Auteur/autrice : Axel Terizaki

MaOTD #3

Et voici la 3ème MaOTD. Pas de MiOTD cette fois-ci car j’en ai pas sous le coude qui conviendrait 🙂

Promis, bientôt un vrai billet sur un truc concret, et pas des images juste pour meubler. En attendant, enjoy 🙂

MiOTD #2

Et pour accompagner la MaOTD d’aujourd’hui, voici la Miko of the Day 🙂

On dirait qu’elle vous implore de lui rendre un service… Comment résister? 😀

Allez, un petit extra en cliquant sur lire la suite… 🙂

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MaOTD #1

Avec cette nouvelle rubrique, je compte poster une miko et une maid chaque jour, chaque fois que c’est possible 🙂

Evidemment, ça ne sera pas forcément sexy chaque fois. En l’occurence là, je la trouve très mignonne avec son chat sur les genoux 🙂

RECflexions

Outre le jeu de mots pourri du titre de ce billet, je tiens à réagir, comme d’autres bloggeurs, sur la fameuse scène très controversée du premier épisode de REC.

Visiblement, beaucoup de personnes ont été plus ou moins choquées par le fait que Fumihiko (le protagoniste mâle) couche, comme ça, avec la jeune aspirante doubleuse à la fin de l’épisode 1.

Tout d’abord, je voudrais attirer l’attention sur le fait que des tas de séries, américaines, françaises, japonaises, peu importe, contiennent leur lot de références et de sous-entendus bassement sexuels. Oui, nul besoin de nous voiler la face et de faire les hypocrites, il suffit de regarder n’importe quelle série américaine. Et ca n’a pas l’air de choquer outre-mesure.

Ensuite, il y a l’aspect d’abus. Fumihiko a-t-il profité de la faiblesse d’Aka après l’incendie de son appartement pour faire ce que tout mâle normalement constitué aurait envie de faire? Doit-on condamner cela, même si Aka était consentante, bien qu’en état de choc après avoir échappé à la mort? Personellement je ne le pense pas: faire l’amour reste un acte de vie, et lorsque l’on a été a deux doigts de mourir, qu’on est encore appeuré et sous le choc, je pense qu’il est plausible de vouloir se réfugier, de se prouver que l’on vit encore malgré l’épreuve, et ce de cette façon.

Le héros est-il trop gentil ou calculateur? A-t-il réellement pensé à la finalité que l’on a vue à la fin de cet épisode? Ou était-ce simplement comme nos amis anglosaxons le disent du casual sex ?

Nos deux protagonistes sont des adultes. L’une a 20 ans, l’autre 26. Cela fait-il d’eux des êtres irresponsables de leur porpre vie? Je ne pense pas.

Dans quel état seriez-vous en voyant votre maison brûler et tout ce qu’il y a dedans?

Ne chercheriez-vous pas un peu de réconfort?

Certains pensent que cette scène était inutile. Hé bien non, je ne pense pas du tout. Le temps où il fallait 26 épisodes à faire mumuse avec les sentiments des héros, c’est fini ça, les gens en ont marre, moi le premier. Une histoire d’amour dans la vraie vie ça ne commence pas toujours tout doucement, et cette histoire nous le prouve.

Et puis, ça ne sera pas la première fois qu’on verra une scène de sexe implicite dans un anime. Rappelez-vous, Kaji et Misato dans Evangelion, Fray et Kira dans Gundam SEED ou Gladys et Dulindal dans Gundam SEED Destiny. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres quand on y repense, mais là on dirait que ça choque de nombreux bloggeurs…

Ce n’est qu’un anime, après tout, mais ça reste une histoire, tout comme un film et son scénario qui tient en 1h30. Il y a parfois des scènes controversées aussi. Qu’en pensez-vous? Le héros a-t-il abusé de la situation ou a tout simplement voulu la consoler en lui accordant ce moment de vie?

REC

Aaah, làlà, si vous saviez…!

Après avoir pris les deux premiers épisodes de REC sans trop savoir à quoi m’attendre, à part un très classique « c’est marrant » de la part de ceux qui l’ont vu, je ne m’attendais pas à une telle révélation.

REC, c’est un petit bol d’air frais. C’est mignon, drôle, et adulte à la fois. Et pour ne rien gâcher, l’héroine a un petit air de Mahoro dans son look. J’ai craqué.

L’héroine de REC, c’est Aka Onda, une aspirante doubleuse. Plutôt original déjà comme job pour un anime. Le héros, lui, dont j’ai déjà oublié le nom (que voulez-vous, mémoire selective de mâle.) se fait poser un lapin par une femme avec qui il devait aller voir un film. Sur le point de jeter les billets, Aka arrive et l’en empêche. Elle décide de lui remonter un peu le moral et d’aller voir le film avec lui. Mais bon, elle est bizarre comme fille, elle se met à lire tous les sous-titres à voix haute dans la salle… 🙂

Vient l’heure du dîner, et Aka lui paie un coup, et un peu de poulet. Et les voilà qui rentrent chez eux, pour s’apercevoir qu’ils n’habitent pas très loin l’un de l’autre, à un paté de maisons près.

Or, dans la nuit, l’appartement de Aka tombe sous un incendie, et la voilà toute seule à la rue. le héros, voulant la remercier avant tout pour le rapas tout à l’heure l’invite à passer la nuit chez lui. En tout bon gentleman qu’il est, il lui propose une douche et lui prête des vêtements. Aka est quand même assez sonnée et déprimée, elle a tout perdu dans l’incendie, et elle se met à pleurer devant la gentilesse du héros qui lui prête son lit alors qu’il va dormir par terre, plus loin. Essayant de la réconforter, s’en suit un baiser, et bien plus encore…

Vous êtes assez grands pour deviner ce qu’il s’est passé, et bien que l’on ne voie rien, c’est implicitement suggéré d’une fort belle manière.

Ceci, n’était que le premier épisode. Assez court, car chaque épisode de REC dure 12 minutes au lieu des traditionelles 24. Ce qui est dommage car il n’y aura que 9 épisodes en tout (2 disponibles lorsque j’écris ces lignes) mais il existe un manga, que je ne vais pas hésiter à essayer de me procurer.

Le format assez court donne lieu en fait à une histoire très dynamique, sans temps morts à coups de longs travelings de décors ou de visgaes pour meubler le temps. On sent que les scénaristes essayent de caser un maximum dans ces 12 minutes.

Beaucoup parlent de série ecchi, alors qu’il n’en est rien. Vous ne verrez pas l’ombre d’un pantsu, de poitrine, ou autres joyeusetés. C’est juste la scène de fin du premier épisode, qui rompt avec la tradition des animes romantiques où on attend que ça, que les protagonistes passent à l’action. Ici, pas de chichis, et c’est très bien traité. D’ailleurs, Aka repoussera le héros plus tard, lui expliquant que ce qu’il s’est passé n’était juste que l’affaire d’une nuit parce qu’elle était mal, qu’elle acceptait son aide, mais c’est tout. C’est réellement un comportement crédible.

Ce qui m’a plu, c’est cette ambiance drôle, limite déjantée parfois, avec des gags subtils, mais aussi une romance en trame de fond, sans qu’elle ne monopolise toute l’attention. On n’a qu’une envie, c’est que le héros et Aka deviennent un vrai couple, même si un obstacle les sépare (je ne vous en dis pas plus, vous verrez bien!)

Bref, une série bien sympathique, avec un format original, des personnages attachants (surtout Aka! :P), et une réalisation plutôt bonne. Mon vrai coup de coeur de cette année avec Kashimashi ~Girl Meets Girl~

School Days

Attention, histoire psychotique en vue.

School Days est un jeu à la base hentai , qui a ensuite été adapté en une mini-série d’OAVs. En fait, la particularité de ce jeu hentai parmi tous ceux disponibles au japon (et y’en a plus qu’on ne le croit) repose sur le fait que la totalité ou presque de l’histoire est animée. Fini les images fixes et les voix pas toujours présentes, ici, tout est animé. Bon, on paye le prix cher: 8 Go de download et 14 Go à l’install (aie.). Il semble y avoir un certain nombre de routes / fins dans le jeu.

Pendant que vous lisez ceci, téléchargez donc la vidéo promo du jeu. Elle fait une vingtaine de mega-octets. Elle est totalement worksafe (no hentai ou ecchi inside)

En fait, à la vue de cette vidéo, j’ai trouvé ça très mignon au premier abord: On y voit des scènes belles et romantiques, une histoire d’amour comme on aimerait en voir plus souvent quoi.

La situation de base est très classique: Le héros, deux filles. L’une d’elles le pousse à sortir avec l’autre. Mais s’en suit alors une jalousie profonde de la part de celle qui tenait la chandelle, au point que l’on découvre sa nature psychotique. La fille en question, Kotohona, qui a l’air d’une gentille princesse d’école comme on en fait plus, pête un câble comme on en fait plus non plus, et dans certaines routes du jeu il arrivera au héros de mourir égorgé ou poignardé par cette dernière, ou bien l’entendre rire comme une maniaque, entre autres.

Sympa comme School Days, vous ne trouvez pas? Mais ce n’est pas tout, le pire des endings vous est réservé à la fin de la vidéo que j’ai indiqué plus haut. Afin de ne pas vous traumatiser davantage, cliquez sur « lire la suite »…

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