Auteur/autrice : Axel Terizaki

Legend of Heroes II : Prophecy of the Moonlight Witch

Début Janvier je vous parlais de Legend of Heroes, un petit RPG sur PSP venu du fin fond des caisses de Namco et Bandai. J’avais fait une review très succinte à l’époque, mais le jeu hélas, ne pouvait mériter plus.

Namco & Bandai aiment jouer avec notre cerveau et il faudra prendre en compte que, b ien que Prophecy of the Moonlight Witch soit indiqué commee étant le deuxième volet de la série après Tears of Vermilion, c’est en fait tout l’inverse au japon. Allez savoir…

L’histoire nous relate donc le pélerinage d’un jeune garçon nommé Jurio et de son amie Christina (gentiment surnommée Chris pour coller dans les cases des noms de persos) qui partent de leur village pour aller découvrir ce que disent les cinq shrines autour de leur continent. Ce pélerinage fait partie d’une ancienne coutume de leur village pour les jeunes de 16 ans ou plus, et est sensé commémorer le pélerinage réalisé par une sorcière il y a de cela 20 ans.

Jurio et Chris

Comme pour le premier volet (on va prendre la numérotation américaine), les personnages sont assez charismatiques et bien designés. on a un peu de mal à s’attacher à Jurio au début qui fait incroyablement gamin, mais ça vient vite. L’histoire, quant à elle, est relativement ennuyeuse pendant les deux tiers du jeu: on progresse de shrine en shrine en écoutant ce qui se dit, et les menaces pour le monde ne se font sentir que très tard dans l’aventure. On a alors l’impression que tout nous tombe dessus sans vraiment avoir compris ce qu’il s’était passé. Contrairement à Tear of Vermilion, où le héros devait sauver sa soeur des griffes d’un gros copathe ((c) Pérusse) voulant invoquer un dieu sanguinaire. On a d’ailleurs l’impression que le jeu se finit un peu à la va-vie, comme s’il manquait une sorte de drame et de tragédie qui était dans Tear of Vermilion. Ici tout le monde il est gentil, tout le monde il est mignon, tout le monde il t’aide dans ta quête Ainsi à l’instar du premier épisode, vous reverrez tous les persos que vous avez connus à la fin du jeu, qui se réuniront pour vous filer un coup de main afin que vous puissiez térasser pépère le dernier boss du jeu.

Au niveau du système de jeu, l’aventur ne vous réservera presqu’aucune surprise. Le jeu n’a aucun secret à débloquer, aucun truc à collection, aucune maison à fouiller pour trouver des coffres remplis d’items, rien, que dalle, niet. Seuls les derniers donjons vous offriront quelques choix de passages, mais rien de très gratifiant. Quand ils ‘agit de faire progresser l’histoire, il vous suffit de trouver la personne qui possède un point d’exclamation à côté de sa bulle et de lui parler, Du très basique. Très très très basique.

Côté technique, on asisste à un agréable mélange de 2D et 3D. Les sprits sont plutôt détaillés et agréables, et les artworks des personnages importants lorsqu’ils parlent donnent un petit aspect oldschool bienvenu. En fait, c’est même carrément nécessaire, tellement le système de jeu est archaique. C’est juste pour faire un ensemble cohérent, vous voyez? Oh bien sûr il y a quelques effets 3D agréables à l’oeil, mais pendant les combats, on assistera même à un ramage en règle de la PSP, indigne de la console.

Le combat est extrémement basique. Tour par tour, choix entre attaque, magie, compétences spéciales et furies lorsque votre jauge de power est à fond, et bien sûr items. Le tour par tour est assez aélatoire et il est difficile de réellement planifier ses attaques. Les combats sont en général d’une facilité déconcertante, et les ennemis sont visibles sur la carte, vous permettant de les éviter. En fait, j’ai évité un très grand nombre de combats et je n’ai eu qu’à level up une petite heure vers la fin du jeu pour pouvoir battre les deux derniers boss avec aise.

Bon alors pourquoi ai-je donc bien pu trouver le courage de finir un jeu pareil me direz-vous? Hé bien, grâce à un scénario plutôt original, bien qu’un peu trop rose bonbon à mon goût, comparé à Tear of Vermilion. Et puis, il y a aussi le fait que les RPG sur PSP sont loin d’être légion: à part Valkyrie Profile et Tales of Eternia, et deux out rois autres jeux, les Legend of Heroes sont les seuls à proposer un intêret correct. Bien sûr, ce petit RPG n’arrivera jamais à la cheville de n’importe quelle grosse pointure du genre, mais le fait qu’il se laisse suivre sans réfléchir, qu’il propose une petite aventure sympatoche bien que manquant de saveur, justifie son achat, au moins en occasion, pour tout fan de RPG possédant une PSP.

Enfin, on verra s’ils ont amélioré les choses dans le volume 3…

MaOTD #21

Vu qu’on attend tous les sorties d’octobre niveau anime, faut bien que je meuble.

Et puis, fallait bien que je prenne quelques vacances… 🙂

A défaut d’être sexy, elles sont plutôt kawaii tout plein non?

MaOTD #20

Pour fêter la 20ème MaOTD je vous présente non pas une maid, mais autre chose… 🙂

I am the servant of my Goshujin-sama. Aprons are my body and Moé is my blood. I appeared in over a thousand doujinshi. Unknown to fatigue nor known to shame. Withstood pain to serve, waiting for my duty to end, I have no regrets, this is the only path. My whole life was « Unlimited Maids Works »

Pour illustrer, je pourrais vous renvoyer sur un billet honteux de FFenril mais non, je préfère vous donner une vrai Maid of The Day cette fois.

(pour ceux qui n’ont pas compris, le Unlimited Maids Works, c’est le penchant du Unlimited Blade Works de Fate Stay Night pour les maids 🙂

Haruhi Cosplay – le retour de la vengeance

On m’a fait comprendre que ma précédente cosplayeuse d’Haruhi était bof, alors je me venge:

Oui, ça a l’air d’être du bon vieux porno/érotique jap merdique, mais saluons l’initiative tout de même, qui montre bien à quel point Haruhi Suzumiya est célèbre. (erm :P)

(Pour ceux qui demandent un lien vers un torrent, let the police do the job, et croyez bien que dés qu’on aura plus d’informations, vous en serez les premiers informés… :P)

Ouran High School Host Club

Comme d’habitude je prends toujours certaines séries avec quelques mois de retard, mais bon, vieux motard que jamais comme on dit.

Le studio Bones qui nous fait un anime style shoujo ? on aura tout vu! 🙂 Et pourtant ils se débrouillent fort bien, avec une série mêlant humour un peu déjanté, une pointe de romance et des personnages bien typés.

L’histoire commence avec Haruhi. Un peu nerd au premier abord, avec ses cheveux en bataille, ses lunettes et son look d’un autre monde. D’un autre monde? Oui, car à Ouran, lycée privé immensement riche, on ne cotoie que des garçons et filles de bonne famille. Toute la Jet Set japonaise est réunie en ce lieu ma foi au demeurant fort agréable. Que fait Haruhi ici? Hé bien elle a tellement bien réussi ses études qu’elle a obtenu une bourse pour étudier à Ouran.

Voulant trouver un coin pepère où étudier, elle tombe sur la 3ème salle de Musique, supposèment inoccupée. Là elle rencontre les membres du Host Club qui ont élu domicile à cet endroit, et brise par inadvertance un vase très couteux.

Et là je me dis « Ca va se finir comme dans Kore ga watashi no goshujin-sama!? » et elle va finir en maid, hé bien en fait pas exactement. Haruhi va devoir bosser au Host Club pour payer sa dette. Seulement voilà, Haruhi est une fille, et ça va poser problème.

Car le Host Club, c’est quoi? C’est, tel que Tamaki Suou, son président, l’explique: un club où de jeunes et beaux garçons tiennent compagnie aux jeunes filles riches qui ont du temps à elles. En utilisant leurs charmes, les 6 garçons (dont 2 jumeaux) ont pour devoir de faire plaisir à ces jeunes filles au coeur pur qui viennent les voir. Rien de sexuel bien évidemment (je vois venir mon lectorat, hein.) Des mots doux, des gestes séducteurs, boire le thé ensemble, telles sont les occupations du Host Club.

Les deux jumeaux vont jouer la relation semi-incestueuse, mais tout cela pour faire plaisir aux jeunes filles. Parmi le host club, il y a aussi le sérieux à lunettes, l’amant sauvage, le blond charmeur, et enfin le petit a l’air gamin qui s’empiffre de gateaux et reste avec ses peluches, donnant tout de suite envie à certaines de le cajoler. Y’a pas de doute, c’est une équipe bien rodée pour plaire aux filles qu’il y a là.

Mais Haruhi dans tout ça? Que vient-elle faire parmi ces bishonen ? Simple. Lorsqu’elle est arrivée, ils l’ont d’abord prise pour un garçon, et puis finalement se sont rendus compte de la vérité lorsqu’elle a cassé le vase. Ils ont donc décidé de la faire travailler en tant que garçon pour le host club: le garçon effeminé est là, et Haruhi remplit très bien son rôle.

Un certain lien protecteur (voire plus) va se lier entre les garçons et Haruhi, qui est tout le contraire d’eux. Ce sont des garçons riche, elle est une jeune fille pauvre.

Et la série réussit bien à exploiter l’humour autour de ces contrastes: des garçons qui découvrent ce qu’est un supermarché ou un appartement, ou bien qui tentent de garder le secret d’Haruhi pendant la visite médicale obligatoire… Un style déjanté, un graphisme assez coloré et des doubleurs qui s’en donnent à coeur joie (les jumeaux sont excellents) contribuent sans conteste à donner à cette série un comique innatendu. A vrai dire je n’avais pas trop prévu de regarder cette série avant qu’on me la recommande vraiment chaudement. Au final je n’ai pas été trop déçu du voyage (la série est sur sa fin au moment où j’écris ces lignes) et bien que ça ne soit pas l’anime du siècle, c’est sans conteste une série bien faite pour la détente, au même titre que School Rumble.

Non, cet anime n’est pas gay, pour ceux pour qui l’abus de bishonen nuit gravement à la santé.

P.S.: Non, je ne ferai pas le parallèle entre les héroines de Ouran et de La mélancolie de Haruhi Suzumiya… Elles n’ont rien à voir entre elles ! Ah zut, trop tard je l’ai dit 😛

Haruhi cosplay

Bon, rien de nouveau en fait, il est évident qu’une série d’une telle popularité a déjà vu fleurir des tonnes de cosplays plus ou moins réussis, mais un peu par hasard je suis tombé sur cette image:

Je sais pas ce qu’elle a par rapport aux autres, peut-être que c’est le clin d’oeil, l’appareil-photo, je sais pas, je l’ai trouvé bien sympa ce cosplay.

Voilà, j’ai une image là que j’aime bien et je trouve pas pourquoi, rage 😛

Les 5 Lois de la parfaite petite Maid

Suite à une provocation ouvertesuggestion de Raton-Laveur, je me dois de rétablir la justice en ce bas monde en érigeant les 5 lois de la parfaite petite Maid.

Pour illustrer mes lois, je prendrai exemple sur Mahoro, qui est selon mes critères, la Sainte des Maids, l’OMEGA Maid, bref, la déesse des Maids.

C’est parti 🙂

1ère loi: En toutes circonstances tu souriras

Une Maid, c’est avant tout une domestique, et elle doit montrer qu’elle aime son métier parfois ingrât. Ainsi, que ça soit Mahoro, Mariel de Hanaukyo Maid Tai, CBD-May de Hand Maid May, ou encore Lilica dans Girls Bravo, même si son maître est un crétin et un pervers fini, elles gardent le sourire.

2ème loi: Des tâches ménagères comme une déesse tu t’occuperas

Les maids savent tout faire: le ménage, le repassage, la lessive, étendre le linge, la vaisselle, réparer des fuites d’eau, préparer à manger, tailler la haie, broutertondre le gazon, planter des arbres, organiser une fête, installer un sapin de Noël, mettre la table, passer l’aspirateur…

Oui, les maids savent tout faire, y’a aucun doute là dessus. Et même si il y a un truc qu’elle ne saurait pas faire, elle l’apprend en général vite et bien.

Note: Les maids dépourvues de qualités ménagères compensent par un uniforme miniaturisé et un sex appeal quadruplé, généralement manifesté par une énorme poitrine (syndrome Nanako) (sans parler des performances sexuelles à proprement dites.) Les maids dépourvues à la fois de qualités ménagères et physiques n’existent pas dans les animes.

3ème loi: En combat tout le monde tu surpasseras

Armée d’un simple pistolet automatique, d’un fusil à pompe, d’un lance-roquette ou d’une arme blanche, une maid est invincible grâce au grand pouvoir de la kawaiitude sacrée. Qui peut gagner contre Mikuru? Contre Mahoro? Contre Roberta (Black Lagoon) ? Contre Lilica? Contre Whilmelia (Shakugan no Shana) ? Contre Konoe (Hanaukyo Maid Tai) ? Contre Elenore (Madlax)? Personne, tout simplement. Que ça soit à l’arme blanche ou à l’arme à feu, ou encore à la spatule une maid sait se servir de ce qui lui tombe sous la main et s’en sert bien. Elle est capable de défendre son champ de bataille (la cuisine) aussi bien que la terre entière contre une armée de Gundams.

Note: Comme Mahoro, elle possède également tous les permis possibles, de la trotinette au camion-citerne.

4ème loi: Un uniforme unique tu porteras

Il suffit de faire un tour dans ma rubrique Maids pour se rendre compte qu’aucune maid ne porte le même uniforme. Chacune essaye de plaire à son maître et chaque maître est différent. De ce fait on trouve des robes courtes ou longues, des tabliers courts ou longs, des bottines ou des chaussures, des chaussettes ou des collants, des robes bleues ou noires, des rubans ou des broches, et toujours un petit serre-tête de dentelles. La maid est mode, la maid est fashion, la maid est stylée. Evidemment le plus grand défilé de mode reste Hanaukyo Maids Tai, mais ça vous le saviez sans doute déjà.

5ème loi: Dévouée à ton maître tu seras

Oui, car le maître est dieu. Le maître est la personne pour qui la maid vit, peu importe ses raisons (adoption, sauvée d’une mort certaine, achetée comme esclave, violée puis droguée, prise de remords après avoir tué le père de son maître, ou tout simplement une androide, rayez les mentions inutiles quoi.) La maid est dévouée pour son maître et fera tout pour exaucer ses désirs les plus fous, veiller sur lui, et le protéger au prix de sa vie. Aide ménagère, garde du corps, chauffe-lit, la maid est universelle et s’adapte à toutes les situations.

Et après on se demande pourquoi je compte dominer le monde par un croisement habile de nekomaids… 🙂

Allez, je passe le flambeau à Shikaze, qui même s’il a pas de blog, se fera bien un plaisir de poster quelque part les 5 Lois du parfait petit Mecha. Je sais qu’il en est capable le bougre.

EDIT: Evidemment Shikaze a bien relevé le défi. Qui sera la prochaine victime?

I’m hit! I’m hit!

Critical error… Recovery impossible… Kernel Panic…

(Indice: cliquez pour avoir la même mais en maxi plus grand)

Si jamais vous vous sentez l’âme d’un héros, capable de résister à n’importe quoi, de braver l’impensable, alors je vous invite à cliquer sur le lien "Lire la suite."

Si vous pensez être une âme sensible, passez votre chemin. Ce qui suit peut tuer un homme, voire 3 ou 4.

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Anime News

Un p’tit billet pas comme les autres aujourd’hui pour annoncer quelques bonnes nouvelles, que je suis sûr certains d’entre vous auront remarqué:

  • Un nouvel anime sur Kimi ga nozomu eien est annoncé. Annoncé le jour de l’anniversaire de Mitsuki, l’héroine (non, c’était Haruka!) de KGNE, le studio en charge de l’anime a fait savoir que le titre de cette nouvelle saison serait « Haruka’s Route ». Alors, cela va-t-il être la vie d’Haruka après qu’elle ait… euh, bon, disons qu’on va être gentils avec les lecteurs qui n’ont pas encore vu ce superbe chef d’oeuvre de drama animé qu’est Kimi ga nozomu eien. Le genre d’anime qui vous prend aux tripes sans que vous ne vous y attendiez.
  • La mélancholie de Haruhi Suzumiya est mentionné dans l’hebdo Newsweek!. Bon, c’est qu’une petite mention, l’article étant centré sur Youtube principalement. L’autre fausse info de l’article c’est qu’ils pensent que Haruhi est populaire grâce à Youtube… Ah j’aime le journalisme professionnel. Plus loin dans les commentaires du billet de Jason, on apprend que les ventes des 3 premiers DVDs sont des hits en puissance. Mais bon, c’est au japon, pas facile de dire si cela se produira ainsi si un jour Haruhi est licenciée en France. Aux States c’est déjà plus probable que ça arrive dans un avenir proche, mais j’imagine que le prix de la licence va être pharamineux.

Décidément, 2006 est une année faste en bons animes, et pour tous les goûts 🙂

Utawarerumono

Un titre un peu difficile à retenir au début mais on s’y fait vite, contrairement à plein de séries dont le nom m’échappe sans cesse.

Beaucoup de choses distinguent cet anime de ce qu’on a pu voir dans le même genre jusqu’ici. Pour commencer, c’est une adaptation d’un H-game de LEAF (les auteurs de To Heart, entre autres) et contrairement à leurs habitudes, il s’agit cette fois-ci d’un Tactical Hentai RPG. J’en vois d’ici esquisser un sourire à l’idée d’un « Tactical Hentai » et pourtant, c’est bien ce que Sakura Taisen aurait pu être s’il avait été developpé par une societé de jeux hentai, hein 😛

Mais revenons à nos moutons:

Le héros de l’histoire, qui n’a pas de nom au début, se reveille amnésique. Receuilli par la vieille d’un village et soigné par sa petite fille, Eruru, il va peu à peu gagner la confiance des gens sur place malgré son passé trouble, le fait qu’il soit un étranger et surtout, le fait qu’il ait un masque bizarre sur son visage et qu’il n’arrive pas à enlever…

Il va donc vivre dans ce village, menacé par une bête féroce de la forêt. Je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher la surprise, mais contrairement à n’importe quel anime adapté d’un H-game, l’histoire se suit plutôt bien et avance convenablement. D’ailleurs je trouve que l’anime emprunte aussi un petit air de Suikoden avec une rebellion qui se prépare… En tous cas on arrive très facilement à s’imaginer les phases Tactical qui s’imiscent entre les pans du scénario, et ils sont menés avec brio dans l’anime, même si on a jamais joué au jeu, comme moi.

La réalisation n’est pas tip top, mais certainement bien meilleure que la moyenne, avec des couleurs qui sortent bien et des animations très bonnes par endroits, à défaut de dessins très fins.

Au niveau ds personnages, j’étais un petit peu sceptique face à l’existence de personnage aux oreilles fury et même avec des queues pour certains, mais il faut bien dir que lorsqu’on voit Eruru et sa petite soeur Aruru, tout doute s’efface. Ce n’est pas mon fort en général, mais y’a pas à dire, Eruru is love.

Bon je sais que j’ai quelques trains de retard sur cette série de la saison passée, mais elle m’a agréablement surprise avec un début loin d’être fracassant mais bien plaisant tout de même. J’ai hâte de regarder la suite en tous cas: un très bon anime d’aventure dans un monde original et un tant soit peu sérieux (et adulte) ça manquait.

MaOTD #18 – Mecha Assault

Histoire de réconcilier les fans de mecha et de maids (mais bien souvent ils font bon ménage, y’a qu’à voir Gravion…) je vous proposer le premier prototype de la division mécanisée de mon armée de Maids à venir:

Bien sûr, l’image est disponible en plus grand… 🙂

Welcome to the NHK!

Welcome to the NHK est l’une de ces séries un peu étranges au premier abord dont le nom n’inspire rien ou presque rien au téléspectateur lambda. Pourtant, le terme NHK devrait être familier à certains connaissant un peu le Japon.

Welcome to the NHK ne parle pourtant pas de la compagnie de diffusion NHK, mais de tout autre chose. On suit l’histoire de Satou, qui entre deux délires proches de la folie, est un chômeur pur et dur depuis quelques années déjà. Vivant en réclusion, il est atteint du syndrome hikkikomori quand même assez répandu au japon quand on regarde de plus près. Les hikkikomori, ce sont ces gens qui s’enferment chez eux et se replient sur eux-mêmes, sans voir personne. Lisez donc l’article de Wikipedia plus haut si vous voulez en savoir plus, c’est assez intéressant…

Cependant, l’anime ne traite pas que de ça: Satou va faire la rencontre de Misaki, une jeune fille qui va s’intéresser à lui pour un certain « projet » bien mystérieux. Elle va le convaincre, non sans mal, de se guérir de son hikkikomori d’une façon peu banale.

C’est sans compter bien sûr sur quelques petits soucis, notamment le voisin de Satou, qui n’est autre qu’un ancien camarade d’école, et qui va l’engrainer dans l’otakisme, le lolicon et pire, dans l’écriture d’un jeu hentai. 😀

Welcome to the NHK est assez drôle à partir du moment où on ne prend pas la série pour un documentaire animalier sur les hikkikomori, mais comme une série animée comme une autre. Tirée de romans puis de mangas (je vous le disais que c’était la mode), Welcome to the NHK semble avoir plus d’un tour dans son sac, des personnages bien designés et simples à retenir. Clairement un bon divertissement, servi par une réalisation correcte de la part du studio GONZO. A mon avis, il lui manque néanmoins ce petit quelque chose pour en faire une série géniale, mais j’ai du mal à voir quoi…

Ca reste cependant à mes yeux une bonne série de l’été à regarder, sans aucun doute.

MaOTD #17

Je déclare cette MaOTD comme Maid of the Month.

(peu oseront me contredire, j’en suis certain.)

Ponytails turn me on.

Elle est même disponible en plus grand si on clique dessus 🙂

Petit teaser, au menu de cette semaine sur Maido-Rando, et si la flemmingite aigue ne me frappe pas trop fort: Welcome to the NHK, Utawarerumono (en fait faudrait que je commence à regarder avant) et encore d’autres Maid of the Day 🙂