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Atelier Iris Eternal Mana FINI!

Ca y est, j’aurai pris mon temps mais j’aurai bouclé Atelier Iris Eternal Mana sur PS2. Après environ 115 heures de jeu, ce que j’estime être très bien, ce RPG m’a bien détendu.


Commençons par ce que j’ai apprécié:

  • Le graphisme haut en couleurs et plein de vie.
  • La réalisation old school mais suffisante.
  • Les voix
  • L’interface claire et simple.
  • La musique, vraiment sympa (ça m’est arrivé de fredonner certains morceaux 🙂 )
  • Les personnages NPC ou non très attachants.
  • Plein de trucs à collectionner! Des item en veux tu en voilà, des mix improbables viens-y j’en ai plein! Non vraiment c’est un réel plus.
  • Chaque perso a son utilié au combat

A côté de ça il y a quelques trucs qui m’ont dérangés.

  • Histoire sans grand intêret. Agréable à suivre mais on a déjà vu mieux, et beaucoup plus abouti
  • Peu de lieux différents à visiter. Le monde est assez petit.
  • Peu d’ennemis réellement différents.

Bref, je dirais que j’ai quand même bien apprécié mon périple dans le jeu. Certes c’était assez linéaire (mais bourré de sous-quêtes annexes) et un peu répétitif parfois (mais pas over désagréable), mais la maniabilité, la profondeur de choses annexes à faire rallongent considérablement la durée de vie.

Pas le meilleur RPG du siècle mais un très bon cru. Comme vous l’aurez compris, si j’avais un mot à la bouche pour qualifier Atelier Iris, ça serait agréable.

Un bon petit 16/20 🙂

Good Luck!!

Dans ma folle continuation sur les drama, je me suis penché sur Good Luck!!, série conseillée par un ami fansubber.

GL, c’est une série de 10 épisodes filmée en 2003 et qui nous narre l’histoire de Hajime Shinkai, (sur la gauche sur l’image ci-dessus), un pilote de ligne. Enfin, co-pilote en fait, il n’est pas encore « Captain! »

Comme d’hab avec les séries comme ça, sur un thème, on peut s’attendre à un truc très chiant, mais finalement il n’en est rien, et c’est complètement le contraire: les acteurs, l’histoire, les situations, tout fait de Good Luck!! un drama riche et hyper agréable à suivre.

Vous connaissez déjà Shinkai…

Mais il n’est pas tout seul. Il rencontrera durant les moments où il n’arrive pas à la bourre à l’aéroport pour piloter un avion la charmante Ogawa, mécanicienne de son état. Elle a un caractère de cochon, mais elle le porte bien:

mais aussi la très bien foutue Togashi, hotesse de l’air pour la compagnie All Nippon Airlines où travaille Shinkai. C’est elle qui « chaperonne » les hotesses les plus jeunes, étant donné son expérience.

Mais il y a également Kouda, le responsable de l’audit des pilotes, qui donnera du fil à retordre à Shinkai. Froid comme un cyborg et une armoire à glace réunis, Kouda cache en fait un terrible secret que je vous laisserai découvrir…

Tout ce petit monde et bien d’autres évolueront au fil de l’histoire. La série n’est pas extrémement marrante mais reste surtout très réaliste, mélant les scènes de pilotage en situation parfois extrème des avions de ligne, les problèmes en cabine avec les passagers, ou les incidents un poil plus critiques… A côté de ça, on trouve également des moments plus émotionnels, sur la terre ferme.

Vous l’aurez certainement compris, il m’est très difficile de parler de Good Luck!! sans en dire trop, mais là j’ai vraiment l’impression de ne pas en avoir dit assez. Shinkai est un perso qui a la classe, dont l’acteur joue comme un dieu. Kouda reste impassible en toutes situations, tel un aevoc des avions de ligne. Les hotesses sont charmantes comme des Mahoro dans les airs, et je vous en passe.

Même si c’est une série télé, on découvre un petit peu la vie de tous les jours des hotesses , pilotes et autres mécanos. Tout comme Urgences ne montre en rien comment c’est dans un hopital en vrai, Good Luck!! s’efforce de nous intéresser au sujet de la vie dans un aéroport, et excelle en la matière.

Définitivement un tampon « Axel approved » pour celui-ci!

Ah j’oubliais, si vous voulez en savoir plus, vous pouvez consulter ce site (attention ça spoile sévère) où j’ai honteusement pompé les images pour illustrer mon billet. Et j’ai pas honte.

Densha Otoko

« L’homme du Train » est l’un de ces OVNIs que seuls les japonais peuvent nous pondre.

Densha Otoko est une histoire qui est tout d’abord partie des forums de 2chan dont 4chan s’est inspiré (en reprenant uniquement les forums anime/hentai et quelques autres). L’histoire a démarré comme toute légende urbaine, et s’est tellement répandue qu’elle en a engendré des romans, des films, et maintenant, une série TV. Au japon, on les appelle des Drama.

Pour résumer l’histoire, prenez un otaku tout ce qu’il y a de plus caractérisé, dont la chambre est remplie de figurines et de posters, de jeux vidéos et autres, et qui hante Akihabara avec ses potes. De l’autre, prenez une jeune femme avec des airs d’ange, secourue dans un train par notre valeureux otaku, qui sur une once de courage, tente d’arrêter le vieux pervers bourré qui agressait la jeune femme. Sur ce, elle lui demande son adresse et lui envoie un cadeau. Mais il ne compte pas s’arrêté là, et poussé par ses potes sur le forum où il traine, il tente de la revoir, de changer son apparence, bref, de la conquérir. Et un otaku pure souche qui tente de conquérir une jolie fille, forcément, c’est tout de suite très marrant.

Quoi qu’on en dise, les séquences de chat sur le net ne sont pas ennuyeuses et très bien réalisées. Leur dynamisme et surtout, les caricatures de personnages qui fréquent le forum est d’un comique que seul les connaisseurs peuvent apprécier, allant de l’otaku militaire, au mec qui a quitté sa femme, à la femme au foyer qui ne fout rien, la jeune fille qui fait du cosplay tout le temps, le salaryman, l’amateur de porno, le couple qui se fait chier, la bonne femme qui se fait du maquillage tout le temps, l’autre qui passe son temps à sortir de l’art en ASCII, l’étudiant, le fan de trains… vous l’aurez compris, on a un énorme panorama très caricatural des japonais. Et c’est tant mieux, ça donne un effet comique.

Le pauvre Yamada aussi (le héros), qui begaye tout le temps, n’arrive pas à se résoudre a appeler la douce Saori, a une vie de merde, un boulot de merde… bref, il a tout pour échouer, et pourtant…

Je ne vais pas vous gâcher la surprise!

Pour mon premier drama, j’ai réellement été surpris. J’avais presque l’impression de regarder un anime mais en vrai. C’est du tout bon, alternant des moments fort émouvants et les moments comiques avec la petite musique ridicule. On ne pourra que rire de la naïveté de Yamada et de sa maladresse.

La réalisation est vraiment bien foutue, même si le jeu d’acteur laisse parfois à désirer (en particulier Saori, qui a du mal on a l’impression. Yamada lui fait déjà un meilleur boulot en tant qu’acteur). Ca reste cependant très agréable à matter, et je suis sûr que, comme moi, vous aurez envie après de vous plonger dans d’autres dramas, dont je ne manquerai pas de parler. C’est bourré de références, que ce soit avec l’opening qui n’est autre qu’une version alternative de l’opening de la Daicon 4 fait par Gainax en 1983, avec la chanson Twilight de Electronic Light Orchestra, si chère à moi et les RafaL.

Il faut dire qu’avec l’actualité anime super pauvre en ce moment (je ne vous ai pas encore parlé de Full Metal Panic The Second Raid, il serait temps), des drama originaux et marrants arrivent comme une bouffée d’oxygène pour moi 🙂

Du bonheur en barre 🙂

Pour les remerciements, j’ai pompé sans vergogne les screenshots disponibles sur le blog Random Curiosity et plus précisément sur cette page.

Pour ceux qui sont intéressés, vous trouverez des downloads et des sous-titres sur cet excellent topic sur Hongfire

A vos torrents!

Star Wars Knights of the Old Republic 2

KOTOR, premier du nom, était une petite révolution à l’époque. Imaginez! Un jeu d’aventure/RPG Star Wars, en plus de ça fait par des anciens de Bioware. Aucun doute, on a pas été trop déçus. Une interface un peu simplifiée mais plein de possibilités, des tas de caractéristiques, capacités et pouvoirs comme seuls les gens de Bioware en sont capables.

Après donc ce très bon KOTOR 1, voilà qu’ils nous remettent le couvert pour la suite…

Au premier abord, seulement, on a vraiment l’impression que ça sent le réchauffé. KOTOR 1 a bien marché, vite, faisons un 2, repenons le moteur du 1 intégralement, on y ajoute 2 ou 3 choses, on fait une nouvelle histoire… Non vraiment, ça serait plutôt un KOTOR 1.5 qu’on a là

Mais en même temps, une fois de retour dans le jeu, c’était tellement bon la première fois, qu’on oublie complètement qu’on vient d’acheter le jeu au prix fort alors que ça n’aurait pu être qu’un add-on. La sauce prend, on se met à retrouver les bons vieux réflexe de l’auto-pause, les pouvoirs de la Force, et les dilemnes de conversation pour avoir des points du côté lumineux ou obscur…

Ceux qui ont joué au 1 seront donc tout à fait dans leur élément, tellement même qu’ils sentiront les premières maps plutôt familières, comme la citadelle orbitale de Telos.

Pour ceux qui par contre n’y ont jamais joué, prenez un bon jeu d’aventure, saupoudrez ça d’une bonne dose de RPG avec deux fins différentes, des dialogues à choix très très multiples, des mini-jeux, plein d’items, de la personalisation d’items, une histoire pas trop linéaire, plein de persos…

Vous l’aurez deviné, tout fan de RPG qui se respecte se doit de posséder au moins KOTOR1. On dira que le 2 est en option.

Allez, un p’tit screen pour finir, voici Teri, mon avatar dans le jeu.

Suzuka – mais pourquoi j’ai pas encore arrêté ?

C’est vrai quoi, un anime aux airs de Love Hina avec du sport, qui eut cru ça possible? Pourtant, l’histoire s’écarte très rapidement du boxon de Love Hina en se concentrant principalement sur le triangle amoureux Suzuka-Yamato-Honoka. Comme d’habitude quoi, rien que du classique.

Donc qu’est-ce qui peut me faire continuer à matter cet anime ? Hé bien tout simplement parce qu’il y a une miko. Bon ça va hein, vous devriez me connaître maintenant 🙂

C’est la camarade de classe de Yamato, Honoka Sakurai. Elle semble être une amie d’enfance avec lui ou quelque chose comme ça et en pine visiblement pour lui. Comme toutes les miko elle est bien entendue douce et innocente… Complètement irrésistible!

« Hé… c’est mon verre… serait-ce un baiser indirect? »

Hahaha, si c’est pas une des constantes des animes/mangas romantiques ça…

Bon trève de plaisanterie, si je suis toujours Suzuka, c’est également parce que les design des personnages sont plutôt agréables à l’oeil, ce qui est plutôt rare de nos jours. Néanmoins, l’histoire a intêret à prendre un bon coup de pied aux fesses dans les prochains épisodes, sinon ça va vite devenir très lourd, vu que pas grand chose ne se passe.

Team America Police du monde

Les films originaux m’ont toujours attiré… En l’occurence, un film avec des marionettes, qui ne se prend aps au sérieux, c’est le genre de films que j’aime bien pour passer une heure et de mie de détente.

L’humour est bien présent dés les premières scènes, et c’est assez sympathique, au fond. Un film d’action avec des marionettes, ça aurait pu être très chiant, et pourtant, avec l’humour complètement déplacé ça passe plutôt bien.

Ceci dit, faut avoir le coeur bien accroché, car étant donné la nature du film (aucun véritable acteur), le réalisateur s’en est réellement donné à coeur joie. Je n’en dis pas plus, mais y’a des trucs vraiment, vraiment gores, presque gratuits. C’est donc vraiment réservé à un public adulte et averti. N’emmenez pas votre petit frère de 11 ans voir ce film, je vous le dis.

On comprend mieux quand on sait que ce sont les créateurs de South Park qui sont derrière tout ça. C’est d’un mauvais goût et d’un politiquement incorrect à toute épreuve…! Ceci dit, ça a au moins le mérite, comme dans South Park, de faire la satire de la vision et de la politique américaine, en quelque sorte, si on regarde derrière les gags scabreux.

Ca reste un bon délire, et ça doit être bien excellent entre amis pendant une LAN. Je regrette de pas l’avoir passé au AGC 16 en tous cas 🙂

Kannazuki No Miko

Warning, mikos spotted.

Je vais poser les bases rapidement, hein.

D’un côté nous avons Himeko, petite blonde fort sympathique, un peu maladroite, banale, et en plus un poil cruche. Sa seule qualité est d’être kawaii.

De l’autre côté nous avons Souma, un jeune garçon très bien et très propre sur lui, sérieux et qui en pince pour Himeko.

Et entre les deux, nous avons l’entremetteuse, la reine de l’école, la très mystérieuse et très sérieuse et aussi très très riche Chikane… qui en pince aussi pour Himeko.

Ah y’a un problème là vous trouvez pas? 🙂

Mis à part cette situation Orange Road-esque, Kannazuki no Miko combine à merveille tout ce qu’on aurait jamais imaginé retrouver réuni dans un anime: des miko, du yuri (doublé d’un viol), des mechas, des maids, du ecchi, de l’occulte, et Ayako Kawasumi-sama.

Tout est réuni pour qu’on sente la série tout droit sortie d’un jeu hentai. Même l’opening et l’ending sont chantés par KOTOKO! Et pourtant, je ne pense pas avoir vu de jeux H de KnM auparavant.

L’histoire? Oh, rien que du banal: Tout le monde vit heureux dans le monde, mais un jour des démons Orochi attaquent, veulent tuer les prétresses de la Lune et du Soleil (qui se trouvent être respectivement Chikane et Himeko, quelle heureuse coincidence.) mais Souma décide de les en empêcher, bien qu’il ait du sang Orochi dans ses veines, qu’il tentera de calmer via son amour pour Himeko (ça c’est mignon.)

Le dessin est un peu bizarre au premier abord mais on s’habitue. Le principal attrait dans cette série, ça reste bien sûr l’histoire et les personnages. Je ne dis pas trop pour pas spoiler, mais on reste quand même assez attirés par le mix assez original d’idées dans la série. On sent néanmoins la grosse dose de fanservice à outrance, sans que ça soit provocateur ni même obscène ou ridicule.

Je n’ai pas encore fini de tout voir, mais la série me plaît assez après 6 épisodes. C’est plutôt bon signe, en ce qui me concerne… En général une série qui ne me plaît pas je décroche assez rapidement, surtout quand elle est aussi sérieuse que Kannazuki no Miko.

Une série à matter si vous êtes fan de tout ça 🙂

Amaenaide yo!

Amaenaide yo! fait partie de ces animes fort agréables vus de loin. Le genre de série qu’on va regarder le cerveau débranché, avachi sur le canapé la main dans le paquet de chips, l’autre tenant un verre de coca.

L’image est un peu petite, mais j’ai pas trouvé mieux (et j’ai un peu la flemme de faire des screens là) mais si vous voulez comprendre la teneur du phénomène, vous pouvez télécharger un extrait ici.

Comme d’habitude, je vous résume un peu l’histoire: Ikko est un jeune moine qui va devoir étudier au temple de sa grand-mère, car il est parait-il très prometteur. Seulement, voilà, comme dans tout anime qui se respecte il y a un hic. Un gros même. Sa grand-mère héberge de nombreuses prétresses (des miko… vous voyez pourquoi cet anime m’a attiré maintenant?) qui combattent les mauvais esprits et servent le temple.

Ikko a de très grands pouvoirs, mais pour les éveiller, il lui faut… quelque chose, que vous découvrirez soit en mattant le premier épisode ou soit en regardant l’extrait que je vous ai si gentiment proposé plus haut.

Comme d’habitude avec un premier épisode il est trop tôt pour en parler, mais ça promet de gros délires ecchi, sans aucun doute.

Suzuka

Je n’attendais pas grand chose de cet anime.

Oh, c’est pas qu’un anime harem de plus ne me fasse plus aucun effet, c’est juste que au fur et à mesure du visionnage, j’ai été happé par des spectres de Love Hina: le héros qui habite une pension pour filles, le fait qu’il flashe sur l’une d’elles mais que celle-ci le repousse aussi sec, mais aussi…

londe alcoolo empruntée à Tina de Ai Yori aoshi, et la fille à lunettes aux gros seins et un peu timide… Bon faut vraiment que je vous fasse un dessin? ça sent le réchauffé!

Seulement voilà, y’a quand même une idée fort intéressante dans tout ça. Notre héros va faire donc la connaissance de l’héroine, Suzuka, qui est une athlète ma foi d’un fort beau gabarit, qui s’amuse au saut en hauteur. Elle est vachement bonne (en athlétisme hein, bande de pervers…) et a fait un petit record dans son école en sautant au dessus de 1m69. Elle forme donc tous les espoirs de ses camarades de classe, professeurs, et connaissances.

Voilà en gros pour l’intrigue de base. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pendant 19 minutes, l’anime m’a laissé totalement de marbre. Générique bof, designs bof, histoire bof, humour bof, clichés bof, et puis lors de la dernière minute, il se passe un truc dont je ne vais évidemment pas vous parler… Mais vous verrez bien 🙂 Une excellente surprise en tous cas, et ça m’a donné envie d’en savoir plus. A suivre, donc, mais pas trop quand même.

Atelier Iris: Eternal Mana

Ca faisait un moment que je vous avais pas bassiné avec un nouveau jeu, hein?

A vrai dire, je suis arrivé au dernier boss de La Pucelle Tactics et, très mal préparé (évidemment on me dit rien à moi!) j’ai sauvegardé là où il fallait pas, et je ne peux plus revenir en arrière pour faire le plein, et il y a un put1 de chemin long et peuplé de monstres avant le dernier boss.

En conclusion, je dirais: une vraie merde de boss de fin.

Mais revenons à Atelier Iris: Eternal Mana. Visiblement nouveau volet d’une longue série (un peu comme les Final Fantasy) mais n’ayant rien à voir avec les précédents, ce RPG de 2005, sorti aux US en Mai, frappe tout d’abord par sa beauté graphique jamais vue sur PS2. Et je ne parle pas de 3D, ici c’est uniquement de la 2D, et de la 2D très fine, qui ne pixelise pas et qui ne bave pas.

Je n’ai pas joué très longtemps, mais le début m’a bien plus. C’est leché, très bien doublé (voix japonaises ou américaines au choix) et la profondeur du jeu a l’air abyssale, grâce notamment à un concept, celui de l’Alchimie.

Oui, comme dans l’anime Full Metal Alchemist, vous allez pouvoir extraire des éléments des bouts de décor. Ca a l’air concept et ça l’est. Le système est vraiment sympa car après, vous pouvez lancer des sorts avec ces éléments…

Bref, pour l’instant je ne peux pas en dire plus, mais vous pouvez jeter un oeil à ces quelques screens, dans la suite de ce billet, si vous êtes intéressés.

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Okusama wa joshikosei

Okusama wa Jishokosei signifie « Mon épouse est une lycéenne. »

Mettons les choses au point tout de suite, pour vous montrer que cette review sera totalement subjective:

Avec ces deux points, il m’est complètement impossible d’être objectif. (Pour ceux qui ne suivent pas, Ayako Kawasumi-sama est ma seiyuu préférée.

Mais passons à cet anime au nom fort agréable au demeurant.

Okusama wa joshikosei, c’est avant tout l’histoire d’une jeune fille nommée Asami, qui est folle amoureuse de son mari. Oui, elle est mariée, bien qu’elle n’ait que 17 ans. Bon, elle est pas non plus raide dingue, mais elle le porte vraiment dans son coeur, et c’est très mignon.

Problème numéro un: Son mari est un jeune professeur. Et qui enseigne dans le même lycée où elle va. Et dans la même classe. Evidemment, motus et bouche cousue à l’école au sujet de leur relation.

Problème numéro deux: Le père d’Asami semble ne pas apprécier leur idylle, et leur a fait signer un contrat comme quoi ils doivent s’abstenir de tout rapport sexuel avant qu’Asami n’ait son diplôme de fin de lycée.

Autant vous le dire tout de suite, ce n’est pas facile pour la jeune Asami qui rêve de faire des galipettes avec son mari. (C’est tellement rare dans un anime qu’il faut le souligner 🙂 )

Voilà pour l’intrigue principale définie dans le premier épisode. Il est encore trop tôt pour réellement savoir ce qui va se passer, les obstacles qu’ils vont surmonter, mais pour un premier épisode, ça s’annonce plutôt bien. Attendons de voir la suite avant de juger plus en profondeur.

La réalisation a été confiée au studio Madhouse, résponsable du récent Ichigo 100% (qui, même si la série est carrément géniale en manga, m’a très déçue en anime, étant donné sa faible qualité d’animation et le rush pour faire tenir un arc de l’histoire dans 12 épisodes et 1 OAV). Et déjà la qualité est bien meilleure que dans Ichigo je trouve…

Un autre excellent point, c’est l’opening, Love Love Chu Chu! qui est d’un kawaii à toute épreuve. Dés que possible il attérit sur mon iPod en tous cas!

Une série à surveiller pour les amateurs de romance à problèmes 🙂

Pastel

Je crois que ce qui m’a intéressé en premier lieu sur le manga Pastel dispo chez AnimeWaves (décidément, encore eux!) c’est son graphisme plutôt agréable à l’oeil sur la couverture. Comme j’ai du temps à perdre en ce moment (comment ça, ça se voit avec tous les billets que je fais en ce moment?)

Pour en revenir donc à Pastel, c’est un manga, qui, une fois n’est pas coutume, commence par le héros, Mugi qui rompt avec sa copine, Hinako. Tout ça parce qu’elle s’en va à Tokyo pour ses études, comme si la distance ça avait tellement d’importance…!

Pour lui éviter la déprime totale, son pote un peu rasta Kazuki va l’inviter chez sa tante qui tient un p’tit restau sur une île du Japon, pour lui changer les idées et lui permettre de draguer des filles.

Ca ne loupe pas: Mugi surprend une jeune fille qui se change en maillot de bain devant lui, et c’est le coup de foudre. En voyant cela, la fille en question n’hésite pas à lui demander 120 yens parce qu’il l’a vue se changer… 😛

Mugi va alors sortir un peu avec lal jeune fille, Yuu, sur l’île où il est, mais ça ne va pas super bien se terminer. C’est ainsi que Mugi va tenter de la retrouver sans succès. Décidant d’abandonner, il rentre chez lui plus tôt que prévu, et tombe nez à nez avec Yuu, chez lui. Comment ça se fait? C’est très simple: les parents de Yuu (et de sa soeur, Tsukasa) sont morts récemment, et le pèrèe de Mugi, qu’on ne voit pratiquement jamais vu qu’il bosse, avait fait une promesse à son grand ami qu’il s’occuperait de ss deux filles s’il lui arrivait malheur. Voilà donc l’aimable et un peu naive Yuu, et son énergétique petite soeur Tsukasa, devant des « membres de la famille » de Mugi, aux yeux des villageois (pour éviter toutes rumeurs…)

C’est là que le héros, très gentil au demeurant, tombe nez à nez avec un cas de conscience: Il aime Yuu, mais peut-il lui dire sachant que ça pourrait rendre leur situation plus que bancale, et trop embarrassante pour elle, au point où elle devrait quitter la maison, et ne plus avoir de toit où aller? Pour elle, il cachera ses sentiments au mieux, mais c’est sans compter les interférences extérieures que je ne citerai pas pour vous gâcher le plaisir.

Comme vous le voyez, le dessin est très agréable, et surtout, surtout, Yuu n’est même pas kawaii. Elle est tout simplement super mignonne. Elle a en tous cas gagné un bon pour avoir son nom sur un des disques durs de Mahoro ^^. Elle fait également preuve d’une naiveté toute rafraichissante, comparée aux anime girls faisant habituellement l’objet de convoitise des héros dans ce genre d’histoire. Bien sûr, elle ne manquera pas de se mettre en colère lorsque Mugi se rincera « accidentellement » l’oeil mais elle le pardonnera presqu’aussitôt. Les situations ne sont pas du tout exagérées à la Love Hina, le tout restant assez réaliste pour qu’on s’accroche à cette histoire qui a l’air super mignonne mais un peu tordue au premier abord.

En tous cas, moi j’adhère complètement. Les dessins sont très jolis, c’est agréable à lire, pas prise de tête, et évidemment, un peu ecchi (ah que voulez-vous, fallait bien que ça me captive d’une façon ou d’une autre… :D) sans être graphiquement explicite. Du tout bon!

Pour ceux qui voudraient voir d’autres scans, j’en ai mis quelques uns de Yuu dans la suite de ce billet, vous n’avez qu’à suivre le lien pour admirer sa kawaiitude.

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Pipiru piru piru pipiru pi!

Ca y est, je crois que j’ai atteint la décadence suprème en matière d’anime, avec Bokusatsu Tenshi Dokuro-chan.

Vous pensiez sincérement aoir tout vu en anime avec Evangelion, FLCL, ou Excel Saga? Vous pensiez vraiment que Puni Puni Poemi était ce qu’il y avait de pire? Hé bien vous avez tout faux. Avec Bokusatsu Tenshi Dokuro-chan, nous avons ici une histoire complètement absurde, doublée d’une mise en scène hilarante, de personnages attachants… et surtout, du sang!

Avec sa grosse masse très affectueusement nommée Excaliborg, Dokuro est un ange venu du futur, pour tuer le jeune Sakura. Tuer? Euh non, protéger… en fait! Car Sakura va être pourchassé par un autre ange voulant l’assassiner, et Dokuro-chan fera tout pour le protéger… enfin non sans mal. La petite ange dont n’importe quel lolicon (On va dire que ça peut s’apparenter à un pédophile) rêverait, a du mal à se contrôler, et semble ne pas trop s’inquiêter lrosqu’elle explose « accidentellement » la tête du héros, le tuant sur le coup.

Heureusement, elle a sa petite formule digne d’une magical girl pour le ressuciter sur le champ 🙂 Un petit tour sur elle-même, un brandissement d’Excaliborg, et un « pipiru piru piru pipiru pi! » auront vite fait de redonner des couleurs au pauvre Sakura-kun.

Bon si ce n’était que ça encore, ça irait, mais si vous rajoutez une part de ecchi, du gore digne des meilleurs épisodes de Berserk, et Ayako Kawasumi (la doubleuse de Mahoro) qui fait la (petite) amie du héros, vous en conviendrez que c’est un anime à ne pas rater pour les fans du genre qui souhaitent se taper un bon délire.

A l’heure où j’écris ces lignes, seuls les deux premiers épisodes sont disponibles en fansub chez trois groupes de fansub, dont Triad ou Frothbite. Les deux premiers chapitres du manga sont également out chez Animewaves

Sésame ouvre-toi!

Au fur et à mesure que je lis le manga Open Sesame actuellement en traduction chez AnimeWaves, je commence à comprendre le titre. C’était vraiment loin d’être évident au début, mais maintenant ça l’est a peu près.

Ce que je pense donc de ce manga? Il est fort charmant. Loin d’être transcendant, mai sfort agréable à suivre. Les filles sont d’un kawaiisme, il y a peu de pantsus pour déranger la vue, et le seul truc un tant soi peu ecchi reste les décoltés de certaines des filles montrant toujours un soupçon de leur sainte vallée… Ahem, mais à part ça, rien de choquant.

Les personnages sont assez nombreux et fort attachants, et bien que certains chapitres remplissage sont à déplorer, il y a quand même une histoire qui avance un peu. Ca ne s’adresse pas aux fans de boxe en fait, malgré le fait que le héros soit un boxeur expérimenté, mais l’intrigue est surtout centrée sur les déboires amoureuses et scolaires des protagonises, le tout restant très sérieux.

Définitivement une bonne lecture pour s’occuper! 🙂 Si vous avez aimé Ichigo 100%, ou encore d’autres histoires romantiques se passant dans un lycée, vous aimerez Open Sesame, c’est sûr.