Auteur/autrice : Axel Terizaki

Lumines – Le Tetris de la PSP?

Devant la relative pauvreté des sorties anime ces derniers temps (je ferai un billet sur Full Metal Panic TSR en temps et en heure) il faut bien que je m’occupe…

Assurément, il fallait un jeu de réflexion rapide, pas trop prise de tête, et surtotu à score sur la PSP. Sony l’a bien compris.

C’est là que Lumines entre en jeu.

Un peu comme Tetris au premier abord, Lumines est en fait loin du simple concept de Tetris.

Ici vous avez une aire de jeu vaste, mais aussi, des carrés de 4 blocs qui tombent. Ces 4 blocs sont de deux couleurs différentes, et le but du jeu est de faire des carrés de même couleur. Bien évident si vous faites par exemple un rectangle de 6 blocs, ça comptera comme deux carrés. Ainsi, il est possible de faire des combos vu que les blocs qui étaient au dessus tombent après que d’autres disparaissent.

Jusqu’ici, rien de bien folichon, si ce n’est que je n’ai pas parlé du plus important : la musique.

Une musique en effet assez electro/techno mais pas trop désagréable vous accompagnera tout au long de votre partie. Un bout de la musique tourne en effet en boucle jusqu’à ce que vous fassiez disparaître des carrés, ce qui a pour effet de faire continuer la musique de façon fluide. C’est assez bien foutu en fait…

A cela s’ajoute la méthode de disparition de vos carrés réalisés. Car une fois réalisés, ils ne disparaissent pas tout de suite, mais uniquement lorsque la « timeline », une ligne verticale qui passe de gauche à droite avec le timing d’un méthronome, fera disparaitre vos carrés en les touchant. Ainsi on peut réaliser de gros combos en faisant disparaître des dizaines de carrés par passage de la ligne, si on se débrouille bien.

Et là vous vous dites « C’est nul et la musique doit saouler au bout d’un moment. » Hé bien non: une fois une chanson terminée, on passe au stage suivant de façon rapide et transparente, pour continuer sur le jeu qu’on a encore entre les mains (en gros, le passage d’un stage à l’autre ne vide pas l’aire de jeu). Le passage d’un stage à l’autre change notamment les motifs des blocs (parfois c’est hardcore, on ne voit pas trop la différence pour certaines skins difficiles) mais la musique change également, les bruitages de vos déplacements aussi, et bien entendu, la vitesse de la timeline change selon la musique qui joue.

Voilà pour le principe du jeu.

Après, vous avez plusieurs modes de jeu: Challenge (ce que je viens d’expliquer), contre la montre, mode skin unique (au choix parmiles skins débloquées), mode puzzle (des formes à réaliser, c’est très dur), et mode versus, contre la console ou un autre joueur de Lumines muni d’une PSP et du jeu.

En somme, je dirais que le jeu est un incontournable de la PSP] pour ceux uqi sont allergiques aux jeux de caisse à savon (même is j’ai déjà craqué pour Wipeout). Lumines est surtout bien pour des parties rapides, comme Tetris quoi, en attendant dans une salle d’attente par exemple!

Full Metal Alchemist PS2

Mettons nous tout de suite d’accord: j’ai énormément aimé la série Full Metal Alchemist. De bout en bout on suit l’histoire avec beaucoup d’intêret, il n’y a que peu voir aucun flashback ennuyeux (symdrome des longues séries) et globalement, y’avait de tout: comédie, action, aventure, designs et réalisation soignée, bref que du bonheur.

Comme beaucoup de jeux à licence, on pouvait s’attendre au pire en voyant débarquer un jeu d’action-RPG sur PS2. Cependant, comme Square-Enix (à qui l’on doit, je le rappelle les Final Fantasy mais aussi quelques autres jeux bien sympathiques tel que Star Ocean 3).

A vrai dire, je suis assez déçu. Bien qu’ayant un début plutôt prometteur, mêlant des séquences en animation et des phases de jeu à la Kingdom Hearts, FMA est d’abord décevant sur le plan technique. En intérieur ça va, mais une fois sorti du train au début, les décors sont d’une pauvreté assez affligeante pour de la PS2. On se demande même si ce n’est pas un jeu PSX auquel on joue.

C’est d’autant plus dommage, car les combats et la modélisation des persos est plutôt bonne. L’animation est également plutôt bonne, et le début du jeu augure de bonnes choses concernant l’alchimie.

En résumé, je dirais que je n’ai pas trop accroché (les action-rpg c’est pas vraiment mon style non plus je dois dire) mais pour les fans, c’est sans conteste un bon jeu. Bien mais pas top. C’est sûr que quand on voit les adaptations récentes d’animes en jeux vidéos (Genre, allez, au hasard, mais totalement au hasard… Saint Seiya?) on aurait pu craindre le pire, mais non…

Le jeu n’est pour le moment pas disponible en France (ou même en Français)

A y est j’ai craqué.

Et oui, je suis tendance maintenant, car j’ai une PSP.

Quand on la prend dans ses mains pour la première fois, on est frappés par ce souci du design, qui lui donne une certaine noblesse. Un peu comme un iPod finalement. Bon d’accord on est un peu refroidi par le plastique de sous la console, mais globalement on peut se dire qu’elle est bien foutue à l’extérieur.

Contrairement à ce que je pensais, elle n’est pas très massive et tient bien dans les mains, sans être trop lourde. Du bonheur somme toute.

Je vais donc vous livrer mes impressions rapidement.

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Ai tomaranai – Fin

Ai tomaranai est enfin terminé chez Pika editions. L’occasion pour moi de faire le point sur cette petite série de Akamatsu.

Comme d’habitude chez Akamatsu, on trouve énormément de remplissage au milieu de la série, puis ça se bouscule sur la fin. Fin un peu abrupte je dirais, car il aurait été plus agréable de savoir ce qu’il s’est passé un peu "après". Néanmoins, les derniers chapitres, avec notamment la petite rivale de Satie fort mignonne, et également la petite soeur de Hitoshi et son Ma-kun, fort sympathiques (on sent bien que ça le turlupine le Akamatsu, car la soeur victime d’un brother complex, on a revu ça déjà dans Love Hina)

Au final, j’ai bien aimé. Cependant c’est loin d’etre inoubliable, à cause de passages un peu longuets et d’histoires complètement loufoques dont j’ai un peu eu ma claque avec Love Hina, et qui ne font absolument rien avancer du tout. Les deux derniers volumes m’on quand même bien plu, j’ai donc eu raison de finir la série 🙂

Atelier Iris Eternal Mana FINI!

Ca y est, j’aurai pris mon temps mais j’aurai bouclé Atelier Iris Eternal Mana sur PS2. Après environ 115 heures de jeu, ce que j’estime être très bien, ce RPG m’a bien détendu.


Commençons par ce que j’ai apprécié:

  • Le graphisme haut en couleurs et plein de vie.
  • La réalisation old school mais suffisante.
  • Les voix
  • L’interface claire et simple.
  • La musique, vraiment sympa (ça m’est arrivé de fredonner certains morceaux 🙂 )
  • Les personnages NPC ou non très attachants.
  • Plein de trucs à collectionner! Des item en veux tu en voilà, des mix improbables viens-y j’en ai plein! Non vraiment c’est un réel plus.
  • Chaque perso a son utilié au combat

A côté de ça il y a quelques trucs qui m’ont dérangés.

  • Histoire sans grand intêret. Agréable à suivre mais on a déjà vu mieux, et beaucoup plus abouti
  • Peu de lieux différents à visiter. Le monde est assez petit.
  • Peu d’ennemis réellement différents.

Bref, je dirais que j’ai quand même bien apprécié mon périple dans le jeu. Certes c’était assez linéaire (mais bourré de sous-quêtes annexes) et un peu répétitif parfois (mais pas over désagréable), mais la maniabilité, la profondeur de choses annexes à faire rallongent considérablement la durée de vie.

Pas le meilleur RPG du siècle mais un très bon cru. Comme vous l’aurez compris, si j’avais un mot à la bouche pour qualifier Atelier Iris, ça serait agréable.

Un bon petit 16/20 🙂

Ichigo 100% – là c’est vraiment la fin

Je suis outré.

J’ai fini de lire les volumes 17 et 18 (dans un anglais approximatif mais suffisant pour calmer ma soif), et je suis tout simplement outré de la fin de Ichigo 100%. Je me permets ici d’agir en fanboy extrèmement vexé, mais bon, compte tenu de comment je m’étais impliqué dans l’histoire et comment l’auteur asu nous tenir en haleine pendant 18 volumes, en montrant bien que Manaka avait des chances a peu près égales avec toutes les filles, je suis tout simplement indigné du choix de Manaka à la fin.

Ceci dit, c’était un très bon manga quand même, je ne regrette pas de l’avoir lu du tout. Et s’il sort en France, c’est sûr il attérit dans ma bibliothèque. Mais là… là… j’suis déçu quand même -_-;

Surtout que la personne qu’il a choisi pourtant était clairement celle qu’on voyait le moins, avec laquelle il avait le moins d’affinités (à mon avis) et qui faisait le moins d’efforts pour lui plaire.

Snif.

Bon si vous voulez voir, je vous spoile pas, mais il vous suffira de cliquer sur « Lire la suite » pour voir l’image qui résume tout.

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Le cosplay des fois c’est bien fait

Qui a dit que les cosplays les plus compliqués sont les plus beaux? Non non, il y a des cosplays tout simples qui sont pourtant criants de réalisme… enfin qui collent bien à leur personnage en tous cas, j’en veux pour preuve ce shot d’une Asuka plutôt bien foutue, vous trouvez pas?

Première fois que je vois une Asuka aussi dans sa robe d’été. D’habitude c’est souvent l’uniforme qui est représenté 🙂

Good Luck!!

Dans ma folle continuation sur les drama, je me suis penché sur Good Luck!!, série conseillée par un ami fansubber.

GL, c’est une série de 10 épisodes filmée en 2003 et qui nous narre l’histoire de Hajime Shinkai, (sur la gauche sur l’image ci-dessus), un pilote de ligne. Enfin, co-pilote en fait, il n’est pas encore « Captain! »

Comme d’hab avec les séries comme ça, sur un thème, on peut s’attendre à un truc très chiant, mais finalement il n’en est rien, et c’est complètement le contraire: les acteurs, l’histoire, les situations, tout fait de Good Luck!! un drama riche et hyper agréable à suivre.

Vous connaissez déjà Shinkai…

Mais il n’est pas tout seul. Il rencontrera durant les moments où il n’arrive pas à la bourre à l’aéroport pour piloter un avion la charmante Ogawa, mécanicienne de son état. Elle a un caractère de cochon, mais elle le porte bien:

mais aussi la très bien foutue Togashi, hotesse de l’air pour la compagnie All Nippon Airlines où travaille Shinkai. C’est elle qui « chaperonne » les hotesses les plus jeunes, étant donné son expérience.

Mais il y a également Kouda, le responsable de l’audit des pilotes, qui donnera du fil à retordre à Shinkai. Froid comme un cyborg et une armoire à glace réunis, Kouda cache en fait un terrible secret que je vous laisserai découvrir…

Tout ce petit monde et bien d’autres évolueront au fil de l’histoire. La série n’est pas extrémement marrante mais reste surtout très réaliste, mélant les scènes de pilotage en situation parfois extrème des avions de ligne, les problèmes en cabine avec les passagers, ou les incidents un poil plus critiques… A côté de ça, on trouve également des moments plus émotionnels, sur la terre ferme.

Vous l’aurez certainement compris, il m’est très difficile de parler de Good Luck!! sans en dire trop, mais là j’ai vraiment l’impression de ne pas en avoir dit assez. Shinkai est un perso qui a la classe, dont l’acteur joue comme un dieu. Kouda reste impassible en toutes situations, tel un aevoc des avions de ligne. Les hotesses sont charmantes comme des Mahoro dans les airs, et je vous en passe.

Même si c’est une série télé, on découvre un petit peu la vie de tous les jours des hotesses , pilotes et autres mécanos. Tout comme Urgences ne montre en rien comment c’est dans un hopital en vrai, Good Luck!! s’efforce de nous intéresser au sujet de la vie dans un aéroport, et excelle en la matière.

Définitivement un tampon « Axel approved » pour celui-ci!

Ah j’oubliais, si vous voulez en savoir plus, vous pouvez consulter ce site (attention ça spoile sévère) où j’ai honteusement pompé les images pour illustrer mon billet. Et j’ai pas honte.

Densha Otoko

« L’homme du Train » est l’un de ces OVNIs que seuls les japonais peuvent nous pondre.

Densha Otoko est une histoire qui est tout d’abord partie des forums de 2chan dont 4chan s’est inspiré (en reprenant uniquement les forums anime/hentai et quelques autres). L’histoire a démarré comme toute légende urbaine, et s’est tellement répandue qu’elle en a engendré des romans, des films, et maintenant, une série TV. Au japon, on les appelle des Drama.

Pour résumer l’histoire, prenez un otaku tout ce qu’il y a de plus caractérisé, dont la chambre est remplie de figurines et de posters, de jeux vidéos et autres, et qui hante Akihabara avec ses potes. De l’autre, prenez une jeune femme avec des airs d’ange, secourue dans un train par notre valeureux otaku, qui sur une once de courage, tente d’arrêter le vieux pervers bourré qui agressait la jeune femme. Sur ce, elle lui demande son adresse et lui envoie un cadeau. Mais il ne compte pas s’arrêté là, et poussé par ses potes sur le forum où il traine, il tente de la revoir, de changer son apparence, bref, de la conquérir. Et un otaku pure souche qui tente de conquérir une jolie fille, forcément, c’est tout de suite très marrant.

Quoi qu’on en dise, les séquences de chat sur le net ne sont pas ennuyeuses et très bien réalisées. Leur dynamisme et surtout, les caricatures de personnages qui fréquent le forum est d’un comique que seul les connaisseurs peuvent apprécier, allant de l’otaku militaire, au mec qui a quitté sa femme, à la femme au foyer qui ne fout rien, la jeune fille qui fait du cosplay tout le temps, le salaryman, l’amateur de porno, le couple qui se fait chier, la bonne femme qui se fait du maquillage tout le temps, l’autre qui passe son temps à sortir de l’art en ASCII, l’étudiant, le fan de trains… vous l’aurez compris, on a un énorme panorama très caricatural des japonais. Et c’est tant mieux, ça donne un effet comique.

Le pauvre Yamada aussi (le héros), qui begaye tout le temps, n’arrive pas à se résoudre a appeler la douce Saori, a une vie de merde, un boulot de merde… bref, il a tout pour échouer, et pourtant…

Je ne vais pas vous gâcher la surprise!

Pour mon premier drama, j’ai réellement été surpris. J’avais presque l’impression de regarder un anime mais en vrai. C’est du tout bon, alternant des moments fort émouvants et les moments comiques avec la petite musique ridicule. On ne pourra que rire de la naïveté de Yamada et de sa maladresse.

La réalisation est vraiment bien foutue, même si le jeu d’acteur laisse parfois à désirer (en particulier Saori, qui a du mal on a l’impression. Yamada lui fait déjà un meilleur boulot en tant qu’acteur). Ca reste cependant très agréable à matter, et je suis sûr que, comme moi, vous aurez envie après de vous plonger dans d’autres dramas, dont je ne manquerai pas de parler. C’est bourré de références, que ce soit avec l’opening qui n’est autre qu’une version alternative de l’opening de la Daicon 4 fait par Gainax en 1983, avec la chanson Twilight de Electronic Light Orchestra, si chère à moi et les RafaL.

Il faut dire qu’avec l’actualité anime super pauvre en ce moment (je ne vous ai pas encore parlé de Full Metal Panic The Second Raid, il serait temps), des drama originaux et marrants arrivent comme une bouffée d’oxygène pour moi 🙂

Du bonheur en barre 🙂

Pour les remerciements, j’ai pompé sans vergogne les screenshots disponibles sur le blog Random Curiosity et plus précisément sur cette page.

Pour ceux qui sont intéressés, vous trouverez des downloads et des sous-titres sur cet excellent topic sur Hongfire

A vos torrents!

C’est la rentrée

Comme vous l’aurez remarqué, j’ai pris la liberté de prendre quelques jours de vacances (ok, au moins deux semaines) mais c’est réellement parce que je n’ai pas eu trop le temps de blogger, étant invité chez divers amis dans ma demeure nantaise.

Aujourd’hui, c’est la rentrée, premier jour de boulot, me permettant ainsi de prendre mes marques.

Dans les prochains jours, attendez-vous à découvrir le fabuleux monde des Drama.

Si vous ne connaissez pas déjà, jetez donc un oeil sur Densha Otoko, Good Luck, Orange Days ou encore Kimi wa petto, qui m’ont l’air bien excellents chacun dans leur style.

Intéressés? Deux liens alors:

Voilà, bon download 🙂

Star Wars Knights of the Old Republic 2

KOTOR, premier du nom, était une petite révolution à l’époque. Imaginez! Un jeu d’aventure/RPG Star Wars, en plus de ça fait par des anciens de Bioware. Aucun doute, on a pas été trop déçus. Une interface un peu simplifiée mais plein de possibilités, des tas de caractéristiques, capacités et pouvoirs comme seuls les gens de Bioware en sont capables.

Après donc ce très bon KOTOR 1, voilà qu’ils nous remettent le couvert pour la suite…

Au premier abord, seulement, on a vraiment l’impression que ça sent le réchauffé. KOTOR 1 a bien marché, vite, faisons un 2, repenons le moteur du 1 intégralement, on y ajoute 2 ou 3 choses, on fait une nouvelle histoire… Non vraiment, ça serait plutôt un KOTOR 1.5 qu’on a là

Mais en même temps, une fois de retour dans le jeu, c’était tellement bon la première fois, qu’on oublie complètement qu’on vient d’acheter le jeu au prix fort alors que ça n’aurait pu être qu’un add-on. La sauce prend, on se met à retrouver les bons vieux réflexe de l’auto-pause, les pouvoirs de la Force, et les dilemnes de conversation pour avoir des points du côté lumineux ou obscur…

Ceux qui ont joué au 1 seront donc tout à fait dans leur élément, tellement même qu’ils sentiront les premières maps plutôt familières, comme la citadelle orbitale de Telos.

Pour ceux qui par contre n’y ont jamais joué, prenez un bon jeu d’aventure, saupoudrez ça d’une bonne dose de RPG avec deux fins différentes, des dialogues à choix très très multiples, des mini-jeux, plein d’items, de la personalisation d’items, une histoire pas trop linéaire, plein de persos…

Vous l’aurez deviné, tout fan de RPG qui se respecte se doit de posséder au moins KOTOR1. On dira que le 2 est en option.

Allez, un p’tit screen pour finir, voici Teri, mon avatar dans le jeu.

D’où l’intêret des versions DVD

Depuis quelques temps déjà, les studios d’animation aiment bien nous refiler une version TV « normale » et se rattraper sur les DVDs pour booster les ventes.

Mais de quoi je parle donc? Ca peut être un peu de tout: des décors retravaillés, des animations un peu refaites, des scènes rajoutées ou modifiées, de la censure un peu enlevée…

En d’autres mots, les réalisateurs se lâchent. Je ne sais pas si ças e voit déjà dans les films en DVD (vu que j’en achète beaucoup moins que des animes) mais pour les animes, ça se sent vraiment.

L’exemple le plus flagrant que j’ai sous la main reste Girls Bravo où dés le premier épisode, la vapeur de la version TV qui obscurcissait la vue (à un point où on ne voyait VRAIMENT rien dans certaines scènes) disparaît et fait place à de très jolies courbes et scènes un peu osées qu’on ne montre pas à la télé (pourtant, on en a vu des animes osés à la télé, pourquoi cette censure maintenant?)

Jetez donc un oeil à ces screens:

En haut, la version télé, en bas la version DVD. Déjà on voit tout de suite mieux.

Encore mieux, dans la version télé on ne voit même pas Miharu-chan enlever ses pantsu 🙂

Je sais, Miharu est un ange en fait et c’est pour ça qu’elle est entourée d’un halo lumineux (ou est-ce encore cette maudite vapeur?)

Et là, elle est carrément à la fenêtre, à poil, et ça a pas l’air de la déranger pour autant. C’est marrant quand même comme la vapeur massive arrive à cacher les rayons du soleil…

La conclusion de tout ça? Le DVD de Girls Bravo ouvre les fenêtres dans l’anime, pour évacuer la vapeur! 😛

Un autre exemple flagrant, récupéré sur 4chan (et franchement, je félicite pas le mec qui a foutu sa watermark dessus, surtout quand son propre blog est vide.) est le récent He is my master des studio GAINAX, où tout d’un coup, on voit vachement mieux. Les versions DVDs augmenteraient-t-elles en fait nos capacités visuelles? 🙂

Jugez par vous-même. En haut le DVD, en bas la version télé.