Catégorie :Jeux vidéo

Guild Wars

Les superlatifs manquent pour qualifier ce jeu, de par son aventure énorme, sa beauté inégalée, son équilibre unique et son monde immersif.

Voici en tous cas Teri Sylpheel (moine)) et sa soeur Ianetom Sylpheel (envouteuse / elementaliste).

Avec les RafaL on est arrivés qu’à environ 40% de la carte globale du jeu, et encore, on est pas encore arrivés à faire du PvP (player vs player). Pour le moment c’est juste de l’exploration…

Guild Wars n’est pas un MMORPG du tout, c’est un RPG online certes, mais à la manière d’un Phantasy Star Online ou d’un Diablo, vos parties sont instanciées. Les programmeurs en herbe n’auront aucun problème à comprendre ce que je viens de dire, mais les autres? En fait, ça veut dire que en ville et dans les endroits publics, tous les joueurs sont ensemble, mais dés que vous ou votre groupe sortez vers les zones moins peuplées, comme un donjon par exemple, la zone est instanciée rien que pour vous, c’est à dire que vous serez les seuls dans cette zone. Pas de vol d’XP, pas de vol d’items ou autre, rien que vous et votre groupe, prêt à castagner du monstre et réaliser les multiples quêtes et missons pour faire l’histoire.

Alors oui, on va me dire que ça pue, c’est pas un MMORPG. Le concept de zones instanciées est très bizarre au premier abord, mais en fait on s’y fait très vite, et c’est bougrement pratique car ça permet aux joueurs de s’approprier l’histoire, d’avoir l’impression de la vivre, car ils sont les seuls à déclencher les évènements du jeu.

Le nombre de quêtes à faire est proprement hallucinant et les décors de toute beauté aident à s’immerger encore plus dans le jeu. Les nombreux mécanismes et autres petites choses cachées dans le jeu sont également un bonheur à découvrir, et pour une fois on se creuse les méninges à comprendre comment ça marche ou comment faire ceci, ou cela, sans que tout soit servi sur un plateau d’argent au joueur, sans que cela soit frustrant.

Donc c’est vraiment un jeu à vivre en groupe d’amis 🙂

A côté de l’exploration, il y a aussi des arènes Player vs Player, et des combats entre guildes, avec un classement, différents modes (capture de relique, king of the hill, tout ça)

Comme je disais, pas encore essayé mais ça promet 🙂

Si vous voulez plus d’infos, il y a un topic sur le forum du AXL’s Game Center.

Mais bon, parlons prix. Guild Wars est gratuit mais pas trop en fait: il coûte le prix d’un jeu PC neuf. C’est à dire 50€ dans n’importe quelle crémerie. Il est trouvable sur CDiscount aux alentours de 40€, mais vous allez attendre un moment avant de le recevoir (ben oui, c’est CDiscount quand même.) Sinon, vous pouvez l’acheter sur le site de l’éditeur pour 45€, sans boite ni manuel ni CD, et vous pouvez donc installer le jeu depuis le net (connexion ADSL obligatoire!)

Bref, du pur bonheur ce jeu, sans conteste 🙂

Welcome to the world of La Pucelle Tactics

Voilà, j’ai enfin commencé ce petit Tactical RPG qui au premier abord, se révèle moins touffu que Disgaea, il est en fait carrément plus compliqué.

Sur chaque map il y a de la dark energy qui afflue dans certaines directions et en plaçant des persos dessus on peut le diriger et faire ainsi une sorte de chemin avec.Et quand on arrive à faire un cercle avec cette dark energy, on peut produire un Miracle et là tous les enemis à l’intérieur font pouf.

Enfin ils s’en prennent plein les dents. Faut aussi voir que les dark portal d’où sort la dark energy génére des ennemis tous les X tours, ce qui veut donc bien dire que soit on terasse tout le monde avant que de nouveaux ennemis aparaissent, soit on tente de purifier les dark portal… Bref, c’est bien sympathique et tout aussi fun que Disgaea, même si j’ai fait un bad ending sur le premier chapitre, je crois que je vais recommencer le jeu en fait, ça la fout mal :/

Un autre truc sympa c’est que dans les shops on peut remplir un sondage et dire « y’a pas assez d’armes » ou « Les items sont pas d’assez bonne qualité » et si on revient plus tard tout ça est amélioré, c’est assez sympa!

Ceci dit les noms français utilisés dedans sont un peu n’importe quoi:

  • Chateau Montblanc
  • Prier, Culotte, Alouette (les 3 héros)
  • Father Salade
  • Pot-au-feu city
  • Déesse Poitrine
  • Collier (la femme d’un boss) et Colonne (son fils)

Et j’en passe… 😛

Ca sort en europe en ce moment. Si vous possédez une PS2, c’est le jeu à avoir pour tout fan de RPG!

Armure de Metal Solide 3

Voilà, encore un jeu de fini. Cette fois-ci ce MGS3 m’aura bien accroché, malgré des débuts difficiles.

Metal Gear Solid 3 est donc, comme son nom l’indique, le 3ème épisode d’une série déjà commencée sur MSX il y a fort longtemps. Cette fois-ci il se joue dans le passé de Snake, notre héros national qui a déjà sauvé l’amérique et le monde libre plusieurs fois.

Contrairement à Splinter Cell, l’ambiance des MGS est carrément plus cool et presqu’arcade je dirais. La moultitude de détails, de façons de passer tel ou tel endroit, et surtout, la maniabilité et la prise en main permettent à n’importe qui de s’amuser rapidement.

Pour moi cependant le jeu avait tout l’air d’être raté à ses débuts: nature hyper détaillée, limite fouillis, aucun radar à la MGS (on se contentera d’une sorte de détecteur de mouvements tout bête cette fois), bref, tout pour que j’y voie rien (je vous jure, The Fear et The Boss m’ont donné du fil à retordre niveau vision.)

Car MGS joue la carte du camouflage, mais le jeu n’est pas prévu pour être difficile: être découvert ne vous fera pas automatiquement faire un game over, et rien ne vous empêche de foncer dans le tas flingues aux poings.

Même si le gameplay est linéaire, voire carrément ultra dirigiste (t’as ça à faire, tu le fais, tu poses pas de questions), l’aventure se suit d’une traite, il n’y a aucun temps mort: les objectifs se suivent, changent, des rebondissements ont lieu, et surtout, d’énormes séquences cinématiques, jamais lourdingues, vont égayer votre parcours. On sent qu’Hideo Kojima, le réalisateur du jeu, pourrait faire carrière dans le ciné: tout le jeu a une carrure holywoodienne, des angles de vue en passant par la musique, les sons, les personnages, l’action omniprésente…

Mais là où on se prend la claque de sa vie, c’est au niveau de la réalisation du jeu: toutes les scènes cinématiques sont faites avec le moteur. Pour s’en persuader, il suffit de retirer le DVD de la console et de voir la scène devant ses yeux continuer (jusqu’à planter, mais sans arrêt net). La PS2 en a même du mal parfois et saccade quand le nombre de polygones frise l’impossible pour elle, mais on oublie vite ces petits détails: ce n’est pas parce qu’un jeu rame une demi-seconde depuis 3 heures qu’il est mauvais.

Au final, j’aurai passé près de 50 heures sur le jeu (oui je sais je suis lent) mais j’ai pris mon pied, je me suis pas dépêché, j’ai essayé deux ou trois trucs…

Comparativement aux premiers opus, MGS1 m’avait plu, mais sans plus. Le jeu n’avait pas encore cette patte cinématographique qui est arrivé avec MGS2 sur PS2: là j’ai été bluffé, j’ai mis deux semaines à faire le jeu mais je me suis jamais ennuyé, et quoi que les fans en disent, pour moi ça restera LE, MGS, avec la scène ultra sublime au moment où le Big Shell va tomber… mais je ne vous en dis pas plus, pour ceux qui n’y auraient jamais joué.

Pour moi, l’intro de MGS2 reste l’une de mes intros préférées, le genre d’intro qui fout tout de suite dans le feu de l’action, avec la musique, les séquences (tout est ici calculé par la console, je le rappelle), la mise en scène. Avec celle de Soul Edge, c’est une de mes séquences d’intro préférées, sans conteste.

Voilà, ce week-end je démarre vraiment La Pucelle, et pourquoi pas un autre jeu, on verra 🙂

Fin de Disgaea, début de La Pucelle!

Voilà, j’ai enfin fini Disgaea, après pas loin de 66h de jeux, Laharl level 72, et surtout, surtout…

J’ai pas eu la meilleure fin ;_;

En effet, pour avoir la meilleure fin du jeu il faut ne jamais tuer l’un de ses membres d’équipe, ce que j’ai du faire probablement pendant une bataille ou deux. Ceci dit la fin est quand même relativement satisfaisante, bien qu’elle aurait pu être meilleure 🙂

Si vous ne connaissez pas trop Disgaea, c’est un excellent Tactical RPG de Nippon Ichi Software.

L’humour y est omniprésent (comme en témoigne cette petite vidéo) et les combats sont riches en profondeur et très tactiques (d’où le genre 🙂 avec des combos, des geopanels, des liftjump (si si :D) et j’en passe… D’ailleurs un petit début de bataille sur cette autre vidéo du jeu. Les vidéos sont assez petites donc vous gênez pas.

Quant à La Pucelle, vous pouvez voir la pub américaine sur le site de PlayFrance.com. La pub est bien sympathique et dure pas très longtemps, je vous la recommande 🙂

Allez, en bonus: Une vidéo d’un combat de Star Ocean 3. Vous allez voir que c’est dans un tout autre registre, très dynamique, et très bordélique. En tous cas ça change des traditionnels Final Fantasy au tour par tout, c’est assez rafraichissant. Par contre comme je l’expliquais, la difficulté est abominable…

Un de mes persos préférés, Sophia 🙂

Images et vidéos courtésie de Gamekult 🙂

Aujourd’hui… DISGAEA!

…rien. Le néant, la glandouille totale. C’est qu’il faut que je me prépare pour mon super gros week-end spécial glandage intensif 🙂

Bah rien de spécial à signaler, à part que j’ai continué à jouer à ce magnifique Tactical RPG qu’est DISGAEA: Hour of Darkness sur PS2. Un grand moment de bonheur en atendant de jouer à La Pucelle Tactics et Phantom Brave. En tous cas, La Pucelle je vous en reparlerai, parce que c’est quand même un grand moment de n’importe quoi (pire que l’humour décalé de Disgaea :). Je rappelle pour les deux du fond qui dorment que les persos dans ce jeu ont tous des noms à consonnance française: L’héroine Prier, son frère Culotte, leur senpai Alouette, le père Salade…

Tiens en passant, une petite curiosité : L’avenir des interfaces graphiques vu sur ce blog (attention, c’est du sérieux 🙂

R.O.S.E Online (ou comment perdre une aprés-midi)

Voilà, ça a pas loupé. Je m’étais juré de ne plus participer à un MMORPG, mais en fait ça avait l’air tellement mignon, et puis comme la beta est gratuite, autant essayer… Ben R.O.S.E Online est quand même plutôt gentil et sympa. On se prend pas la tête, on progresse doucement, rien que là avec Fluo on a fait 10-12 niveaux en une aprés-midi, sans voir passer le temps (je pensais qu’il était encore que 15h, en fait il est déjà 18h!)

L’histoire, je ne la connais pas trop, mais le monde est agréable, les persos ont une bonne bouille et une dégaine assez unique (chaque objet sur le corps se voit, et c’est pas vraiment comme à DAOC… :P)

A gauche y’a Fluo et à droite c’est mon perso 🙂 (on est des n00b alors excusez les épées en bois hein :))

Bon j’ai paumé une aprés-midi, mais on se sera bien amusés quand même 🙂