Catégorie :Anime

Mahou Shoujo Lyrical Nanoha

Nanoha est ce que l’on pourrait appeler un anime de magical girl (Mahou Shoujo = Magical Girl) comme on en a déjà vu plein: Card Captor Sakura, Sailor Moon, ou si on remonte un peu plus dans le temps, magical Angel Creamy Mami ou Magical Emi, pour ne citer que les plus connus en France.

Seulement voilà, Nanoha n’est pas que ça, c’est un anime pour une audience un peu différente, et ça se voit dés les premiers épisodes. Je m’explique…

Nanoha est donc une jeune fille, pas bien agée hein, on est dans un anime de magical girls après tout, qui va découvrir un furet blessé. Sauf que ce n’est pas n’importe quel furet. Le familier de cette magical girl qu’est Nanoha n’est pas un chat ou une bestiole toute bizarre, mais bien un furet. Tout de suite on sent qu’on est pas embarqué dans un magical girl show classique.

Bref, Yuno (le nom du charmant petit furet) est en fait un jeune garçon d’un autre monde, qui cherche les Jewel Seeds, pour les rassembler (au début en tous cas), et qui va découvrir en Nanoha un potentiel magique extraordinaire.

Bon bien évidemment, il va y avoir des ennemis (enfin surtout une) et des tas de rebondissements. La série est divisée en deux saisons de 13 épisodes, chacun formant une petite histoire à eux tous seuls: ça divise donc très bien la série et on a aucune longueur inutile.

Qu’est-ce qui fait donc de Nanoha une série si spéciale? Quand on regarde un peu sur le net on s’aperçoit très vite que la série a gagné une certaine petite communauté de fans. Les raisons sont multiples:

  • Les pouvoirs magiques de Nanoha sont issus de la technologie et non d’une quelconque source magique extraterrestre: elle possède un joyau nommé Raging Heart (ou Raising Heart c’est selon votre oreille) qui est en fait un scèptre obéissant à des commandes, et qui ne parle qu’en anglais. Nanoha a d’ailleurs le syndrome des attaques criées. Il suffit de hurler le nom de l’attaque le plus fort possible pour que cette dernière fasse de gros dégats.
  • Il y a du fanservice, voire du ecchi .
  • Il y a des grosses tendances yuri non dissimulés entre les deux héroines. Ah mince on me souffle dans mon oreillette que c’est inhérent au genre. On m’aurait menti?
  • Il y a des scènes difficiles (torture, abus d’enfants, tout ça…)
  • La chorégraphie tue tout sur son passage. Non je n’exaggère pas, la choré’ des combats est vraiment bien foutue, avec des effets quand il faut où il faut, des costumes très bien foutus, des attaques diversifiées et adaptées. Y’a pas à dire, la magie technologique ça pête carrément plus que les étoiles et les paillettes.

C’est sans compter sur la perspicacité de Nanoha. Sans ça, elle serait un personnage assez insipide et classique du stéréotype magical girl: nunuche, naïve et pleurnicharde.

+1 pour les cheveux détachés.

+50 pour les versions adolescentes.

Bref, Nanoha est vraiment un bon anime: bien réalisé, scénario léger mais suffisant, bande-son sympatique, personnages tous plus soignés les uns que les autres (La grande soeur de Nanoha… hmmn… :P)

L’anime est disponible chez Triad en sub anglais et chez K-W en sub français (il manque le dernier épisode de la seconde saison, pas encore sorti visiblement chez eux)

EDIT: Ah et j’oubliais l’opening de la première saison (que je préfère à celui de la seconde, n’en déplaise à certains)

Haruhi Suzumiya – Et hop, vous voilà star du rock

Non franchement, Kyoto Animation ne cessera jamais de me surprendre. Après un épisode 9 calme, ils nous enfoncent dans nos sièges avec des épisodes 10 et 11 dédiés au Yukiisme. Bien sûr, je ne vais pas spoiler pour les malheureux qui n’ont pas encore goûté aux joies de ce qui est considéré par certains bloggeurs japonais comme la cinquième révolution de l’anime (Eva étant la troisième), mais cet épisode 12 était constitué de pure win.

Oui. Haruhi + tenue de bunny girl + guitare electrique = zomg.

Plus sérieusement, ce petit « concert » était une vraie surprise pour ceux qui n’ont pas lu ce chapitre des bouquins, et qui plus est une performance incroyable aussi bien musicale qu’animée. Aya Hirano s’est littéralement déchainée pour la chanson, que je vous invite à regarder (Codec WMV9, désolé c’est du raw, j’y peux rien. Lorsque la version a.f.k. sortira je réuploaderai en xvid) l’extrait de cet épisode. Garanti sans spoiler aucun.

J’ai dit que la doubleuse s’est déchainée, mais ça serait insulter les animateurs de Kyoto Animation qui ont fait un sacré beau boulot sur la totalité de la séquence (et au delà) avec des mouvements fluides, synchronisés, précis… On a réellement l’impression que Haruhi chante de toutes ses forces et que Yuki se déchaîne à la guitare.

Une quote que j’ai bien aimé quand même:

– Quand est-ce qu’elle s’est mise à la guitare?

(Kyon, intérieurement) Probablement quand tu lui as demandé.

Good Choice Umetarô

Si vous pensiez que Step Up Love Story (aussi connu sous le nom de Futari Ecchi) était déjà trop indigeste pour vous, passez votre chemin immédiatement. Good Choice Umetarô est pire 🙂

Evidemment, on va me dire encore « Tiens, voilà un manga pour Axel! » ouais ouais… Hé bien non, je m’en défends, j’ai moi aussi mes limites, comme l’a prouvé Joshikosei.

Pour résumer, il n’y a pas d’histoire: chaque chapitre est un « cas » (et c’est peu de le dire) d’une jeune adolescente qui devrait faire un choix dans sa vie, et surtout s’envoyer en l’air avec un type qu’elle connaît (ou pas). On aimerait penser que ce sont des histoires vraies que l’auteur aurait pu connaître, et en faire le portrait dans ce manga, mais les héroines de chaque petite histoire sont tellement cruches, voire même parfois steréotypées, qu’on a du mal à accrocher. C’est tellement gros qu’on voit venir l’issue de l’histoire à des kilomètres.

Le dessin lui, ne casse pas des briques. Cependant, il est plutôt agréable pour ce genre d’histoires et se laisse lire plutôt facilement. Rien d’exceptionnel ceci dit hein.

Ce que j’en ai pensé? Difficile à dire: mon côté AxelTesque serait tenté de vous dire que c’est un manga rigolo qui se laisse lire (et encore, le rigolo devrait être entre parenthèses, l’humour n’est pas super présent) et de l’autre, mon côté sérieux me susurre à l’oreille que c’était tout simplement pas terrible. On sent que l’auteur voudrait se lâcher mais ne le fait pas. Résultat, on est à mi-chemin entre l’érotique et le pornographique, le ecchi et le hentai quoi, et ça donne un résultat un peu bâtard évidemment.

Enfin, les amateurs de mangas un peu osés sauront très certainement y trouver leur compte. Je préfère de loin Step Up Love Story quand même, qui est beaucoup plus drôle et mignon.

Yakitate! Japan

Voilà, une grosse grosse série vient de se terminer.

Enfin, en fansub, car la vraie diffusion elle s’est arrêtée depuis quelques mois.

Ceux qui me connaissent bien connaissent aussi mon amour sans limite pour le pain, et il était évident qu’un anime comme celui-là m’intéresserait.

Ce fut le cas. je ne dirais pas que c’était le coup de foudre, mais Yakitate! Japan m’a très certainement bien accroché.

Je suis loin d’être un fan d’anime shonen (animes/mangas pour garçons) de type Bleach, Naruto, Get Backers, Hikaru no Go… et pourtant, certaines de ses séries ont sû me plaire, tout comme l’a fait Yakitate! Japan. Ca ne s’explique pas, mais je vais essayer de décortiquer la série, en tous cas.

Un peu d’histoire tout d’abord.

Il faut d’abord savoir que Japan est ici un jeu de mots: Pan voulant dire « pain » en japonais, le héros, Azuma, essaye de créer le Ja-pan, le pain Japonais. Ne vous en faites pas, cette série est bourrée de jeux de mots en japonais. C’est terrible.

Notre jeune héros donc, Azuma Kazuma, va un jour découvrir le plaisir du pain grâce à sa grande soeur qui le traine (le mot est faible) dans une boulangerie près de chez eux. Le boulanger sur place, voyant en lui un grand potentiel, lui apprend les rudiments de la confection du pain et on découvre que Azuma possède des Mains Solaires, des mains si chaudes qu’elles aident grandement à la fermentation… Bref, notre héros, comme tout héros de Shonen manga, est plein d’espoir et d’atouts dans sa course à la réussite.

ici, pas de monde à sauver, mais un objectif qu’Azuma s’est fixé: créer le Ja-pan, le pain ultime japonais, capable de rivaliser avec les pains français, allemands, anglais…

L’histoire commence donc réellement avec l’arivée d’Azuma à son entretien d’embauche chez Pantasia, et il devra faire ses preuves pour ne pas se faire distancer par ses adversaires et futurs collègues.

Passons un peu à l’intêret global de la série…

Loin des animes de bastons et de mystères, Yakitate Japan est avant tout bourré d’humour. La série ne se prend pas au sérieux une seule seconde, et les délires se suivent sans se ressembler. Il y a également toutes les explications sur la fabrication du pain et des différents pains que Azuma et ses amis vont réaliser, qui sont tantôt loufoques, tantôt complètement possibles.

Il serait criminel de ne pas parler également des autres personnages qui donnent toute son ampleur à l’humour de la série: Kawachi, l’éternel compagnon d’Azuma une fois l’entretien d’embauche passé, qui servira surtout de bouffon de service à la série…

Tsukino, la jeune et jolie gérante de la succursale de Pantasia où Azuma wa travailler, elle, est tout simplement l’une des seules présences féminines de la série. Au moins, ils ne l’ont pas ratée:

Sa doubleuse réussit très bien à lui donner une voix douce et charmante, ce qui ne gâche rien. Qui plus est, Tsukino a une petite particularité que les filles d’autres animes n’ont pas: elle change à chaque occasion de vêtements. Oui, à chaque match, chaque épreuve d’Azuma, chaque jour nouveau, elle porte des vêtements différents. Ca a l’air de rien comme ça, mais vous n’aviez jamais remarqué que les personnages d’anime portent très (trop) souvent, les mêmes vêtements? Et je ne parle même pas de l’uniforme… 🙂

A cela vous ajotuerez Ken, l’espèce de musclor avec sa coupe afro, qui est tout simplement excellent. Mais pourquoi les boulangers ne sont pas tous comme dans Yakitate! Japan? 🙂

Bref, si vous aimez les séries un peu délire et longues, vous aimerez très certainement Yakitate Japan. Faut quand même suivre parfois, car le vocabulaire utilisé n’est pas simple (pour les fansubs anglais) mais l’anime étant très graphique dans son humour, vous ne manquerez pas de laisser échapper un petit rire etouffé. Je crois que le plus grand moment reste quand même à la fin d’un des premiers épisodes, quand Kuroyanagi annonce la prochaine épreuve de l’examen d’embauche, qu’il faudra réaliser un croissant, et Azuma qui demande « Kurowa-san dare? » (C’est qui Kurowa-san?) … 🙂

Mais bon, tout n’est pas rose au pays du pain.

La série animée est loin d’être parfaite. Je ne m’étalerais pas sur le manga que je n’ai pas lu, mais l’anime m’a parfois laissé assez perplexe.

En 69 épisodes, ce qui est long, vous aurez le droit à 3 principaux arcs. Le premier constituera l’arrivée d’Azuma à Pantasia via l’examen d’embauche et le tournoi des nouveaux arrivants. Le second retracera tout le tournoi de la Coupe de Monaco, avec Pierrot, et le dernier arc enfin le jeu télévisé Yakitate! 9, qui prendra place au japon et dans ses régions.

Passé la Monaco Cup, la série sombre un peu dans l’immobilisme et la répétition: chaque match se découpe d’une façon très précise et se repétera jusqu’à la fin de la série: une région est décidée, on choisit les ingrédients qu’il faut, on voit ce que l’ennemi prépare, on a une idée derrière la tête, puis Azuma prépare le pain lors du match, Kuroyanagi a une « reaction » ultra longue et toujours plus absurde, et le vainqueur est décidé.

C’est fort dommage, car l’idée de la « reaction » lorsque quelqu’un dans la série goûte un pain préparé par Azuma et sa clique (ou ses concurrents) est vraiment rigolote, surtout au début où c’est bien exploité.

Sans compter que les personnages qu’on aime le plus, à savoir Tsukino, Ken et quelques autres, sont relégués à des seconds rôles voir simplement des apparitions, juste là pour commenter les matchs. Quel dommage! J’aurais beaucoup aimé voir Tsukino ou Ken faire du pain un peu plus…

Heureusement la série se rattrape par un humour toujours aussi délire, un design réussi, des couleurs vives et une réalisation assez soignée. Bref, du bon plaisir à regarder quand même, bien qu’on puisse trouver le dernier arc très lassant. A noter également que les parodies et les clins d’oeils à d’autres séries ou genres sont de la partie: mechas, délires ninja, des films connus (Lord of the Rings, quelqu’un ?) sont parodiés sans aucune pudeur. Quand je vous disais que la série ne se prend pas au sérieux! 🙂

Je ne lirai pas le manga je pense, car comme pour Hikaru no Go, la série m’a déjà bien rassasié, et lire un manga où je sais pertinemment ce qu’il va se passer a un intêret très limité pour moi, même si il y a toujours des détails, des petites histoires, des scènes qui sont ommises de l’anime. J’ai d’ailleurs eu cette réflexion sur beaucoup de mangas que j’ai lu dernièrement, principalement de séries que j’avais déjà vues en anime…

D’autres mangas / animes évidemment nous offrent des vues bien différentes, ce qui est très bienvenu je trouve. Mais je réserve ce petit débat pour un autre prochain billet 🙂

La mélancolie de Haruhi Suzumiya – Pourquoi tant de hype

Avant de commencer, quelques nouvelles du front:

  • Il y a une vente de brassards SOS-dan organisée sur SOS-dan.com, par ici plus précisément
  • Il y a aussi une vente de T-shirts par là
  • L’article de Wikipedia anglais s’est grandement étoffé.

En essayant de faire découvrir La mélancolie de Haruhi Suzumiya au monde entier, je suis parfois confronté dans ma mission divine pour répandre le Haruhiisme, à des personnes qui ne voient aucun intêret dans cette série pourtant excellente sur bien des points. C’est simple, je n’avais jamais été aussi en transe pour une série depuis Mahoromatic, c’est dire.

Le reproche fait à la série? Trop populaire, fanservice, pas drôle, cliché, et d’autres raisons que j’oublie encore. Je ne vais pas m’amuser à défendre la série sur tous ces points: ceux qui reproche à Haruhi d’être cliché n’ont bien évidemment jamais regardé plus de 3 épisodes. Tant pis pour eux.

Je ne vais pas non plus m’éterniser sur le fanservice affiché dans la série. Je considère le fanservice comme étant un terme très large. Pour moi, ça ne veut absolument rien dire. En regardant une série qu’on aime, qu’elle soit sérieuse ou pas, ecchi ou pas, on consomme du fanservice, puisque ça nous fait plaisir de la regarder, non? Ca parait simpliste comme raisonnement, mais pourtant… il serait temps pour certains de se poser des questions.

Mais alors, pourquoi tout ce hype autour d’une bête série de 14 épisodes seulement? Tentons de voir d’un peu plus près ce qui fait de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, une histoire si populaire.

En premier lieu, les personnages, avec chacun leur petit trait personnel:

  • L’égocentrisme aggravé d’Haruhi
  • Les sarcasmes de Kyon
  • Le charme (moe attitude) de Mikuru
  • Le tsundere d’Haruhi
  • Les caméos de Tsuruya (aussi appellée LOL-tan par la blogosphère anglaise, parce qu’il suffit de peu pour déclencher l’hilarité la plus totale chez cette fille)
  • Le charme (oui encore) de Ryouko Asakura

Mais c’est aussi un opening et un ending difficiles à oublier. En tous cas lors de l’epitanime 2006 cela a fait son petit effet lors du Karaoké.

Il y a également de nombreux hommages à différentes séries ou livres, à commencer par Full Metal Panic qui font bien sourire.

Cependant, ce qui est le plus attirant à mon avis dans cette série, c’est toute l’étrangeté de la situation, qui amène à se poser plein de questions. J’en veux pour preuve toutes les hypothèses délirantes qu’on peut trouver sur le Net. Il y a des choses tout à fait possibles, et d’autres complètement loufoques. Je vous laisse juger (attention ça va spoiler grave) :

  • Haruhi est en train de rêver tout ce qu’on voit : Classique, mais après tout, elle peut très bien changer la réalité, ça veut dire qu’elle a une certaine emprise sur le monde.
  • Kyon est en train de rêver tout ce qu’on voit : Un peu plus tordu. C’est lui qui raconte l’histoire, on ne connaît pas son nom, et on dirait qu’Haruhi agit en fait avant tout pour lui faire plaisir et émoustiller ses désirs cachés (voir Mikuru en maid, en bunny girl, en nurse…)
  • Haruhi est née de l’imagination de Kyon : Peut-être parce qu’elle croit en tout ce qu’il a abandonné il y a des années? Après tout il voulait, étant petit, rencontrer des extra-terrestres, des aliens et des espers. Aujourd’hui, faisant face à la dure réalité de notre monde, il a abandonné cette idée. Mais voilà que Haruhi reprend son rêve pour elle… Coincidence? Pourrait-elle être une manifestation des désirs cachés de Kyon?
  • Haruhi est Kyon : Celle-là, je l’avoue, je suis allé la chercher très loin. J’ai du mettre mes chaussures et mon manteau pour aller la chercher, d’ailleurs. Non mais, sans blague, ça colle avecl ‘hypothèse que Haruhi représente un désir caché de Kyon, je pense.
  • Kyon est en fait celui qui contrôle tout : On peut imaginer qu’en fait l’entité qui contrôle tout est Kyon, et non Haruhi. Il pourrait utiliser Haruhi pour endosser ce rôle sans avoir à le supporter. Après tout, on ne sait rien de Kyon.
  • Kyon est mort et Haruhi continue de le rêver : 6ème sens-style.
  • La petite soeur de Kyon est en fait Mikuru : Possible, même si certains éléments tendent à prouver que non. C’est néanmoins jouable vu qu’on ne sait également rien de la petite soeur de Kyon… (et oui, ça serait de l’inceste, mais avec les animes on est plus surpris de rien, non?)

L’épisode 00 peut surprendre voir dégouter de suivre le reste, mais depuis quand faut-il se fier au seul premier épisode d’une série? On aime ou on aime pas. Qui plus est, rien n’empêche de le zapper, étant donné l’ordre bien mélangé des épisodes (à noter que les DVDs japonais auront les épisodes dans le bon ordre.)

C’est assez rare de voir un anime monter en popularité dés ses premiers épisodes diffusés, et ce de façon internationale. La Mélancolie de Haruhi Suzumiya fédère en effet beaucoup de genres à lui tout seul: romance, science-fiction et humour principalement. L’attention du détail (les livres lus par Yuki, les objets dans les pièces, les décors, les réactions des personnages) est assez bien rendue par Kyoto Animation, et l’anime rend justice aux romans pour le moment. Enfin j’ai lu que le premier, mais ça m’a déjà beaucoup plus.

J’invte tout le monde à découvrir cette série et à la montrer à vos amis. Nerae Fansubs fait d’ailleurs un travail correct sur les 2 premiers épisodes (même si j’aime pas trop leur typesetting, la police utilisée quoi) en français.

Haruhi dominera le monde! 🙂

EDIT: J’en ai marre, quand c’est pas Matt, c’est FFenril qui me bat sur une idée de billet 🙂 Voici donc une autre vision sur la popularité de Haruhi, avec un résumé de l’épisode 10 en cadeau bonus.

School Rumble

School Rumble est l’une de ces séries sans queue ni tête mais divertissantes, où l’on sait que chaque épisode viendra nous combler en humour. Il faut dire que l’anime a un certain goût de Azumanga Daioh mais en moins enfantin. Je n’ai rien contre Azumanga, hein, ne vous méprennez pas. J’adore aussi cette série. 🙂

Pour en revenir à SR, il n’y a pas vraiment d’histoire, mais une situation de base: La jeune Tenma Tsukamoto aime son camarade de classe Karasuma, qui lui ignore tout le monde. Mais Harima, le grand loubard de l’école, lui, en pince pour Tenma, et chacun va tenter de faire comprendre à l’autre ce qu’ils ressentent. Malheureusement à chaque fois ça loupe, de façon plutôt amusante.

Encore une fois, comme pour Azumanga, il n’y a pas qu’un ou deux héros, mais plusieurs. On suit en fait les tribulations de toute une classe (et de quelques camarades hors de celle-ci parfois) et il faut bien admettre que chaque personnage est plutôt attachant, sans tomber dans un quelconque stéréotype. La force de SR réside dans ses personnages originaux et ses petites histoires qui permettront de mieux s’attacher à toute cette classe de lycéens.

La série tire quelques scènes pleines de références, comme cette course poursuite à vélo où Tenma et Karasuma-kun grillent sans problème la Trueno 86 de Takumi dans Initial D, je ne parle même pas d’autres hommages à Matrix ou Battle Royale… Ces passages sont toutefois assez rares pour surprendre le téléspectateur et être appréciés à leur juste valeur.

Pour le moment, la série est composée d’une bonne poignée de Mangas (12 à l’heure actuelle), qui ne sont toujours pas terminés. La série animée est néanmoins très bien, et vous réjouira pendant 2 saisons de 26 épisodes (la seconde est en cours de diffusion en ce moment.)

Si vous avez aimé Azumanga, nul doute que vous adorerez School Rumble. Pour ceux qui n’ont pas connu Azumanga Daioh, ce n’est pas grave. Enfin, si, mais pas pour l’appréciation totale de la série 🙂

Bref, si vous voulez une série légère qui détend, foncez de suite, School Rumble se dévore comme du pain sorti du four.

Anime Catch-Up – Mai 2006

J’ai décidé de faire un petit résumé des séries que je regarde en ce moment, déjà à un état bien avancé (une petite dizaine d’épisodes) et celles qui se sont terminées récemment. C’est parti pour un tour!

  • Disgaea : Ah, comment ne pas afficher ma déception devant cet anime? Le jeu était d’un humour ravageur, complètement second-degrétesque, Flonne et Etna étaient parfaites. Là, malgré un teaser en début de saison assez prometteur « Au nom de l’amour, je dois vous tuer!« , la série est en fait très plate, destinée aux enfants, et le scénario ne suit en rien ce qui se passe dans le jeu. Vous me direz que c’est tant mieux car ça promet des surprises, mais le scénario du jeu était simplement parfait, avec une fin terrible et des passages drôles et d’autres plus dramatiques. Bah, je verrai plus tard si ça s’améliore…
  • Fate Stay Night : L’aventure continue avec un épisode 20 un peu léger et un 21 avec un peu plus de punch, la série s’enchaine plutôt bien. Je n’ai pas joué au jeu, donc les surprises m’attendent encore, mais le tout est plutôt bien ficelé.
  • Full Metal Panic OAV – Un jour dans la vie de Tessa : Sublime, excellent, drôle, très drôle, un peu de ecchi (après tout, ça passe pas à la TV les OAV), le tout avec une réalisation soignée, vraiment du bon boulot de la part de Kyoto Animation. Dommage cependant, pas de Chidori à l’intérieur. Sinon c’est du FMP à 100%.
  • Joshikosei : Oui, je continue à regarder d’un oeil distrait quand ça sort. C’est le type même de l’anime popcorn qui se regarde sans trop se fouler. Faut quand même s’accrocher un peu, car ça repousse toutes les limites de fanservice que j’aie vu jusqu’à présent. Gainax a du mouron à se faire.

En parlant de Gainax justement, il se trouve qu’ils vont faire la nouvelle saison de Negima avec l’aide de SHAFT (REC, Mahoromatic, Konomini, et quelques autres trucs). J’ai hâte de voir ce que ça va donner.

  • Kashimashi : Faut que je récupère les derniers épisodes, visiblement ça a eu un bon succès au Japon cet anime, de ce que je me souviens avoir vu à Akiba.
  • Lemon Angel Project : J’ai lâche prise. La réalisation est pas terrible, et bien que le design soit réussi, j’arrive pas à suivre.
  • School Rumble S2 : Du pur bonheur en bâtonnets de 100kg. J’en veux encore, j’en veux encore, j’en veux encore. Je ferai un billet très bientôt sur la série, c’est promis.
  • You’re under arrest : Oui, entre temps je rattrape des séries que je n’avais jamais vues, et YUA est plutôt plaisant à regarder. Les premières OAV sont sublimes, le film est bien mais sans plus, la première saison est très laide (surtout très vieille) graphiquement, et la seconde saison est plutôt sympathique. Ca c’est du résumé hein? Non, ce que je regrette surtout c’est que quand même, entre la première et seconde saison, l’histoire avance de quelques années (la lycéenne Saori devient policière au début de la saison2) et RIEN ne se passe entre Miyuki et Ken pendant ce temps… argh!
  • Soul Link : En fait, le début était très fade. Oui, super fade même. Lent, inintéressant, du Stellvia en moins coloré. Et puis en fait, tout a été mis en place pour un bon thriller spatial, et l’histoire avance convenablement d’un épisode à l’autre. Je me demande néanmoins si ça va durer sur 26 épisodes ou simplement 13-14. Pour le moment, c’est un bon trip qu’on nous offre, loin de l’atmosphère légère de Shuffle!
  • Strawberry Panic : Je sais pas, ça doit pas être mon genre d’anime même si j’aime bien le concept. C’est juste… et puis la réalisation fait vachement datée quand même. J’ai quand même remarqué un truc marrant: il n’y a AUCUN personnage masculin dans la série.
  • Suzuka : Oui, la fin de Suzuka date un petit peu beaucoup mais je ne me souviens plus trop si j’en ai parlé ici. L’anime a une fin en soi, un peu décevante, car elle laisse sur sa fin. C’est le jeu de tous les animes sentimentaux de toutes façons. Love Hina, Ai Yori Aoshi… on ne verra jamais leur fin en anime. Pour ça il faut lire le manga. J’ai le droit de dire que c’est n’importe quoi?
  • Yakitate Japan! : En fait passé l’arc de la Coupe de Monaco, la série devient un peu beaucoup énormément très très répétitive. Je ne dis pas que les auteurs font de leur mieux pour nous pondre quelque chose de nouveau chaque fois, mais il y a quand même un certain motif dans tous les épisodes qui se répète comme un épisode de Detective Conan. Oui, vous avez saisi l’idée. Ceci dit, ça reste toujours agréable à regarder et on laisse échapper quelques sourires à certains moments.
  • Karin : Aaah, Karin. Une série que j’ai trouvée vraiment sympathique et agréable à regarder. La fin ne m’a pas déçu: elle était juste. L’anime étant assez léger et se moquant de lui-même par endroits, ça se ressent toujours à la fin et on a pas un énorme tournant vers les 3 ou 4 derniers épisodes. Du tout bon donc.
  • To Heart 2 : J’ai a peine commencé. Si vous n’avez pas aimé To Heart premier du nom, passez votre chemin immédiatement. C’est la même chose sauf qu’on change l’année de production, la réalisation et les personnages. Exit Akari, et place à deux amies d’enfance du héros. Rien ne remplacera quand même Akari et Hiroyuki. Surtout Hiroyuki, en fait. Il était tout simplement terrible dans To Heart. Bon là par contre les « atouts » de Tamaki sont pour le moins… attrayants. Je continue à regarder doucement.
  • The Melancholy of Haruhi Suzumiya : Et je garde le meilleur pour la fin. Que dis-je le meilleur, la plus grande surprise de cette année, incontestablement. Tout dans cette série, de la réalisation au concept, en passant par le design, l’histoire et les personnages, est bien foutu. Une fois tout en place, j’ai jamais vu un anime marrier aussi bien la vie à l’école, l’humour et la SF depuis Onegai Teacher, en fait. Du grand art, et pour une fois, l’anime rend justice au roman, que vous pouvez lire en anglais par là. Je vous le recommande chaudement d’ailleurs. Le pire, c’est que l’engouement pour cette série est assez inexplicable: ça doit être l’effet Haruhi, sans aucun doute. Moi en tous cas, je suis conquis, et je vous encourage à vous la procurer chez a.f.k. A noter que le groupe de fansub français Nerae a commencé avec le premier épisode déjà.

Fate Stay Night

Fate/Stay Night est l’un des derniers jeux du studio TYPE-MOON à qui l’on doit notamment Tsukihime.

FSN est donc issu d’un jeu hentai , tout comme Tsukihime, mais doté d’une histoire profonde et pleine de magie. Les fans de TYPE-MOON ne seront pas déçus du voyage:

En gros, tous les dix ans, une guerre pour le Saint Graal occupe sept magiciens, qui font appel à des Servants, sortes d’esprits de héros défunts pour les aider à obtenir le Saint Graal tant convoité, qui permet d’exaucer n’importe quel voeu.

Il y a tout un tas de régles, ce qui rend cette grande bataille assez intéressante.

L’histoire se focalise sur Shirou et Rin, deux jeunes qui vont s’allier par la force des choses afin de battre les 5 autres magiciens et leurs Servants. Shirou obtiendra l’aide de Saber, la plus puissante, qu’il aura invoqué sans vraiment savoir comment, et Rin aura Archer.

Chaque esprit, qui possède un corps matériel une fois invoqué, est en fait issu d’un héros légendaire (je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler) et qui reflète bien leurs capacités. Ainsi, Saber se bat essentiellement avec une épée invisible, en robe et armure, par exemple. Ils affronteront des servants comme Assassin, Caster, Lancer…

Bref, tout y est pour une sorte de Battle Royale entre Masters et Servants. Si on ajoute à cela une animation plus que correcte, des designs qui poutrent et une ambiance très magie et esprits, on obtient un anime sérieux mais agréable à regarder.

Bien évidemment les scènes H du jeu ont été brillament « oubliées » ou un peu « masquées ». Il faut savoir par exemple que pour recharger la mana de Saber, Shirou doit coucher avec… 🙂

Comme vous aurez pu le voir sur les photos de mon voyage J’ai acheté une Saber en figurine, 1/6, super belle de surcroit.

Si on ajoute à cela le fait que Saber est doublée par une trés sérieuse et très dangereuse Ayako Kawasumi-sama, je ne pouvais pas rester de marbre devant une telle série 😛

Un très bon cocktail en tous cas si vous aimez les histoires un tant soit peu sérieuses avec leur lots de surprises et rebondissements.

Cliquez sur l’image pour l’avoir en grand 🙂

La mélancolie de Haruhi Suzumiya – vidéos

Un petit tour des vidéos YouTube sur Haruhi Suzumiya 🙂

Haruhi Suzumiya no yuutsu

Attention, héroine qui poutre spotted!

Littéralement « La mélancholie de Haruhi Suzumiya », c’est le genre de série que l’on aime principalement pour ses personnages, plus que pour son histoire (qui pour l’instant est quasi inexistante.)

Oui, vous aimerez Haruhi Suzumiya, vous voterez pour elle, vous l’idolatrez, que dis-je, vous rejoindrez son club, la SOS Brigade!

ahem…

Voici Haruhi Suzumiya. Lycéenne de son état, cette jeune fille n’a absolument aucun ami. D’ailleurs, elle s’en fout, elle n’en cherche pas. Les humains normaux ne l’intéressent pas.

Son arrogance, sa tyrannie et sa détermination n’ont pas d’égal à ce jour, ce qui en fait un personnage réellement unique, loin de tous les stéréotypes d’héroines d’anime.

Par où commencer? Le premier épisode est assez étrange, il s’agit d’un film d’étudiant réalisé par Haruhi, et c’est, comment dire… très mauvais. On pourrait penser qu’avec ce regard, Haruhi réussit tout ce qu’elle entreprend, bah non. C’est mal filmé, avec une caméra qui tremble, des effets spéciaux à 100 yen, des éclairages de pacotilles, et des acteurs qui oublient leurs lignes. Ceci dit, avec les commentaires de Kyon, le personnage principal masculin, c’est tout simplement énorme.

Non, la série débute vraiment à l’épisode 2, où Kyon arrive à être ami avec Haruhi avec un peu de persévérance, après avoir réalisé qu’elle change de coiffure chaque jour de la semaine… Une belle eccentrique.

Comme je le disais, ce qui rend cette série unique, c’est Haruhi, son caractère détonnant, sa détermination, son génie, et surtout, sa méchanceté. 😛

Elle n’hésitera à aucun moment à faire chanter le président du club informatique, à kidnapperconvaincre une étudiante pour la faire rentrer dans son club, à presque tuer Kyon à coup de bureau, ou à cosplayer en bunny girl pour attirer du monde dans son club, la SOS Brigade.

Que fait la SOS Brigade? Une très bonne question que voilà. Vous le saurez en regardant les épisodes… 🙂

Haruhi Suzumiya no Yuuutsu est définitivement LA série de cette saison. originale, bien réalisée (merci à Kyoto Animation, pleine d’énergie, et surtout dotée d’un humour vraiment excellent à tous points de vue. La pauvre Mikuru, molestée par Haruhi m’a fait exploser de rire avec son « If I get ruined for marriage, will you take me? » au héros qui c’est senti bien désemparé devant tant de moé attitude.

Niveau ecchi, c’est du très bon dosage. Juste ce qu’il faut pour pas que ça soit indigeste (genre, pas comme Joshikosei)

A voir, absolument. L’opening et l’ending sont également tout bonnement excellents avec une danse vraiment sympa 🙂

Oh, et pour les intéressés, un projet de traduction des romans est en cours, sur un Wiki.

EDIT: Aprés avoir vu les épisodes 3 et 4, je ne saurais que recommander cette série aux amateurs de science-fiction, ça promet énormément!

Strawberry Panic

Cette année, c’est l’année du yuri. Les scénaristes se lâchent, et ça se ressent énormément en cette saison printanière d’anime.

J’en veux pour preuve Joshikosei ou bien encore Simoun. Mais la meilleure preuve de toutes, ça reste quand même Strawberry Panic.

Sous ce nom qui ne veut absolument rien dire vis-à-vis de l’histoire (jusqu’ici en tous cas, peut-être que ça aura une signification particulière plus tard). On sait juste que Nagisa est une jeune fille un peu perdue et un peu trop innocente, qui entre dans une école pour filles. Cette école pour filles, très catholique (tiens ça ne vous rappelle pas un Maria-sama ga miteru, littéralement La vierge Marie nous regarde ?) est située sur un campus regroupant deux autres écoles, toutes aussi pour filles, et tout aussi catholique que la première.

Jusque-là, c’est une resucée totale de Marimite, mais le pire (ou la cerise sur le gateau, selon votre point de vue 🙂 ) c’est qu’ils poussent l’aspet yuri encore plus loin, et avec encore plus de force. J’en veux pour preuve la coqueluche de l’école où Nagisa entre, Etoile, qui s’amuse visiblement et embrasser, plus ou moins de force, des jeunes filles qui lui plaisent. Et évidemment, la pauvre Nagisa en fait les frais. C’est sans compter évidemment sur sa copine de chambrée, doublée par Ai Shimizu (Minawa dans Mahoromatic) qui a l’air d’en pincer aussi pour elle.

En clair, Strawberry Panic est un Marimite boosté aux phéromones yuri. Avis aux amateurs… 🙂

Joshikosei – High school girls

Sous ce nom simple et peu évocateur, se cache en fait la plus grande débauche de fanservice que j’ai pu voir ces dernières années. A un tel point que cet anime est capable de rivaliser avec des pointures comme Agent Aika ou Green Green.

Je m’explique.

Joshikosei, littéralement « lycéennes » nous conte les péripéties quotidienne d’un groupe de 3 amies, qui vont en rencontrer un autre (groupe de 3) dans un lycée pour filles. Toutes ces filles ont un point en commun: elles quittent le collège et entrent dans la vie trépidante du lycée. Rien de bien excitant me direz vous… Or, c’est sans compter sur l’humour, clé de voute de l’anime, et sur le fanservice, qui sert de dalle porteuse.

Le fanservice, dans joshikosei, ça se résume à ça:

et ça:

Maintenant que j’ai capté toute votre attention, je vais pouvoir continuer 😛

D’après les premiers screens et trailers que j’ai pu voir, je me suis dit alors que c’était surement un anime pour moi. une AxelTesserie comme dirait ce cher Corsaire. Cependant, je dois admettre que, bien que le design des persos, et le dessin, soient tout ce qu’il y a de plus agréables à regarder, et même si le casting des doubleuses a été plus que bien choisi, je dois bien admettre que toute cette surpuissance de fanservice me fait presque me demander si c’est une série pour garçons ou pour filles à la base. Difficile à cerner!

Ceci dit, ça reste agréable à regarder pour le moment, léger, et avec des personnages assez attachants. Une des bonnes sorties de cette saison.

Soul Link

Soul Link est un anime tiré d’un H-Game des mêmes auteurs que pour SHUFFLE!.

A première vue, ils ‘agit d’une histoire toute banale se déroulant dans l’espace, avec en prime une base militaire. Oui, c’est de la repompe de Stellvia a première vue. Et ça se confirme quelque peu avec le premier épisode. Vous pouvez mélanger à ça des designs assez quelconques (au moins Shuffle était plus coloré) et des CG ici font assez pitié.

Au moins, j’aime leurs uniformes 🙂

(vous pouvez cliquer sur l’image pour l’avoir en grand)

Ah, l’histoire? Oh, un peu trop vague à raconter pour le moment: on sait juste que l’héroine, et le héros, se retrouvent sur une station orbitale pour y effectuer leur service militaire. Il semble y avoir un truc louche qui se trame en arrière plan, et nos deux héros vont retrouver quelques uns de leurs amis sur place.

Visuellement peu convaincant, bourré de clichés (la sortie de la douche… sérieux…), la série m’a un peu déçu, car je m’attendais à un space opera comme on en fait plus, mais laissons le temps à la série de se dévoiler. Ce genre d’animes se déguste bien souvent à long terme…