Catégorie :Anime

Le cauchemar des oreilles

RAPPEL: Je suis en quête de commentaires sur un grand projet divin

Il y a de cela quelques années, on me faisait découvrir un opening de Card Captor Sakura chanté en français. Outre le choc pour mes oreilles d’entendre une chanson de Maaya Sakamoto ruinée de la sorte, j’étais loin de me douter qu’un jour je verrais cette tendance se généraliser. Après tout, Sakura étant un anime relativement grand public, il était inévitable sinon prévisible qu’une telle chose se produirait.

C’était sans compter sur Déclic Images qui a défaut de faire le con avec les licences dépense son argent dans des dizaines de versions de coffrets que les gens ne veulent pas, dans des openings refaits en français que les gens ne veulent pas non plus.

Je vais vous achever tout de suite.

Full Metal Panic Opening

Full Metal Panic Fumoffu? Opening

DN Angel Opening

DN Angel Ending

Kiddy Grade Opening

X TV Opening

X TV Ending

Scrapped Princess Opening

Slayers Opening

Slayers Ending

Silent Moebius Opening

Silent Moebius Ending

Hikaru no Go Opening

Hikaru no Go Ending

Chrno Crusade Opening

Chrno Crusade Ending

Quand je vois ces versions refaites d’openings pourtant très bons à l’origine, je me demande quand même ce qui peut bien passer par la tête des dirigeants de DI ayant commandé ça: Les paroles dans 90% des openings sus-cités parlent d’amour, d’amitié, de futur, d’espoir, de bons sentiments tellement dégoulinants de sucre que ça en est écoeurant. Bien évidemment vous allez me dire que les paroels des openings japonais sont parfois tout aussi niais, mais quand même, il faut pas trop déconner, surtout quand les paroles ne collent plus du tout avec les originales de la chanson. C’est à se demander si on est pas revenu 20 ans en arrière en France quand les openings d’anime, quand ils étaient diffusés avant la série en question, étaient tout aussi niais si ce n’est plus.

Enfin là on est en 2007 et certaines de ces séries sont loin d’être destinées aux enfants (FMP pour commencer.)

Et puis bon, je ne sais pas si vous aviez remarqué mais mis à part l’interprête qui fait son boulot plutôt correctement avec les paroles qu’on lui donne, on a l’impression qu’ils ont refait tous les instruments avec un synthétiseur Bontampi. Qu’est-ce qui les empêchait d’utiliser les versions instrumentales qu’on trouve sur tous les CD Single d’openings d’anime?

Au final, qu’est-ce qui les empêchait de ne rien faire? De laisser les openings jap, comme font tous les éditeurs US depuis des lustres? Même Kaze ou Dynamic qui doublent pourtant tout ce qu’ils ont sous la main ne font pas autant de zèle.

Quelle sera leur prochaine victime étape? Changer les noms des persos pour faire plus français?

Je vous le demande…

Blood Alone

Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler d’un manga que j’ai découvert ce week-end en faisant une sortie geek avec Morgan.

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Sous ce nom peu évocateur se cache un manga assez surprenant. C’est l’histoire d’un écrivain un peu fauché, Kuroe, qui héberge chez lui une petite vampire, Misaki. Ces deux compères vont tenter d’enquêter sur un autre vampire qui a tué le père de Misaki et la soeur de Kuroe. Tout un programme, pour une histoire chargée de paranormal et de meurtres étranges.

Misaki, étant vampire, craint bien évidemment le jour, mais elle ne s’est jamais rabaissée à mordre ou à utiliser ses pouvoirs sur son protecteur humain, Kuroe, dont elle est en fait amoureuse en secret. Cela donne une relation assez amusante entre les deux protagonistes qui se protégent mutuellement. C’est tout à fait le genre de situation amoureuse un peu confuse que j’affectionne particulièrement. Qui plus est, Misaki est assez craquante et d’une naïveté presque touchante, ce qui n’arrange rien.

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Du côté du dessin, on a quelque chose d’assez joli, des designs agréables à l’oeil, et une attention toute particulière portée aux décors. Cette ambiance crayonnée mais détaillée fait très légerement BD, mais le design des personnages clair, net et précis nous rappellera que nous sommes bien dans un manga. Je n’ai pas vraiment de screens plus gros, vous ne m’en tiendrez pas rigueur, j’en suis sûr.

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Ce qui est cependant sûr c’est que je vais m’empresser d’acheter les volumes 2 et 3. Le premier m’a donné envie de lire la suite, ne serait-ce que pour l’évolution du couple Kuroe/Misaki qui promet bien des surprises. Misaki a l’air d’une frèle jeune fille comme ça, mais c’est une loli vampire en puissance, fais attention Kuroe! 🙂

Code Geass – Lelouch of the Rebellion

Ca faisait un moment que j’avais décidé de faire un petit article dessus. Ma lenteur a fait que FFenril m’a devancé, mais qu’importe…

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Code Geass est donc le dernier anime phare de Sunrise. Sunrise qui rappelons-le nous a pondu jusqi’ici des séries longues à souhait avec un semblant de scénario qui se suit d’épisode en épisode. Quand je dis semblant de scénario, c’est bien parce que depuis Gundam SEED il y a eu quelques menu dérapages. On tâchera de sortir Mai Otome et Gundam SEED Destiny de nos cerveaux encore traumatisés par tant de connerie, pour se concentrer sur le présent.

Cette fois, ils ont fait appel à CLAMP, et ça se voit tout de suite. CLAMP pour les ignares au fond qui se nourissent de Naruto et de Bleach, nous ont pondu des histoires plutôt sympa il y a quelques temps. Un peu difficiles à suivre pour certaines, mais je garde un excellent souvenir de Tokyo Babylon par exemple ou de Magic Knight Rayearth. Enfin passons.

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L’histoire de Code Geass se situe dans un futur avec des mechas (là on sent la touche Sunrise). Un empire, Britannia (apparement US + Royaume Uni) s’est mis à envahir le monde entier et surtout le Japon. Le Japon est donc colonisé rapidement et ses habitants un peu réduits à l’état de colonisés. Appelés les Elevens, ces derniers n’apprécient pas trop l’occupation, et certains vont organiser une résistance bien évidemment.

Le héros de cette histoire, c’est Lelouch. Lelouch, avec son nom d’acteur va hériter d’un pouvoir exceptionnel donné via un contrat qu’il passera avec une étrange jeune fille nommée C.C. (prononcé Chizu?). Ce pouvoir, c’est le regard Haruhiesque. Un regard qui une fois en contact avec les yeux de sa cible, leur fera faire ce qui est ordonné. C’est ainsi qu’il se débarrassera d’une patrouille de soldats armés en leur "ordonnant" grâce à son regard Haruhiesque de se suicider.

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Intelligent, calculateur, on ne peut pas reprocher à Lelouch d’être un héros pour le moins original. Comparé aux autres personnages pour le moins classiques de la série, Lelouch et C.C. font bande à part. C’est assez rare que j’accroche beaucoup à un personnage masculin dans une série, mais Lelouch (appelé Lulu par ses camarades) dégage un très fort charisme à l’écran, surtout lorsqu’il commande un batallion de terroristes contre une armée ennemie.

Lelouch est pourtant techniquement un lycéen tout ce qu’il y a de plus normal dans un lycée Britanien (on va dire ça comme ça). Mais que fait-il à vouloir diriger des terroristes Elevens? Vous le saurez en regardant la série bien sûr.

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Les autres personnages ne sont pas en reste, et quelques détails feront sourire, comme cette propagande éhontée pour Pizza Hut à presque tous les épisodes… 🙂

Ce qui est surtout impressionnant c’est comment Lelouch utilise son regard Haruhiesque conféré par C.C. pour parvenir à ses fins, et comment, en grand tacticien et stratége, il arrive à se sortir d’une mauvaise situation. On le verra douter et réfléchir rapidement à maintes reprises, et c’est assez sympathique à suivre.

Somme toute, l’histoire se suit comme n’importe quel Sunrise. Il y a rarement de temps mort, les mélodrames se déroulent sans arrêt. La série en est à plus de la moitié (si on estime qu’elle fera 26 épisodes en tout, mais avec Sunrise j’ai des doutes) et la qualité du tout est plutôt bonne.

J’en ai volontairement peu dit sur le scénario touffu et les nombreux personnages, mais c’est pour ne pas gâcher la surprise. Si vous avez aimé Gundam SEED, il y a des chances que Code Geass vous plaise aussi.

Ah, on me souffle dans mon oreillette que le pouvoir de Lelouch serait le Geass et non le Regard Haruhiesque? Mince alors, j’aurais pourtant juré que…

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La Corda d’Oro ~Primo Passo~

La corda d’Oro, c’est un peu mon petit péché mignon à moi. Le genre de séries qui devrait ne pas me plaire mais qui en fait se débrouille plutôt bien.

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Inutile de se voilà la face, vous l’aurez parfaitement compris en voyant ce screen, La Corda d’Oro, ("La corde d’or", en italien) est un harem inversé. On suit les aventures de Kahoko, au milieu d’une foulle de beaux garçons. L’anime est tiré d’un jeu pour PS2 et PSP sorti par Koei il y a quelques années.

Pour la petite histoire, Kahoko est en seconde année dans une école un peu spéciale. A l’école Seiou, il y a deux types d’élèves, ceux qui sont versés dans les arts musicaux et ceux qui ne le sont pas. L’école ayant été entièrement ‘music only’ et s’étant récemment ouverte une aile pour les étudiants normaux, les étudiants en musique voient un peu les normaux de haut, mais bon…

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Bref, Kahoko rencontre un jour une petite fée, qui est surprise du fait que Kahoko puisse la voir. Cela ne peut signifier qu’une chose: que Kahoko, malgré qu’elle soit une étudiante normale ici, possède des aptitudes pour la musique qu’il va falloir réveiller! La fée lui offre alors un violon magique qu’elle devra apprivoiser, vu que la fée lui demande alors de participer à la "selection" musicale, une sorte de concours intra-scolaire où chaque étudiant avec son instrument préférer, doit interpréter une musique de son choix sur un thème donné.

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Là où c’est fun, c’est que Kahoko va rencontrer de nombreux personnages. Evidemment une étudiante normale qui participe à la Selection ça fait un peu scandale, et elle se sent toute petite au sein des étudiants en musique (plein de garçons et une autre fille). Le truc du harem inversé c’est que les garçons vont s’intéresser petit à petit à cette "outsider" qui va faire des progrès au fur et à mesure avec son violon magique. Bien sûr, elle va rencontrer des tas de problèmes.

Comparé à un harem classique, Kahoko commence mal car tous ses camarades sont des concurrents dans ce concours musical, et elle va devoir se faire accepter.

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Le truc, c’est que Kahoko est en fait un personnage plutôt sympa pour une héroine. Ni trop nunuche, ni tro énergique, elle semble normale sans être ennuyante.

Le design des personnages est assez réussi: normal pour un anime tiré d’un dating sim vous me direz… Bien sûr on retrouve tous les stéréotypes du genre: le garçon ténébreux et hautain, le type tout endormi et shota, le mec tout le temps joyeux et optimiste, on se croirait presque dans un Ouran 2.

Disposant d’une bonne musique, d’un dessin agréable et très soigné, d’une animation correcte, d’un design sympa et d’une histoire originale tout en suivant des chemins classiques en la matière de harem game.

C’est comme Otoboku en fait, encore un coup dur contre ma masculinité. 😛

Hare Hare Yukai complete

Tant pis si ça fait doublon avec le post de FFenril mais Meido-Rando ne serait pas Meido-Rando sans cette merveille de la nature. Kyoto Animation nous a graciés d’une version full animated de Hare Hare Yukai.

Dieu bénisse KyoAni

Qualité un peu pourrie quand même pour du Youtube mais si vous voulez mieux, voici la version complète en Xvid (45 Mo): ici. Faites-vous plaisir, c’est moi qui régale.

Je suis tombé amoureuse d’une jeune fille — Fin

A l’aube du douzième et dernier épisode de Otome wa boku ni koishiteru que j’attends d’un certain pied ferme (pour ne pas dire un pied ferme certain), je me devais de crier ma rage, mon désespoir face à ce grâve dilemme dans ma vie.

Je souffre, oui je souffre. "Que quelqu’un m’achève, pas moyen qu’il y a un pénis là-dessus, je ne l’accepterai pas. Jamais. Jusqu’au bout." comme dit si bien Jason de Anime on my Mind mon idole en matière de blogging. Otoboku va toucher à sa fin et il y a encore tellement de choses à faire, tellement de personnages qui n’ont pas eu le temps d’image mérité. Bref, la série aurait pu se pavaner sur 26 épisodes que j’en aurais encore redemandé. C’est assez rare pour une adaptation de jeu hentai, que d’habitude j’aime mais sans plus (La grande exception jusqu’à maintenant fut Kimi ga nozomu eien. Crescent Love restera relativement médiocre dans son scénario et sa qualité, et n’est sauvé des âbimes AxelT-esques que par Feena-sama.)

Pareil, je n’ai pas pu supporter Maria-sama ga miteru ou Strawberry Panic plus de quelques épisodes. Dommage me diront certains, mais toujours est-il que ces séries se prenaient définitivement trop au sérieux à mon goût. J’aime la romance, mais la romance sans comédie est d’un soporifique à faire peur.

Non, là, on a eu droit à du léger, du super léger même. Rafraichissant sans être absurde, la vie de tous les jours de l’école catholique de Otoboku nous a montré les péripéties de Mizuho. Admiré, puis déclaré unanimement Onee-sama par le corps étudiant, ce mec cette fille est quand même fortiche. Douée en études et en sports, Mizuho a montré avec ironie qu’un garçon était le plus féminin de toutes ces demoiselles de riches familles.

Bon, à partir de là, ça spoile…

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Ai-ren

ai-en_couv1.jpg Etant à cours de lecture durant ces vacances, je suis tombé sur un hype rodant autour d’un manga appelé Ai-ren. Je connaissais déja les illustrations et n’étais pas franchement attiré par le style… énorme erreur !

Avec la couverture montrant Ai en culotte courte et les cheveux coiffés au bol beaucoup pourraient penser à un manga Loli, je répond NON, NON et NON !

Pour avoir eu entre les mains du vrai matériel loli je puis dire que les impressions sont trompeuses, Ai-ren est une histoire adulte, avec un scénario dur comme un glacier. Il se trouve bien un certain nombre de passages Ecchi, mais rien d’indigeste ni de voyeur, le propos n’est ici que la pureté de la relation Ikuru-Ai, nullement une débauche de luxure. Pour donner une idée, le seul manga du même type qui me vient à l’esprit est Saishuu Heiki Kanojo.

?le monde de Ai-ren est complexe et situé dans le futur. Les conflits entre nations ont pris une importance jamais connue, dans ce climat électrique l’arrivée d’un peuple alien dénommé "Hito" a déclenché la plus vaste offensive entre les nations favorables à ces nouveaux venus et les autres.

Le résultant est un monde à la Yokohama Kadashi Kikou, avec des villes presque toutes submergées, un monde sur le déclin, des terriens survivants aguards et ce peuple alien que l’on n’ose désormais à peine contacter.

nagi_sensei.jpg Seul survivant d’une colonie réduite à néant au cours des grands conflits, Ikuru n’en a que faire de ce monde, la majeure partie de son corps ayant été détruite lors du désastre, il n’a vécu que grâce à de massives transplantations, mais ces opérations qui lui ont permis de vivre le tuent aussi peu à peu. Sa mort proche malgré son âge et son corps rebelle l’ont enfermé dans un mutisme profond où tout l’indiffère.

Nagi Sensei, une Sixes (humains poussés à la perfection par génie génétique), devenue son tuteur va pratiquement l’élever, lui apprendre à combattre la fatalité et sortir de son mutisme.

eveil.jpg Etant seul sans famille et sentant son heure proche, il décide de recourir à une procédure réservée aux personnes seules n’en ayant plus pour longtemps sur ce monde, être accompagné d’une Ai-Ren, son jeune âge faisant de lui un cas à part. les Ai-Ren sont des humains de synthèse, connu à la base sous la dénomination AGH-RMS (Artificial Genes Human Regenerated for Mental Support) et utilisés comme bombe vivante lors des grands conflits, ils furent récupérés encore en congélation et leur psyché modifiée à leur réveil pour ne plus avoir ces penchants meurtriers.

Les formalités acceptées, Ikuru fait réveiller une Ai-Ren qui doit devenir la présence qui l’accompagnera jusqu’à la fin de ses jours. A peine réveillée, elle ne parle pas mais prononce quelques syllabes dont "A-i" et Ikuru décide de l’appeler Ai. Ai progresse vite et est en quelques jours totalement éveillée et commence sa vie à deux avec Ikuru. Mais très vite au grand damne de sa Sensei qui l’a pourtant mis en garde, Ikuru développe plus de sentiments qu’il le devrait pour Ai. La vie restante à Ikuru est courte et celui-ci voit déjà la mort dans ses rêves et parfois même éveillé. Mais celle d’un Ai-Ren est également courte, 10 mois tout au plus, lequel survivra à l’autre ?

ikuru_et_un_AGH-RMS.jpg S’engage alors une danse infernale d’amour, de secrets, de peur et de mort entre les deux condamnés alors que les événements dans le monde ne se calment pas et que la vraie nature des aliens se dévoile.

click.jpg Ce qui choque c’est ce climat oppressant. Malgré le développement de la relation de Ai et Ikuru, on sent omniprésente la mort qui rode pour les deux personnages condamnés de par leur condition, pour les personnages secondaires à la merci une attaque soudaine d’une nation hostile qui n’a pas abandonné les armes et tente encore de combattre, et du peuple alien dont les intentions floues ont fait supposer l’éradication de la terre de leur main.

Pour conclure, une lecture à ne certes pas mettre entre toutes les main (l’éditeur est Jet Comics, un label spécialisé dans le manga "adulte") mais qui a de quoi vous en mettre plein la tête et vous secouer pour un instant aussi bref que l’existance éphémère de ceux que ce manga nous narre.

Suggestion : à lire tout en écoutant "Us and Them" des Pink Floyds sur l’album Dark Side of the Moon.

PS: je suis tombé sur des traductions venant dans un premier temps d’une édition coréenne puis ensuite japonaise, je me méfie donc de la qualité car j’ai trouvé des passages quelque peu incongrus,soyez vigilants.

EDIT: Pour avoir eu en main un original du 1er volume je peux désormais confirmer que des passages, aussi bien dessin que traduction, ont été remaniés.