro-SIM de téléphone, sont à des prix assez élevés (16 Go pour environ 40€, ça pique un peu.)

Les jeux ne sont également plus livrés sous forme d’UMDs mais de cartes mémoire qu’on met dans un second slot, en gros comme des cartouches DS, grosso modo. On pourrait penser que les temps de chargement disparaitraient enfin, mais il faut bien patienter 15 à 20 secondes pour lancer une course sur Wipeout 2048. Un peu balot tout ça. A noter que les jeux sont également tous disponibles sur le PSN (maintenant SEN) le magasin online de Sony, pour un prix à peine inférieur à celui en boîte.

La console est également disponible en deux modèles : Wifi et 3G. Honnêtement, après avoir un peu tâté de la bête je vois absolument pas ce que l’option 3G peut procurer comme confort. Sur un iPad à la limite, d’accord, mais sur une console qui en plus ne gère pas le jeu en ligne via 3G justement (à cause du ping certainement) ça perd tout de suite de son intêret, sans compter qu’il va falloir raquer avec un abonnement ou des cartes prépayées. Peut-être que les futures offres data uniquement de Free redonneront un peu d’intêret à la chose, mais pour le moment… La version 3G de la PSVita risque de ne pas se vendre du tout.

A noter également que je me suis fait avoir au moment où j’ai voulu charger la console : vendue avec son câble USB et un chargeur, le dit câble USB avec un côté propriétaire pour être branché sur la PSVita n’a pas de détrompeur si ce n’est un logo PS sur le dessus du câble. Il est donc aisé si on ne fait pas attention de se gourrer de sens et de s’étonner pourquoi la console ne charge pas du tout sa batterie…

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Allumée la première fois, la console vous guide pour la configurer, sur une musique d’ascenseur assez relou qu’on aura vite fait de désactiver dans les options une fois la configuration initiale terminée. Je n’ai pas rencontré de problème bloquant particulier, et il faut bien avouer que la puissance sous le capot de la console sert bien l’interface qui reste fluide et réactive quoi qu’il arrive.

Cette dernière se pilote entièrement au doigt sur l’écran de la console. Si on est un habitué des smartphones on sera en terrain connu. C’est aussi réactif qu’un écran d’iPhone et l’interface a plein de bonnes idées. A vrai dire je me voyais mal piloter un XMB (l’interface de la PSP et PS3) au doigt…

De haut en bas on fait défiler les pages d’applications, représentées sous formes de bulles. On peut les réordonner à loisir, faire autant de pages que l’on souhaite et aussi mettre un écran personnalisé par page :

httpv://www.youtube.com/watch?v=zh4QwDrjL8k

De gauche à droite, on a les « feuilles » d’applications. Ce que Sony appelle les LiveArea, en gros ce sont les dernières applications ouvertes et leurs feuilles. Une feuille d’application, c’est un bouton pour démarrer l’appli, un autre pour aller sur son site web, mais selon le développeur derrière ça peut être aussi la liste des activités récentes de soi ou de ses amis sur le jeu en question, ou bien un accès direct à certaines fonctions de l’appli. Ainsi, la feuille de l’appli « Photos » vous permettra d’accéder rapidement à l’appareil photo plutôt que de passer par l’interface de visualisation d’abord. C’est plutôt pas mal, même si on regrette un peu que du coup il faille deux « tap » pour lancer une application.

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Au chapitre des applications disponibles sur la console, on trouve Facebook, Flickr, Twitter et Foursquare téléchargables sur le PSN, mais la console offre quand même quelques applications de base. Les classiques Photos (dont l’appareil intégré ne vaut pas tripette mais est certainement meilleur que ceux de la 3DS), Musique, Vidéos, liste d’amis, liste de trophées (les succès de la PS3), Google Maps, un accès au PS Store, un navigateur Web, lecture à distance de contenu stocké sur la PS3…

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Parmi ces applications, il y a Near, une sorte de Streetpass du pauvre, ou plutôt moins ludique. Near se contente de répertorier les joueurs de PSVita à proximité, à quoi ils jouent, et éventuellement d’échanger des choses avec eux. Pour le moment cependant cette fonctionnalité n’a pas l’air utilisée dans les jeux.

Near est un peu complexe à expliquer sur le papier, la faute à une interface peu claire, et surtout le manque d’utilisateurs pour le moment, mais gageons que ça deviendra plus intéressant par la suite, surtout lors de conventions…

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Ces applications prennent en général jusqu’à 20 Mo de place sur votre carte mémoire, tandis que les jeux et démos vont en général de 500 à 900 Mo, bien que Uncharted soit quand même à 3,8 Go… ! Bien sûr, ça c’est si vous allez les acheter sur le PSN. Moi qui suis malvoyant, je préfère cent fois cette méthode quitte à raquer pour un grosse carte mémoire, car j’ai tendance à plus facilement perdre mes cartouches, déjà que celles de DS et 3DS… Sans compter qu’un jeu acheté sur le PSN peut être retéléchargé autant de fois que l’on le souhaite.

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Autre nouveauté bienvenue : un centre de notifications qui permet de suivre les téléchargements en tâche de fond (leur installation se fait néanmoins une fois seulement que l’on revient au menu principal, et on ne peut pas y couper pour remettre ça à plus tard) ainsi que les trophés glanés et les notifications de Near et certainement d’autres applications ou jeux à venir.

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Je vous vois venir : « Bon c’est quand qu’on parle des jeux là ? C’est une console de jeux, non ? » Hé oui, ça en est une, et au moins, Sony a compris qu’il fallait impérativement une bonne liste de jeux pour sortir sa console. On a du coup droit aux éternels Wipeout et Uncharted (d’un fort beau gabarit) ainsi que d’autres petites merveilles comme un Lumines, Rayman Origins, mais aussi des jeux en téléchargement uniquement comme Gravity Rush (à paraître) ou Escape Plan. On peut également télécharger la plupart des jeux PSP du PSN… Je regrette cependant qu’on ne puisse pas prendre de jeux PSOne pour le moment. J’ai envie de me refaire Metal Gear Solid et sa « splendide » VF.

Sony fournit six cartes de réalité augmentée qu’on peut utiliser avec trois petits jeux gratuits qu’on trouvera sur le PSN : Fireworks, Cliff Diving et Table Football. Plutôt gadgets, ils amuseront la galerie et montreront qu’en termes de réalité augmentée, la PSVita fait aussi bien si ce n’est mieux que la 3DS grâce à sa puissance supérieure. Ceux qui voudront faire la course aux trophées pourront même s’escrimer sur l’application de bienvenue qui permet de tester les différents modes de contrôle de la console via des mini jeux dignes de ce qu’on nous vend pour 40 euros sur DS (j’exaggère un peu.) mais qui permettent de se familiariser avec ce que la console a à nous proposer.

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Exemple de « feuille » avec celle de Lumines

Il est évident néanmoins que l’acheteur de PSVita va vouloir se rabattre sur les jeux plus conséquents, et quand on voit Wipeout ou Uncharted tourner, on ne peut qu’être admiratifs devant la qualité de la 3D affichée, couplée à un écran OLED qui pête bien, ça rend vraiment très bien. Les contrôles avant et arrière au toucher ne sont pas encore vraiment exploités dans les jeux que j’ai pu tester (je vais me mettre à Escape Plan ce soir…) mais on sent déjà tout le potentiel d’un appareil capable de rivaliser avec un iPhone 4S en termes de puissance, d’un écran tactile qui répond au doigt et à l’oeil couplé àd es contrôles physiques. C’est un peu la machine de rêve du joueur nomade pour moi.

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Notez que la PS Vita a un système de prise de capture d’écran intégrée ! Mais elle ne marche pas dans tous les jeux : par exemple je n’ai pas pu en prendre dans Wipeout 2048.

Côté autonomie, ça se situe dans ce que faisait la PSP en son temps. En utilisation intensive, la batterie s’est vidée en environ 3 heures, ce qui est honorable (comparativement à une bonne 3DS…)

Après, je pense que c’est comme pour toutes les consoles : on les achète avant tout pour leurs jeux. S’il y a des jeux qui nous plaisent dessus, on a besoin de la console pour y jouer. J’ai bien acheté ma Xbox 360 pour Mass Effect, puis ma PS3 pour des jeux comme MGS 4, Uncharted 2, Disgaea 3 ou Valkyria Chronicles… Je n’ai jamais été vraiment partisan des jeux Nintendo. Ils sont certes agréables à jouer mais ne me procurent pas les mêmes émotions qu’un jeu d’action rapide, un bon gros jeu de course, ou un RPG conséquent. Chacun son truc comme dirait l’autre. Il n’empêche que sortir 250€ pour une PSVita m’a fait moins mal au cul que pour la 3DS. Après, il a fallu acheter la carte mémoire, certes, mais quand même… Comparativement, la Vita est capable de plus de choses, possède un online qui fonctionne bien et offre des jeux globalement de meilleure qualité. Et puis c’est pas comme si elle avait des mises à jour physiques… Vous voulez pas qu’on parle du deuxième stick prévu sur les prochains modèles de 3DS, quand même, hein ?

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Et en attendant, ma PSP 1004 achetée le jour de la sortie est toujours vivante et en bonne santé. Et elle vous en remercie.

Bref, n’hésitez pas à poser des questions dans les commentaires si vous en avez !

MaOTD #607

Pour vous mesdames et messieurs, une meido à lunettes sérieuse et attentionnée. Une PS Vita est d’ailleurs offerte pour les 5 000 premiers acheteurs de ce modèle, alors dépèchez-vous ! 4 500 Maid Points seulement !

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Source : Karahari Kuuko

Steins;Gate

Parfois on me met sous le nez des séries que j’avais complètement zappées à leur sortie, tout simplement parce qu’elles ne m’intéressaient pas ou bien que j’étais tout simplement passé à côté d’elles. De toutes façons, je ne suis que trois, maximum quatre séries par saison, et je trouve déjà que ça fait beaucoup, parfois.

Ce n’est que lorsque ma meido d’elite N°3 vient me voir et me fait « Hé dis il faut qu’on matte cet anime pendant les repas, ça a l’air bien. » (car au QG de la Brigade on a un rituel qui consiste à regarder un épisode d’un anime en mangeant le midi et le soir.) que je jette un oeil plus attentif sur la série. Les premiers épisodes étaient à vrai dire assez laborieux, il faut bien que je l’avoue. C’était lent et assez absurde, mais on se rend bien vite compte que la série cachait en fait un potentiel énorme et qu’il est plutôt bien exploité tout au long de ses vingt-quatre épisodes. Vingt-quatre épisodes bien utilisés pour retranscrire le visual novel dont l’histoire est issue. Un visual novel qui a gagné des prix même, tellement il roxxait des poneys du chaos.

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Houoin Kyouma Okabe Rintaro est un apprenti scientifique un peu fou, voire même carrément fou, narcissique et paranoïaque qui va assister à une conférence sur le voyage dans le temps à Akihabara en compagnie de son amie d’enfance un peu bêbête Mayuri (son « Tuturu~ » en guise de salutation viendra vous hanter longtemps.) Exaspéré par le fait que l’auteur de la conférence ait repompé les idées d’un certain John Titor qui aurait déjà voyagé dans le temps au début des années 2000, il fait un scandale. Sortant de la conférence, il va être attiré par un cri émanant d’une pièce, où il y trouvera une jeune fille gisant dans une mare de son propre sang. C’est là que tout se complique : il veut appeler les secours, mais son téléphone déconne et il se retrouve comme transporté. Et la fille, Makise Kurisu (ouais, j’ai vérifié, c’est bien Kurisu, et pas Chris) est bien vivante. La conférence a même été annulée. Et là si Rintaro était sur Internet, il ferait « Mais WTFBBQOMG? »

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Rintaro vit dans un labo occupé par son amie d’enfance Mayuri et un pote un peu rondelet, otaque et pervers nommé Daru. La galerie de personnages ne s’arrête pas là mais reste relativement fixe tout au long de la série. Il n’y a pas de nouveau personnage soudainement introduit pour relancer le scénario : tout est minutieusement calculé et tout le monde a son utilité, même les personnages les plus anodins au premier abord. Que ça soit Kurisu la jeune scientifique de génie, Rukako le trap, Moeka l’autiste à lunettes qui ne s’exprime que par son téléphone portable, Feyris la meido aux nekomimi qui bosse au May Queen à Akihabara, ou Braun le propriétaire qui loue le petit appartement qui sert de laboratoire à Rintaro, tout le monde va de près ou de loin participer aux aventures du « Future Gadget Laboratory ».

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Cette galerie de personnages aussi loufoques les uns que les autres permet à la série de se lancer avec des épisodes assez légers, qui permettent de se mettre dans le bain. Cependant, la série va assez vite évoluer vers quelque chose de plus grave, quand le laboratoire de Rintaro va commencer à intéresser le SERN. Non, je n’ai pas fait de faute, il s’agit bien d’un clin d’oeil appuyé au CERN que l’on connaît, avec son fameux LHC qui sera mentionné d’ailleurs dans la série. C’est d’ailleurs l’un des gros points forts de la série : on essaye de nous faire accepter cette histoire de voyages dans le temps (qui est de la science-fiction, pour le moment !) en nous donnant de nombreux repères bien réels pour explorer le phénomène comme le SERN, John Titor, ou l’ordinateur IBN 5100. Des références qui aident à bien localiser la série dans le temps et l’espace. On n’assiste pas à une histoire figée dans un Japon des années 198X, 199X ou 200X. Il y a une date, il y a des évènements qui sont bien les mêmes que ceux de notre monde réel, et dont le scénario s’inspire pour les modifier subtilement à sa sauce. Ici il n’y a pas vraiment d’artifice scénaristique comme un artefact magique ou une météorite qui tombe du ciel et qui permettrait de voyager dans le temps. Non, même si le coup du téléphone micro-ondes paraît invrasemblable, le scénario arrive à nous faire croire que c’est possible, sans essayer de donner des explications qui ne tiennent pas debout. Dans Steins;Gate, les gadgets fonctionnent, sans qu’on se demande pourquoi, sans qu’on cherche à réellement comprendre, et c’est ça qui est fort. On se laisse porter par l’histoire et les personnages qui ont chacun une manière de parler et un charadesign bien distinct. Charadesign qui est d’ailleurs signé Huke, qui a aussi designé Black Rock Shooter.

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Quand je disais que le héros était fou, c’est bien peu de le dire : il délire même complètement, s’invente une « Organisation » qui en veut à ses recherches au point d’être complètement parano, se fait appeler Houoin Kyouma au lieu de son véritable nom, s’invente un nom de code, bref, il sent bon le personnage un peu foldingue contre lequel on s’énerve au début, mais auquel on finit par s’attacher parce qu’au fond, c’est pas un si mauvais bougre que ça et que ses délires nous font rire à force. Heureusement que Kurisu est là pour lui donner la réplique. C’est un peu la voix de la raison de la série, et elle l’aidera dans ses recherches même si elle ne croit pas une seule seconde au voyage dans le temps au début.

Au final on se prend à délirer avec ces personnages improbables, et la trame principale qui avance bien dés les premiers épisodes passés, devient ensuite plus sombre et angoissante. C’est à ce moment d’ailleurs que la série prend vraiment son envol, et où on mesure bien toutes les références laissées dans les premiers épisodes. Chaque détail compte, ce qui donne au final un scénario très bien ficelé qui ne nous laisse pas avec une impression débile d’avoir été rushé pour être fini. Il n’y a aucun épisode filler, aucun épisode qui ne sert à rien. Encore mieux : l’histoire ne comporte aucun arc en soi, il n’y a aucune coupure franche entre les différents aspects de l’histoire même si la tentation était très grande avec du voyage dans le temps. On est bien loin des constructions habituelles pour ce genre de séries adaptées de visual ou light novels.

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En clair, si vous êtes un tant soit peu fans de SF et de fantastique (si vous rangez le voyage dans le temps dans le fantastique, ceci dit) jetez-vous dessus : c’est un voyage que vous ne regretterez pas, et qui laisse assez peu de questions en suspens à la fin. C’est une série à dévorer, et à la fin de laquelle on ressort rassasié !

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Héritage ? Loto ? Grosse rentrée d’argent inattendue ? Venez la dépenser chez Meidolicious où vous pourrez acquérir ce magnifique pack de meido Hetalia pour la modique some rondelette de 10 000 Maid Points !

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Source : Ento

MaOTD #605

Amis producer-san, voici pour vous une Hibiki de Idolmaster toute fraiche sortie des chaînes de production de Meidolicious : et elle est disponible pour même pas 3 000 Maid Points, en plus de ça. Elle est pas belle la vie ?

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Source : Don Michael

MaOTD #602

Une gentille petite meido qui plaira à coup sûr aux plus conservateurs d’entre vous avec sa jupe longue. Elle est livrée avec tous ses acessoires pour 3 000 Maid Points.

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Source : Fuukafukasheu