Catégorie :Anime

L’immeuble d’en face

L’immeuble d’en face est une autre production de Vanyda, et sa petite équipe, qui a réalisé également L’année du Dragon dont j’ai parlé dans un précédent billet. C’est encore grâce à Morgan que j’ai pu découvrir cette petite BD en noir et blanc.

L’histoire, c’est… ah non attendez, en fait il n’y en a pas: L’immeuble d’en Face, n’est rien de plus qu’un recueil de petites histoires retraçant la vie quotidienne de quelques personnes vivant au sein d’un immeuble: on y trouve un couple de vieux, une mère seule et son gamin, un couple de plus jeunes… On y voit donc toutes les tranches d’age et on découvre leur vie qui se mèle et se démèle au fur et à mesure.

Bien que plaisant à lire, la découpe des histoires laisse surtout filtrer un certain manque de cohésion, et arrivés à la fin, on regrette un peu qu’il n’y ait pas une histoire de contée. En même temps, c’est un peu le but du bouquin: relater l’histoire de la vie d’un immeuble, mais que voulez-vous… C’est comme ça que je préfère les choses 🙂 Ceci dit, on s’attache tout de même aux différents protagonistes. Il parait qu’un volume 2 est en cours, je crois…

Si vous aimez les BD un tant soit peu originales et plutôt modernes, jetez-y un oeil, c’est plutôt sympathique dans son ensemble, même si ça ne remplacera pas un bon vieux manga. (vite, des sous que je puisse acheter les dernières sorties Pika et autres, comme Lui ou Rien volume 3 ^^)

L’année du dragon

Pas vraiment un manga, mais bon… 🙂

Oui bon il manque le titre, mais j’aime assez l’illustration.

Cette BD m’a été offerte dans son intégralité (3 tomes) par un ami (Morgan) le jour du nouvel an, et je dois avouer que, n’étant pas trop fan de BD dû à leur format trop grand pour moi, j’ai été plutôt séduit par l’histoire relativement simple mais intéressante à suivre. Avec un langage très jeune et un humour parfois piquant, parfois imagé, L’année du Dragon se caractérise avant tout par un style clairement inspiré du manga. Sans le recopier de façon ridicule, et sans tomber dans des tonnes de clichés juste pour attirer le chaland, les deux auteurs ont un style bien a eux, et les petits clins d’oeils à l’Asie ne manquent pas (rien que Mononoke Hime au ciné…)

Au niveau histoire, il est difficile d’en parler, car on suit en fait un moment de vie difficile d’un jeune homme nommé Franck, qui galère de boulot en boulot, et aussi dans sa vie amoureuse. Seule la fin m’a laissé un peu de marbre, mais toute la lecture était vraiment sympathique, et on arrive très bien à s’imprégner des personnages.

C’est donc clairement rafraichissant par rapport à mes lectures habituelles, preuve en est que j’ai dévoré les trois tomes très rapidement,

En tous cas Momo, si tu as d’autres lectures comme ça, n’hésite pas 😛

Lui ou rien! – Zettai Kareshi

Yuu Watase ne cessera jamais de m’étonner. Chaque fois qu’un de ses manga sort, je me dis toujours « Bah, c’est du Shoujo (manga pour filles) » et puis en fait, le coup de crayon, l’histoire, les personnages, rendent le tout tellement attachant qu’on a du mal à s’en séparer une fois qu’on a commencé à le lire. S’il y a bien un auteur dont j’achèterais n’importe quel bouquin les yeux fermés, c’est bien elle.

Zettai Kareshi, donc, traduit plus ou moins bizarrement par « Lui ou rien » par Kana, l’éditeur français, nous plonge dans la vie d’une fille assez banale, Rikko (galerie de portraits ci-dessous) qui a la particularité de se faire jeter par n’importe quel mec avec qui elle veut sortir (mais je comprends pas, moi, une fille comme ça, je sors avec direct…)

Seulement voilà, un jour elle retrouve le portable d’un vendeur bizarre, le lui rend, et pour la remercier, lui offre un passe pour un site web bizarre, le « Lover Shop » où on peut commander son petit ami idéal. Rikko n’y croit pas une seconde, fait la folle, ajoute plein d’options et commande un modèle Nighty pour un essai gratuit de 3 jours (super promo).

Le lendemain, il arrive, et forcément, après la panique, elle s’y attache… Premier problème: elle doit le rendre dans trois jours. Second problème, c’est un modèle Night, qui est donc fait pour fonctionner la nuit… vous voyez ce que je veux dire hein? Oui, le premier truc qu’il fait c’est essayer de lui faire l’amour, a la pauvre jeune fille qui n’est jamais vraiment sortie avec un type avant et qui en plus croit au romantisme pur et dur. Vous alllez vous dire qu’il va quand même se la faire, hé bien non. « Night » comme elle l’a nommé, est un petit ami parfait après tout, et se retiendra pour elle.

J’en entends au loin déjà penser que Yuu Watase nous pond un clone de Chobits ou Hand Maid May au masculin, mais en fait il n’en est absolument rien, contrairement à mes peurs. Yuu Watase a parfaitement réussi a éviter le cliché et nous livre une histoire assez touchante. Classique mais touchante. Disons que comme d’habitude, l’héroine choisie par l’auteur, à mi chemin entre Tampoko de Imadoki et Aya de Ayashi no Ceres (ça reste un avis personnel), Rikko est plus mignonne que sexy, voire même naïve avec son envie de romantisme si fort.

Voilà donc Rikko, qui va devoir faire avec Night, payer sa dette envers la societé à qui elle l’a acheté (ah ben oui, c’est pas donné ces petites bêtes) et faire face à de nombreux autres obstacles… Mais je vous laisse la surprise 🙂

Un fansite plutôt bien foutu où j’ai récupéré quelques images: Zettai Kareshi

Cliquez sur « Lire la suite » pour voir quelques extraits du manga.

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Karin

Mes animes actuels se résumant à peau de chagrin (Mai Otome, Yakitate Japan!, et Suzuka), il fallait bien que je trouve quelque chose de potable dans la nouvelle saison. Et c’est chose faite avec Karin, qui a défaut d’être excellent, reste assez drôle et mignon juste comme il faut;

Karin est très malchanceuse. Elle est issue d’une famille de vampires qui a immigré au Japon. Son gros problème, c’est qu’elle n’est pas tout à fait vampire… Elle vit le jour, elle ne craint ni l’ail, ni l’argent, ni les croix, ni l’eau, et pourtant… pourtant, elle a besoin de sang aussi.

C’est très dur pour elle en temps normal, et voilà qu’en plus un nouveau fait son apparition à l’école. Rien qu’en croisant son regard, Karin s’évanouit. Elle découvrira très rapidement qu’il y a quelque chose, chez lui et chez la mère du type, qui l’attire, qui voudrait les mordre, mais quoi…?

Sous cet aspect un peu sombre, l’anime s’en sort agréablement avec des petits moments comiques, une héroine assez kawaii, et des personnages facilement reconnaissables. Pour l’instant peu d’épisodes sont sortis et il est difficile de bien cerner l’intrigue principale, mais j’ai l’impression que malgré ses airs humoristiques, la série va devenir bien ténébreux sur la fin. Nous verrons bien! En attendant, vous pouvez y aller, ce n’est même pas ecchi en plus.

Petites reviews Anime

Etant donné l’activité proliférante (erm) des fansubbers en ce moment, j’ai décidé de commenter un peu l’avancement de certaines séries que je regarde encore, ou que j’ai lâchées. Après tout, les premières impressions c’est bien mais ça ne fait pas tout.

Amaenaide yo!

Plutôt déçu par cette série qui s’annonçait assez marrante et ecchi comme il le falait. Finalement les persons sont tous sans profondeur, et l’humour est très lourd à force. C’est dommage, un peu de varietés aurait été bien. Il faut quand même avoir vu au moins le premier épisode pour ne pas mourir idiot.

Okusama wa joshikusei

« Ma femme est une lycéenne » m’a laissé la même impression que Amaenaide yo! de ne pas aller suffisament en profondeur. On ne sait même pas comment les deux protagonistes se sont rencontrés et en sont arrivés à leur situation, et le découpage de chaque épisode, en deux petites histoires, rend le tout très saccadé et pas très intéressant. Ca a très bien marché pour Full Metal Panic Fumoffu, mais pour Ichigo 100% et Okusama wa joshikusei, c’est plutôt raté. Réellement dommage, je suis sûr que la série a un bon potentiel en manga.

Ichigo 100% OAVs

Alors là, c’est peut-être la plus grosse déception. C’est à se demander ce qui peut bien passer par la tête des gens chez Madhouse. Les 3 premières OAVs suivaient plutôt bien le manga et apportaient chacun leur petit plus à l’histoire, même tout petit. Par contre les deux dernières, à part introduire Kozue dans l’histoire, elles n’apportent strictement rien, et se permettent même d’être tout bonnement ridicules en ne suivant pas le mangas (L’OAV 5 est royalement médiocre)

Suzuka

Bon, ne soyons pas déçus par tout, il y a quand même Suzuka qui reste un anime plutôt sympa et sentimental, sans être lent à mourir. Je trouve juste dommage que Yamato soit un sale petit con qui n’y connait rien aux filles.

Yakitate Japan!

Toujours aussi bon, toujours aussi fort, toujours aussi doux et croustillant. L’épisode 45 se paye même le luxe d’être un peu ecchi, que du bonheur en boite. A noter que le manga est sorti en France ce mois-ci

Karin

J’en parlerai lors d’un prochain billet avec des screens. C’est une petite série qui a l’air fort sympathique au demeurant 🙂

Voilà pour le résumé des séries en cours 🙂

Megatokyo – I’m in love again.

J’avais délaissé Megatokyo il y a environ 1 an. A l’époque, l’histoire qui se barrait dans tous les sens et n’avançait pas m’avait laissé de marbre. Aujourd’hui, devant l’ennui général de mon boulot, je me suis permis de me replonger un peu dedans. Et je n’ai pas été déçu.

Megatokyo (site officiel, version française est un Webcomic (en gros un manga online) qui parait a peu près toutes les semaines. Au début, c’était bourré de références jeu vidéo et anime. Il fallait être initié, mais l’humour de Largo était quand même terrible.

Puis, Largo est parti un an après le début de Megatokyo, laissant le dessinateur, Piro, seul assume et continue l’histoire, tournant petit a petit à l’eau de rose, tout en restant un tant soit peu humoristique.

J’ai beaucoup aimé l’histoire et les nombreux personnages. Le problème principal que je reprochais, et reproche toujours, c’est de ne pas trop avancer. Une semaine, c’est long pour un bout d’histoire sur une page, surtout quand ça ne fait pas avancer l’intrigue qui nous tient à coeur.

A part ça, on se demande quand et comment ça va se terminer. Entre Largo qui délire complètement, Piro qui a trop du mal avec les filles, Erika au passé trouble…

Le dessin est très agréable, ce qui est un plus indéniable.

Bref, Megatokyo, on aime ou on aime pas, mais commencez à lire depuis le début, c’est un excellent passe-temps et le format est agréable à lire, adapté à un écran d’ordi.

Mahou Sensei Negima / Magister Negi

Mahou Sensei Negima est la dernière oeuvre en date de Ken Akamatsu, auteur entre autres de Love Hina et Ai ga tomaranai (connu comme AI Non Stop chez nous, voir mon précédent billet à ce sujet), nous gratifie encore une fois d’une comédie haute en couleurs avec des vrais morceaux de ecchi dedans. Sans blague, vous vous attendiez à autre chose d’autre de la part de Akamatsu-sensei? Moi pas.

L’histoire en gros, c’est celle du petit Negi, 10-11 ans (dans ces eaux là) qui est un jeune magicien tout juste sorti de l’école. Il va devoir faire un stage de fin d’année en tant que professeur dans une école japonaise, à l’école Mahora (a une lettre près, c’est dommage, ça aurait fait Mahoro.) Il ne faudra toutefois pas qu’il révèle ses pouvoirs magiques.

A partir de ce constat, auquel on associe immédiatement l’idée de Harry Potter, en fait on change bien vite d’avis: ça n’a rien à voir.

Negi va donc être prof dans une école de filles, et pas dans n’importe quelle classe. Ca sera celle des 2-A, qui sont on va le dire, pas super doués niveau études. Les filles ont dans les 15 ans, ce qui bien sûr, va handicapper notre petit Negi pour faire ses cours (mais bon, elles, elles le trouvent mignon et s’occupent bien de lui, la chance qu’il a 🙂

Car, manga de Ken Akamatsu oblige, on se retrouve confronté à non pas 3, non pas 5, mais bien une trentaine d’anime girls toutes plus kawaii les unes que les autres, et chacune avec un caractère plus particulier. C’est là que le génie du design de Akamatsu fait toute sa lumière. Contrairement à l’histoire, les persos sont très attachants, et à défaut de retenir tous leurs noms, on va rapidement savoir qui parle de qui.

Un héros ne serait rien sans héroine, ceci dit, et c’est la jeune Asuna qui va remplir ce rôle. Orpheline, énergique, qui fait un petit boulot de livreuse de journaux tous les matins avant les cours, qui va s’occuper de Negi et l’héberger dans sa chambre, avec son autre collocataire. (Quelle chance :P)

A tous les deux, et à toute la classe en général, il va arriver des tas de trucs dans le plus pur style Akamatsu. Sans se prendre au sérieux, l’histoire ne va pas bouger d’un iota avant la fin, comme d’habitude, et ce n’est pas la pseudo jeune vampiresse qui va inquiéter Negi. Bref, niveau pure trame scénaristique, on repassera, Negima est un anime/manga qui se suit tranquillement.

C’est du Akamatsu, on aime ou on aime pas, mais ça se laisse lire sans broncher, pour moi en tous cas. Oui bon faut aimer les plans culotte mais on commence à avoir l’habitude, depuis Love Hina…

Mai Otome

Mai Otome vient de débuter au japon, et est une série inspirée de l’anime de l’an dernier, Mai Hime. Je dis inspirée car en fait, ce n’est pas du tout une sequelle mais on retrouve de nombreux personnages de Mai Hime, qui ne gardent que leur design de la précdente série. C’est néanmoins agréable de retrouver Natsuki ou Shizuru… voire même Mai, dans les épisodes suivants.

L’histoire, c’est un peu compliqué à définir pour le moment, mais l’ambiance est clairement là et originale. En gros on a l’héroine au pendentif mystérieux, enjouée mais pas chiante, et l’autre plus hautaine et sérieuse. Un duo qui va marcher, sans doute, si on compte les autres personnages plutôt sympathiques, les design agréables de Mai Hime aidant beaucoup au charme de la série. Notre héroine donc, décide de devenir une Otome, une sorte de soldat d’élite aux pouvoirs élémentaires puissants (comme le pouvoir des Hime en fait). Il y a également une histoire de princesse et de guerre contre des mechas.

Un peu comme beaucoup de séries, il est pour le moment difficile de savoir de quoi il en retourne après exactement un épisode. On a plus l’impression que le premier épisode a essayé de caser le plus de personnages possibles en son sein, sans clairement poser le décor. Espérons que ça s’améliorera.

A noter que la musique est encore assurée par Yuki Kajiura qui pour rappel nous a pondu les musiques de Hack Sign, Mai Hime, Noir, Madlax… Heureusement, Mai Hime et Mai Otome sont plutôt loin d’être aussi lents que les animes de Bee Train 🙂

Ah sinon, je vous ai mis un petit papier-peint fort sympathique. On en trouve énormément dans les magazines tels que Megami.

Full Metal Panic The Second Raid

C’est avec une très légère appréhension que je commençais, il y a quelques mois, Full metal Panic – The Second Raid (J’aime Wikipedia.) Que penser d’une série qui, lors de sa première saison, avait laissé une impression bonne mais pas top, notamment avec un rhythme d’intrigue sacadé et une action molassonne, puis lors de sa seconde saison, m’a totalement fait rire aux éclats à me rouler par terre? Fumoffu, la seconde saison, est de loin la meilleure considérée par les fans de la série, grâce à son humour décapant développant les passages hilarants de la première saison avec Sousuke à l’école.

En voyant la tête de l’opening, le ton était donné, ça allait être mechas et action à fond. Les deux premiers épisodes me l’ont en tous cas confirmé. Reste que la pillule est certainement bien mieux passée qu’en 2002 lors de la première saison, notamment grâce à une technique améliorée, et surtout parce que le studio d’animation chargé de The Second Raid est Kyoto Animation, le même que celui qui nous a pondu Fumoffu, contrairement à GONZO qui s’était chargé de la première saison. Et ça se sent tout de suite. C’est bon, c’est net, ça amuse, et c’est tout ce qu’on demande.

On a la le trio de héros de notre série. Je vais résumer vite fait pour les ignorants qui n’auraient pas encore goûté à la série:

Sousuke Sagara, jeune soldat oeuvrant au sein d’une équipe de mercenaires appellée Mithril, totalement indépendant d’aucun gouvernement, va être chargé de protéger la jeune et jolie Chidori Kaname (à gauche). Cette dernière serait en effet la cible d’un kidnapping de la part du KGB, mais ça, on ne sait pas encore pourquoi (et je vous rassure, on le découvre assez vite.)

Jusque là pas de soucis, Sousuke, sa supérieure sexy Melissa Mao et son collègue ladykiller Kurz Weber (heureusement que ses talents de dragueur sont inversement proportionnels à ses talents de sniper) vont tous trois partir en mission au Japon pour protéger Chidori à coup de micros cachés, de filature, et, pour mieux la protéger, d’un transfert arrangé de Sousuke en tant que lycéen dans l’école de Chidori.

Mais le hic, c’est que Sousuke n’est pas du tout fait pour la société japonaise. Ayant grandi parmi les champs de batailles au moyen-orient, et une fois lâché dans la nature au Japon, il se débrouille TRES mal. Sortant son flingue à tout va chaque fois qu’il croit Chidori menacée alors que ce n’est pas le cas, il va vite se faire taper sur les doigts et Chidori va le prendre pour un débile profond très rapidement.

Mais, comme vous vous en doutez, arrivera le moment où Sousuke va se rendre très utile, lorsque Chidori sera effectivement menacée. L’humour principal de la série vient du décalage permanent entre comment Sousuke se comporte en société, tel un alien en milieu hostile. Là où c’est encore plus drôle, c’est à quel point cela est exaggéré dans Fumoffu, et chaque épisode est un grand bol de rire.

Qui est la jeune fille à droite vous allez me demander? Hé bien il s’agit de Theresa Testarossa, communément appellée Tessa par les gens qui la connaissent. Cette jeune fille de 16 ans (comme Chidori et Sousuke) n’est ni plus ni moins que la capitaine du sous-marin d’où opére Sousuke, et bien qu’elle occupe un poste aussi important à un si jeune âge, elle est pourtant douce et frèle, mais terriblement déterminée. Son génie tactique en temps de crise donne des frissons dans le dos. Elle partage également le secret de Chidori…

Pour en revenir donc à The Second Raid, la série marche sur les traces de la première saison, sans pour autant sombrer dans le tout-action bien relou. On assistera à des scènes un peu plus « adultes » (pas exactement ce que vous pensez bande de pervers.) et vraiment très bien réalisées, ne serait-ce que l’angoisse de Chidori a l’idée d’être seule, la scène où elle tente de lui couper les cheveux, ou bien lorsque Sousuke rencontre une prostituée au look très familier (je n’en dis pas plus) à Hong-Kong.

Bref, la série surprend et bien, l’action est bonne, les épisodes filent trop vite, on a même droit à un peu de ecchi pour faire passer le tout. Non sérieusement, voilà une saison incontournable, même pour ceux qui n’ont pas aimé la première, car elle corrige bien ses défauts.

Ai tomaranai – Fin

Ai tomaranai est enfin terminé chez Pika editions. L’occasion pour moi de faire le point sur cette petite série de Akamatsu.

Comme d’habitude chez Akamatsu, on trouve énormément de remplissage au milieu de la série, puis ça se bouscule sur la fin. Fin un peu abrupte je dirais, car il aurait été plus agréable de savoir ce qu’il s’est passé un peu "après". Néanmoins, les derniers chapitres, avec notamment la petite rivale de Satie fort mignonne, et également la petite soeur de Hitoshi et son Ma-kun, fort sympathiques (on sent bien que ça le turlupine le Akamatsu, car la soeur victime d’un brother complex, on a revu ça déjà dans Love Hina)

Au final, j’ai bien aimé. Cependant c’est loin d’etre inoubliable, à cause de passages un peu longuets et d’histoires complètement loufoques dont j’ai un peu eu ma claque avec Love Hina, et qui ne font absolument rien avancer du tout. Les deux derniers volumes m’on quand même bien plu, j’ai donc eu raison de finir la série 🙂

Ichigo 100% – là c’est vraiment la fin

Je suis outré.

J’ai fini de lire les volumes 17 et 18 (dans un anglais approximatif mais suffisant pour calmer ma soif), et je suis tout simplement outré de la fin de Ichigo 100%. Je me permets ici d’agir en fanboy extrèmement vexé, mais bon, compte tenu de comment je m’étais impliqué dans l’histoire et comment l’auteur asu nous tenir en haleine pendant 18 volumes, en montrant bien que Manaka avait des chances a peu près égales avec toutes les filles, je suis tout simplement indigné du choix de Manaka à la fin.

Ceci dit, c’était un très bon manga quand même, je ne regrette pas de l’avoir lu du tout. Et s’il sort en France, c’est sûr il attérit dans ma bibliothèque. Mais là… là… j’suis déçu quand même -_-;

Surtout que la personne qu’il a choisi pourtant était clairement celle qu’on voyait le moins, avec laquelle il avait le moins d’affinités (à mon avis) et qui faisait le moins d’efforts pour lui plaire.

Snif.

Bon si vous voulez voir, je vous spoile pas, mais il vous suffira de cliquer sur « Lire la suite » pour voir l’image qui résume tout.

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