Catégorie :Jeux vidéo

The Movies

Ca faisait un p’tit moment que je lorgnais sur ce jeu, depuis son annonce en fait, il y a de cela 3 ans. Imaginez un peu: pouvoir gérer son studio de cinéma, ses stars, ses films, écrire ses scripts, tout ça. Peter Molyneux, a qui l’on doit de nombreux autres jeux de légende tels que Dungeon Keeper, Theme Hospital et Theme Park, entre autres, nous a promis monts et merveilles avec ce jeu. A-t-il tenu ses promesses? Voyons voir…

A l’allumage, outre le gros logo « Fonctionne bien sur Intel Pentium 4 et ATI » qu’on oubliera très vite tellement c’est hideux, on peut voir d’ors et déjà qu’une option En Ligne et Montage sont présentes. Ca s’annonce bien, ça veut dire que l’on peut créer ses films, les exporter dans un format lisible en dehors du jeu, et les diffuser sur le net.

Cat l’un des attraits de The Movies, c’est aussi son mode online, qui permet de diffuser ses films sur un site web spécial. Selon le succès de vos petits films, qui durent d’une à 5 minutes, selon le nombre de scènes, vous gagnerez des credits virtuels qui vous permettront de vous payer de nouveaux costumes, décors, et autres trucs sympa pour agrémenter vos futures oeuvres.

Niveau créativité, j’aime.

Passons tout de même au jeu lui-même:

Là, ça se déroule comme un thème hospital/park bien classique. On construit des batiments, on embauche du personnel trié sur le volet, on ménage son petit personnel en leur proposant des cures de désintox, des lifting, du relookage, en leur payant des caravanes… Bref, au niveau de la gestion des caprices de stars, il y aura de quoi faire.

Niveau personnel, vous trouverez donc des acteurs, des réalisateurs, des figurants, des équipes de tournage, des équipes de maintenance, des batisseurs, des scientifiques, et des auteurs de script. Tout ce petit monde va devoir bosser dans votre studio, et c’est déjà pas mal.

Comment se passe donc la réalisation d’un film? Ca suit en fait un procédé simple. – On donne un script à écrire à des auteurs, ou bien on écrit le notre (pas testé) – Une fois le script fini, on l’envoit au bureau de production, qui permet de réaliser le casting: on choisit un réalisateur, un ou des acteurs pour les rôles principaux, des figurants si beosin, et une équipe de tournage. A noter que l’humeur des acteurs, mais aussi leurs expériences dans d’autres films comptent. – Une fois le casting et la répétition terminée, on envoie le truc à tourner, et on peut voir les acteurs aller dans les décors faire leurs scènes. Si tout se passe bien, au bout d’un moment vous avez un film, que vous sortez, et qui est noté selon la qualité du script, de la réalisation, du tournage, des acteurs, tout ça quoi.

Ca parait simple mais des petits ennuis peuvent survenir pendant le tournage, et pour bien rentabiliser le temps, il faut avoir au minimum 2 films en production en même temps, ce qui occasionne parfois des retards de l’un car un décor est déjà occupé.

Les films sont divisés en plusieurs catégorie: action, comédie, horreur, science fiction, et amour.

Je ne vais pas parler de tout pour laisser la surprise, mais vous aurez de nombreux événements historiques et d’autres joeusetés pendant votre parcours, ainsi que des mini objectifs à accomplir (le jeu commence en 1925)

J’ai cependant oublié de parler de tout l’aspect humour. Un peu à la Dungeon Keeper, vous aurez une voix off (ici un animateur radio) qui ne cessera de lâcher des petits commentaires sympa, sans que ceux-ci ne se répetent de trop au fil du temps. Aussi, les noms des films, tels que « Les oiseaux se cachent morts de rire » ou « Bang bang t’es mort » ou encore « C’est laid une tortue! » ou bien « La petite prison dans la prairie », vous voleront quelques pouffement de rire lorsque vous les verrez.

Pour moi, c’est une bonne surprise, quoi que ça aurait pu être quelque peu mieux réalisé: ça a une allure de the sims sans toutefois le même panache visuel. Le jeu est cependant très fluide sur n’importe quelle config moderne.

A essayer donc, pour ceux qui aiment comme moi, pouvoir créer des choses avec un jeu. Aaaah, Stunt Island…

Tremblez, XBOX360 et PS3, voici la Polystation!

Pour ceux qui auraient loupé ce grand moment de télévision, j’ai nommé les premières années de Game One dont l’article sur Wikipedia résume très bien l’historique, voici le Level One de la Polystation.

Le Level One, c’est quoi? C’était une émission présentée par Marcus qui, pour nous chers téléspectateurs, faisait le premier (ou le deuxième selon les cas) niveau d’un jeu. Il nous racontait comment le jeu était et ce qu’il en pensait, tout en nous montrant ses possibilités. C’était ainsi super sympa de découvrir des jeux vus par un testeur pendant qu’il se débrouille à jouer pour nous.

Et un jour, ce dernier a ramené du maroc la Polystation. C’est quoi donc? Vous le verrez en regardant la vidéo d’environ 27 Mo qu’un téléspectateur a bien voulu encoder pour immortaliser ce moment (grâce à Infogrammes les archives de la chaîne ont été détruites malheureusement.)

La XBOX360 et la PS3 n’ont qu’à bien se tenir 🙂

Metal Gear Solid All Movies

Attention, le type qui a fait ça est un malade.

Sur ce site, vous trouverez toutes les séquences cinématiques de MGS 1 (version Gamecube) 2 et 3 (versions PS2) sous forme de fichiers de 600 Mo à mettre sur des CDs. Le tout forme une sorte de film, un peu décousu il faut bien l’admettre, mais où l’histoire du jeu est parfaitement regarde et compréhensible. Que du bonheur, en somme, que du bonheur. Attention vous allez avoir besoin de beaucoup de place sur votre disque dur, mais pour tout fan de la série, ça en vaut la peine!

Grand Theft Auto Liberty City Stories

…ou comment vous dire qu’une PSP, ça poutre quand même.

GTA LCS étant enfin sorti outre-atlantique, mais aussi outre-manche, je me suis procuré la version Royaume-Uni (donc européenne, donc compatible avec vos futurs petits copains qui prendront la version française le 2 Décembre. On notera que le jeu contient toutes les langues) sur le site Play.com pour seulement 45€.

Après plusieurs heures de jeu, de nombreuses morts, voitures bousillées, piétons écrasées, putes ramassées, je peux donner un verdict qui je pense s’approche de la réalité.

GTA est donc, premièrement, une claque technique. Pouvoir faire du GTA sur cette petite console, presque comme si c’était une PS2, c’est tout simplement bluffant. En fait, tous les défauts du jeu que je citerai après sont complètement gommés par cette jouissance fort agréable que procure le fait de pouvoir jouer à GTA pendant sa pause café.

On commence donc par ce qui fâche: l’histoire. Bien que neuve, elle se déroule quand même dans Liberty City, que l’on a bien connu dans GTA3 déjà. De ce fait, on mettra de côté l’excitation de découvrir une nouvelle ville et ses rues… Bon, Liberty City était quand même bien plus agréable à parcourir que San Andreas par exemple, ce qui atténue un peu ce point négatif…

Autre souci, les missions: elles sont un peu plates, sans être complètement ennuyeuses non plus. Les briefings sont toujours aussi fun, avec des dialogues entre pourris jusqu’à la moelle. Prendre ça au deuxième degré est bien évidemment nécessaire afin d’apprécier l’humour (noir) du jeu. Bref les missions, c’est rien que du déjà vu. D’un autre côté ça reste simple et efficace, contrairement à San Andreas qui offrait des objectifs bien plus complexes, mais parfois un peu chiants.

GTA reste GTA, et bien que l’originalité ne soit pas de mise dans cet épisode,^surtout dû au fait qu’on connaisse déjà la ville, le plaisir de pouvoir y jouer n’importe où, n’importe quand, à moto ou à bicyclette, et même à plusieurs, fait de GTA Liberty City Stories clairement un incontournable sur PSP. C’est à mon sens LA killer-app de la PSP, le jeu qui peut vous en faire acheter une, avec Lumines, et Wipeout. On commence enfin à voir débouler des jeux d’envergure.

Un petit mot sur le multi, que je n’ai pas encore pu tester: sachez que pour en profiter pleinement vous vous devez d’être plus que deux. Les terrains de jeux sont tellement grands qu’on peut passer un moment à se chercher si l’on est qu’à deux. Il y a une bonne diversité de modes de jeux, dont capture the limousine, deathmatch Free for all (chacun pour soi) ou en équipe, un king of the hill, ou encore un mode où l’un des joueurs pilote un tank et doit le garder le plus longtemps possible. Les autres joueurs étant armés eux de lance-roquettes, ce qui équilibre bie. Il y a en tout six modes de jeu multi, et j’ai réellement hâte de les tester.

Non franchement, je ne regrette pas mon achat, et Rockstar ne s’est pas foutu de notre gueule avec un GTA « comme sur PS2 ou presque » qui tient dans la main. A mon avis l’UMD doit être sacrément plein. A noter qu’on peut faire sa radio perso avec de la musique stockée sur le memory stick.

Que du bonheur pour les amateurs du genre 🙂

Résident Méchant 4

Resident evil 4 c’est un peu pour moi le dernier espoir sur lequel repose toute la série Resident Evil.

Ayant commencé avec le permier volet sur PSX, en jap s’il vous plaît (bon ok, j’ai vite arrêté pour trouver une version européenne) c’était l’âge d’or des acteurs qui faisaient des cinématiques excellentes, d’une maison abandonnée, close, et qui faisait affreusement penser à Alone In The Dark, sorti sur PC quelques années plus tôt. Capcom nous avait enfin sorti quelque chose d’autre qu’un jeu de baston, et RE a été très bien acceuilli parmi les jeunes adultes du public de la PSX, pour son ambiance gore, stressante, et pleine de rebondissements, au scénario léché, avec même plusieurs fins selon les gens qu’on arrivait à sauver, ou avec qui on jouait (Chris Redfield ou Jill Valentine).

Bref, comme d’hab, c’était le bon vieux temps.

Après 2 autres volets biens mais pas non plus extraordinaires (le 2 avait pas le même feeling, mais m’a quand même bien accroché, et le 3 je l’ai sitôt redonné une fois fini), et une multitude de jeux batards (Code Veronica, Dead Aim, et j’en passe) où Capcom s’est un petit peu foutu de notre gueule avec un gameplay repris presqu’intégralement, ou bien des side-stories pas très utiles, voilà qu’ils daignent nous gratifier d’un RE 4, un vrai, un pur, et avec de la mayo’.

Sorti sur GameCube il y a un moment déjà, Capcom nous le pond sur PS2, et c’est là que j’ai enfin pu m’y essayer.

Bon en gros, on joue Leon, un peu vieilli, mais toujours égal à lui même (bonne tête de vainqueur, en fait) et on se retrouve largué en plein milieu de l’europe de l’est, à chercher la fille du président, cette conne s’étant faite kidnapper et retenue prisonnière dans un village peuplé d’habitants bizarres. Pas zombis, non non, ils n’oseraient pas. Mais au comportement pour le moins étrange, et qui n’hésiteront pas à vous attaquer.

Ce qui surprend le plus, c’est le changement de jeu. Resident Evil devient un TPS. Un Third Person Shooter (jeu de tir à la troisième personne.) La maniabilité évidemment change avec, et on a un petit peu de mal à s’y habituer pendant la première heure de jeu. Après ça vient relativement tout seul, et le maniement de Leon se fait aisément. Bon d’accord c’est encore un peu rigide, mais ça ne serait pas un Resident Evil sinon… 🙂

J’ai joué un peu moins de 8 heures, et pour le moment ça progresse bien, c’est intéressant et ludique, diversifié et pas trop difficile. On est donc devant un bon jeu vidéo, sans aucun doute.

A tous ceux qui ont aimé les deux premiers Resident Evil, c’est bon, vous pouvez y aller, ça fait évoluer le genre sans pour autant le dénaturer. Entre ça et Soul Calibur 3, je suis content de mes nouvelles acquisitions sur PS2 moi 🙂

Katamari Damacy

Katamari Damacy (fiche Gamekult) est un concentré de délire japonais, qu’on aurait dû mal à imaginer être sorti d’un studio européen ou américain de jeu vidéo. Le concept du jeu en est lui-même tellement ridicule, tellement simple, mais tellement fun que n’importe qui peut accrocher tout de suite à ce grand bol d’air frais de jeu vidéo, dans un monde où les suites et concepts se succèdent sans une once d’originalité.

Lui, c’est le Roi du Cosmos, votre père. Par un excès de folie, et en jouant de la guitare comme un pied, il détruit les étoiles dans le ciel. Vite, il faut les reconstruire! Pas de problème: Le Roi va vous envoyer, vous le prince son fils, utiliser les katamari sur Terre pour faire de nouvelles étoiles. Pour les curieux, vous pouvez voir l’intro en cliquant sur ce lien

Un Katamari c’est une boule adhésive géante. Jusque là vous vous demandez encore ce qu’il va bien falloir faire avec ça… En fait c’est simple, il suffit juste de faire rouler la boule sur le maximum d’objets possibles, afin de la faire grossir. Alors ça commence avec un gomme, un crayon, des beignets, des poissons, puis ça continue avec des cuillères, fourchettes, des ours en peluche, de la boisson, et ,plus on grandit, plus on peut ramasser de choses: On ramasse des personnes, des voitures, des immeubles, des avions, des bateaux, des maisons…

Chaque niveau est constitué d’une épreuve, qui peut être soit atteindre un katamari d’une certaine taille en un certain temps, ou ramasser le plus de crabe ou d’oeufs, ou chopper la plus grosse vache du pré… Tout un programme.

Un extrait de gameplay ici.

Katamari Damacy est donc une énorme claque vidéo-ludique. Un concept incroyable, mais pourtant, ça marche: on accroche tout de suite, on s’amuse à entendre les cris poussés par les chats quand on les attrape… Voir une bestiole vous courir après du haut de vos 10 centimètres, pour ensuite s’enfuir quand vous revenez 5 minues plus tard avec un katamari de 1 mètre au bout des bras, c’est assez jouissif.

La durée de vie n’est certes pas énorme, car le jeu compte en réalité peu de niveau. Il vous tiendra en haleine pendant quelques heures ceci dit. Mais le plus fun, ça reste de jouer avec quelqu’un et de le regarder se dépatouiller avec les deux sticks analogiques qui permettent de contrôler le Prince et son Katamari

Non sérieusement, Katamari Damacy est un excellent jeu, quel dommage qu’il n’ait pas encore été édité en France, mais seulement aux Etats-Unis et au Japon pour le moment. A noter qu’une suite, « We Love Katamari Damacy » est également disponible.

Le jeu est également prévu sur PSP. Ca va donner :]

F.E.A.R.

(vous pouvez voir les commentaires d’autres personnes sur ce billet sur les forums du AXL’s Game Center)

Je viens à peine de commencer le jeu et déjà j’accroche bien.

Pour résumer, on fait partie d’une unité d’assaut type SWAT mais en plus bourrin, et le début du jeu, lent mais pas trop (on se ballade mais on ne tire pas beaucoup, enfin pas sur des ennemis. Néanmoins ça reste beaucoup plus dynamique que le début de DOOM 3 par exemple.)

Sur ce, c’est un excellent point car s’il y a bien un truc où DOOM 3 était mauvais, c’était tout de même la lenteur générale de l’action.

Comme je n’ai pas testé encore beaucoup le jeu, je ne peux pas encore parler du scénario, mais le gameplay, comme la technique, impressionne.

Au niveau du gameplay tout d’abord. On peut réaliser des petites actions fort bienvenues dans un FPS, comme se planquer derrière un mec et avancer tout doucement avant de lui filer un coup bien placé dans le dos ou derrière la tête, en général ça calme direct. Ensuite, il y a une touche SlowMotion, un peu à la Max Payne, permettant de ralentir le temps pour mieux viser et réaliser des actions.

Et là, la technique tue. En SlowMo, on voit les balles partir des fusils et laisser des trainées, les mecs cracher du sang et se tortiller de douleur. Ce n’est pas Soldier of Fortune, mais les combats sont violents, et jouissifs, rien que le bruit des armes, leur modèles, leur maniement… On peut également « viser » pour tirer plus précisément. Enfin, n’espérez pas faire des tirs à distance avec la mitraillette: le recul est plutôt bien géré et la disperssion vous fera vraiment mal viser.

Je n’ai pas encore parlé des graphismes, mais ça doit être ce qui impressionne le plus dans ce jeu au premier abord. C’est fin, beau, on a l’impression de jouer à un jeu tout droit sorti des demos de 3DMark. Ceci dit, DOOM 3 était déjà fort joli, mais faisait preuve d’une certaine plastique et rigidité dans ses décors et environnements. DOOM 3 jouait en fait beaucoup trop sur ses effets de lumière. Ici, on a d’autres effets, du feu, de la fumée, quelques jolis effets de lumière, de la physique… Tout y est au niveau de la technique.

Pour résumer, ça ressemble à ce qu’un jeu comme Chaser aurait dû être: l’utilisation d’armes contemporaines, des niveaux bien foutus, des ennemis avec une IA plutôt bonne (sans être transcendante, elle saura vous surprendre un peu)… bref, un FPS contemporain/futuriste comme on en fait plus du tout.

Ah oui, FEAR fait peur, cela va sans dire, mais les développeurs n’ont pas joué sur la surprise d’un ennemi qui arrive au coin d’un couloir comme on le voyait en permanence dans DOOM 3. Non, ici, on voit les ennemis avant, mais c’est d’autres choses qui attireront notre attention. Des visions, des objets qui bougent tout seuls, des rats, des bruits suspects… Du bonheur en boîte.

Config de test: Athlon 64 3200+ 1 Go de RAM Disque dur SATA pour stocker le jeu (il tient sur un DVD) Geforce 6800 GT 256 Mo en AGP 8x.

Détails? A fond. C’est pas exactement fluide (n’espérez pas 60 FPS quoi) mais parfaitement jouable. J’obtients une moyenne de 25 FPS avec les tous derniers drivers NVIDIA en beta (81.xx)

En faisant des tests, je n’ai pas trouvé de paramètres qui permettent d’augmenter drastiquement les FPS. J’ai donc tout laissé à fond.

La guerre des consoles

Vous trouverez sur ce lien une excellente animation flash qui parodie la dernière bataille + la fin de Final Fantasy 6 (le meilleur, sans conteste). Ah oui c’est en anglais mais bon, c’est tellement bourré de références que les plus nostalgiques apprécieront.

Flash mis à part, je n’ai pas trop pu mettre à jour le blog ces derniers temps à cause de problèmes avec les disques durs de Mahoro, et aussi à cause d’une formation constructeur a paris qui m’a bloqué toute la semaine.

Mais bon, la nouvelle saison d’animes arrive, et avec quelques séries fort intéressantes 🙂

Lumines – Le Tetris de la PSP?

Devant la relative pauvreté des sorties anime ces derniers temps (je ferai un billet sur Full Metal Panic TSR en temps et en heure) il faut bien que je m’occupe…

Assurément, il fallait un jeu de réflexion rapide, pas trop prise de tête, et surtotu à score sur la PSP. Sony l’a bien compris.

C’est là que Lumines entre en jeu.

Un peu comme Tetris au premier abord, Lumines est en fait loin du simple concept de Tetris.

Ici vous avez une aire de jeu vaste, mais aussi, des carrés de 4 blocs qui tombent. Ces 4 blocs sont de deux couleurs différentes, et le but du jeu est de faire des carrés de même couleur. Bien évident si vous faites par exemple un rectangle de 6 blocs, ça comptera comme deux carrés. Ainsi, il est possible de faire des combos vu que les blocs qui étaient au dessus tombent après que d’autres disparaissent.

Jusqu’ici, rien de bien folichon, si ce n’est que je n’ai pas parlé du plus important : la musique.

Une musique en effet assez electro/techno mais pas trop désagréable vous accompagnera tout au long de votre partie. Un bout de la musique tourne en effet en boucle jusqu’à ce que vous fassiez disparaître des carrés, ce qui a pour effet de faire continuer la musique de façon fluide. C’est assez bien foutu en fait…

A cela s’ajoute la méthode de disparition de vos carrés réalisés. Car une fois réalisés, ils ne disparaissent pas tout de suite, mais uniquement lorsque la « timeline », une ligne verticale qui passe de gauche à droite avec le timing d’un méthronome, fera disparaitre vos carrés en les touchant. Ainsi on peut réaliser de gros combos en faisant disparaître des dizaines de carrés par passage de la ligne, si on se débrouille bien.

Et là vous vous dites « C’est nul et la musique doit saouler au bout d’un moment. » Hé bien non: une fois une chanson terminée, on passe au stage suivant de façon rapide et transparente, pour continuer sur le jeu qu’on a encore entre les mains (en gros, le passage d’un stage à l’autre ne vide pas l’aire de jeu). Le passage d’un stage à l’autre change notamment les motifs des blocs (parfois c’est hardcore, on ne voit pas trop la différence pour certaines skins difficiles) mais la musique change également, les bruitages de vos déplacements aussi, et bien entendu, la vitesse de la timeline change selon la musique qui joue.

Voilà pour le principe du jeu.

Après, vous avez plusieurs modes de jeu: Challenge (ce que je viens d’expliquer), contre la montre, mode skin unique (au choix parmiles skins débloquées), mode puzzle (des formes à réaliser, c’est très dur), et mode versus, contre la console ou un autre joueur de Lumines muni d’une PSP et du jeu.

En somme, je dirais que le jeu est un incontournable de la PSP] pour ceux uqi sont allergiques aux jeux de caisse à savon (même is j’ai déjà craqué pour Wipeout). Lumines est surtout bien pour des parties rapides, comme Tetris quoi, en attendant dans une salle d’attente par exemple!

Full Metal Alchemist PS2

Mettons nous tout de suite d’accord: j’ai énormément aimé la série Full Metal Alchemist. De bout en bout on suit l’histoire avec beaucoup d’intêret, il n’y a que peu voir aucun flashback ennuyeux (symdrome des longues séries) et globalement, y’avait de tout: comédie, action, aventure, designs et réalisation soignée, bref que du bonheur.

Comme beaucoup de jeux à licence, on pouvait s’attendre au pire en voyant débarquer un jeu d’action-RPG sur PS2. Cependant, comme Square-Enix (à qui l’on doit, je le rappelle les Final Fantasy mais aussi quelques autres jeux bien sympathiques tel que Star Ocean 3).

A vrai dire, je suis assez déçu. Bien qu’ayant un début plutôt prometteur, mêlant des séquences en animation et des phases de jeu à la Kingdom Hearts, FMA est d’abord décevant sur le plan technique. En intérieur ça va, mais une fois sorti du train au début, les décors sont d’une pauvreté assez affligeante pour de la PS2. On se demande même si ce n’est pas un jeu PSX auquel on joue.

C’est d’autant plus dommage, car les combats et la modélisation des persos est plutôt bonne. L’animation est également plutôt bonne, et le début du jeu augure de bonnes choses concernant l’alchimie.

En résumé, je dirais que je n’ai pas trop accroché (les action-rpg c’est pas vraiment mon style non plus je dois dire) mais pour les fans, c’est sans conteste un bon jeu. Bien mais pas top. C’est sûr que quand on voit les adaptations récentes d’animes en jeux vidéos (Genre, allez, au hasard, mais totalement au hasard… Saint Seiya?) on aurait pu craindre le pire, mais non…

Le jeu n’est pour le moment pas disponible en France (ou même en Français)

A y est j’ai craqué.

Et oui, je suis tendance maintenant, car j’ai une PSP.

Quand on la prend dans ses mains pour la première fois, on est frappés par ce souci du design, qui lui donne une certaine noblesse. Un peu comme un iPod finalement. Bon d’accord on est un peu refroidi par le plastique de sous la console, mais globalement on peut se dire qu’elle est bien foutue à l’extérieur.

Contrairement à ce que je pensais, elle n’est pas très massive et tient bien dans les mains, sans être trop lourde. Du bonheur somme toute.

Je vais donc vous livrer mes impressions rapidement.

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Atelier Iris Eternal Mana FINI!

Ca y est, j’aurai pris mon temps mais j’aurai bouclé Atelier Iris Eternal Mana sur PS2. Après environ 115 heures de jeu, ce que j’estime être très bien, ce RPG m’a bien détendu.


Commençons par ce que j’ai apprécié:

  • Le graphisme haut en couleurs et plein de vie.
  • La réalisation old school mais suffisante.
  • Les voix
  • L’interface claire et simple.
  • La musique, vraiment sympa (ça m’est arrivé de fredonner certains morceaux 🙂 )
  • Les personnages NPC ou non très attachants.
  • Plein de trucs à collectionner! Des item en veux tu en voilà, des mix improbables viens-y j’en ai plein! Non vraiment c’est un réel plus.
  • Chaque perso a son utilié au combat

A côté de ça il y a quelques trucs qui m’ont dérangés.

  • Histoire sans grand intêret. Agréable à suivre mais on a déjà vu mieux, et beaucoup plus abouti
  • Peu de lieux différents à visiter. Le monde est assez petit.
  • Peu d’ennemis réellement différents.

Bref, je dirais que j’ai quand même bien apprécié mon périple dans le jeu. Certes c’était assez linéaire (mais bourré de sous-quêtes annexes) et un peu répétitif parfois (mais pas over désagréable), mais la maniabilité, la profondeur de choses annexes à faire rallongent considérablement la durée de vie.

Pas le meilleur RPG du siècle mais un très bon cru. Comme vous l’aurez compris, si j’avais un mot à la bouche pour qualifier Atelier Iris, ça serait agréable.

Un bon petit 16/20 🙂

Star Wars Knights of the Old Republic 2

KOTOR, premier du nom, était une petite révolution à l’époque. Imaginez! Un jeu d’aventure/RPG Star Wars, en plus de ça fait par des anciens de Bioware. Aucun doute, on a pas été trop déçus. Une interface un peu simplifiée mais plein de possibilités, des tas de caractéristiques, capacités et pouvoirs comme seuls les gens de Bioware en sont capables.

Après donc ce très bon KOTOR 1, voilà qu’ils nous remettent le couvert pour la suite…

Au premier abord, seulement, on a vraiment l’impression que ça sent le réchauffé. KOTOR 1 a bien marché, vite, faisons un 2, repenons le moteur du 1 intégralement, on y ajoute 2 ou 3 choses, on fait une nouvelle histoire… Non vraiment, ça serait plutôt un KOTOR 1.5 qu’on a là

Mais en même temps, une fois de retour dans le jeu, c’était tellement bon la première fois, qu’on oublie complètement qu’on vient d’acheter le jeu au prix fort alors que ça n’aurait pu être qu’un add-on. La sauce prend, on se met à retrouver les bons vieux réflexe de l’auto-pause, les pouvoirs de la Force, et les dilemnes de conversation pour avoir des points du côté lumineux ou obscur…

Ceux qui ont joué au 1 seront donc tout à fait dans leur élément, tellement même qu’ils sentiront les premières maps plutôt familières, comme la citadelle orbitale de Telos.

Pour ceux qui par contre n’y ont jamais joué, prenez un bon jeu d’aventure, saupoudrez ça d’une bonne dose de RPG avec deux fins différentes, des dialogues à choix très très multiples, des mini-jeux, plein d’items, de la personalisation d’items, une histoire pas trop linéaire, plein de persos…

Vous l’aurez deviné, tout fan de RPG qui se respecte se doit de posséder au moins KOTOR1. On dira que le 2 est en option.

Allez, un p’tit screen pour finir, voici Teri, mon avatar dans le jeu.

Atelier Iris: Eternal Mana

Ca faisait un moment que je vous avais pas bassiné avec un nouveau jeu, hein?

A vrai dire, je suis arrivé au dernier boss de La Pucelle Tactics et, très mal préparé (évidemment on me dit rien à moi!) j’ai sauvegardé là où il fallait pas, et je ne peux plus revenir en arrière pour faire le plein, et il y a un put1 de chemin long et peuplé de monstres avant le dernier boss.

En conclusion, je dirais: une vraie merde de boss de fin.

Mais revenons à Atelier Iris: Eternal Mana. Visiblement nouveau volet d’une longue série (un peu comme les Final Fantasy) mais n’ayant rien à voir avec les précédents, ce RPG de 2005, sorti aux US en Mai, frappe tout d’abord par sa beauté graphique jamais vue sur PS2. Et je ne parle pas de 3D, ici c’est uniquement de la 2D, et de la 2D très fine, qui ne pixelise pas et qui ne bave pas.

Je n’ai pas joué très longtemps, mais le début m’a bien plus. C’est leché, très bien doublé (voix japonaises ou américaines au choix) et la profondeur du jeu a l’air abyssale, grâce notamment à un concept, celui de l’Alchimie.

Oui, comme dans l’anime Full Metal Alchemist, vous allez pouvoir extraire des éléments des bouts de décor. Ca a l’air concept et ça l’est. Le système est vraiment sympa car après, vous pouvez lancer des sorts avec ces éléments…

Bref, pour l’instant je ne peux pas en dire plus, mais vous pouvez jeter un oeil à ces quelques screens, dans la suite de ce billet, si vous êtes intéressés.

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