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The Legend of Heroes

ENFIN un RPG sur PSP. Et pas un petit: Legend of Heroes semble être un épisode parmi une série de jeux qui sont parus sur PSOne. La PSP a elle aussi eu droit à d’autres épisodes, malherueusements, non encore traduit.

The Legend of Heroes: A tear of vermillion, est une histoire pour le mien classique au demeurant. Avin, notre jeune héros, cherche sa soeur Eimelle dont il a été séparé lors qu’ils étaient enfants. Il semble qu’Eimelle soit promise à un destin pour le moins mouvementé, mais l’affection que notre héros lui porte le pousse à la retrouver, des années plus tard.

Graphiquement, on est loin de froller l’excellence. Des persos en 2D se déplacent dans un décor en 3D non pivotable, ma foi d’une fort belle facture. La musique, assez anecdotique, essaye de nous envouter, mais c’est assez difficile.

Bref, techniquement, le jeu ne vole pas super haut pour de la PSP, mais depuis quand a-t-on besoin de bons graphismes pour un RPG ? Il faut ajouter que la maniabilité est parfois hasardeuse, car il vous faudra être orienté dans la bonne direction et bien comme il faut avant d’user de la touche action pour déclencher un quelconque event, prendre un item ou fouiller une bibliothèque.

Pourtant, le jeu est suffisament simple pour qu’on le comprenne tout de suite, et bénéficie d’un univers assez fouillé et recherché. On se plonge alors tant bien que mal dans le scénario qui semble se développer néanmoins lentement au début.

Malheureusement, quelques autres défauts viennent tâcher la qualité du jeu: une traduction anglaise un peu bancale parfois, rendant confus certains petits passages. Néanmoins, ça reste simple à comprendre, et n’importe qui ayant fait quelques années d’anglais pourra en profiter.

Globalement cependant, et vu que ça reste rare, un RPG en anglais sur PSP, on va être indulgents, et le style manga, les designs réussis et les graphismes mignons vous aideront à mieux apprécier le jeu, qui se trouve très adapté à la PSP.

Du petit bonheur en boite pour tout fan de RPG 🙂

L’année du dragon

Pas vraiment un manga, mais bon… 🙂

Oui bon il manque le titre, mais j’aime assez l’illustration.

Cette BD m’a été offerte dans son intégralité (3 tomes) par un ami (Morgan) le jour du nouvel an, et je dois avouer que, n’étant pas trop fan de BD dû à leur format trop grand pour moi, j’ai été plutôt séduit par l’histoire relativement simple mais intéressante à suivre. Avec un langage très jeune et un humour parfois piquant, parfois imagé, L’année du Dragon se caractérise avant tout par un style clairement inspiré du manga. Sans le recopier de façon ridicule, et sans tomber dans des tonnes de clichés juste pour attirer le chaland, les deux auteurs ont un style bien a eux, et les petits clins d’oeils à l’Asie ne manquent pas (rien que Mononoke Hime au ciné…)

Au niveau histoire, il est difficile d’en parler, car on suit en fait un moment de vie difficile d’un jeune homme nommé Franck, qui galère de boulot en boulot, et aussi dans sa vie amoureuse. Seule la fin m’a laissé un peu de marbre, mais toute la lecture était vraiment sympathique, et on arrive très bien à s’imprégner des personnages.

C’est donc clairement rafraichissant par rapport à mes lectures habituelles, preuve en est que j’ai dévoré les trois tomes très rapidement,

En tous cas Momo, si tu as d’autres lectures comme ça, n’hésite pas 😛

The Movies

Ca faisait un p’tit moment que je lorgnais sur ce jeu, depuis son annonce en fait, il y a de cela 3 ans. Imaginez un peu: pouvoir gérer son studio de cinéma, ses stars, ses films, écrire ses scripts, tout ça. Peter Molyneux, a qui l’on doit de nombreux autres jeux de légende tels que Dungeon Keeper, Theme Hospital et Theme Park, entre autres, nous a promis monts et merveilles avec ce jeu. A-t-il tenu ses promesses? Voyons voir…

A l’allumage, outre le gros logo « Fonctionne bien sur Intel Pentium 4 et ATI » qu’on oubliera très vite tellement c’est hideux, on peut voir d’ors et déjà qu’une option En Ligne et Montage sont présentes. Ca s’annonce bien, ça veut dire que l’on peut créer ses films, les exporter dans un format lisible en dehors du jeu, et les diffuser sur le net.

Cat l’un des attraits de The Movies, c’est aussi son mode online, qui permet de diffuser ses films sur un site web spécial. Selon le succès de vos petits films, qui durent d’une à 5 minutes, selon le nombre de scènes, vous gagnerez des credits virtuels qui vous permettront de vous payer de nouveaux costumes, décors, et autres trucs sympa pour agrémenter vos futures oeuvres.

Niveau créativité, j’aime.

Passons tout de même au jeu lui-même:

Là, ça se déroule comme un thème hospital/park bien classique. On construit des batiments, on embauche du personnel trié sur le volet, on ménage son petit personnel en leur proposant des cures de désintox, des lifting, du relookage, en leur payant des caravanes… Bref, au niveau de la gestion des caprices de stars, il y aura de quoi faire.

Niveau personnel, vous trouverez donc des acteurs, des réalisateurs, des figurants, des équipes de tournage, des équipes de maintenance, des batisseurs, des scientifiques, et des auteurs de script. Tout ce petit monde va devoir bosser dans votre studio, et c’est déjà pas mal.

Comment se passe donc la réalisation d’un film? Ca suit en fait un procédé simple. – On donne un script à écrire à des auteurs, ou bien on écrit le notre (pas testé) – Une fois le script fini, on l’envoit au bureau de production, qui permet de réaliser le casting: on choisit un réalisateur, un ou des acteurs pour les rôles principaux, des figurants si beosin, et une équipe de tournage. A noter que l’humeur des acteurs, mais aussi leurs expériences dans d’autres films comptent. – Une fois le casting et la répétition terminée, on envoie le truc à tourner, et on peut voir les acteurs aller dans les décors faire leurs scènes. Si tout se passe bien, au bout d’un moment vous avez un film, que vous sortez, et qui est noté selon la qualité du script, de la réalisation, du tournage, des acteurs, tout ça quoi.

Ca parait simple mais des petits ennuis peuvent survenir pendant le tournage, et pour bien rentabiliser le temps, il faut avoir au minimum 2 films en production en même temps, ce qui occasionne parfois des retards de l’un car un décor est déjà occupé.

Les films sont divisés en plusieurs catégorie: action, comédie, horreur, science fiction, et amour.

Je ne vais pas parler de tout pour laisser la surprise, mais vous aurez de nombreux événements historiques et d’autres joeusetés pendant votre parcours, ainsi que des mini objectifs à accomplir (le jeu commence en 1925)

J’ai cependant oublié de parler de tout l’aspect humour. Un peu à la Dungeon Keeper, vous aurez une voix off (ici un animateur radio) qui ne cessera de lâcher des petits commentaires sympa, sans que ceux-ci ne se répetent de trop au fil du temps. Aussi, les noms des films, tels que « Les oiseaux se cachent morts de rire » ou « Bang bang t’es mort » ou encore « C’est laid une tortue! » ou bien « La petite prison dans la prairie », vous voleront quelques pouffement de rire lorsque vous les verrez.

Pour moi, c’est une bonne surprise, quoi que ça aurait pu être quelque peu mieux réalisé: ça a une allure de the sims sans toutefois le même panache visuel. Le jeu est cependant très fluide sur n’importe quelle config moderne.

A essayer donc, pour ceux qui aiment comme moi, pouvoir créer des choses avec un jeu. Aaaah, Stunt Island…

Lui ou rien! – Zettai Kareshi

Yuu Watase ne cessera jamais de m’étonner. Chaque fois qu’un de ses manga sort, je me dis toujours « Bah, c’est du Shoujo (manga pour filles) » et puis en fait, le coup de crayon, l’histoire, les personnages, rendent le tout tellement attachant qu’on a du mal à s’en séparer une fois qu’on a commencé à le lire. S’il y a bien un auteur dont j’achèterais n’importe quel bouquin les yeux fermés, c’est bien elle.

Zettai Kareshi, donc, traduit plus ou moins bizarrement par « Lui ou rien » par Kana, l’éditeur français, nous plonge dans la vie d’une fille assez banale, Rikko (galerie de portraits ci-dessous) qui a la particularité de se faire jeter par n’importe quel mec avec qui elle veut sortir (mais je comprends pas, moi, une fille comme ça, je sors avec direct…)

Seulement voilà, un jour elle retrouve le portable d’un vendeur bizarre, le lui rend, et pour la remercier, lui offre un passe pour un site web bizarre, le « Lover Shop » où on peut commander son petit ami idéal. Rikko n’y croit pas une seconde, fait la folle, ajoute plein d’options et commande un modèle Nighty pour un essai gratuit de 3 jours (super promo).

Le lendemain, il arrive, et forcément, après la panique, elle s’y attache… Premier problème: elle doit le rendre dans trois jours. Second problème, c’est un modèle Night, qui est donc fait pour fonctionner la nuit… vous voyez ce que je veux dire hein? Oui, le premier truc qu’il fait c’est essayer de lui faire l’amour, a la pauvre jeune fille qui n’est jamais vraiment sortie avec un type avant et qui en plus croit au romantisme pur et dur. Vous alllez vous dire qu’il va quand même se la faire, hé bien non. « Night » comme elle l’a nommé, est un petit ami parfait après tout, et se retiendra pour elle.

J’en entends au loin déjà penser que Yuu Watase nous pond un clone de Chobits ou Hand Maid May au masculin, mais en fait il n’en est absolument rien, contrairement à mes peurs. Yuu Watase a parfaitement réussi a éviter le cliché et nous livre une histoire assez touchante. Classique mais touchante. Disons que comme d’habitude, l’héroine choisie par l’auteur, à mi chemin entre Tampoko de Imadoki et Aya de Ayashi no Ceres (ça reste un avis personnel), Rikko est plus mignonne que sexy, voire même naïve avec son envie de romantisme si fort.

Voilà donc Rikko, qui va devoir faire avec Night, payer sa dette envers la societé à qui elle l’a acheté (ah ben oui, c’est pas donné ces petites bêtes) et faire face à de nombreux autres obstacles… Mais je vous laisse la surprise 🙂

Un fansite plutôt bien foutu où j’ai récupéré quelques images: Zettai Kareshi

Cliquez sur « Lire la suite » pour voir quelques extraits du manga.

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Karin

Mes animes actuels se résumant à peau de chagrin (Mai Otome, Yakitate Japan!, et Suzuka), il fallait bien que je trouve quelque chose de potable dans la nouvelle saison. Et c’est chose faite avec Karin, qui a défaut d’être excellent, reste assez drôle et mignon juste comme il faut;

Karin est très malchanceuse. Elle est issue d’une famille de vampires qui a immigré au Japon. Son gros problème, c’est qu’elle n’est pas tout à fait vampire… Elle vit le jour, elle ne craint ni l’ail, ni l’argent, ni les croix, ni l’eau, et pourtant… pourtant, elle a besoin de sang aussi.

C’est très dur pour elle en temps normal, et voilà qu’en plus un nouveau fait son apparition à l’école. Rien qu’en croisant son regard, Karin s’évanouit. Elle découvrira très rapidement qu’il y a quelque chose, chez lui et chez la mère du type, qui l’attire, qui voudrait les mordre, mais quoi…?

Sous cet aspect un peu sombre, l’anime s’en sort agréablement avec des petits moments comiques, une héroine assez kawaii, et des personnages facilement reconnaissables. Pour l’instant peu d’épisodes sont sortis et il est difficile de bien cerner l’intrigue principale, mais j’ai l’impression que malgré ses airs humoristiques, la série va devenir bien ténébreux sur la fin. Nous verrons bien! En attendant, vous pouvez y aller, ce n’est même pas ecchi en plus.

Grand Theft Auto Liberty City Stories

…ou comment vous dire qu’une PSP, ça poutre quand même.

GTA LCS étant enfin sorti outre-atlantique, mais aussi outre-manche, je me suis procuré la version Royaume-Uni (donc européenne, donc compatible avec vos futurs petits copains qui prendront la version française le 2 Décembre. On notera que le jeu contient toutes les langues) sur le site Play.com pour seulement 45€.

Après plusieurs heures de jeu, de nombreuses morts, voitures bousillées, piétons écrasées, putes ramassées, je peux donner un verdict qui je pense s’approche de la réalité.

GTA est donc, premièrement, une claque technique. Pouvoir faire du GTA sur cette petite console, presque comme si c’était une PS2, c’est tout simplement bluffant. En fait, tous les défauts du jeu que je citerai après sont complètement gommés par cette jouissance fort agréable que procure le fait de pouvoir jouer à GTA pendant sa pause café.

On commence donc par ce qui fâche: l’histoire. Bien que neuve, elle se déroule quand même dans Liberty City, que l’on a bien connu dans GTA3 déjà. De ce fait, on mettra de côté l’excitation de découvrir une nouvelle ville et ses rues… Bon, Liberty City était quand même bien plus agréable à parcourir que San Andreas par exemple, ce qui atténue un peu ce point négatif…

Autre souci, les missions: elles sont un peu plates, sans être complètement ennuyeuses non plus. Les briefings sont toujours aussi fun, avec des dialogues entre pourris jusqu’à la moelle. Prendre ça au deuxième degré est bien évidemment nécessaire afin d’apprécier l’humour (noir) du jeu. Bref les missions, c’est rien que du déjà vu. D’un autre côté ça reste simple et efficace, contrairement à San Andreas qui offrait des objectifs bien plus complexes, mais parfois un peu chiants.

GTA reste GTA, et bien que l’originalité ne soit pas de mise dans cet épisode,^surtout dû au fait qu’on connaisse déjà la ville, le plaisir de pouvoir y jouer n’importe où, n’importe quand, à moto ou à bicyclette, et même à plusieurs, fait de GTA Liberty City Stories clairement un incontournable sur PSP. C’est à mon sens LA killer-app de la PSP, le jeu qui peut vous en faire acheter une, avec Lumines, et Wipeout. On commence enfin à voir débouler des jeux d’envergure.

Un petit mot sur le multi, que je n’ai pas encore pu tester: sachez que pour en profiter pleinement vous vous devez d’être plus que deux. Les terrains de jeux sont tellement grands qu’on peut passer un moment à se chercher si l’on est qu’à deux. Il y a une bonne diversité de modes de jeux, dont capture the limousine, deathmatch Free for all (chacun pour soi) ou en équipe, un king of the hill, ou encore un mode où l’un des joueurs pilote un tank et doit le garder le plus longtemps possible. Les autres joueurs étant armés eux de lance-roquettes, ce qui équilibre bie. Il y a en tout six modes de jeu multi, et j’ai réellement hâte de les tester.

Non franchement, je ne regrette pas mon achat, et Rockstar ne s’est pas foutu de notre gueule avec un GTA « comme sur PS2 ou presque » qui tient dans la main. A mon avis l’UMD doit être sacrément plein. A noter qu’on peut faire sa radio perso avec de la musique stockée sur le memory stick.

Que du bonheur pour les amateurs du genre 🙂

Résident Méchant 4

Resident evil 4 c’est un peu pour moi le dernier espoir sur lequel repose toute la série Resident Evil.

Ayant commencé avec le permier volet sur PSX, en jap s’il vous plaît (bon ok, j’ai vite arrêté pour trouver une version européenne) c’était l’âge d’or des acteurs qui faisaient des cinématiques excellentes, d’une maison abandonnée, close, et qui faisait affreusement penser à Alone In The Dark, sorti sur PC quelques années plus tôt. Capcom nous avait enfin sorti quelque chose d’autre qu’un jeu de baston, et RE a été très bien acceuilli parmi les jeunes adultes du public de la PSX, pour son ambiance gore, stressante, et pleine de rebondissements, au scénario léché, avec même plusieurs fins selon les gens qu’on arrivait à sauver, ou avec qui on jouait (Chris Redfield ou Jill Valentine).

Bref, comme d’hab, c’était le bon vieux temps.

Après 2 autres volets biens mais pas non plus extraordinaires (le 2 avait pas le même feeling, mais m’a quand même bien accroché, et le 3 je l’ai sitôt redonné une fois fini), et une multitude de jeux batards (Code Veronica, Dead Aim, et j’en passe) où Capcom s’est un petit peu foutu de notre gueule avec un gameplay repris presqu’intégralement, ou bien des side-stories pas très utiles, voilà qu’ils daignent nous gratifier d’un RE 4, un vrai, un pur, et avec de la mayo’.

Sorti sur GameCube il y a un moment déjà, Capcom nous le pond sur PS2, et c’est là que j’ai enfin pu m’y essayer.

Bon en gros, on joue Leon, un peu vieilli, mais toujours égal à lui même (bonne tête de vainqueur, en fait) et on se retrouve largué en plein milieu de l’europe de l’est, à chercher la fille du président, cette conne s’étant faite kidnapper et retenue prisonnière dans un village peuplé d’habitants bizarres. Pas zombis, non non, ils n’oseraient pas. Mais au comportement pour le moins étrange, et qui n’hésiteront pas à vous attaquer.

Ce qui surprend le plus, c’est le changement de jeu. Resident Evil devient un TPS. Un Third Person Shooter (jeu de tir à la troisième personne.) La maniabilité évidemment change avec, et on a un petit peu de mal à s’y habituer pendant la première heure de jeu. Après ça vient relativement tout seul, et le maniement de Leon se fait aisément. Bon d’accord c’est encore un peu rigide, mais ça ne serait pas un Resident Evil sinon… 🙂

J’ai joué un peu moins de 8 heures, et pour le moment ça progresse bien, c’est intéressant et ludique, diversifié et pas trop difficile. On est donc devant un bon jeu vidéo, sans aucun doute.

A tous ceux qui ont aimé les deux premiers Resident Evil, c’est bon, vous pouvez y aller, ça fait évoluer le genre sans pour autant le dénaturer. Entre ça et Soul Calibur 3, je suis content de mes nouvelles acquisitions sur PS2 moi 🙂

Katamari Damacy

Katamari Damacy (fiche Gamekult) est un concentré de délire japonais, qu’on aurait dû mal à imaginer être sorti d’un studio européen ou américain de jeu vidéo. Le concept du jeu en est lui-même tellement ridicule, tellement simple, mais tellement fun que n’importe qui peut accrocher tout de suite à ce grand bol d’air frais de jeu vidéo, dans un monde où les suites et concepts se succèdent sans une once d’originalité.

Lui, c’est le Roi du Cosmos, votre père. Par un excès de folie, et en jouant de la guitare comme un pied, il détruit les étoiles dans le ciel. Vite, il faut les reconstruire! Pas de problème: Le Roi va vous envoyer, vous le prince son fils, utiliser les katamari sur Terre pour faire de nouvelles étoiles. Pour les curieux, vous pouvez voir l’intro en cliquant sur ce lien

Un Katamari c’est une boule adhésive géante. Jusque là vous vous demandez encore ce qu’il va bien falloir faire avec ça… En fait c’est simple, il suffit juste de faire rouler la boule sur le maximum d’objets possibles, afin de la faire grossir. Alors ça commence avec un gomme, un crayon, des beignets, des poissons, puis ça continue avec des cuillères, fourchettes, des ours en peluche, de la boisson, et ,plus on grandit, plus on peut ramasser de choses: On ramasse des personnes, des voitures, des immeubles, des avions, des bateaux, des maisons…

Chaque niveau est constitué d’une épreuve, qui peut être soit atteindre un katamari d’une certaine taille en un certain temps, ou ramasser le plus de crabe ou d’oeufs, ou chopper la plus grosse vache du pré… Tout un programme.

Un extrait de gameplay ici.

Katamari Damacy est donc une énorme claque vidéo-ludique. Un concept incroyable, mais pourtant, ça marche: on accroche tout de suite, on s’amuse à entendre les cris poussés par les chats quand on les attrape… Voir une bestiole vous courir après du haut de vos 10 centimètres, pour ensuite s’enfuir quand vous revenez 5 minues plus tard avec un katamari de 1 mètre au bout des bras, c’est assez jouissif.

La durée de vie n’est certes pas énorme, car le jeu compte en réalité peu de niveau. Il vous tiendra en haleine pendant quelques heures ceci dit. Mais le plus fun, ça reste de jouer avec quelqu’un et de le regarder se dépatouiller avec les deux sticks analogiques qui permettent de contrôler le Prince et son Katamari

Non sérieusement, Katamari Damacy est un excellent jeu, quel dommage qu’il n’ait pas encore été édité en France, mais seulement aux Etats-Unis et au Japon pour le moment. A noter qu’une suite, « We Love Katamari Damacy » est également disponible.

Le jeu est également prévu sur PSP. Ca va donner :]

Mahou Sensei Negima / Magister Negi

Mahou Sensei Negima est la dernière oeuvre en date de Ken Akamatsu, auteur entre autres de Love Hina et Ai ga tomaranai (connu comme AI Non Stop chez nous, voir mon précédent billet à ce sujet), nous gratifie encore une fois d’une comédie haute en couleurs avec des vrais morceaux de ecchi dedans. Sans blague, vous vous attendiez à autre chose d’autre de la part de Akamatsu-sensei? Moi pas.

L’histoire en gros, c’est celle du petit Negi, 10-11 ans (dans ces eaux là) qui est un jeune magicien tout juste sorti de l’école. Il va devoir faire un stage de fin d’année en tant que professeur dans une école japonaise, à l’école Mahora (a une lettre près, c’est dommage, ça aurait fait Mahoro.) Il ne faudra toutefois pas qu’il révèle ses pouvoirs magiques.

A partir de ce constat, auquel on associe immédiatement l’idée de Harry Potter, en fait on change bien vite d’avis: ça n’a rien à voir.

Negi va donc être prof dans une école de filles, et pas dans n’importe quelle classe. Ca sera celle des 2-A, qui sont on va le dire, pas super doués niveau études. Les filles ont dans les 15 ans, ce qui bien sûr, va handicapper notre petit Negi pour faire ses cours (mais bon, elles, elles le trouvent mignon et s’occupent bien de lui, la chance qu’il a 🙂

Car, manga de Ken Akamatsu oblige, on se retrouve confronté à non pas 3, non pas 5, mais bien une trentaine d’anime girls toutes plus kawaii les unes que les autres, et chacune avec un caractère plus particulier. C’est là que le génie du design de Akamatsu fait toute sa lumière. Contrairement à l’histoire, les persos sont très attachants, et à défaut de retenir tous leurs noms, on va rapidement savoir qui parle de qui.

Un héros ne serait rien sans héroine, ceci dit, et c’est la jeune Asuna qui va remplir ce rôle. Orpheline, énergique, qui fait un petit boulot de livreuse de journaux tous les matins avant les cours, qui va s’occuper de Negi et l’héberger dans sa chambre, avec son autre collocataire. (Quelle chance :P)

A tous les deux, et à toute la classe en général, il va arriver des tas de trucs dans le plus pur style Akamatsu. Sans se prendre au sérieux, l’histoire ne va pas bouger d’un iota avant la fin, comme d’habitude, et ce n’est pas la pseudo jeune vampiresse qui va inquiéter Negi. Bref, niveau pure trame scénaristique, on repassera, Negima est un anime/manga qui se suit tranquillement.

C’est du Akamatsu, on aime ou on aime pas, mais ça se laisse lire sans broncher, pour moi en tous cas. Oui bon faut aimer les plans culotte mais on commence à avoir l’habitude, depuis Love Hina…

F.E.A.R.

(vous pouvez voir les commentaires d’autres personnes sur ce billet sur les forums du AXL’s Game Center)

Je viens à peine de commencer le jeu et déjà j’accroche bien.

Pour résumer, on fait partie d’une unité d’assaut type SWAT mais en plus bourrin, et le début du jeu, lent mais pas trop (on se ballade mais on ne tire pas beaucoup, enfin pas sur des ennemis. Néanmoins ça reste beaucoup plus dynamique que le début de DOOM 3 par exemple.)

Sur ce, c’est un excellent point car s’il y a bien un truc où DOOM 3 était mauvais, c’était tout de même la lenteur générale de l’action.

Comme je n’ai pas testé encore beaucoup le jeu, je ne peux pas encore parler du scénario, mais le gameplay, comme la technique, impressionne.

Au niveau du gameplay tout d’abord. On peut réaliser des petites actions fort bienvenues dans un FPS, comme se planquer derrière un mec et avancer tout doucement avant de lui filer un coup bien placé dans le dos ou derrière la tête, en général ça calme direct. Ensuite, il y a une touche SlowMotion, un peu à la Max Payne, permettant de ralentir le temps pour mieux viser et réaliser des actions.

Et là, la technique tue. En SlowMo, on voit les balles partir des fusils et laisser des trainées, les mecs cracher du sang et se tortiller de douleur. Ce n’est pas Soldier of Fortune, mais les combats sont violents, et jouissifs, rien que le bruit des armes, leur modèles, leur maniement… On peut également « viser » pour tirer plus précisément. Enfin, n’espérez pas faire des tirs à distance avec la mitraillette: le recul est plutôt bien géré et la disperssion vous fera vraiment mal viser.

Je n’ai pas encore parlé des graphismes, mais ça doit être ce qui impressionne le plus dans ce jeu au premier abord. C’est fin, beau, on a l’impression de jouer à un jeu tout droit sorti des demos de 3DMark. Ceci dit, DOOM 3 était déjà fort joli, mais faisait preuve d’une certaine plastique et rigidité dans ses décors et environnements. DOOM 3 jouait en fait beaucoup trop sur ses effets de lumière. Ici, on a d’autres effets, du feu, de la fumée, quelques jolis effets de lumière, de la physique… Tout y est au niveau de la technique.

Pour résumer, ça ressemble à ce qu’un jeu comme Chaser aurait dû être: l’utilisation d’armes contemporaines, des niveaux bien foutus, des ennemis avec une IA plutôt bonne (sans être transcendante, elle saura vous surprendre un peu)… bref, un FPS contemporain/futuriste comme on en fait plus du tout.

Ah oui, FEAR fait peur, cela va sans dire, mais les développeurs n’ont pas joué sur la surprise d’un ennemi qui arrive au coin d’un couloir comme on le voyait en permanence dans DOOM 3. Non, ici, on voit les ennemis avant, mais c’est d’autres choses qui attireront notre attention. Des visions, des objets qui bougent tout seuls, des rats, des bruits suspects… Du bonheur en boîte.

Config de test: Athlon 64 3200+ 1 Go de RAM Disque dur SATA pour stocker le jeu (il tient sur un DVD) Geforce 6800 GT 256 Mo en AGP 8x.

Détails? A fond. C’est pas exactement fluide (n’espérez pas 60 FPS quoi) mais parfaitement jouable. J’obtients une moyenne de 25 FPS avec les tous derniers drivers NVIDIA en beta (81.xx)

En faisant des tests, je n’ai pas trouvé de paramètres qui permettent d’augmenter drastiquement les FPS. J’ai donc tout laissé à fond.

Mai Otome

Mai Otome vient de débuter au japon, et est une série inspirée de l’anime de l’an dernier, Mai Hime. Je dis inspirée car en fait, ce n’est pas du tout une sequelle mais on retrouve de nombreux personnages de Mai Hime, qui ne gardent que leur design de la précdente série. C’est néanmoins agréable de retrouver Natsuki ou Shizuru… voire même Mai, dans les épisodes suivants.

L’histoire, c’est un peu compliqué à définir pour le moment, mais l’ambiance est clairement là et originale. En gros on a l’héroine au pendentif mystérieux, enjouée mais pas chiante, et l’autre plus hautaine et sérieuse. Un duo qui va marcher, sans doute, si on compte les autres personnages plutôt sympathiques, les design agréables de Mai Hime aidant beaucoup au charme de la série. Notre héroine donc, décide de devenir une Otome, une sorte de soldat d’élite aux pouvoirs élémentaires puissants (comme le pouvoir des Hime en fait). Il y a également une histoire de princesse et de guerre contre des mechas.

Un peu comme beaucoup de séries, il est pour le moment difficile de savoir de quoi il en retourne après exactement un épisode. On a plus l’impression que le premier épisode a essayé de caser le plus de personnages possibles en son sein, sans clairement poser le décor. Espérons que ça s’améliorera.

A noter que la musique est encore assurée par Yuki Kajiura qui pour rappel nous a pondu les musiques de Hack Sign, Mai Hime, Noir, Madlax… Heureusement, Mai Hime et Mai Otome sont plutôt loin d’être aussi lents que les animes de Bee Train 🙂

Ah sinon, je vous ai mis un petit papier-peint fort sympathique. On en trouve énormément dans les magazines tels que Megami.

Full Metal Panic The Second Raid

C’est avec une très légère appréhension que je commençais, il y a quelques mois, Full metal Panic – The Second Raid (J’aime Wikipedia.) Que penser d’une série qui, lors de sa première saison, avait laissé une impression bonne mais pas top, notamment avec un rhythme d’intrigue sacadé et une action molassonne, puis lors de sa seconde saison, m’a totalement fait rire aux éclats à me rouler par terre? Fumoffu, la seconde saison, est de loin la meilleure considérée par les fans de la série, grâce à son humour décapant développant les passages hilarants de la première saison avec Sousuke à l’école.

En voyant la tête de l’opening, le ton était donné, ça allait être mechas et action à fond. Les deux premiers épisodes me l’ont en tous cas confirmé. Reste que la pillule est certainement bien mieux passée qu’en 2002 lors de la première saison, notamment grâce à une technique améliorée, et surtout parce que le studio d’animation chargé de The Second Raid est Kyoto Animation, le même que celui qui nous a pondu Fumoffu, contrairement à GONZO qui s’était chargé de la première saison. Et ça se sent tout de suite. C’est bon, c’est net, ça amuse, et c’est tout ce qu’on demande.

On a la le trio de héros de notre série. Je vais résumer vite fait pour les ignorants qui n’auraient pas encore goûté à la série:

Sousuke Sagara, jeune soldat oeuvrant au sein d’une équipe de mercenaires appellée Mithril, totalement indépendant d’aucun gouvernement, va être chargé de protéger la jeune et jolie Chidori Kaname (à gauche). Cette dernière serait en effet la cible d’un kidnapping de la part du KGB, mais ça, on ne sait pas encore pourquoi (et je vous rassure, on le découvre assez vite.)

Jusque là pas de soucis, Sousuke, sa supérieure sexy Melissa Mao et son collègue ladykiller Kurz Weber (heureusement que ses talents de dragueur sont inversement proportionnels à ses talents de sniper) vont tous trois partir en mission au Japon pour protéger Chidori à coup de micros cachés, de filature, et, pour mieux la protéger, d’un transfert arrangé de Sousuke en tant que lycéen dans l’école de Chidori.

Mais le hic, c’est que Sousuke n’est pas du tout fait pour la société japonaise. Ayant grandi parmi les champs de batailles au moyen-orient, et une fois lâché dans la nature au Japon, il se débrouille TRES mal. Sortant son flingue à tout va chaque fois qu’il croit Chidori menacée alors que ce n’est pas le cas, il va vite se faire taper sur les doigts et Chidori va le prendre pour un débile profond très rapidement.

Mais, comme vous vous en doutez, arrivera le moment où Sousuke va se rendre très utile, lorsque Chidori sera effectivement menacée. L’humour principal de la série vient du décalage permanent entre comment Sousuke se comporte en société, tel un alien en milieu hostile. Là où c’est encore plus drôle, c’est à quel point cela est exaggéré dans Fumoffu, et chaque épisode est un grand bol de rire.

Qui est la jeune fille à droite vous allez me demander? Hé bien il s’agit de Theresa Testarossa, communément appellée Tessa par les gens qui la connaissent. Cette jeune fille de 16 ans (comme Chidori et Sousuke) n’est ni plus ni moins que la capitaine du sous-marin d’où opére Sousuke, et bien qu’elle occupe un poste aussi important à un si jeune âge, elle est pourtant douce et frèle, mais terriblement déterminée. Son génie tactique en temps de crise donne des frissons dans le dos. Elle partage également le secret de Chidori…

Pour en revenir donc à The Second Raid, la série marche sur les traces de la première saison, sans pour autant sombrer dans le tout-action bien relou. On assistera à des scènes un peu plus « adultes » (pas exactement ce que vous pensez bande de pervers.) et vraiment très bien réalisées, ne serait-ce que l’angoisse de Chidori a l’idée d’être seule, la scène où elle tente de lui couper les cheveux, ou bien lorsque Sousuke rencontre une prostituée au look très familier (je n’en dis pas plus) à Hong-Kong.

Bref, la série surprend et bien, l’action est bonne, les épisodes filent trop vite, on a même droit à un peu de ecchi pour faire passer le tout. Non sérieusement, voilà une saison incontournable, même pour ceux qui n’ont pas aimé la première, car elle corrige bien ses défauts.

Lumines – Le Tetris de la PSP?

Devant la relative pauvreté des sorties anime ces derniers temps (je ferai un billet sur Full Metal Panic TSR en temps et en heure) il faut bien que je m’occupe…

Assurément, il fallait un jeu de réflexion rapide, pas trop prise de tête, et surtotu à score sur la PSP. Sony l’a bien compris.

C’est là que Lumines entre en jeu.

Un peu comme Tetris au premier abord, Lumines est en fait loin du simple concept de Tetris.

Ici vous avez une aire de jeu vaste, mais aussi, des carrés de 4 blocs qui tombent. Ces 4 blocs sont de deux couleurs différentes, et le but du jeu est de faire des carrés de même couleur. Bien évident si vous faites par exemple un rectangle de 6 blocs, ça comptera comme deux carrés. Ainsi, il est possible de faire des combos vu que les blocs qui étaient au dessus tombent après que d’autres disparaissent.

Jusqu’ici, rien de bien folichon, si ce n’est que je n’ai pas parlé du plus important : la musique.

Une musique en effet assez electro/techno mais pas trop désagréable vous accompagnera tout au long de votre partie. Un bout de la musique tourne en effet en boucle jusqu’à ce que vous fassiez disparaître des carrés, ce qui a pour effet de faire continuer la musique de façon fluide. C’est assez bien foutu en fait…

A cela s’ajoute la méthode de disparition de vos carrés réalisés. Car une fois réalisés, ils ne disparaissent pas tout de suite, mais uniquement lorsque la « timeline », une ligne verticale qui passe de gauche à droite avec le timing d’un méthronome, fera disparaitre vos carrés en les touchant. Ainsi on peut réaliser de gros combos en faisant disparaître des dizaines de carrés par passage de la ligne, si on se débrouille bien.

Et là vous vous dites « C’est nul et la musique doit saouler au bout d’un moment. » Hé bien non: une fois une chanson terminée, on passe au stage suivant de façon rapide et transparente, pour continuer sur le jeu qu’on a encore entre les mains (en gros, le passage d’un stage à l’autre ne vide pas l’aire de jeu). Le passage d’un stage à l’autre change notamment les motifs des blocs (parfois c’est hardcore, on ne voit pas trop la différence pour certaines skins difficiles) mais la musique change également, les bruitages de vos déplacements aussi, et bien entendu, la vitesse de la timeline change selon la musique qui joue.

Voilà pour le principe du jeu.

Après, vous avez plusieurs modes de jeu: Challenge (ce que je viens d’expliquer), contre la montre, mode skin unique (au choix parmiles skins débloquées), mode puzzle (des formes à réaliser, c’est très dur), et mode versus, contre la console ou un autre joueur de Lumines muni d’une PSP et du jeu.

En somme, je dirais que le jeu est un incontournable de la PSP] pour ceux uqi sont allergiques aux jeux de caisse à savon (même is j’ai déjà craqué pour Wipeout). Lumines est surtout bien pour des parties rapides, comme Tetris quoi, en attendant dans une salle d’attente par exemple!

Full Metal Alchemist PS2

Mettons nous tout de suite d’accord: j’ai énormément aimé la série Full Metal Alchemist. De bout en bout on suit l’histoire avec beaucoup d’intêret, il n’y a que peu voir aucun flashback ennuyeux (symdrome des longues séries) et globalement, y’avait de tout: comédie, action, aventure, designs et réalisation soignée, bref que du bonheur.

Comme beaucoup de jeux à licence, on pouvait s’attendre au pire en voyant débarquer un jeu d’action-RPG sur PS2. Cependant, comme Square-Enix (à qui l’on doit, je le rappelle les Final Fantasy mais aussi quelques autres jeux bien sympathiques tel que Star Ocean 3).

A vrai dire, je suis assez déçu. Bien qu’ayant un début plutôt prometteur, mêlant des séquences en animation et des phases de jeu à la Kingdom Hearts, FMA est d’abord décevant sur le plan technique. En intérieur ça va, mais une fois sorti du train au début, les décors sont d’une pauvreté assez affligeante pour de la PS2. On se demande même si ce n’est pas un jeu PSX auquel on joue.

C’est d’autant plus dommage, car les combats et la modélisation des persos est plutôt bonne. L’animation est également plutôt bonne, et le début du jeu augure de bonnes choses concernant l’alchimie.

En résumé, je dirais que je n’ai pas trop accroché (les action-rpg c’est pas vraiment mon style non plus je dois dire) mais pour les fans, c’est sans conteste un bon jeu. Bien mais pas top. C’est sûr que quand on voit les adaptations récentes d’animes en jeux vidéos (Genre, allez, au hasard, mais totalement au hasard… Saint Seiya?) on aurait pu craindre le pire, mais non…

Le jeu n’est pour le moment pas disponible en France (ou même en Français)

Ai tomaranai – Fin

Ai tomaranai est enfin terminé chez Pika editions. L’occasion pour moi de faire le point sur cette petite série de Akamatsu.

Comme d’habitude chez Akamatsu, on trouve énormément de remplissage au milieu de la série, puis ça se bouscule sur la fin. Fin un peu abrupte je dirais, car il aurait été plus agréable de savoir ce qu’il s’est passé un peu "après". Néanmoins, les derniers chapitres, avec notamment la petite rivale de Satie fort mignonne, et également la petite soeur de Hitoshi et son Ma-kun, fort sympathiques (on sent bien que ça le turlupine le Akamatsu, car la soeur victime d’un brother complex, on a revu ça déjà dans Love Hina)

Au final, j’ai bien aimé. Cependant c’est loin d’etre inoubliable, à cause de passages un peu longuets et d’histoires complètement loufoques dont j’ai un peu eu ma claque avec Love Hina, et qui ne font absolument rien avancer du tout. Les deux derniers volumes m’on quand même bien plu, j’ai donc eu raison de finir la série 🙂