Catégorie :Anime

A l’aide!

Je refuse d’admettre qu’il y ait un pénis là dessus:

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Je le refuse même catégoriquement :

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Mizuho-chan EST… UNE… FILLE…

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C’est dur les animes parfois, ça vous pousse à vous remettre en question… (ahem :P)

Allez, pour me faire pardonner d’une telle disgression, je vous offre un instant de bonheur de Takako, mon personnage préféré depuis les épisodes 9-10-11 de Otoboku

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Moe-Modes

MAJ 20/12/06: Ajout du chibi-mode, des lunettes, et des particules stupides.

C’est l’article sur le zettai ryouiki de DarkMirage qui m’a donné l’idée de ce billet qui va se vouloir le plus exhaustif possible. Néanmoins je sens que je n’y arriverai aps sans votre aide, donc si vous avez des idées, n’hésitez pas à le signaler dans les commentaires.

L’idée de ce billet n’est pas de vous expliquer le Moe, loin de moi cette idée présomptueuse, mais de voir, ensemble, à quoi on peut reconnaître le moe. C’est ce qu’on appelle les Moe Modes.

Moe est un terme difficile à décrire mais facile à reconnaître. Ceux qui ont vu Densha Otoko se souviendront très certainement de l’utilisation un peu abusive du terme qui en était faite. On va résumer très succintement et dire que ce qui est moe est mignon et pousse à l’adoration, voire le fétichisme dans certains cas extrèmes.

Mais qu’est-ce qui rend un personnage moe dans une série? Généralement de sexe féminin, les perssonnages moe peuvent avoir un ou plusieurs moe modes. Ces derniers sont divisés en deux catégories distinctes: l’apparence et le comportement.

L’apparence

Je suis certain que plein de moe modes vous viennent déjà à l’esprit… On va commencer fort.

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Meido

Si vous venez ici souvent, vous savez forcément ce qu’est une Meido, ou en bon anglais, une Maid. Qu’est-ce qui fait qu’une Maid est moe? Ca tient en deux mots: son costume. Le serre-tête en dentelles, la robe longue (ou pas), les bas (ou pas), tout doit donner une apparence mignonne et adorable, et c’est ça tout le charme de ce moe mode. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter mon billet sur Les 5 Lois de la Parfaite Petite Maid. Je vais quand même pas tout redire ici.

Miko

Les Mikos, parfois abordées ici, sont pour la plupart qualifiables de moe. Pourquoi? Ca doit être cette innocence et cette dévotion à la religion qui font d’elles des saintes nitouches qui irradient leur entourage de leur innocence. Elles forcent le respect, quoi. Et puis, ça a l’air plutôt facile à enlever… 🙂

Nekomimi

Difficile d’aborder le moe sans parler du moe mode du Nekomimi, qui consiste bien souvent à faire du cosplay en ajoutant des oreilles de chat, voir une queue de chat, à un personnage féminin. Effet moe garanti à 200%. Pourquoi le chat et pas un autre animal? Parce que le chat a cette réputation, à défaut d’être fidèle, d’être très mignon et câlin. Transposez ça sur une fille déjà mignonne pour commencer, et ça donne un résultat détonnant. Et puis un chat, ça aime lécher, pétrir, se blottir, tout ça. C’est bon, vous avez compris? +20 de bonus pour les neko-girls pure souche qui en plus font "nyaow" quand on leur parle ou rajoutent "nyan" à la fin de leurs phrases.

Rubans

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Une photo vaut toujours mieux qu’un long discours. Les rubans, ce n’est pas uniquement rigolo sur les papiers cadeaux.

Goth-loli

Ah les goth-loli, un moe mode que j’aurais dû mal à expliquer. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut aimer les rubans, les petites filles, les vêtements sombres et Desu. Oui, Desu. Voir plus bas.

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Rougissement

Quoi de plus moe qu’une fille qui rougit? D’embarras ou d’émotion, le rougissement s’accompagne parfois d’un petit sourire fort bienvenu. Ca montre le personnage dans une situation difficile pour lui et bien souvent, vulnérable. Hmmmm, vulnérable… 🙂

Maillot de bain

Bien, que le premier qui n’a pas pensé "maillot scolaire" ou "épisode de plage" lève la main. Bien, aucune main, ça me rassure sur mes lecteurs. 🙂 Il y a en fait deux types de moe modes du maillot de bain selon le maillot porté et les préférences de chacun. Certains préféreront, selon le personnage, un maillot scolaire de couleur uniforme en une pièce. Bon, personnellement je le trouve très très moche, mais cet avis n’engage que moi. Le moe factor n’est pas forcément proportionnel à la quantité de chair exposée: les amateurs de moe savent faire la part des choses et se contenteront fort volontiers d’un maillot classique, voire conservateur en une pièce. A noter que si l’anime dont le personnage est tiré a des éléments romantiques, vous avez Nx10² chances d’avoir un épisode à la plage. N étant le nombre d’épisodes au total dans la série. Marge d’erreur proche de zéro.

Magical Girls

Ah, la mahou shoujo. Cette jeune fille innocente, représentant les valeurs morales les plus élémentaires, prête à tout pour défendre ses amis, sa ville ou sa planète (voire parfois l’univers tout entier pour certaines). N’oublions pas que 3 fois sur 4 elles sont en plus lesbiennes, ce qui n’enlève rien à leur charme, bien au contraire. Qu’est-ce qui fait qu’une magical girl est moe? Facile! Elle a une petite voix sucrée au possible, elle porte un accoutrement de petite fille (après tout s’en est une), et elle manie un sceptre orné au choix: d’une lune, d’une étoile, ou d’un coeur. Je ne saurais trop vous conseiller de jeter un oeil sur l’excellent article de FFenril sur le sujet…

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Infirmières

Regardez qui voilà avec leurs grosses seringues. Les Nurses sont au moins aussi adorées que les écolières au japon. Peut-être est-ce leur joie de vivre (sauf dans les animes hentai où elles ont une chance quasi nulle de ne pas finir violées.) ou le fait qu’elles sont nues sous leur blouses blanches (ça c’est ce qu’on dit…), toujours est-il que les Nurses occupent une part de marché non négligeable dans le petit monde du moe. Probablement encore une histoire de monopole d’état… (mais qu’est-ce que je raconte?) Allez, Raton nous a déjà gratifié d’un billet sur le sujet, je vous conseille de vous y rendre. Evidemment comme beaucoup de posts de Raton, ce n’est ni worksafe, ni brainsafe.

Zettai Ryouiki

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Pour ceux qui auraient donc loupé l’article de DarkMirage, je résume: le zettai ryouiki est en fait la zone de chair exposée entre la fin de la jupe et le début des bas que porte une fille. Ca y est, je vous sens intéressés. Le zettai ryouiki joue sur l’imaginaire en offrant un appat au spectateur (et aussi au protagoniste masculin, mais il a l’air de s’en foutre royalement la plupart du temps.) Comme le précise l’article, le zettai ryouiki parfait est à 4:1:2.5 avec plus ou moins 25% de marge d’erreur. 4 étant la longueur de la jupe, 1 celle du zettai ryouiki et 2.5 la longueur du bas à partir du genou.

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Pyjamas

Quoi qu’on en dise, les amateurs de moe sont loin d’être des pervers sexuels irrécupérables (notez bien le irrécupérables.) J’en veux pour preuve leur amour pour tout ce qui est mignon, et ce moe mode comme celui du maillot de bain, montre bien qu’on peut tout à fait être moe sans montrer beaucoup de chair.

Chibi-mode (idée de Ephedria)

Le mode chibi ou bien aussi appelé SD pour Super Deformed, est très souvent retrouvé dans les séries àc aractères comique. Un personnage chibifié est instantanément moé. C’est une régle qui est difficilement contournable. La chibification consiste à changer l’apparence du personnage pour le rendre tout minuscule mais avec une grosse tête, un peu comme s’il s’agissait d’un dessin animé pour les enfants. Souvent utilisé dans les moments comiques, dans les dojinshi ou autres dessins parfois amateurs, le mode chibi est activé dés lors qu’un personnage fait un truc totalement idiot. Comme par exemple tout au long de l’ending de Otome wa boku ni koishiteru

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Le yukata

Ou tout simplement n’importe quel accoutrement japonais de circonstance. Le Yukata est également très prisé pour ce qu’il cache à l’intérieur, mais aussi parce qu’il est le symbole de fête au Japon. Comme pour la loi de l’épisode de la plage, comptez le nombre de fois où vous avez trouvé un épisode de festival japonais dans une série avec des éléments romantiques. Allez, c’est pas compliqué: ça arrive au moins une fois dans la série, et ce n’est qu’une excuse pour vous montrer les jolies haremettes dans cette tenue, avec probablement pas grand chose dessous. Petits pervers.

Loli(tas)

On a passé rapidement les goth-loli, et on va faire de même sur les loli. Généralement présents dans n’importe quel anime comme étant un choix possible du héros dans la confection de son harem. Je vous renvoie directement à la description du Lolita Complex sur Wikipédia. Les loli sont bien évidemment vues principalement pour l’innocence qu’elles dégagent (excepté le cas des killer-loli). Il est difficile de décrire précisément ce qui fait une loli. Parfois, on voudra les décrire comme des fillettes ou des filles pas encore bénies par la nature, parfois ça sera simplement pour désigner des filles encore mineures, même si ces dernières ont des gros seins et une batte cloutée appellée Excaliborg.

L’uniforme d’écolière

Tellement classique que je n’en propose même pas d’image… ah si, en fait.

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Il serait bien fastidieux de parler de tous les uniformes possibles et imaginables. J’ai encore ce souvenir ancré dans ma mémoire d’une boutique de cosplay au japon où sous mes yeux ébahis étaient étalés des dizaines d’uniformes de lycéennes provenant de tout un tas de séries: de To Heart à Karin et en passant par Kimi ga Nozomu Eien. Je vais briser la réalité de plein d’otakus français, mais au japon, les écolières ne portent jamais de tels uniforms aussi stylés. 90 fois sur 100, c’est l’uniforme de base que l’on connait tous, blanc et noir, ou bleu marine selon les écoles. Les 10 pourcents restants, ce sont des uniformes de type blazer, chemise, cravate, jupe écossaise. Voyez ce très bon article de Honey-sama sur le sujet, posté ici il y a fort longtemps, si vous voulez en savoir plus.

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Des filles et des armes.

Katanas, fusils, lance-roquettes ou tout simplement pistolets, les filles qui portent des armes sont généralement fortes et impressionnent. Cette force, combinée généralement à un aspect kawaii des plus léchés, contraste tellement bien qu’il fera un instant win de n’importe quel personnage féminin. Un exemple? Kirika dans Noir. Vous avez compris.

Lunettes (idée de Ephedria)

Les Meganekko (a ne pas confondre avec un chat à lunettes. Suivez un peu, bordel.) sont ces filles dans les animes qui portent des lunettes. En quoi est-ce moe? En anime, les lunettes existent en centaines de paires différentes. Autant de paires différentes permettent de différencier les personnages qui les portent et leur donnent un style bien à eux. Ainsi, les grosses lunettes rondes ou carées donneront un air de rat de bibliothèque à n’importe quelle fille tandis que des plus petites lunettes, bien souvent plus utilisées pour la lecture, donneront un air intelligent et sérieux. Les lunettes avec le cadre de soutien en bas sont également du plus bel effet (Ken Akamatsu, l’auteur de Love Hina et Negima, semble bien les aimer.). Les lunettes forment également une sorte de "vêtement" pour le visage que l’on souhaite découvrir sans, et qui stimule le moe factor du personnage qui les porte. Oh bien sûr, les lunettes sont aussi très prisées dans les jeux hentai comme par exemple pour… oh et puis non, laissez tomber.

Sommeil (ou chut, y’a bambi qui dort)

Regardez-moi ça si c’est pas mignon? Ces yeux fermés, ce visage paisible, cette pose si vulnérable… Une fille qui dort, ça force l’admiration. Bien sûr, si c’est une killer loli, il est très conseillé de s’en éloigner le plus vite possible au lieu de rester là bêtement à l’observer. Si vous vous trouvez à moins de 15 mètres lors de son réveil, vous vous retrouverez sans doute poignardé sauvagement ou frappé avec un objet lourd afin de provoquer une hémoragie immédiate et fatale. Suivez mon conseil.

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Le Comportement

On en a fini avec les moe-mode directement apparents, alors passons à ceux comportementaux. Un peu plus difficile à diagnostiquer pour certains, et s’appuyant parfois uniquement sur un personnage précis, ils n’en sont pas moins très courants en anime.

La Tsundere

Voir mon billet sur les tsundere. Rappel vite flash: une tsundere est un personnage, bien souvent féminin, qui est d’abord aggressive et violente envers le protagoniste masculin pour une raison X ou Y (phase tsun-tsun) mais qui devient progressivement plus ouverte et mielleuse passé un certain évènement ou tout simplement, du temps (la phase dere-dere.) Toujours est-il que c’est un courant très populaire dans les animes. La Tsundere est bien souvent rousse (les cheveux de feu, ça aide) et manie parfois une arme quelconque. Les exemples ne manquent pas: Nadia, Louise, Motoko (Love Hina), Chidori et j’en passe et des meilleures. Pourquoi est-ce un moe-mode? Comme le témoigne mon billet au sujet des tsundere (voir plus haut) les japonais en sont friands au point d’en ouvrir des cafés sur ce thème. Après tout, quoi de mieux que de voir une fille vous maltraiter, avant que vous ne réussissiez à percer cette coque aussi dure pour en découvrir un intérieur moelleux et plein de saveur? Un peu comme quand on mange un Mars, vous voyez?

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Le syndrôme Belldandy

Ah, Belldandy. Ménagère par excellence et déesse de surcroît, elle a donné naissance à de nombreux eratz plus ou moins réussi. La meilleure d’entre elles à mon sens, n’est autre que Mahoro. Les Belldandy s’occupent de toutes les tâches de la maison et restent d’un calme impassible en totues circonstances. La raison du moe-mode? Principalement, à mon avis, qu’elle représente l’épouse idéale (à condition qu’elle ne confisque pas toute votre collection de hentai comme la maid sur la droite.) C’est un moe-mode ultra connu. Prenez n’importe quelle mère de famille bien récompensée par la nature et en général, celle-ci aura tous les symptomes du syndrôme Belldandy.

Le syndrôme Rei Ayanami

Pas personellement mon style, mais je suppose que le personnage mystérieux à la Yuki Nagato qui ne débite parfois pas une seule phrase de tout l’épisode (tant et si bien que la doubleuse n’est même pas créditée à la fin de l’épisode, j’espère qu’ils ne sont pas payés à la ligne.) plaît à énormément de monde. Ca doit être l’éventail des fantasmes possibles, le côté soumis, ou bien encore, à l’image des tsundere, la possibilité de les faire sortir de leur coquille froide et de les faire se comporter a peu près normalement, une sorte de défi somme toute, qui pousse certains à vouer une adoration sans failles à ce culte étrange.

Le syndrôme Mikuru Asahina

Comment ne pas parler de Mikuru alors qu’elle est tout de même la synthèse complète de tout ce qui est moe? Tellement moe que ça en dégoulinerait presque de sucre. Pour ceux qui ne la connaissent pas (honte à vous, je vous renvoie à la case départ), imaginez une jeune fille à la voix douce et timide. De longs cheveux. Des gros seins. Un sourire angélique. C’est bon, vous voyez bien ce que je veux dire. Le genre de fille qu’on aimerait bien ruiner pour le mariage, sans doute.

Onii-chan!

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Sister Princess n’a pas hésité à voguer sur la vague du charme de la petite soeur. Evidemment, les petites soeurs qui adorent leurs grand frères n’existent pas dans le monde réel. Là, là, c’est fini, pas besoin de pleurer. La petite soeur est sans aucun doute l’un des éléments les plus moe que l’on retrouve le plus souvent dans une série. Le pire, c’est que parfois, c’est elle qui gagne à la fin. Aucune morale ces japonais, mais qui s’en plaindra, hein?

Les particules de fin de phrase

-desu -desu yo -unya -nya -nyu -su -nyo -nyoron -de gozaru -pyoro -da… Ces petites particules que certains personnages affectionnent tout particulièrement nous paraissent comme un défaut de langage qui renforce leur petit côté kawaii. Parfois pour montrer que le personnage est poli (-desu partout) ou bien parle de façon un peu ancienne (-de gozaru) ou carrément de façon enfantine (-nyo, -da), les particules à la fin des phrases sont là pour caractériser encore plus un personnage. Heureusement que les fansubs ne les mentionnent pas, on aurait encore plus tendance à les sortir à la fin de nos propres phrases tellement ça marque.

La fille malade

Kanon, Utawarerumono, Sister Princess (hé oui encore), ils sont tous coupables de contenir une jeune fille à la santé fragile. Il est de bon ton de penser que le téléspectateur n’aura qu’une envie, la protéger. Pour après abuser d’elle, évidemment. +50 points quand c’est la petite soeur du héros qui est malade. Quels enfoirés ces japonais quand même, utiliser des malades pour nous attendrir avant de nous laver le cerveau. N’oubliez pas d’acheter vos Chinpokomons.

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L’amie d’enfance

Alors ça, alors ça, je ne sais pas trop comment vous la présenter, tellement elle est connue. On les trouve partout, comme dans des pochettes surprise, des séries harem ou des machines à pain (rayez les mentions inutiles.) Le héros n’a en général qu’une amie d’enfance, et même si elle part bien souvent avec un net avantage, celle-ci n’est pas assurée de gagner si les réalisateurs tirent la carte SHUFFLE!. Si cela se produit, le héros doit en général penser à se trimballer en armure par la suite. Les amies d’enfance ont en effet la facheuse tendance à se changer en killer loli quand quelque chose ne leur plait pas. Pourquoi est-ce donc alors un moe-mode tant prisé? Facile: une amie d’enfance, tout le monde en a forcément eu une, et la complicité avec une fille, ça n’a pas de prix, et ça peut mener vachement loin. Surtout dans les animes.

La maladroite

D’après un récent sondage IPSOS, 99% des héroines d’anime sont maladroites au possible. Les pertes dégagées par ces maladresses se comptent en dizaines d’assiettes et de verres innocents qui finissent en morceaux et dans une poubelle. Ces sacrifices ne sont néanmoins pas vains, puisque sa maladresse aura souvent pour conséquence de l’exposer dans des situations parfois compromettantes. En général, fille maladroite = pantsu = moe. Ne cherchez pas à comprendre.

La timide

Petite voix, doux sourire, la timide se cache souvent derrière des lunettes. Vous voyez très certainement le topo, pas besoin de vous expliquer. Ce genre de personnage est bien souvent moe car soit elle cache un secret et est en réalité une bête de sexe, ou soit elle ne demande qu’à un onii-chan ou un sempai de la protéger. Dans tous les cas, c’est win-win. En grandissant, les filles timides donnent parfois de bonnes Belldandys. desu.jpeg

Desu

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Bon, plus sérieusement, regardez Rozen Maiden. CQFD.

Le mot de la fin.

Voilà en gros ma liste de moe-modes, enfin ceux que je connais en tous cas. Après, il m’en manque très certainement, et je compte sur les trucs qui me servent de lecteurs de m’aider à rendre cette liste la plus exhaustive possible. Vous avez un fétiche bien à vous, je le sais. Faites votre coming-out! 😛

C’est bientôt Noël… le retour

Je vous ai dégotté quelques petites images hi-res a mettre en papier-peint en cette période froide… 🙂

On dirait qu’Haruhi aime bien fêter l’esprit de Noël à sa façon…

Est-ce qu’il n’y a que moi qui ait des pensées perverses en voyant la tête de Mikuru? 🙂

Hmmmm, Asakura… aah mais qu’est-ce que je raconte moi, ô déesse Haruhi-sama, pardonnez-moi pour ces pensées impies! :p

Allez, un p’tit coup de Shakugan no Shana pour changer? Loli warning…

Anime Catch-up – Novembre 2006

6 mois presque après mon premier catch-up, comprenez par rattrapage, je vous présente le second. Pour les deux du fond qui ne suivent pas ou les autres qui ont pris le train en route, je fais un rapide commentaire sur les séries qui ont progressé depuis ma review initiale de chacun d’eux. C’est aussi l’occasion de présenter rapidement des séries que je regarde mais qui pour une raison X ou Y n’ont pas eu droit à leur billet dédié.

  • Aria The Animation / Natural : Un billet viendra bientôt tellement j’ai apprécié cette petite série tranquille sans prétention aucune.
  • Yoake mae yori ruri iro na Crescent Love : Le concept est toujours aussi mignon, mais la qualité de l’animation est proche du médiocre. Je regarde uniquement parce qu’il y a Feena (je viens même d’acheter une figurine) et aussi parce que je veux savoir comment ça finit. Les personnages sont assez attachants dans l’ensemble, l’histoire quoi que classique est sympathique, mais alors l’animation… KyoAni, venez réparer ça!
  • Happiness! : Je me suis arrêté au 3ème épisode. Ca en dit long sur ce que j’en pense.
  • Kamisama Kazoku : Un manque d’intêret certain pour une série somme toute moyenne mais distrayante. Il faudrait peut-être qu’un jour je me mette à récupérer les derniers épisodes. La faute à des fansubs très très lents. Ca sent la petite série sans grand budget alors qu’il y a plein de possibilités. En manga ça doit sûrement être bien sympa.
  • Muteki Kanban Musume : La série a su maintenir un rythme de croisière sans failles et reste de bonne qualité du premier jusqu’au dernier épisode. Du grand délire sans fanservice, c’est tout à fait possible. Et puis, Miki saoule est à la fois craquante et effrayante. Clairement l’une des séries les plus sous-estimées de cette année.
  • Otome wa boku ni koishiteru : Après avoir découvert les CG hentai du jeu du même nom, il m’était difficile de regarder la série sans espérer voir Mizuho passer une folle nuit d’amour avec Mariya et/ou Shion. A la place, j’ai été exposé à du fanservice parfois loliesque. Beaucoup plus digeste que Strawberry Panic, j’adore tout particulièrement l’ending vraiment super marrant. En tous cas, à condition d’aimer le style, c’est tout à fait regardable et même amusant.
  • Ouran High School Host Club : Oui je sais je suis à la bourre. Une excellente série pleine de délires en tous genres. Jamais une pause, et j’ai beaucoup aimé la relation entre les garçons et Haruhi au final. Bon c’est sûr il faut aimer le style et l’humour très japonais…
  • Negima!? : La « nouvelle » saison de Negima a débuté et c’est un peu beaucoup étrange. J’ai vraiment du mal à me faire au nouveau design parfois bien modifié, et surtout à la réalisation. Il paraît que SHAFT est resté sur Pani Poni Dash! en faisant cette saison de Negima. Je leur souhaite un jour de faire le deuil de cette série. En attendant ça laisse Negima!? avec une sensation bizarre. Le fanservice est presque totalement absent, pas mal d’éléments ont changé, le tout va beaucoup plus vite… Au moins, les OAV Spring et Summer sont vraiment rigolotes et touchantes, du pur bonheur.
  • Tokimeki Memorial : Un savant mélange d’humour déjanté et de romance pour cet anime harem pour une fois pas comme les autres. C’est suffisament délirant pour sortir du lot et des bishoujo suffisament mignonnes pour faire de Tokimeki Memorial un bon plan pop-corn cette saison.

J’vais p’têt faire un manga catch-up un de ces jours tiens…

Tokimeki Memorial ~Only Love~

Parmi toutes les sorties de cette saison, on compte quand même pas mal de séries bishoujo-comédie-romantique-école-harem. Pire encore, certains d’entre eux sont plutôt mauvais (qui a dit Happiness? Levez la main…) mais d’autres arrivent à tirer leur épingle du jeu. Tokimeki est l’un d’entre eux.

Je ne vais pas m’étaler sur la série des Tokimeki Memorial, vous irez lire l’article Wikipédia. Sachez juste pour les plus flemmards que c’est une série de jeux sortis tout d’abord sur SupernES et qui vous proposent de suivre une aventure graphique a choix multiples afin de sortir avec l’une des filles parmi celles proposées. En substance, un date game. Je le repête pour tordre le cou à ces idées préconçues, TOKIMEKI N’EST PAS UN ERO GAME. Il n’y a absolument aucun contenu érotique ou pornographique dans aucun des jeux de la série. Voilà, c’est dit.

Apparement tiré de la version online (oui, un dating sim online.), cette adaptation en anime n’en reste pas moins des plus classiques. Le héros est transféré dans une école plutôt riche et classieuse et va rencontrer 3 superbes bishoujo. Même si son coeur en pince pour la belle et populaire Saiyuri (au milieu sur l’image du début de cet article), les deux autres, Mina et Tsukasa (respectivement à gauche et à droite) donneront à son coeur du fil à retordre.

Jusque là j’estime avoir perdu 80% de l’intêret de mon lectorat. Après tout, Tokimemo reste on ne peut plus classique pour une série harem. En plus y’a pas l’ombre d’une pantsu ou d’une poitrine rebondissante.

Mais alors, quel intêret?

L’intêret, c’est justement que Tokimemo ne se déroule absolument pas comme un harem normal. Il y a de l’humour, et du bon, qui vient donner une touche assez loufoque à l’ensemble. Très bien montré lors du premier épisode avec la course poursuite et les « accessoires », cette ambiance plaisante est renforcée par des personnages aux airs assez plats et prévisibles, mais qui se révèlent surprenants et bien joués. Un peu comme un School Rumble, vous voyez? Il ne faut tout de même pas se méprendre, one st bien loin du génie de sukuran. 😛

Ajoutez à cela un poussin tueur qui parle, et des petites références ici et là, et vous obtenez un cocktail plutôt inhabituel pour ce type d’anime sentimental. Un vrai bol de fraicheur le genre. Définitivement quelque chose à voir s’il vous reste une place dans votre emploi du temps!

Otome wa boku ni koishiteru

Littéralement « Je suis tombé amoureu(x|se) d’une jeune fille|vierge », Otoboku (c’est son p’tit nom) est un anime tout droit sorti d’une inspiration Strawberry Panic ou Maria-sama ga miteru qui s’assume.

Voici Mizuho, notre euh… bon, on va dire héroine. Pourquoi ‘on va dire’? Parce que Mizuho est une trap comme on dit sur 4chan. Pour les moins cultivés d’entre vous, It’s a trap est un meme issu de l’amiral Ackbar dans Le Retour du Jedi lors de l’attaque de la seconde Etoile Noire et… ah zut je m’égare.

Mizuho est donc en fait un mec. Voilà, vous le savez, vous pouvez fermer cette page en râlant, en profnant les insanités que vous voulez, mais quand même, admettez-le, Mizuho est vachement mignonne, pour un mec.

La petite histoire de Otoboku, c’est que le grand-père de Mizuho, ce brave homme, est mort. Et comme dernier voeu, il a voulu que Mizuho intégre une école pour filles. Le problème comme vous vous en doutez, c’est que Mizuho est un garçon, et que donc il ne peut pas vraiment faire ça, mais c’est sans compter sur son amie d’enfance Mariya qui va s’occuper de le faire ressembler le plus possible à une fille, et avec la complicité de la directrice de l’école (une bonne soeur), et d’une des profs, Mizuho va tenter le tout pour le tout pour exaucer le voeu de son grand-père. Il… non, elle, enfin bref, il est quand même vachement sympa de faire ça pour son grand-père décédé, et il elle il devait sans doute grandement l’apprécier.

Shion, la première amie de Mizuho sur place

Second problème, Mizuho va devoir dormir dans un dortoir de l’école, pour filles évidemment. Troisième problème, Mariya a un peu trop réussi son coup et de ce fait, toute l’école va rapidement idolâtrer Mizuho de par sa beauté, sa grâce et ses capacités intellectuelles et physiques. Ceci bien évidemment ne va pas plaire à tout le monde, et Mizuho va se faire quelques ennemies, mais aussi des amies dans ce monde brutal et sans concessions qu’est un lycée pour filles. Elle il va cependant rapidement se faire découvrir par l’une des filles de l’école qui va fort heureusement jouer le jeu. Pas de doute, nous sommes bien dans un anime.

Techniquement parlant, l’anime ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça reste fort convenable et agréable à regarder. Sans compter que Mizuho est doublée par Yui Horie, à qui l’on doit notamment Naru dans Love Hina et Eri dans School Rumble. La liste de ses rôles étant tellement longue que je vais m’abstenir de tous les citer. C’est d’ailleurs son seul rôle je crois où elle fait la voix d’un garçon.

Contrairement à Strawberry Panic et Maria-sama, Otoboku s’assume et reste très léger. Il ne sera pas rare de voir quelques passages un peu ecchi (sans qu’ils n’occupent plus de 20 secondes d’un épisode) ou des petites scènes assez humoristiques, et parfois en SD. Ca doit être la saison, avec Crescent Love.

Pajama-party en grand format pour votre plus grand bonheur. Mariya est à droite, Mizuho a gauche, et Shion entre les deux. Cliquez, cliquez!

Il y a l’air d’y avoir cependant un peu plus que de la comédie légère dans cette histoire bourrée de onee-sama! partout, et c’est ce qui va me pousser à continuer.

Une petite note à part, c’est aussi la saison des trap cet hiver, dans l’anime Happiness. Je n’en parle pas trop car c’est pas une série fracassante (comédie romantique avec des mages. Animation sans plus, personnages peu intéressants… sauf Jun. Jun est une trap, et pire que tout, une trap en puissance. Une trap qui aime les hommes qui se comporte comme une vraie fille, qui aime les hommes. Attention à vous. Un autre détail marrant au sujet d’Happiness, c’est que l’héroine s’appelle Haruhi, ce qui fait donc trois Haruhi cette année, avec La mélancolie de Haruhi Suzumiya mais aussi la Haruhi de Ouran. Le Haruhiisme progresse.

Yoake Mae Yori Ruri Iro Na – Crescent Love

On va tout de suite faire simple et appeler cette série Crescent Love car j’ai décidément beaucoup de mal à retenir le nom japonais.

Bienvenue dans le monde merveilleux de Crescent Love. Un harem comme les autres, ou presque. En gros, après avoir colonisé la lune, la terre et cette dernière se déclarèrent une guerre sans merci avec un résumé tout animé digne d’un épisode de Gundam. Ca surprend un peu en fait, c’est assez inhabituel pour ce genre de série (tirée d’un h-game, vous l’aurez deviné).

Là où se situe l’histoire, la Terre et la Lune sont en paix, même si quelques tensions reignent ici et là. Généralement ça ça veut dire qu’à l’issue de la série, la guerre va reprendre à cause d’une connerie. Enfin moi je dis ça, je dis rien *sifflote*

Notre héros, un héros typique de série harem, a pour spécificité d’avoir la sale habitude de pincer le nez des filles qu’il affectionne sans s’en rendre compte. Autant le dire tout de suite, ça n’a pas l’air de déranger les dites filles, qui trouvent ça super meugnon. Bah, passons ce détail.

Le personnage principal masculin a donc dans son harem toute une tripotée de filles classiques à sa disposition:

  • Meilleure amie
  • Musicienne
  • Petite soeur loli
  • Grande soeur bonnasse

A cela va s’ajouter une maid, et une princesse.

Quoi quoi quoi?

Oui, une belle petite Siesta Mia, qui vient en fait accompagner la princesse de la lune (rien que ça) afin qu’elle finisse ses études sur terre. Et devinez quoi? Elle va crècher chez le héros qui vit avec ses deux soeurs, dont la plus grande est porte-parole du Président de la Terre (ah, tout s’explique.)

Notre princesse s’appelle Feena.

Un bien joli nom pour une bien jolie princesse à forte poitrine et qui en plus de ça semble être une amie d’enfance du héros, qui bien sûr ne se souvient de rien (Les héros de harem sont très très souvent frappés d’amnésie pour une raison inexplicable.)

Bon, disons le concrètement, c’est une bonnasse très douce et avec de beaux cheveux. Elle a tout d’une princesse et si je n’avais pas déjà mes deux MAIDS-0 et MAIDS-1 (voir en bas de la page) l’un de mes disques durs aurait certainement eu son nom dessus.

Evidemment on sent les vibrations typiques arriver, et c’est là que Crescent Love surprend peu. Il ne se passe pas grand chose de très excitant qui pousse le télespectateur à vouloir voir la suite à tout prix. En même temps ce n’est pas trop ce qu’on attend de ce genre de série mais il y a déjà eu des précédents bien plus intéressants. On notera néanmoins quelques touches d’humour bienvenues, et des petits passages en SD tout mignons qui viennent egayer la recette un peu réchauffée.

Cependant, ne restons pas scotchés aux deux premiers épisodes, j’ai quand même envie de savoir comment ça va se terminer. Et puis Feena est définitivement craquante. Même Mia, qui est pourtant une maid, arrive en seconde position dans mon classement Crescent Love 😛

Techniquement parlant, on est loin de friser l’orgie d’animation. C’est plutôt moyen même, surtout dans l’épisode 2, mais ça suffit, vous me direz. C’est le genre de série fast-food qu’on consomme sur le moment et qui laissera sans doute un bon petit souvenir une fois passée, sans pour autant être totalement inoubliable.

Pour appuyer mes dires sur Feena, je vous propose cet excellent poster, à consommer sans modération (et cliquez bien fort pour digérer le PNG de 4,5 Mo…). J’ai judicieusement nommé ce poster « Fap Fap Feena ». (ahem)

Sumomomo Momomo

Ouf, j’ai bien tapé le titre du premier coup 🙂

Nouveauté de cette saison, Sumomomo Momomo (voir aussi l’article sur Livehouse) m’avait l’air bien délire d’après les différents screenshots que j’avais pu voir. Cependant, rien ne m’avait psychologiquement préparé à ce que j’allais voir. Oubliez Maburaho et son histoire de semence de magicien légendaire, ici, c’est pire, mais c’est dans le même style.

Une jeune fille d’un maître en arts martiaux veut/doit faire des bébés avec le fils d’un autre maître en arts martiaux afin d’assurer la descendance et tout et tout. Oui oui, vous avez bien lu. Le problème dans tout ça? Tout mâle normalement constitué ne pourrait refuser de faire l’amour sauvagement à une jeune fille qui n’attend que ça devant un feu de cheminée ou même dans une allée sombre vu que de toutes façons elle se ballade avec son futon partout où elle va, « au cas où ». Hé bien, pas le héros. Non, lui il refuse, ilv eut pas, c’est une lopette, il n’est pas digne d’être le fils d’un maître d’arts martiaux.

Jusque là mis à part le ridicule du concept qui n ‘étonnera personne (après tout nous sommes dans un anime, tout peut arriver :P), on peut s’attendre à une petite série fort divertissante et rigolote, et c’est le cas. Chibi-mode, p’tit humour bien japonais, le genre de série qu’on matte le cerveau éteint quoi.

Le problème, avec cette série, c’est un peu aussi sa réalisation: musiques anecdotiques (si on passe l’étape de l’opening qui a déclenché chez moi un fou-rire en commençant par Let’s start child production!), designs un peu étranges, animation bonne sans plus, et surtout, le pire, c’est les images de synthèse ponctuant les attaques, dignes des premiers épisodes de Initial D. Mais non je ne suis pas méchant, c’est juste que ça gêne un peu quand même.

Bien que le concept de base n’ait pas l’air trop profond, je veux bien voir ce que ça donne comme série, et je pense que je vais continuer à la regarder de loin…

Projet de Capsule Temporelle Haruhi

Vous pouvez découvrir ici comment DarkMirage souhaite utiliser le projet de Yahoo d’envoyer une capsule temporelle digitale dans l’espace afin que des aliens la découvrent et comprennent que la seule religion sur terre est l’Haruhisme.

Riez, riez, mais je suis sûr que tout comme le Meidoïsme, le Haruhisme s’élèvera parmi les autres religions de ce bas monde 😀

En attendant, il semblerait que son petit projet ait fonctionné. Que la grande déesse nous bénisse tous! Ayez foi en Haruhi-sama!

Ahem…

Figurine Nanoha

FFenril a sa Mai Tokiha, moi j’ai ma Nanoha!

Cliquez dessus pour l’avoir en plus grand.

Et surtout surtout, ne faites pas attention au bordel monstre sur cette étagère, ni à la mèche de cheveux un peu cassée de la Mahoro dans le fond. Faut pas lui en vouloir, elle a fait le tour de la France…

Ouran High School Host Club

Comme d’habitude je prends toujours certaines séries avec quelques mois de retard, mais bon, vieux motard que jamais comme on dit.

Le studio Bones qui nous fait un anime style shoujo ? on aura tout vu! 🙂 Et pourtant ils se débrouillent fort bien, avec une série mêlant humour un peu déjanté, une pointe de romance et des personnages bien typés.

L’histoire commence avec Haruhi. Un peu nerd au premier abord, avec ses cheveux en bataille, ses lunettes et son look d’un autre monde. D’un autre monde? Oui, car à Ouran, lycée privé immensement riche, on ne cotoie que des garçons et filles de bonne famille. Toute la Jet Set japonaise est réunie en ce lieu ma foi au demeurant fort agréable. Que fait Haruhi ici? Hé bien elle a tellement bien réussi ses études qu’elle a obtenu une bourse pour étudier à Ouran.

Voulant trouver un coin pepère où étudier, elle tombe sur la 3ème salle de Musique, supposèment inoccupée. Là elle rencontre les membres du Host Club qui ont élu domicile à cet endroit, et brise par inadvertance un vase très couteux.

Et là je me dis « Ca va se finir comme dans Kore ga watashi no goshujin-sama!? » et elle va finir en maid, hé bien en fait pas exactement. Haruhi va devoir bosser au Host Club pour payer sa dette. Seulement voilà, Haruhi est une fille, et ça va poser problème.

Car le Host Club, c’est quoi? C’est, tel que Tamaki Suou, son président, l’explique: un club où de jeunes et beaux garçons tiennent compagnie aux jeunes filles riches qui ont du temps à elles. En utilisant leurs charmes, les 6 garçons (dont 2 jumeaux) ont pour devoir de faire plaisir à ces jeunes filles au coeur pur qui viennent les voir. Rien de sexuel bien évidemment (je vois venir mon lectorat, hein.) Des mots doux, des gestes séducteurs, boire le thé ensemble, telles sont les occupations du Host Club.

Les deux jumeaux vont jouer la relation semi-incestueuse, mais tout cela pour faire plaisir aux jeunes filles. Parmi le host club, il y a aussi le sérieux à lunettes, l’amant sauvage, le blond charmeur, et enfin le petit a l’air gamin qui s’empiffre de gateaux et reste avec ses peluches, donnant tout de suite envie à certaines de le cajoler. Y’a pas de doute, c’est une équipe bien rodée pour plaire aux filles qu’il y a là.

Mais Haruhi dans tout ça? Que vient-elle faire parmi ces bishonen ? Simple. Lorsqu’elle est arrivée, ils l’ont d’abord prise pour un garçon, et puis finalement se sont rendus compte de la vérité lorsqu’elle a cassé le vase. Ils ont donc décidé de la faire travailler en tant que garçon pour le host club: le garçon effeminé est là, et Haruhi remplit très bien son rôle.

Un certain lien protecteur (voire plus) va se lier entre les garçons et Haruhi, qui est tout le contraire d’eux. Ce sont des garçons riche, elle est une jeune fille pauvre.

Et la série réussit bien à exploiter l’humour autour de ces contrastes: des garçons qui découvrent ce qu’est un supermarché ou un appartement, ou bien qui tentent de garder le secret d’Haruhi pendant la visite médicale obligatoire… Un style déjanté, un graphisme assez coloré et des doubleurs qui s’en donnent à coeur joie (les jumeaux sont excellents) contribuent sans conteste à donner à cette série un comique innatendu. A vrai dire je n’avais pas trop prévu de regarder cette série avant qu’on me la recommande vraiment chaudement. Au final je n’ai pas été trop déçu du voyage (la série est sur sa fin au moment où j’écris ces lignes) et bien que ça ne soit pas l’anime du siècle, c’est sans conteste une série bien faite pour la détente, au même titre que School Rumble.

Non, cet anime n’est pas gay, pour ceux pour qui l’abus de bishonen nuit gravement à la santé.

P.S.: Non, je ne ferai pas le parallèle entre les héroines de Ouran et de La mélancolie de Haruhi Suzumiya… Elles n’ont rien à voir entre elles ! Ah zut, trop tard je l’ai dit 😛

Haruhi cosplay

Bon, rien de nouveau en fait, il est évident qu’une série d’une telle popularité a déjà vu fleurir des tonnes de cosplays plus ou moins réussis, mais un peu par hasard je suis tombé sur cette image:

Je sais pas ce qu’elle a par rapport aux autres, peut-être que c’est le clin d’oeil, l’appareil-photo, je sais pas, je l’ai trouvé bien sympa ce cosplay.

Voilà, j’ai une image là que j’aime bien et je trouve pas pourquoi, rage 😛