Auteur/autrice : Axel Terizaki

Tales of Eternia PSP

Voilà, je l’attendais depuis des mois, Ubisoft ayant décidé de retarder la sortie, initialement prévue début novembre, de 3 mois, je l’ai enfin, entre mes mimines, le premier vrai RPG d’envergure de la PSP .

RPG d’envergure oui, car Tales Of Eternia fait partie d’une immense saga, celle des Tales Of… dont Tales Of Symphonia a cartonné sur Gamecube. TOE est un jeu d’abord sorti sur Playstation première du nom, qui a été fort bien accueilli, mais jamais sorti en Europe. Cette fois-ci, nous ne sommes pas délaissés, puisque nous sommes les premiers à l’avoir en anglais sur PSP. Quoi, en anglais?

Non, vous ne rêvez pas. Ubisoft a retardé de 3 mois la sortie pour laisser le jeu en anglais, et s’est contenté de nous resservir la version Playstation américaine, mais en l’adaptant au format de la PSP Foutage de gueule? Vous ne croyez pas si bien dire. Il faut savoir que Tales of Eternia, aussi appelé aux US Tales of Destiny 2, comporte une bonne tripotée de mini-jeux, dont quelqes-uns sont des quizz sur le premier épisode… qui n’est jamais sorti en Europe! On sent que Ubi maitrise son sujet, y’a pas à dire.

Mais concentrons-nous sur le jeu, et ce qui fait son charme: c’est beau, super beau. On sent le coup de crayon travaillé, les desins réussis, et une ambiance qui lui est propre. L’esprit de TOE est bien conservé sur la portable de Sony, et permet de s’adonner aux joies du RPG partout où l’on voyage. L’aventure est celle de Reid et de ses amis, qui vont décider d’aider la jeune Meredy dont le moyen de transport s’est écrasé près de leur village. Je n’ai pas parcouru suffisament de terrain dans le jeu pour en dire plus, mais il se dégage de cette aventure un très bon esprit des RPG de l’époque: travaillés, diversifiés, et intéressants, qui font pardonner la linéarité de l’histoire.

Outre les phases d’exploration, il y a bien entendu des combats, qui se passent en temps réel, comme dans Star Ocean par exemple. Un très bon point puisque ça nous change des combats au tour par tour, qui même s’ils sont plus tactiques, énervent bien souvent quand on a autre chose à faire que de combattre 2 escargots mutants alors qu’on est près d’un point important dans l’histoire. Un peu confus parfois, les combats dynamiques vous feront enchainer les combos comme dans Star Ocean, avec style et timing.

Au niveau de la réalisation, les graphismes apparaissent très soignés sur PSP, bien que les persos et texte soient un poil petits. Cependant, on s’y habitue très vite. Les capacités 3D de la console ne seront pas mises à mal par le jeu, c’est certain: la 3D employée, lors de voyages sur la carte du monde ou dans les mini-jeux, date de la Playstation 1.

Là où on est un peu déçus, c’est de ne pas avoir les voix japonaises également: celles anglaises sont écoutables mais sans plus… Un peu trop surjouées comme le dit Gamekult dans son test et manquant cruellement de crédibilité. Enfin bon, ça peut pas être pire qu’un doublage français… Et il faut garder à l’esprit que ce sont des doublages d’époque de la PS1.

Au final, on se retrouve quand même avec un excellent RPG , que tout joueur amateur du genre se doigt de posséder sur la console. Quelque chose que je ne pourrais pas dire de Legend of Heroes que j’ai fini récemment. C’était une aventure sympa, mais sans plus réellement. Définitivement digne de la Super NES boostée plus qu’autre chose.

Sister Princess

Aujourd’hui, j’ai décidé de parler d’une série assez ancienne, mais que j’affectionne tout particulièrement. J’ai nommé, Sister Princess.

La série va bientôt sortir en France, vu qu’il me semble que Dybex en a acquis les droits. (et ils sont bien courageux). C’est une rumeur cependant, à prendre avec des pincettes.

Attention, Sister Princess, de son petit nom SisPri, mettra votre sucre-o-meter à toute épreuve. Cette série est bourrée de bons sentiments, de pureté et de ??kawaii? -itude presqu’inégalés jusqu’alors.

L’histoire de l’anime se résume, en gros, à l’arrivée d’un type qui a loupé son entrée dans une école célèbre d’une façon dont on ignore encore (machination?) sur une petite île où il ira à l’école. Or, sur cette île, avec son parc d’attractions, sa petite ville fort agréable et ses bateaux qui ne partent jamais pour le continent, habite non pas une, pas deux, mais bien 12, oui douze soeurs du héros. Alors ne me demandez pas comment ça se fait que le type ait autant de soeurs, certaines plus jeunes et d’autres plus vieilles que lui, mais elles sont là, et elles vont lui montrer qu’elles adorent leur unique frère.

Pour renforcer cette atmosphère presqu’incestueuse, mais (fort heureusement) qui ne franchira jamais cette limite,chaque soeur appelle son frère d’une façon différente, et toutes les façons y passent: onii-chan, onii-sama, onii-chama, anii-ue, anni-ue-sama, onii-san, nii-san, nii, aniki, etc. Autant de façons qui reflètent la personnalité unique de chacune des soeurs.

Et concrètement, que se passe-t-il? Ben rien. C’est juste mignon. Comme dans beaucoup de séries issues d’un jeu vidéo / dating sim japonais, il ne se passe strictement rien avant les 3 ou 4 derniers épisodes. La majorité de la série est consacrée à la découvert d’une soeur en particulier, son histoire et comment elle voit son frère.

La série animée est originaire d’un jeu, mais ce jeu vient lui-même d’une mini-série d’histoires d’un magazine (vous aurez plus d’infos dans l’article Wikipedia sur SisPri) qui permettait à ses lecteurs de voter pour sa ‘sister’ favorite. Forcément, ça a fait un tabac, d’où l’adaptation en jeu vidéo et en anime.

Techniquement, ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais la série date tout de même de 2000-2001, et c’est assez coloré et fort bien dessiné (à tel point que je me suis payé les artbooks, vraiment sublimes)

Ceci dit, la série vous réservera quelques surprises… Est-ce réellement possible d’avoir douze soeurs sans jamais s’en être rendu compte? Qui a pu organiser son echec à l’examen d’entrée de l’école studieuse où le héros souhaiter aller? Est-ce que ce sont bien ses soeurs, ou des prétendantes?

A vous de le découvrir, dans cette série calme et sympa 🙂

Maliki’s comics strips

Cette fois-ci, je vais vous parler d’un autre comic strip que je trouve fort agréable. Il s’agit de celui de Maliki qui se met plus ou moins en scène dans ses petites BD. Elle adore les chats, et ses dessins sont plutôt sympa, très expressifs… En tous cas j’aime beaucoup le style.

Je vous invite donc à découvrir ces strips, qui ne forment aucune histoire, mais sont bien souvent assez drôles et agréables à lire 🙂

Ah, je précise, c’est en français.

Kasimasi ~Girl Meets Girl~

Warning, warning, yuri anime spotted 🙂

Kasimasi ~Girl Meets Girl~ est encore l’une de ces histoires bien loufoques que seuls les animes peuvent nous conter. Malheureusement pour vous raconter l’histoire, je suis dans l’obligation de vous spoiler le premier épisode entièrement, qui sert d’introduction à la série.

Le héros, Hazumu, est ce que l’on pourrait appeler une femmelette en bonne et due forme. D’apparence pas très masculine déjà, il est également du genre très sensible, ce qui lui vaudra d’être embêté dans sa jeunesse.

L’histoire commence alors que Hazumu, après avoir longtemps eu des sentiments pour l’amour de sa vie, Yasuna, se fait rejeter par cette dernière alors qu’il s’était rempli de courage pour lui confesser ses sentiments. Afin de ventiler un peu, il part seul sur une montagne proche de chez lui, pour tenter d’oublier tout ça. Ses trois amis, Tomari (l’athlète protectrice), Asuta (le mec sympa et un p’tit peu pervers sur les bords), et Ayumi (la fille silencieuse et à lunettes) se décident à partir à sa recherche.

Et là c’est le drame. Un vaisseau spatial alien perd le contrôle de ses moteurs, se crashe sur la terre, pile poil sur Hazumu, qui meurt bien évidemment sur le coup (un vaisseau spatial à forme phallique de cette taille ça doit faire très mal sur la figure). Pour se faire pardonner, et en vertu des Lois sur la Protection des Etres Vivants (ou un truc comme ça), les aliens diffusent sur toute la planète leur excuse, et reconstruisent Hazumu, sauf qu’ils se plantent et le transforment en fille. Cette transformation est irréversible. BAM, décor planté.

Alors voilà, comment ses amis vont réagir, comment Hazumu voit-il son nouveau corps, comment ses parents vont faire, comment…? vous le découvrirez en regardant l’épisode 2, déjà disponible chez toutes les bonnes crémeries.

Personellement, j’aime bien ce genre d’histoires totalement surnaturelles, qui ajoutent un certain piquant à une vie sans doute très banale. Toujours est-il que le graphisme est agréable, les designs réussis, l’animation bonne, et l’histoire avance corectement pendant les deux premiers épisodes, donnant en tous cas envie de voir la suite.

UPDATE: D’après Darksoul, il est écrit sur l’image, en haut « Même en fille, je l’aimerai toujours! » 🙂

French Maid TV

Même dans mes rêves les plus fous je n’y avais jamais songé, mais voilà que ça arrive. Un vidéo podcast rien que pour moi, et pour vous aussi j’espère:

French Maid TV, oui, la seule chaine de télé qui vous nettoie le cerveau… entre autres 😛

Au cas où le site soit surchargé (on ne sait jamais, un excès de popularité) je me suis permis de mettre le premier épisode ici

Rinçage d’oeil spotted.

Lemon Angel Project

Sous ce nom digne d’un anime hentai ou d’un quelconque show de magical girl, se cache en fait un de ces animes qui surfe sur la vague des animes musicaux tels que Honey and Clover ou encore BECK ou il y a déjà un peu plus longtemps Full moon wo sagashite.

L’histoire parait un p’tit peu complexe pour un premier épisode, mais en 2017, il semblerait qu’une jeune fille, un peu maladroite mais qui visiblement chante bien, ait eu une sempai à son école qui développait une chanson. Cette chanson s’est alors retrouvée comme le premier single d’un groupe d’idoles, à savoir les Lemon Angel Project.

Cependant, alors que les Lemon Angel Project étaient au top de leur forme et des ventes, il s’est passé quelque chose, et elles ont soudainement disparu.

L’héroine est donc à la recherche de sa sempai, ancienne des Lemon Angel Project, et elle apprend que la maison de disque des LAP tente de faire revivre le groupe avec d’autres jeunes filles, dont elle. Seulement visiblement ils n’arrivent pas à récupérer les chansons, car la sempai de l’héroine a apparement corrompu les données avant de s’en aller.

Une histoire un peu mystérieuse dans un futur proche, agrémenté de jolies idoles qui chantent des chansons entrainantes… A essayer. Je ne suis pas trop fan de ce genre de séries, mais je voudrais voir quelques autres épisodes avant de me décider.

SHUFFLE!

Voilà, on m’avait beaucoup parlé de cet anime dont j’avais matté les premiers épisodes sans trop accrocher. Finalement, mes deux sempai Corsaire et Darksoul m’ont poussé à regarder le reste de l’anime promptement, ce que j’ai donc fait.

SHUFFLE! (avec l’article extrèmement complet sur la version anglaise de Wikipedia) est à la base un H-Game plus tard adapté en série télé, comme cela arrive souvent depuis To Heart.

Au premier abord donc, SHUFFLE! nous narre l’histoire de Rin, un lycéen tout ce qu’il y a de plus classique. Sauf que voilà, Rin vit dans un monde où les démons et les dieux cohabitent également en paix. Ainsi, il n’est pas surprenant de voir des gens avec des oreilles super longues (des démons) et d’autres avec des oreilles un peu plus pointues mais plus petites (des dieux). Jusque là bon, ca apporte un peu de diversité, mais attention, si c’était aussi simple, ça serait pas drôle, si? En fait, Rin voit débarquer, d’un côté et de l’autre de là où il vit (chez son amie d’enfance, Kaede, tous les deux ayant perdus leurs parents) la famille royale des dieux et celle des démons, et apprend qu’il est le candidat idéal pour être le marié de Sia, la princesse des dieux, et Nerine, la princesse des démons.

Tout un programme.

Ca ne serait pas un réel anime harem si toutes les filles n’en pinçaient pas pour Rin, et si celui-ci n’était pas TROP gentil et indécis pour en choisir une une bonne fois pour toute.

Résultat des courses, du très très prévisible, dans le sens où chacune des filles va marquer des points pour essayer de conquérir Rin. Chacune, car il n’y a pas que Sia et Nerine dans le coup: Kaede, mais aussi Asa, la sempai de Rin, en pincent également pour lui. Du pur délire.

Cependant, il en choisira bien une à la fin, et ce n’est pas forcément celle qu’on croit. Aussi, comme Corsaire l’a souligné, c’est à se demander laquelle des filles fait le plus peur, car elles ont presque toutes un petit secret original à cacher. Enfin, vous verrez 🙂

Techniquement, la série se situe à un bon niveau. Comme toutes les séries de ce type, l’animation est très bonne, les dessins très jolis. Seule la musique se fera rapidement oublier, mais les voix sont là pour rattraper le coup, comme d’habitude. Surtout Asa (image plus haut) qui fait un excellent travail.

Ici, vous avez Sia à gauche et Nerine à droite.

Donc, qu’est-ce que j’en ai pensé?

Hé bien, j’ai été un peu déçu, par plusieurs choses. Tout d’abord, l’entousiasme de mes sempai m’avait fait m’attendre à un série à la Da Capo, ou encore Kanon avec ses intrigues assez mystiques et surtout, une happy end pas si happy que ça, ou au moins une fin en drame tragique. Car là, au risque de spoiler, je vais le dire haut et fort: SHUFFLE! finit plutôt bien, et l’execution de cette fin est plutôt bien foutue dans son ensemble, ce qui rattrape ma déception. Je vous laisse donc découvrir qui Rin va choisir, et comment.

Ceci dit, le passé de Kaede laissait augurer de nombreux clash et bastons avec les autres filles. Il n’en sera malheureusement rien. Quel dommage.

JPOP Trash

Honteusement repompé sur Kanaii, j’ai nommé JPOP Trash.

Ce site, en français, est comme vous l’aurez sûrement remarqué après avoir cliqué sur le lien, consacré aux stars de la jpop, hommes ou femmes (surtout femmes). Comme son nom l’indique également, il est plutôt trash. Pas dans le sens où vous yv erez des choses choquantes, mais disons que ce site est plutôt interdit à n’importe quel(le) fan assidu(e) d’un groupe ou d’une star de Jpop. L’auteur de se blog nie toute responsabilité en cas de malaise en visitant ce site.

Bon, plus sérieusement, il s’agit de photos avec légendes détournées afin de faire rire la gallerie. Si on y va avec plein de second degré, on peut trouver ça très marrant. Quand on regarde bien, la jpop, c’est beaucoup de plaçage de mots anglais qui n’ont rien à faire dans la chanson, vous ne trouvez pas? 🙂

Nan, j’aime bien la Jpop, et ce site m’a fait assez rire. Comme quoi, hein… 🙂