Haruhi Bebop
Youtube m’épatera toujours.
Voici une très jolie parodie de l’opening de Cowboy Bebop mais avec notre déesse à nous dedans et la SOS-Dan. Ca m’a bien fait marrer 🙂
Youtube m’épatera toujours.
Voici une très jolie parodie de l’opening de Cowboy Bebop mais avec notre déesse à nous dedans et la SOS-Dan. Ca m’a bien fait marrer 🙂
Je vous le dis tout de suite, en entendant parler en ce début d’année d’une adaptation animée de Roméo et Juliette, au départ, je me suis dit que ça pourrait être sympa. Et puis, on m’a annoncé que c’était par GONZO. Et là c’est le drame.
GONZO, c’est Vandread, Gatekeepers, Kiddy Grade, la première saison de Full Metal Panic mais aussi plus récemment Welcome to the NHK.
Le problème, c’est que GONZO, outre ses qualités en animation et en CG 3D, est notoirement connu pour passer au mixer les scénarios qu’on leur donne pour les rendre encore moins fidèles et inférieurs aux originaux (NHK anyone?).
Donc, j’avais peur pour Shakespeare, peur qu’il se lève de sa tombe en voyant ça et mette le Japon à feu et à sang dans une quête de vengeance sans fin contre les studios d’animation. Imaginez le désastre si on avait pas Haruhi II ?
Mais revenons-en à nos moutons pour le moment: oui, le truc masqué là c’est Juliet. Ca fait un choc hein? C’est normal, c’est GONZO.
C’est déjà mieux…
Pour ceux qui n’ont jamais lu ou vu la pièce, pas de panique, ça ne ferait que vous troubler. L’histoire est toute simple ou presque: Dans la ville de Neo Venezi… ah non je me trompe d’anime, Neo Veronna donc, il y avait deux familles. Avait, car les Montaigu ont commencé sans Shakespeare et ont déjà massacré les Capulet dés les premières secondes de l’anime. Enfin pas tous: seules Juliet et sa servante survivent à ce destin tragique.
Une quinzaine d’années plus tard, on retrouve Juliet, héroine masquée qui défend les opprimés des riches et des gardes qui traquent sans relâche tous ceux qui ont un lien avec feu la famille Capulet. Cependant, elle semble ignorer tout de sa situation, et joue les garçons manqués justiciers mais aussi acteurs au sein d’une pièce de théatre, avec ses cheveux rétractables (si si je vous assure.) Petit détail amusant, l’auteur de leurs pièces se trouv eêtre un certain "Willy".
Juliet va être invitée par une amie à venir à un bal donné par les Montaigu et de fil en aiguille, va y rencontrer Romeo, le fils du tyran de la ville et assassin du père de Juliet il y a des années. Les deux vont tomber amoureux l’un de l’autre en une poignée de secondes, mais Juliet, déjà bien embarrassée d’être habillée en fille alors qu’elle se fait passer pour un garçon 95% du temps, s’enfuira.
Voilà, il y a de quoi avoir peur, surtout avec des pégases en guise de montures. Mais en fait, le pire dans tout ça, c’est que c’est vraiment bien.
Même s’il joue sur des classiques du genre (deux amoureux qui se donnent rendez-vous, une double personnalité, une justicière masquée, un amour impossible, etc etc), Romeo X Juliet brille par sa réalisation made in GONZO. Fidèles à leur réputation, ils ont mis le paquet en mariant CG et dessins avec un character design plutôt réussi. L’opening d’ailleurs est très joli et réussi, et laisse augurer du très bon par la suite.
Les libertés prises par GONZO sont surprenantes mais pour une fois fort bien faites. Cela donne à Romeo X Juliet une fraîcheur qui nous fait presqu’oublier l’oeuvre originale, dont semble uniquement repris les noms des personnages et une vague ressemblance de caractère. Juliet est comme toutes les filles de son âge, amoureuse sans être nian-nian, et Romeo hésite entre Hermione, la jeune fille qu’on lui a promise, et Juliet qu’il vient de rencontrer.
C’est aussi sans compter sur d’autres évènements que je ne vous révèlerai pas bien sûr, mais qui sauront j’en suis sûr, donner du piquant au reste de la série.
Au final, Romeo X Juliet est une excellente surprise de cette saison printanière. Joli et très prometteur, les amateurs d’aventure et de romance comme moi apprécieront.
Voilà, il est arrivé. Non pas le messie, mais le premier épisode subbé (ou a peu près subbé diront certains) de Lucky Star, la dernière production de Kyoto Animation. Pour ceux qui ont du mal à suivre dans le fond, on doit à Kyoto Animation des perles ces dernières années, aussi bien au niveau de la mise en scène que de la qualité de l’animation, à quelques grands animes comme La mélancolie de Haruhi Suzumiya, AIR, Kanon 2006, ou encore Full Metal Panic Fumoffu et The Second Raid.
On va commencer par assomer tout le monde: l’opening. Attention ça rivalise avec Hare Hare Yukai, mais je n’en attendais pas moins de KyoAni.
Lucky Star est donc l’adaptation en animé d’un 4koma. Pour les incultes, le 4koma est ce petit manga avec des histoires en 4 cases. Oui, vous pensez tout de suite à Azumanga Daioh, c’est exactement ça.
Il n’y a donc pas vraiment d’histoire, pas de fil rouge, mais on se concentre sur les personnages. L’héroine surtout, Izumi, est en fait fan d’anime et de jeux vidéos. Un exemple?
Il y a donc pas mal de petites histoires balancées en vrac et on saute du coq à l’âne assez rapidement.
La moitié du premier épisode consiste en fait à regarder les quatres copines expliquer comment elles magent tel ou tel aliment. C’est pas vraiment drôle en soi, mais la discussion et les gestes sont assez démonstratifs pour voir qu’il y a plein de façons de manger un oeuf sur le plat 😛
Mikuru était le moé-blob de Haruhi. Ici, c’est Miyuki, qui combine les longs cheveux, les bas et les lunettes rondes. Cette grande meganekko fait un peu penser à Yomi de Azumanga dans le sens où elle garde à peu près tout le monde sain d’esprit.
Il est bien difficile de juger un anime sur un premier épisode, surtout un anime aussi décousu. La qualité de l’animation est excellente pour quelque chose adapté d’un 4koma, l’opening est addictif (il y a déjà une parodie, mais tout comme pour Azumanga Daioh, les premiers épisodes étaient relativement chiants sans connaître les personnages. Un deuxième visionnage était nécessaire après avoir vu la série, et je pense que ça va être le cas ici, même si les références otaku font tout de suite sourire…
Rien que l’ending temporaire est osé: un plan sur une porte de box karaoké, avec les filles qui s’y mettent et Izumi qui chante l’opening d’un sentai super vieux.
En clair, j’attends de voir la suite mais j’ai de bons espoirs en cette série qui saura nous divertir comme Azumanga l’a fait.
L’opening en tous cas, il va être difficile à se sortir de la tête, et il est super super chaud à chanter!
Tout ça me conforte dans l’idée que La Déesse est vénèrée par tous. Nous aussi, à Epitanime 2007, faisons-lui preuve de notre foi!
Voici la preuve et une version longue et aussi une version vu de haut
Un petit tour dans le futur nous apprend ce que nous espérons tous chacun au fond de nous. 🙂
Dans Blood Alone on a une petite vampire loli tout ce qu’il y a de plus mignonne. Cette dernière sort tard le soir cependant, et son protecteur s’inquiête. En effet, on a retrouvé un cadavre vidé de son sang non loin de l’endroit où elle va, et il se demande si… non, elle ne pourrait pas? Hé bien en fait non, elle fabriquait une écharpe chez une amie qui lui appenait à tricoter. Et quand l’heureux homme qui reçoit cette écharpe lui demande comment la remercier?
WTB Misaki, si possible en costume de maid.
Moi j’veux bien me faire mordre tous les jours 🙂
O_O <- Ma tête en apprenant ça.
D’après Moetron qui tiendrait ça de Moonphase (source bien sûre donc), Juillet verrait débarquer School Days, le jeu hentai atypique de 0verflow qui a fait couleur beaucoup d’encre (et de sang aussi) sur les écrans télévisés japonais.
Quelle route du jeu va-t-on avoir? Est-ce que ça va bien se finir? Serait-ce seulement drôle si c’était le cas, hein? Est-ce que l’anime sera ecchi voire contiendra des scènes un peu hentai comme KGNE? Quel suspense mes amis! C’est le fanboy de School Days qui s’exprime et qui bondit de joie.
A noter que dans cette même annonce est faite celle de Zero no Tsukaima S2, en Juillet aussi. Pauvre Louise… Chaque fois qu’une annonce de la S2 est faite elle est eclipsée par l’annonce d’une autre série majeure. La dernière fois c’était Haruhi saison 2 après tout… 🙂 Leur seul solution serait éventuellement une scène torride entre Louise et Henrietta, ou bien une exploration un peu plus poussée des sentiments de Siesta… Ils ont intêret à être plus fidèles au bouquin à ce niveau, en tous cas 😛
REC fait partie de ces séries, au même titre que La Mélancolie de Haruhi Suzumiya qui ont déclenché une fougueuse passion chez moi l’an dernier.
Il faut dire aussi que la série touche un monde que j’apprécie tout particulièrement. C’est peut-être être un fanboy de base, mais j’ai toujours adoré le travail fait par les doubleurs et doubleuses d’anime japonais, qui arrivent à transporter les sentiments et les émotions de leurs personnages avec une très bonne conviction, ce qui fait que bien souvent, la voix retenue pour un personnage joue beaucoup sur sa personnalité et son charisme auprès des téléspectateurs. Que ce soit les hommes ou les femmes, un doubleur est vraiment bon lorsqu’il arrive à changer sa voix selon le personnage joué et la situation. Le panthéon est bien évidemment réservé à Megumi Hayashibara sans conteste la plus connue et appréciée pour son inégalable performance sur Lina Inverse ou Rei Ayanami, qu’on se le dise. Et ce n’est un secret pour personne si je suis un fanboy inconditionnel de Ayako Kawasumi , avec sa voix capable d’être la douce Mahoro, de s’énerver, ou de faire la froide Saber…
Mais revenons à nos moutons. REC est donc sorti en anime l’an dernier, et après avoir décortiqué cette série pour le moins surprenante en 9 épisodes de 12 minutes chaque (pour faire court, c’est court.) on ressort avec un grand sourire béat à cause d’une histoire à la fois adulte et mignonne.
Rapide rappel des faits: Fumihiko Matsumaru attend une femme mais celle-ci lui pose un lapin. Despeséré il décide de jeter les tickets de cinéma qu’il avait, mais une jeune fille l’arrête. Elle décide de s’incruster et d’aller voir ce film avec lui. Film étranger où bizarrement elle récite à haute voix toutes les lignes de dialogue. Passé cette séance de ciné un peu étrange pour Fumihiko, ils mangent ensemble de façon fort amicale et la jeune fille révèle qu’elle est apprentie doubleuse. En faisant route ensemble ils vont s’apercevoir qu’ils vivent dans le même voisinage et se souhaitent bonne nuit.
Seulement voilà, Matsumaru cauchemarde cette nuit-là et est reveillé par le bruit des sirènes dehors. Un incendie a eu lieu, et une fois dehors pour aller voir ce qu’il se passe, il trouve la jeune fille de tout à l’heure et décide de l’héberger en voyant que sa maison a brûlé. La jeune fille est bien desespérée et se met à pleurer avant de s’endormir. Fumihiko tente de la consoler du mieux qu’il peut, et de fil en aiguille, il se retrouvent tous deux sur le lit. Ce n’est qu’à ce moment que la jeune fille se présente comme étant Aka Onda, juste avant qu’ils ne fassent l’amour.
Voilà en substance le récit du premier épisode qui donne tout de suite le ton à la série. Mais je ne suis pas là pour parler de la série animée, mais du manga, qui compte déjà quelques volumes (5-6 à ma connaissance)
Le manga est à l’image de la série: propre et agréable à parcourir. Le style relativement kawaii d’Aka arrive même à masquer les moments un peu plus hot, entre le ecchi et le hentai. Inutile de dire que le manga est reservé a un public averti.
Le premier volume retrace globalement ce qu’on a pu voir dans la série, mais c’est après que les choses se corsent. Aka devient réellement populaire et doit garder coûte que coûte sa relation secrète avec Fumihiko. Des gens seront là pour l’aider, comme ses amies doubleuses ou son manager, mais d’autres seront là pour mettre des bâtons dans les roues de ce couple somme toute banal mais ô combien mignon.
Contrairement à de nombreuses séries de ce genre vues sous un seul angle, REC propose une vision à la fois centrée sur Aka et sur Fumihiko, sans jamais prendre l’un ou l’autre comme héros ou héroine de l’histoire. C’est le couple le héros, pas l’un ou l’autre des personnages. Bien sûr on a tendance à suivre Aka, mais l’un des arcs de l’histoire traîte justement d’un départ d’Aka de un mois pendant lequel Fumihiko va se sentir très mal à l’aise sans elle auprès de lui.
Au lieu de proposer des chapitres "stand-alone", l’histoire est décomposée en plusieurs arcs de plusieurs chapitres chacun, ce qui permet de vivre des histoires plus longues et d’éviter de sauter du coq à l’âne à chaque changement.
L’une des choses qui me plaît, c’est que la série arrive à être drôle et amusante sans donner dans la loufoquerie et le fantastique souvent retrouvé dans des tas d’histoires d’amour (qui a dit syndrôme Ken Akamatsu?). C’est une histoire d’amour contemporaine que l’on vit: aucun pouvoir magique, pas de science-fiction, non, rien de tout cela.
Sans conteste un très bon manga seinen, REC reste donc l’un de mes coups de coeur. C’est frais, c’est bien écrit, c’est agréable à lire et à regarder, Aka est un personnage à la fois adulte et innocente, et Fumihiko avant d’être amoureux d’Aka, reste avant tout… un homme. J’ai hâte de voir cette série arriver aux Etats-Unis ou en France pour en acheter les mangas. Pour les plus pressés comme moi, le manga est traduit chez XLG en anglais.
Un p’tit wallpaper pour la route.
Et c’est par ici
Je crois que ça doit être l’une des meilleures parodies que j’aie pu voir 🙂
La déesse nous envoie de nouveaux miracles
Impossible d’en douter, notre Déesse a vu notre effort pour dresser un monument à sa gloire, et nous pousse à nous offrir encore plus à Elle afin qu’un jour le monde soit plus animé, et que sa parole soit répandue ici et là.
Oharuhi-sama!
Say Love fait partie de tous ces mangas qui déferlent sur notre pays radieux. Des mangas qui n’ont peut-être aucun public mais que les éditeurs sortent quand même, en misant parfois gros.
Say Love, c’est un manga dessiné par des cooréens. C’est un peu bizarre au début surtout pour les visages, mais un peu à la manière d’un manga français(tm), ça reste parfaitement lisible et intéressant à lire.
Say Love, c’est l’histoire d’un lycéen qui subit une déception amoureuse : sa copine le jette car maintenant elle est étudiante et elle n’a pas le temps de jouer avec un lycéen. Sympa pour lui, car même si Chae-Wong (j’ai toujours peur d’écorcher tous leurs noms, manque d’habitude) est encore un peu gamin dans sa tête, il n’en est pas moins un bon garçon dans le fond. Toujours est-il que pour lui remonter le moral, ses potes lui proposent une rencontre à l’aveugle avec d’autres filles qui sont étudiantes aussi. Passé les deux thons (comme elles sont si bien appelées par les deux amis du héros) du lot, la troisième fille se révèle très mignonne quoi qu’un peu timide. La soirée se passe sans encombres jusqu’à ce que les jeunes gens présents décident de vider quelques bouteilles. Et là c’est le drame. Chae-Wong se réveille le lendemain dans un hotel, avec Seulgi, la jeune fille en question, à ses côtés.
Les deux jeunes sont pour le moins embarassées et n’osent rien dire, et préfère faire comme si de rien n’était. Ils ne s’échangent rien et se séparent.
Ca aurait pu être une histoire sans lendemain si Seulgi n’était pas tombée enceinte ce soir là.
Voilà pour l’intrigue. Il y aura quelques rebondissements, et quelques scènes très touchantes avec un Chae-Wong qui essaye tant bien que mal d’appréhender la situation. Etre lycéen et encore un peu gamin va être gravement handicappant pour affronter la dure réalité d’être un parent. Alternant les passages assez sérieux et les passages en pure SD un peu exaggérés parfois, le manga garde un rhythme plutôt bon durant les 5 premiers tomes qui sont disponibles àce jour. Aucun chapitre n’est là pour le remplissage, le tout est savamment dosé et chaque tome se termine par un cliffhanger des plus rageants quand on a pas le volume suivant.
Passé outre le dessin un peu étrange au premier abord, on découvre donc une histoire plutôt sentimentale de très bonne facture, qui m’a beaucoup rappelé un certain Child Of Love, en moins gnan-gnan, pour les plus vieux d’entre vous qui s’en souviennent. 🙂
Alors, je remercie tout d’abord Raton-Laveur de nous avoir prêté son channel IRC pour pouvoir mener à bien notre plan machiavélique.
Pour ceux qui n’étaient pas là, je résume l’objectif (si bien rédigé par Raton): "Rendez service à la japanime en France, donnez un coup de pouce à une arrivée prompte et de qualité à Haruhi dans notre riante contrée."
Ce qu’il en est ressorti, c’est qu’une tripotée de personnes sont prêtes à aider pour les différents sites du projet.
Ces sites seront construits dans l’ordre suivant:
Ce sont les sites "principaux" qui seront mis en chantier dés lundi. Nous avons déjà quelques idées de design et le tout est encore en gestation, mais ça avance bien. Cette réunion aura permis de se mettre d’accord sur les idées principales, nous pourrons en discuter un peu plus facilement une fois le forum interne mis en place.
La SOS-Dan Française va montrer un peu de quoi elle est capable 🙂
En voulant chercher un type d’AMV bien précis sur Youtube, je suis tombé sur ceci.
Mis à part les voix des autres protagonistes qui sont assez nulles (Kyon ressemble à un joueur de football américain), la voix d’Haruhi est plutôt bien choisi, et elle se débrouille plutôt bien à la chanson, non?
Je frissonne à l’idée que DI puisse récupèrer les droits de Haruhi et nous fasse une verison française de Bôken Desho Desho et Hare Hare Yukai. Et ne parlons même pas de God Knows…
Enfin, j’ai quand même trouvé ce que je cherchais. Quelques petits problèmes d’edit, de lipsync, de plans un peu trop réutilisés, mais ça reste assez impressionnant comme montage.
Une place spéciale au futur Maid Land sera attribuée à quiconque me trouvera cette vidéo en bonne qualité (le lien dans la description de la vidéo Youtube renvoie sur un 404)