Auteur/autrice : Axel Terizaki

Lost Odyssey

Je ne vais pas vous sortir douze mille excuses pour le manque de billets d’envergure sur Meido-Rando ces derniers temps. J’en ai plusieurs dans ma valise, mais le boulot étant assez important ces derniers temps, couplé au fait que je voulais finir Blind Spot 7 le plus vite possible, au contact que j’ai pu arranger entre Kaze et Haruhi.fr et surtout aussi au fait qu’on m’ait traîné dans World of Warcraft de nouveau, je ne pouvais pas réellement écrire ici.

Mais maintenant que Blind Spot 7 est entre les mains de mes prélecteurs, je vais pouvoir sévir de nouveau ici.

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Lost Odyssey a été attendu de pied ferme sur Xbox360. On pourrait croire la console de Microsoft sans jeu "japonais" d’envergure, mais ça serait oublier Lost Odyssey, Blue Dragon, ou encore Eternal Sonata. Néanmoins, Eternal Sonata était un peu facile, et Blue Dragon décevant. Lost Odyssey est là pour montrer que la 360 sait aussi faire de bons RPGs, et il s’en sort pas trop mal, ma foi.

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LO vous place donc dans la peau de Kaïm, immortel de son état, qui semble bien amnésique. Je sais très bien que Raton-Laveur déteste à juste titre les histoires dont les personnages principaux sont amnésiques étant donné la facilité scénaristique que cela provoque. Après tout, ça permet au joueur de ne rien connaître au monde qui l’entoure, au héros de démarrer à un niveau de merde… Alors qu’on s’imagine bien qu’en mille ans de temps il a pu se connaître de super techniques de combat, mais non!

Bref, Kaïm est immortel, et il bosse comme mercenaire pour différentes armées, dont celle de Uhra au début du jeu. Problème: lors d’une grande bataille une météorite s’écrase sur le champ de bataille et décime les deux armées qui s’y affrontaient, sauf Kaïm. Ce dernier devra faire un rapport, et escorté par Jansen le magicien un peu roublard et Satie une autre immortelle amnésique, devra aller enquêter sur de mysétérieux accidents qui se déroulent au Grand Sceptre, une sorte de canaliseur magique en cours de construction.

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Le premier truc qui saute aux yeux, c’est que c’est beau. C’est même vachement beau. Au niveau technique tout d’abord, et ensuite au niveau du design. Malgré un Chara Design un peu bizarre (par l’auteur de Vagabond et Slam Dunk) qui est à l’opposé de ce qu’on pourrait appeler Moé. Oubliez les chocobos jaune poussin, on se rapproche plus ici d’un Final Fantasy XII que j’avais testé (et détesté aussi vers la fin) sur Meido-Rando il y a un an et demi. Les personnages donc, bien qu’ayant un design un peu étrange, se révèlent très attachants grâce à un background très travaillé et des répliques excellentes. Le jeu est fort bien écrit et Jansen par exemple vous fera rire plus d’une fois. Il suffit juste de voir la scène où il se met à appeler Kaïm "Monsieur Joyeux" pour se mettre à rigoler. Kaïm est en effet le genre de héros armoire à glace qui parle peu mais bien, qui ne sourit pas, qui ne rit pas, et qui reste sans cesse sérieux. Satie a également un caractère bien trempé. Je ne vous en dirai néanmoins pas plus pour ne pas trop spoiler.

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Le deuxième truc qui saute aux yeux, c’est que la console crache ses trippes assez régulièrement. Cela rappelle un peu Metal Gear Solid 3 sur PS2: le jeu est beau, mais la console a du mal avec tous ces polygones, et rame à certains moments, surtout lors des scènes cinématiques rendues en temps réel. D’ailleurs certaines seront en vidéo mais ça ne se voit que très peu: les développeurs ont en effet pensé à rendre les personnages des vidéos précalculés avec la même qualité que dans les scènes en temps réel, ce qui fait que la différence est presque imperceptible, si ce n’est en fluidité. Cela se retrouve d’ailleurs dans de nombreux jeux de la génération actuelle de consoles: on commence doucement à douter parfois de si c’est en précalculé ou en temps réel.

Mis a part cet aspect graphique réussi, Lost Odyssey va faire grincer des dents tous les fans de RPG qui croyaient certaines choses dorénavant acquises: les combats sont totalement aléatoires à la manière d’un Final Fantasy, le jeu n’est qu’une succèssion de plans avec certains changements de caméra et travellings à la FFX et FFX-2, les menus sont assez austères (mais concis et ergonomiques), et le pire de tout semble être le système de combat au tour par tour. Du pur tour par tour à la Shining the Holy Ark sur Saturn, ou Suikoden sur Playstation 1 et 2: en début de tour vous avez tout le temps que vous désirez pour préparer vos actions, et selon la vitesse de votre personnage ou du sort à lancer (ce temps pouvant parfois atteindre un tour complet, et l’ennemi peut vous ralentir en frappant votre lanceur de sorts), le jeu vous montre une liste des personnages et monstres qui vont jouer chacun dans l’ordre. Cela a le très facheux désavantage qu’on ne peut pas guérir un personnage qui est mort, puisqu’il nous faudra un tour pour le réscussiter et un autre tour pour le guérir, sachant qu’entretemps il peut se prendre un vilain dégat de zone d’un ennemi et recrever aussitôt. Joie.

Vous aurez dans votre équipe un petit paquet de personnages dont certains sont mortels ou immortels. La différence? Les persos immortels ne peuvent pas mourir au combat: ils se relèveront après 2 ou 3 tours. L’important est donc de faire en sorte que vos personnages survivent et ne tombent pas tous en même temps. Vous pourrez en mettre jusqu’à 5 au combat et en changer à tout moment hors combat.

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L’autre différence se situe dans les compétences. Il y en a de très nombreuses, comme pouvoir porter deux accessoires, voler, magie blanche ou noire de niveau 1,2,3,4, contre, combo, etc. La diversité de ces compétences vous poussera à équiper vos personnages de façon à toujours avoir le contre qui va bien dans la zone où vous êtes. La plupart du temps dans une même zone il y a un élément ou un type de magie contre lequel les ennemis sont faibles. De toutes façons, vous ne mettrez pas de magie sur Kaïm par exemple étant donné son faible nombre de MP (certains sorts sont également très consommateurs.)

Les mortels apprennent des compétences automatiquement en grimpant de niveau, tandis que les immortels devront eux se "lier" à un mortel combattant avec eux pour apprendre l’une de leurs compétence. Cela nécessite des points de compétence, points de compétence qui seront gagnés au fur et à mesure des combats. Une fois une compétence apprise, l’immortel peut l’utiliser aussi et en apprendre une autre. Il peut également apprendre une compétence grâce à un accessoire (on ne peut équiper qu’une arme, un anneau et un accessoire dans le jeu)

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Les anneaux, parlons-en: sur les personnages se basant sur les attaques physiques, on peut leur équiper un anneau qui done un bonus à son attaque. Lors de l’attaque le perso court vers l’ennemi pour le frapper. Dans ce laps de temps on doit laisser appuyé la gachette de la manette jusqu’à ce qu’un cercle se mette en phase avec un autre. Si l’on fait un coup "Bon" ou "Parfait", l’effet de l’anneau équipé se déclenche sur l’ennemi, lui infligeant des dégats supplémentaires, ou une condition quelconque. Avec un poil d’entraînement c’est hyper simple. Et ça dynamise un peu les combats.

L’autre grand aspect de LO est le niveau de garde: vos personnages sont sur deux rangées, et la rangée avant se prend 100% des dégats. La somme des HP des persos à l’avant forme une garde, et si les ennemis, à force d’attaquer, mettent ce compteur à zéro, alors vos personnages en arrière subiront eux aussi 100% de dégats (alors qu’avec une garde même à 1HP ils perdront beaucoup moins. Les personnages magiciens sont d’ailleurs presque plus nombreux que les combattants, et ils sont très importants car la plupart du temps la magie sera plus efficace que les coups, contre les ennemis.

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Lost Odyssey est donc beau, mais classique. Mais aussi efficace, terriblement efficace même. L’histoire bien que pas sans reproches, est agréable et suffisament prenante. Elle est bien aidée par des personnages attachants et des moments forts dont je me souviendrai un moment. S’il y a bien un truc que je reproche à FF XII, c’est ce côté "tourisme à Ivalice". Je ne me souviens de presqu’aucune scène, de presqu’aucun moment épique dans le jeu, contrairement à tous les autres FF où je peux nommer facilement une scène qui m’a marqué. Là, dans FF XII, rien, que dalle. Je serais même incapable de vous uraconter le scénario tellement ça m’est sorti de la tête.

Le jeu tient également sur quatre DVDs, ce qui est assez rare de nos jours et montre bien l’intêret du Blu Ray de la PS3 et de la longueur d’avance qu’elle possède dans ce domaine. Avec la HD, les DVDs deviennent aussi petits que des CD à leur époque. C’est tout à fait logique, et ce n’est pas le choix bienvenu de la langue audio (parmi le japonais, anglais, français, espagnol, etc.) qui arrange les choses. Ainsi on passera de 10 à 15 heures par DVD, ce qui est fort honorable mais aurait pu être mieux.

Définitivement un grand jeu à mon sens, LO pourra ne pas plaire à certains de part son design ou ses quelques mécanismes qu’on pourrait considérer comme préhistoriques en matière de RPG. Le tout est cependant tellement soigné qu’on a envie de continuer. Même les temps de chargement ne sont pas si pire.

Définitivement l’un des grands titres de la 360. En attendant GTA4…

The Idolm@ster Live For You! – Le test

A la fin du test de The Idolm@ster, je vous avais dit que je ferais un test du second jeu, "Live For You!".

Au départ perçu comme un data-disk, Live For You reste néanmoins un standalone puisqu’il ne réutilise aucunement les données du premier opus. Hé oui, tous les beaux costumes que vous aviez débloqués seront ici à re-débloquer, voire pire: à acheter de nouveau.

Ce fut sans doute la première déception. Bien que possédant quelques nouveaux costumes et accesoires, on sent déjà que Namco Bandai ne s’est pas foulé: l’interface est pratiquement identique et les accesoires dispos en début de partie sont presque les mêmes que dans le jeu original. Mis à part quelques excentricités bien entendu…

Le ridicule ne tue pas.

En quoi consiste le gameplay alors? C’est encore plus basique que le premier volet: vous choisissez vos trois idols pour faire un groupe, vous les habillez (je n’ai pas trouvé comment leur donner des costumes différents contrairemnt au jeu original où on pouvait les habiller différement les unes des autres dans un même groupe) et vous prenez une chanson, un endroit, un mode de difficulté, et c’est parti pour, tenez-vous bien, un simulateur de public.

En gros, le jeu vous montre une prestation scénique de vos idols et une barre horizontale en bas de l’écran fait défiler des touches à appuyer pour que le public pousse des cris ou des encouragement en rhythme. C’est rigolo 20 minutes mais on en a vite marre, et c’est le seul mini-jeu proposé…

Selon le voltage de chaque prestation vous pourrez débloquer le "remix A" de chaque chanson, mais aussi acheter sur le Marketplace le "Remix B". Le pire c’est que les versions originales, à quelques rares exceptions, sont bien meilleures que ces remix. On débloque également des costumes et accesoires ainsi.

Vous l’aurez compris par ce petit test, j’ai été très déçu de Live For You! Namco Bandai nous montre encore une fois son savoir-faire en matière de suites pas très innovantes (il suffit de voir Katamari Damacy pour s’en convaincre.) et comment ils se foutent bien de notre gueule. Live For You! est une coquille vide. Vidée de son intêret principal, à savoir le lien entre le producteur et son ou ses idols, et du grinding de stats, le jeu ne vous occupera qu’une petite heure tout au plus. C’est dire, j’avais même demandé à Morgan de me prêter son trépied pour mon appareil photo et mon camescope histoire de vous donner un meilleur rendu que la dernière fois, mais franchement, The Idolm@ster Live For You! n’en valait pas la peine.

MaOTD #178

Comme hier c’était l’anniversaire de mes 26 années d’amour des meido (ou presque) il y aura deux Maid Of The Day aujourd’hui.

(bon en fait c’est une erreur de post, mais vous allez pas vous plaindre quand même? 🙂

Voici un nouveau type d’uniforme. Il est en cours de test chez certains clients. Si vous aimez n’hésitez pas à laisser un commentaire sur le formulaire prévu à cet effet.

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MaOTD #176

Ce modèle loli Lucky Star n’est également pas à vendre. C’est un modèle d’exposition et nous espérons pouvoir en produire en quantité industrielle pour satisfaire les Shikaziens d’ici quelques mois.

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Bientôt sur vos écrans, le Maid Shop

Vous l’aviez réclamé à corps et à cris, vous allez enfin pouvoir vous enfiler des Maid Points grâce au site que je suis en train de préparer, le Maid Shop.

Je m’explique:

Comme vous le savez, Meido-Rando fonctionne sans publicité, tout simplement parce que je déteste ça et être lié à un quelconque contrat si ce n’est celui de mon hébergeur. Or, le serveur qui fait tourner Meido-Rando me coûe cher, et encore plus avec toute la bande passante qu’il gloutonne depuis bientôt 3 ans. C’est en jouant à The Idolm@ster et en découvrant le contenu téléchargeable dessus que l’idée m’est venue: pourquoi ne pas ouvrir un Shop?

Dorénavant, les MaOTD de Meido-Rando seront en tout petit, et vous pourez obtenir une version grand format en achetant la Meido au Maid Shop. Vous pourrez la coller partout où vous voulez une fois payée.

Toutes les meido sont UNIQUES. Ce qui veut dire qu’une seule personne peut en être l’acquéreur à un moment donné. Votre nom sera d’ailleurs inscrit sur chaque MaOTD, ce qui aura également pour effet de booster votre Google Rank, car Meido-Rando a quand même un excellent Page Rank, il suffit de taper Artificial Girl 3 par exemple pour voir que je suis très bien placé.

Le paiement s’effectuera par Paypal UNIQUEMENT.

Le taux de conversion au jour d’aujourd’hui est de 1,09 euros = 1000 Maid Points.

Ce taux sera remis à jour tous les soirs à minuit.

Préparez donc les cartes bleues, car d’autres avantages vous seront bientôt proposés (dés que j’aurai les idées en fait.)

I’m hit! I’m hit! #11

Rien de mieux qu’une dose intense de Tomoyo, Kyou et Nagisa pour fêter l’annonce de la seconde saison de CLANNAD.

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Mais comme je sais que vous en voulez plus, je vous offre une image qui risque d’en tuer plus d’un.

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Les "I’m hit! I’m hit!" de Meido-Rando TUENT. Je devrais en faire un T-shirt tiens

Anime Catch Up – Avril 2008

Bon on est pas encore en Avril mais presque!

Beaucoup de séries se terminent en rpévision de la nouvelle saison et il est l’heure de faire un petit point sur ce que je regarde en ce moment et sur les séries dont j’ai parlé ici et comment elles se sont développées.

L’absence de post d’envergure en ce moment sur Meido-Rando témoigne d’un certain manque de temps et de mon dévouement à Haruhi.fr qui malgré la concurrence hyper rude (haha) parvient à grossir petit à petit. Si vous êtes fans de la Déesse Toute Puissante, venez!

Il y a deux autres raisons aussi: La première, c’est que je fais le deuil de Teri, mon idol qui a dit au revoir à ses fans la semaine dernière. Depuis je n’arrive plus à allumer ma 360 japonaise, car je sais qu’elle ne sera plus là, et que je n’en aimerai jamais une autre de la même façon. Mais ça me passera, je suppose.

Le deuxième deuil concerne Mikuru, l’une de mes NAS, c’est à dire serveurs de fichiers en réseau. Pendant une mise à jour de firmware banale, elle a violemment planté comme une otarie bourrée à la bière et le résultat est bien celui que vous l’imaginez: impossible de la démarrer. La bonne nouvelle, c’était que les disques durs étaient sains et saufs et j’ai pu les mettre dans sa remplaçante, Tomoyo! Elle est d’ailleurs encore en train de vérifier la cohérence de son RAID 5 à l’heure où j’écris ces lignes.

Allez, on est partis!

  • They are my noble masters : Malgré un début vraiment pas fameux, la série se démarque petit à petit par des personnages rigolos et plaisants, avec une alternance entre développement de personnages et scènes loufoques. Bon c’est loin de casser trois pattes à un canard mais ça reste regardable quand on a envie de se débrancher le cerveau.
  • Spice and Wolf : La série n’a pas failli à ses promesses et nous délivre ce qu’on attendait d’elle, ni plus ni moins: une Horo absolument charmante, une intrigue basée sur le commerce, un monde moyen-âgeux plutôt bien construit, et encore plus de Horo. La série s’est conclue de façon satisfaisante pour moi, même si on en aurait aimé plus.
  • Sketchbook : Ca aurait du me plaire, une série tranquille avec des chats, mais j’ai vraiment du mal avec le dessin (de l’anime hein!) et au final je n’ai aps accroché après 3 épisodes, alors que pourtant j’ai bien aimé Aria. Allez comprendre.
  • Love Get Chu : Mon dieu les fansubbers n’ont pas abandonné cette série. Anime de seconde zone, Love Get Chu est cependant plaisant à regarder et si comme moi vous êtes fans de seiyuu vous ne pourrez qu’apprécier son univers.
  • Kimikiss Pure Rouge : Je me suis endormi devant. Si si, j’ia même matté le dernier tiers de la série en diagonale pendant que je faisais à manger. C’était juste super lent quoi. C’est pas que la série aurait mérité moins d’épisodes, mais peut-être un peu plus d’action. Ca reste quand même super plaisant pour peu qu’on aime les histoires d’amour. Au moins le fait qu’il y ait trois intrigues à suivre était très original.
  • H2O Footprints in the Sand : H2O pour moi a très bien démarré: les auteurs ont définitivement bien cerné l’attitude d’un aveugle dans un milieu hostile et Takuma se déplaçait de façon crédible avec sa canne blanche (j’en sais quelque chose.). Il y avait plein de petits détails, et malheureusement à la fin du premier épisode il regagne la vue. WTF général bien sûr, surtout que le reste de la série est très peu intéressant hormis le background du village. Takuma s’est alors transformé en héros de harem tout à fait banal, jusque vers la fin de la série: dés l’épisode 9 on sent en effet que quelque chose se trame et la fin de la série vous entraînera de WTF en WTF jusqu’à pousser un hurlement "MAIS QUELLE CONNE!" en plein visionnage. Bref, si les animes avec un peu de fantastique et de sentiments vous intéressent, vous pouvez regarder H2O tranquillement. Un peu comme Myself Yourself en moins bien animé, j’en garderai quand même un souvenir correct.
  • Gundam 00 : Hahahahahahahahahahaha… HAHAHAHAHAHAHA! Pardon mais dans ma tête, je suis en train de me demander quelle série était la pire entre les récentes productions de Sunrise. D’ailleurs j’en ai fait le sondage pour les deux semaines à venir alors lâchez-vous. Que dire sur Gundam 00? Tout d’abord que ce n’est pas parce que la série est exceptionnellement nulle que je n’en ai pas parlé, mais je n’arrive pas à me mettre à parler d’une série Gundam et pondre un article dessus. Tout ce que j’ai à dire c’est que Sunrise a décidé de faire des personnages au chara-design plutôt bon mais de leur mettre des personnalités de merde. A part Lockon, Setsuna est mou et détestable et ne sait que dire son nom, Hallelujah est schyzophrène et Tieria n’arrête pas de se plaindre et de jouer le trap. Si vous ajoutez à cela des factions trop nombreuses et inintéressantes, le fait que "Gundam Meister" me fasse faire des cauchemars de Mai Otome, des rebondissements ridicules, des appareils de flotaison prêts à déborder de leurs vêtements (Si si, les seins de Sumeragi)… Il n’y a guère que Felt, Christina et Ms. Wang pour sauver cette série. Sunrise, je ne vous salue pas.
  • Clannad : Je garde bien évidemment le meilleur pour la fin: contrairement à Kanon, une autre histoire de Key adaptée en anime par Kyoto Animation, Clannad a sû garder un dynamisme et des personnages fort attachants qui ne disparaissent pas au fur et à mesure que les arcs se terminent. Même Nagisa n’était pas trop détestable mais la vraie révélation de cette série c’est bien entendu Tomoyo ! Et les cuisses de Kyou ! Et la scène du local de sport! Et la pièce de théatre ! Et le récital de violon ! Et les hit combo de Tomoyo ! Et Tomoyo en ours ! Et les ‘Dozo! Voici une étoile de mer !’ Et le match de basket ! Et… ah, chaque épisode de Clannad avait son petit moment sympa, limite épique, qui a sans doute rendu la série très populaire. Elle rejoint sans conteste avec Mahoro, Haruhi, Lucky Star et REC entre autres, mon panthéon des séries. La fin, elle était très satisfaisante, et l’annonce récente de la seconde saison qui reprendra la partie la plus intéressante du Visual Novel n’est pas pour déplaire. Je me demande néanmoins comment ils vont gérer les différentes routes cette fois.