Auteur/autrice : Axel Terizaki

Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

MaOTD #359

Une meido court-vétue pour distraire ses ennemis et mieux les achever avec sa hallebarde. Cette meido de combat est vendue* 15 000 Maid Points

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* Sous réserve de présentation d’une carte de Goshujin-sama de Niveau 5 ou plus.

La Brigade SOS à Japan Expo 2009 – La vidéo!

Voici donc le clip de la Brigade SOS Francophone à la Japan Expo 2009.


Japan Expo 2009 – Brigade SOS Francophone – Clip

Que dire, à part qu’il a été plus difficile àr éaliser que prévu, à cause d’éléments vidéos pas assez diversifiés, mais je pense avoir fait du mieux que je pouvais si on considère la situati

Si vous voulez une version HQ (1024 x 576, h264@3500Kbps / AAC@256Kbps) alors c’est par là

Le Haruhiisme est une grande secte et nous dominerons le monde très bientôt! Rejoignez-nous pendant qu’il en est encore temps, et vous serez épargnés!

Tales of Vesperia

La 360 compte désormais une bonne palanquée de RPGs, et tous sont même sortis en Europe (avec du retard, mais tout de même!) tandis que la PS3 récupère lentement mais sûrement les portages de nombre d’entre eux que bien plus tard (derniers en date, Eternal Sonata, et Tales of Vesperia ici présent. Des rumeurs courent comme quoi Star Ocean 4 sortirait également sur PS3 plus tard… mais quand?)

Tales of Vesperia fait partie des derniers RPGs japonais à être sortis en Europe, presqu’en même temps que Star Ocean 4. Le problème, c’est que ToV a mis beaucoup beaucoup de temps à sortir chez nous, alors qu’il est déjà disponible depuis l’an dernier aux Etats-Unis et encore plus longtemps au Japon. Peut-être que Namco Bandai devrait réaliser que les Européens ne sont plus le tiers-monde du jeu vidéo.

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Mon expérience des Tales Of se limite à ce qui est sorti de par chez nous et pas chez Nintendo, ce qui se limite à pas grand chose finalement. J’avais tenté le Tales of Eternia refait pour PSP, mais ça ne m’avait pas réellement accroché. L’histoire était molle malgré des personnages fort sympathiques. Et le pire, c’est que Tales of Vesperia me fait le même effet.

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Vous incarnez Yuri, un trouble-fête qui vit dans les quartiers défavorisés de la capitale impériale. Le blastia d’eau qui permettait aux villageois d’obtenir de l’eau à la fontaine a vu son noyau volé par un inconnu, et Yuri va ainsi partir à sa recherche en enfreignant quelques règles comme tout bon héros qui se respecte. Une quête bien anodine pour commencer, mais qui de fil en aiguille va se transformer en quelque chose de plus grand. C’est une des qualités de Tales of Vesperia: chaque évolution du scénario apporte son lot de changements, aussi bien dans le gameplay (avec de nouveaux concepts introduits au système de jeu) que dans l’histoire et les personnages. D’une simple quête de voleur de blastia (sorte d’item générant de la magie dans le monde, comme des barrières anti-monstres ou des attaques magiques) on va se retrouver à affronter des guildes ou participer à une lutte politique.

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Malgré cette qualité, le scénario peine à devenir réellement épique pour le moment. J’en suis à un bon petit paquet d’heures de jeu déjà, à Heliord, et j’ai du mal à m’accrocher à ce scénario qui nous mène de ville en ville sans qu’on sache vraiment trop pourquoi: à force de changer les objectifs du groupe, l’histoire se perd et on a l’impression de ne rien achever ou de ne pas pouvoir savourer ce que l’on a terminé. A peine un segment de l’histoire bouclé qu’on nous pousse vers la sortie jusqu’à la prochaine partie du jeu.

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D’un autre côté, on a pour une fois des personnages pas chiants. Les dialogues sont assez drôles et surtout, il y a un système de mini-saynettes facultatives qui permettent de mieux les connaître. Lorsque vous êtes sur la map-monde ou ailleurs, et que vous voyez en bas à gauche le nom d’une saynette avec le bouton Back, il vous suffit d’appuyer dessus pour observer une courte scène d’une trentaine de secondes en portraits fixes (et qui changent selon l’humeur du personnage). Souvent drôles, ces saynettes vous apporteront également pas mal d’informations sur le monde de ToV. Ajoutez à ça un character design très soigné, et vous aurez des persos difficiles à détester. Même Karol que j’aime pas trop est supportable, et Estellise qui aurait pu taper sur les nerfs est agréable.

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Namco Bandai a cru bon d’adapter son idée de développement de scénario au gameplay des combats: ces derniers sont tout d’abord très bourrins et simples, pour se voir greffer des nouveautés au fur et à mesure de l’évolution dans le jeu. Ca donne une impression de tutorial très long, mais ça permet aussi de renouveler le plaisir à chaque novueauté, même si trop de nouveautés tendent à trop complexifier le système de combat sans réelle utilité. En combat vous gérer un personnage de votre choix (le reste est contrôlé par l’IA qui fait du très bon boulot), et vous pouvez évoluer librement sur le terrai pour frapper ou utiliser des artes (de la magie quoi, ou des coups spéciaux). Chaque artes peut être configuré sur une direction + la touche A, avec le stick analogique gauche ou droit, ce qui permet d’avoir une bonne panoplie de coups à portée de manette. De la même façon presser une direction pendant un coup normal modifie ce dernier et permet de réaliser certains combos. Ca reste néanmoins super bourrin et très brouillon par moment (surtout qu’on ne peut pas utiliser d’items immédiatement après un autre, par exemple, et ce pour toute l’équipe).

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L’autre problème vient de la difficulté très mal dosée. Les ennemis normaux ne vous poseront aucun problème. Vous vous balladerez rapidement dans un donjon sans jamais avoir le moindre souci avec un troupeau d’ennemis. Même groupés, ces derniers font très peu mal, et Estellise a le temps de vous soigner pendant le combat sans vous inquiêter. Par contre, certains boss sont retors et peuvent vous défoncer sans sourcillier en moins d’une minute sans que vous n’arriviez à comprendre pourquoi, voire même à savoir ce que vous devrez faire pour tuer le boss efficacement. On dirait pas comme ça mais c’est extrèmement frustrant pour le joueur de voir un tel manque d’équilibre dans la difficulté des combats, surtout lorsqu’il se fait trucider sans comprendre pourquoi.

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Tales of Vesperia n’est pas exempt de défauts, dans son histoire et dans ses combats. Pour l’instant je le suis car je n’ai pas plus alléchant à portée, mais il est clair que j’ai beaucoup plus pris mon pied dans l’histoire de Star Ocean 4, même si elle était convenue et bourrée de clichées, elle était tout de même bien executée et savait tenir le joueur en haleine avec des objectifs précis et des moments forts. C’est ce qui manque à ce Tales of Vesperia pour le moment: un souffle épique qui se grave à jamais dans la mémoire du joueur. Je suis peut-être encore trop tôt dans l’histoire pour cela, mais pour le moment l’aventure se résume plutôt à une promenade à la campagne parsemée d’arrêts pipi à chaque ville. C’est fort dommage, parce que ToV est joli, avec son parti pris graphique tout en cell shading et ses héros soignés.

Gageons que Final Fantasy XIII ait ce souffle épique que j’aime tant. Ou je sais pas, Konami sortez-vous les doigts du cul et faites-nous un Suikoden sur 360 ou PS3. Ou un The Last Remnant 2 de la part de Square. Avec ce Tales of Vesperia, le nombre de RPGs à venir sur 360 se limite à quoi, au juste? Ils m’en faut d’autres! Plein!

Princess Lover

Décidément, cette saison estivale nous réserve bien des surprises niveau anime. Après un Haruhi, un Umineko, et un Canaan, voici de quoi nous déconnecter le cerveau 20 minutes par semaines. Mais ça fait du bien de se déconnecter le cerveau!

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Princess Lover est donc l’anime de l’été que tout le monde regarde mais que personne n’avoue regarder, tout simplement parce qu’il contient du fanservice Kanokon-esque, pourtant en moins grande quantité. Rassurez-vous donc, Princess Lover est complètement regardable sans se frapper la tête contre le bureau à longueur de temps. Il est tout à fait regardable tout simplement parce que son scénario (en tant que harem totalement assumé) tient bien la route, mais aussi parce que ses personnages, et tout particulièrement ses haremettes, ont toutes leur charme.

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Teppei, qui ressemble plus au frère de Mai dans Mai Hime une fois grand qu’à autre chose, coule des jours heureux avec son père et sa mère. Teppei s’entraîne d’ailleurs au kendo avec son père assez souvent on dirait, et les deux aiment bien se faire un petit match à l’improviste dés que c’est possible.

Seulement voilà, ses parents ne survivront pas à l’opening de la série, d’une esthétique somme toute très convaincante, mais à la musique très banale pour un anime de ce type. C’est dommage, car cet opening bouge bien et a le mérite de nous présenter les quatre haremettes sous leur meilleur jour.

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Il apprend alors qu’il a un grand-père qui souhaite revoir son fils et le prendre sous son aile. Teppei n’y voit pas d’inconvénient, et s’en va le rejoindre, mais sur la route, il en profitera pour sauver une jeune blonde en carosse d’une attaque de brigands en jeep (à votre avis, entre la jeep et le crosse tiré par des chevaux, qui gagne?) Teppei fera ainsi la connaissance de Charlotte (à gauche sur le premier screen) qui n’hésitera pas à flirter gentiment avec lui. Quand je dis gentiment, c’est vraiment gentiment, pas aggressivement comme Chizuru dans Kanokon, non, mais plus pour l’embêter que pour le chauffer.

Teppei réalise ensuite bien vite que son grand-père est sacrément riche. A la tête du groupe Arima, d’ailleurs, groupe dont Teppei va hériter maintenant que sa mère, seule héritière et qui souhaitait vivre normalement, a passé l’arme à gauche. Tout cela est un peu nouveau pour Teppei, qui va découvrir les joies des solicitations, des gens qui lui parlent uniquement parce qu’il est riche. Il fera à peine connaissance avec Yuu, la meido de service de la série, qu’il verra une jeune fille au loin pratiquer l’escrime dans les jardins. Ni une ni deux, il ira se battre contre elle, intrigué par cette beauté pleine d’adresse à l’épée. Cette beauté est en fait Sylvia, sa fiancée. Hé oui, déjà trois haremettes sur quatre de rencontrées dés le premier épisode!

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Teppei ira ainsi à l’école pour riches du coin, en compagnie de sa meido personelle (en uniforme de lycée, attention) et aussi de Charlotte et de Sylvia qui étudient là-bas. On a d’un côté la solitaire et posée Sylvia (sous ses faux airs de Saber), la charmante Charlotte, Yuu la jolie petite meido qui prend soin de son maître, et la quatrième, Seika, qui semble être la plus hautaine et détestable des quatre. Gageons qu’elle se rattrape prochainement…

On sait bien sûr tous avec qui le héros va finir (soit Charlotte, ou soit Sylvia), mais d’un autre côté, Yuu est probablement la seule qui puisse comprendre Teppei vu son statut de fille ‘normale’ qui doit vivre dans cet univers de riches en tant que meido. C’est pour ça que la fin de cet anime va être terrible pour moi je sens, car j’ai beaucoup d’affection pour Yuu, presqu’autant que j’en avais eu pour Mahoro à l’époque, c’est dire.

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En tous cas, pour une première production, GoHands nous gratifie d’une série très jolie, au scénario pour une fois pas pénible du tout (le héros a du mal à s’adapter à son nouvel univers, très bien retranscrit d’ailleurs), et aux personnages fort attachants. Pour ne rien gâcher, les quelques moments ecchi ajoutent un peu de piment sans trop en faire, ce qui est assez rare de nos jours. Pour moi, suels la Gainax et KyoAni savent faire du fanservice avec juste la bonne dose sans que ça soit gavant, mais pour un premier essai, GoHands se débrouille très bien, aidé par des personnages pas si stéréotypés que ça.

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Le seul point noir pourrait être la censure appliquée à grand coups de zones d’ombre et de lumière pour cacher les parties intéressantes. Ce système n’est pas nouveau, j’en parlais déjà il y a quelques années au sujet de He is my Master et de Girls Bravo. Comme la diffusion télé d’une série coûte plus cher qu’elle ne rapporte (il faut acheter les tranches horaires nécessaires auprès des chaînes de télévision) il faut bien rentabiliser la production de la série en donnant envie aux fans d’acheter les DVDs.

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A noter également que Princess Lover, l’anime, est adapté d’un VN du même nom sorti l’an dernier sur PC (avec scènes H) et qu’une version tout publics sortira sur Playstation 2 à la fin de l’année. C’est la première production du studio de développement Ricotta, et vu la qualité de la chose pour le moment, on ne peut que leur souhaiter une bonne continuation.

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Allez, je vous offre l’opening en prime.


????????? – Princess Lover! – Opening (HD)

MaOTD #356

Pour les amateurs de divinités qui n’ont pas assez de sous pour se payer nos modèles Belldandy ou Haruhi Suzumiya, voici une meido de type Nagi, livrée avec bâton de magical girl et son tronc d’arbre, pour 18 000 Maid Points.

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MaOTD #355

Un pack ultime de deux soeurs qui s’adorent afin de combler les attentes de ceux qui aiment les filles maladroites et les autres qui cherchent une meido hors pair. Il est disponible pour 25 000 Maid Points dés aujourd’hui!

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MaOTD #354

Conçue en partenariat avec Thalie Technologies, cette meido Tsumugi est livrée avec son clavier et avec sa MugiVision*, pour 10 500 Maid Points.

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* Usage recommandé en présence d’autres meido à tendance Yuri