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Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

Moe-Modes

MAJ 20/12/06: Ajout du chibi-mode, des lunettes, et des particules stupides.

C’est l’article sur le zettai ryouiki de DarkMirage qui m’a donné l’idée de ce billet qui va se vouloir le plus exhaustif possible. Néanmoins je sens que je n’y arriverai aps sans votre aide, donc si vous avez des idées, n’hésitez pas à le signaler dans les commentaires.

L’idée de ce billet n’est pas de vous expliquer le Moe, loin de moi cette idée présomptueuse, mais de voir, ensemble, à quoi on peut reconnaître le moe. C’est ce qu’on appelle les Moe Modes.

Moe est un terme difficile à décrire mais facile à reconnaître. Ceux qui ont vu Densha Otoko se souviendront très certainement de l’utilisation un peu abusive du terme qui en était faite. On va résumer très succintement et dire que ce qui est moe est mignon et pousse à l’adoration, voire le fétichisme dans certains cas extrèmes.

Mais qu’est-ce qui rend un personnage moe dans une série? Généralement de sexe féminin, les perssonnages moe peuvent avoir un ou plusieurs moe modes. Ces derniers sont divisés en deux catégories distinctes: l’apparence et le comportement.

L’apparence

Je suis certain que plein de moe modes vous viennent déjà à l’esprit… On va commencer fort.

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Meido

Si vous venez ici souvent, vous savez forcément ce qu’est une Meido, ou en bon anglais, une Maid. Qu’est-ce qui fait qu’une Maid est moe? Ca tient en deux mots: son costume. Le serre-tête en dentelles, la robe longue (ou pas), les bas (ou pas), tout doit donner une apparence mignonne et adorable, et c’est ça tout le charme de ce moe mode. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter mon billet sur Les 5 Lois de la Parfaite Petite Maid. Je vais quand même pas tout redire ici.

Miko

Les Mikos, parfois abordées ici, sont pour la plupart qualifiables de moe. Pourquoi? Ca doit être cette innocence et cette dévotion à la religion qui font d’elles des saintes nitouches qui irradient leur entourage de leur innocence. Elles forcent le respect, quoi. Et puis, ça a l’air plutôt facile à enlever… 🙂

Nekomimi

Difficile d’aborder le moe sans parler du moe mode du Nekomimi, qui consiste bien souvent à faire du cosplay en ajoutant des oreilles de chat, voir une queue de chat, à un personnage féminin. Effet moe garanti à 200%. Pourquoi le chat et pas un autre animal? Parce que le chat a cette réputation, à défaut d’être fidèle, d’être très mignon et câlin. Transposez ça sur une fille déjà mignonne pour commencer, et ça donne un résultat détonnant. Et puis un chat, ça aime lécher, pétrir, se blottir, tout ça. C’est bon, vous avez compris? +20 de bonus pour les neko-girls pure souche qui en plus font "nyaow" quand on leur parle ou rajoutent "nyan" à la fin de leurs phrases.

Rubans

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Une photo vaut toujours mieux qu’un long discours. Les rubans, ce n’est pas uniquement rigolo sur les papiers cadeaux.

Goth-loli

Ah les goth-loli, un moe mode que j’aurais dû mal à expliquer. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut aimer les rubans, les petites filles, les vêtements sombres et Desu. Oui, Desu. Voir plus bas.

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Rougissement

Quoi de plus moe qu’une fille qui rougit? D’embarras ou d’émotion, le rougissement s’accompagne parfois d’un petit sourire fort bienvenu. Ca montre le personnage dans une situation difficile pour lui et bien souvent, vulnérable. Hmmmm, vulnérable… 🙂

Maillot de bain

Bien, que le premier qui n’a pas pensé "maillot scolaire" ou "épisode de plage" lève la main. Bien, aucune main, ça me rassure sur mes lecteurs. 🙂 Il y a en fait deux types de moe modes du maillot de bain selon le maillot porté et les préférences de chacun. Certains préféreront, selon le personnage, un maillot scolaire de couleur uniforme en une pièce. Bon, personnellement je le trouve très très moche, mais cet avis n’engage que moi. Le moe factor n’est pas forcément proportionnel à la quantité de chair exposée: les amateurs de moe savent faire la part des choses et se contenteront fort volontiers d’un maillot classique, voire conservateur en une pièce. A noter que si l’anime dont le personnage est tiré a des éléments romantiques, vous avez Nx10² chances d’avoir un épisode à la plage. N étant le nombre d’épisodes au total dans la série. Marge d’erreur proche de zéro.

Magical Girls

Ah, la mahou shoujo. Cette jeune fille innocente, représentant les valeurs morales les plus élémentaires, prête à tout pour défendre ses amis, sa ville ou sa planète (voire parfois l’univers tout entier pour certaines). N’oublions pas que 3 fois sur 4 elles sont en plus lesbiennes, ce qui n’enlève rien à leur charme, bien au contraire. Qu’est-ce qui fait qu’une magical girl est moe? Facile! Elle a une petite voix sucrée au possible, elle porte un accoutrement de petite fille (après tout s’en est une), et elle manie un sceptre orné au choix: d’une lune, d’une étoile, ou d’un coeur. Je ne saurais trop vous conseiller de jeter un oeil sur l’excellent article de FFenril sur le sujet…

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Infirmières

Regardez qui voilà avec leurs grosses seringues. Les Nurses sont au moins aussi adorées que les écolières au japon. Peut-être est-ce leur joie de vivre (sauf dans les animes hentai où elles ont une chance quasi nulle de ne pas finir violées.) ou le fait qu’elles sont nues sous leur blouses blanches (ça c’est ce qu’on dit…), toujours est-il que les Nurses occupent une part de marché non négligeable dans le petit monde du moe. Probablement encore une histoire de monopole d’état… (mais qu’est-ce que je raconte?) Allez, Raton nous a déjà gratifié d’un billet sur le sujet, je vous conseille de vous y rendre. Evidemment comme beaucoup de posts de Raton, ce n’est ni worksafe, ni brainsafe.

Zettai Ryouiki

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Pour ceux qui auraient donc loupé l’article de DarkMirage, je résume: le zettai ryouiki est en fait la zone de chair exposée entre la fin de la jupe et le début des bas que porte une fille. Ca y est, je vous sens intéressés. Le zettai ryouiki joue sur l’imaginaire en offrant un appat au spectateur (et aussi au protagoniste masculin, mais il a l’air de s’en foutre royalement la plupart du temps.) Comme le précise l’article, le zettai ryouiki parfait est à 4:1:2.5 avec plus ou moins 25% de marge d’erreur. 4 étant la longueur de la jupe, 1 celle du zettai ryouiki et 2.5 la longueur du bas à partir du genou.

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Pyjamas

Quoi qu’on en dise, les amateurs de moe sont loin d’être des pervers sexuels irrécupérables (notez bien le irrécupérables.) J’en veux pour preuve leur amour pour tout ce qui est mignon, et ce moe mode comme celui du maillot de bain, montre bien qu’on peut tout à fait être moe sans montrer beaucoup de chair.

Chibi-mode (idée de Ephedria)

Le mode chibi ou bien aussi appelé SD pour Super Deformed, est très souvent retrouvé dans les séries àc aractères comique. Un personnage chibifié est instantanément moé. C’est une régle qui est difficilement contournable. La chibification consiste à changer l’apparence du personnage pour le rendre tout minuscule mais avec une grosse tête, un peu comme s’il s’agissait d’un dessin animé pour les enfants. Souvent utilisé dans les moments comiques, dans les dojinshi ou autres dessins parfois amateurs, le mode chibi est activé dés lors qu’un personnage fait un truc totalement idiot. Comme par exemple tout au long de l’ending de Otome wa boku ni koishiteru

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Le yukata

Ou tout simplement n’importe quel accoutrement japonais de circonstance. Le Yukata est également très prisé pour ce qu’il cache à l’intérieur, mais aussi parce qu’il est le symbole de fête au Japon. Comme pour la loi de l’épisode de la plage, comptez le nombre de fois où vous avez trouvé un épisode de festival japonais dans une série avec des éléments romantiques. Allez, c’est pas compliqué: ça arrive au moins une fois dans la série, et ce n’est qu’une excuse pour vous montrer les jolies haremettes dans cette tenue, avec probablement pas grand chose dessous. Petits pervers.

Loli(tas)

On a passé rapidement les goth-loli, et on va faire de même sur les loli. Généralement présents dans n’importe quel anime comme étant un choix possible du héros dans la confection de son harem. Je vous renvoie directement à la description du Lolita Complex sur Wikipédia. Les loli sont bien évidemment vues principalement pour l’innocence qu’elles dégagent (excepté le cas des killer-loli). Il est difficile de décrire précisément ce qui fait une loli. Parfois, on voudra les décrire comme des fillettes ou des filles pas encore bénies par la nature, parfois ça sera simplement pour désigner des filles encore mineures, même si ces dernières ont des gros seins et une batte cloutée appellée Excaliborg.

L’uniforme d’écolière

Tellement classique que je n’en propose même pas d’image… ah si, en fait.

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Il serait bien fastidieux de parler de tous les uniformes possibles et imaginables. J’ai encore ce souvenir ancré dans ma mémoire d’une boutique de cosplay au japon où sous mes yeux ébahis étaient étalés des dizaines d’uniformes de lycéennes provenant de tout un tas de séries: de To Heart à Karin et en passant par Kimi ga Nozomu Eien. Je vais briser la réalité de plein d’otakus français, mais au japon, les écolières ne portent jamais de tels uniforms aussi stylés. 90 fois sur 100, c’est l’uniforme de base que l’on connait tous, blanc et noir, ou bleu marine selon les écoles. Les 10 pourcents restants, ce sont des uniformes de type blazer, chemise, cravate, jupe écossaise. Voyez ce très bon article de Honey-sama sur le sujet, posté ici il y a fort longtemps, si vous voulez en savoir plus.

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Des filles et des armes.

Katanas, fusils, lance-roquettes ou tout simplement pistolets, les filles qui portent des armes sont généralement fortes et impressionnent. Cette force, combinée généralement à un aspect kawaii des plus léchés, contraste tellement bien qu’il fera un instant win de n’importe quel personnage féminin. Un exemple? Kirika dans Noir. Vous avez compris.

Lunettes (idée de Ephedria)

Les Meganekko (a ne pas confondre avec un chat à lunettes. Suivez un peu, bordel.) sont ces filles dans les animes qui portent des lunettes. En quoi est-ce moe? En anime, les lunettes existent en centaines de paires différentes. Autant de paires différentes permettent de différencier les personnages qui les portent et leur donnent un style bien à eux. Ainsi, les grosses lunettes rondes ou carées donneront un air de rat de bibliothèque à n’importe quelle fille tandis que des plus petites lunettes, bien souvent plus utilisées pour la lecture, donneront un air intelligent et sérieux. Les lunettes avec le cadre de soutien en bas sont également du plus bel effet (Ken Akamatsu, l’auteur de Love Hina et Negima, semble bien les aimer.). Les lunettes forment également une sorte de "vêtement" pour le visage que l’on souhaite découvrir sans, et qui stimule le moe factor du personnage qui les porte. Oh bien sûr, les lunettes sont aussi très prisées dans les jeux hentai comme par exemple pour… oh et puis non, laissez tomber.

Sommeil (ou chut, y’a bambi qui dort)

Regardez-moi ça si c’est pas mignon? Ces yeux fermés, ce visage paisible, cette pose si vulnérable… Une fille qui dort, ça force l’admiration. Bien sûr, si c’est une killer loli, il est très conseillé de s’en éloigner le plus vite possible au lieu de rester là bêtement à l’observer. Si vous vous trouvez à moins de 15 mètres lors de son réveil, vous vous retrouverez sans doute poignardé sauvagement ou frappé avec un objet lourd afin de provoquer une hémoragie immédiate et fatale. Suivez mon conseil.

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Le Comportement

On en a fini avec les moe-mode directement apparents, alors passons à ceux comportementaux. Un peu plus difficile à diagnostiquer pour certains, et s’appuyant parfois uniquement sur un personnage précis, ils n’en sont pas moins très courants en anime.

La Tsundere

Voir mon billet sur les tsundere. Rappel vite flash: une tsundere est un personnage, bien souvent féminin, qui est d’abord aggressive et violente envers le protagoniste masculin pour une raison X ou Y (phase tsun-tsun) mais qui devient progressivement plus ouverte et mielleuse passé un certain évènement ou tout simplement, du temps (la phase dere-dere.) Toujours est-il que c’est un courant très populaire dans les animes. La Tsundere est bien souvent rousse (les cheveux de feu, ça aide) et manie parfois une arme quelconque. Les exemples ne manquent pas: Nadia, Louise, Motoko (Love Hina), Chidori et j’en passe et des meilleures. Pourquoi est-ce un moe-mode? Comme le témoigne mon billet au sujet des tsundere (voir plus haut) les japonais en sont friands au point d’en ouvrir des cafés sur ce thème. Après tout, quoi de mieux que de voir une fille vous maltraiter, avant que vous ne réussissiez à percer cette coque aussi dure pour en découvrir un intérieur moelleux et plein de saveur? Un peu comme quand on mange un Mars, vous voyez?

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Le syndrôme Belldandy

Ah, Belldandy. Ménagère par excellence et déesse de surcroît, elle a donné naissance à de nombreux eratz plus ou moins réussi. La meilleure d’entre elles à mon sens, n’est autre que Mahoro. Les Belldandy s’occupent de toutes les tâches de la maison et restent d’un calme impassible en totues circonstances. La raison du moe-mode? Principalement, à mon avis, qu’elle représente l’épouse idéale (à condition qu’elle ne confisque pas toute votre collection de hentai comme la maid sur la droite.) C’est un moe-mode ultra connu. Prenez n’importe quelle mère de famille bien récompensée par la nature et en général, celle-ci aura tous les symptomes du syndrôme Belldandy.

Le syndrôme Rei Ayanami

Pas personellement mon style, mais je suppose que le personnage mystérieux à la Yuki Nagato qui ne débite parfois pas une seule phrase de tout l’épisode (tant et si bien que la doubleuse n’est même pas créditée à la fin de l’épisode, j’espère qu’ils ne sont pas payés à la ligne.) plaît à énormément de monde. Ca doit être l’éventail des fantasmes possibles, le côté soumis, ou bien encore, à l’image des tsundere, la possibilité de les faire sortir de leur coquille froide et de les faire se comporter a peu près normalement, une sorte de défi somme toute, qui pousse certains à vouer une adoration sans failles à ce culte étrange.

Le syndrôme Mikuru Asahina

Comment ne pas parler de Mikuru alors qu’elle est tout de même la synthèse complète de tout ce qui est moe? Tellement moe que ça en dégoulinerait presque de sucre. Pour ceux qui ne la connaissent pas (honte à vous, je vous renvoie à la case départ), imaginez une jeune fille à la voix douce et timide. De longs cheveux. Des gros seins. Un sourire angélique. C’est bon, vous voyez bien ce que je veux dire. Le genre de fille qu’on aimerait bien ruiner pour le mariage, sans doute.

Onii-chan!

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Sister Princess n’a pas hésité à voguer sur la vague du charme de la petite soeur. Evidemment, les petites soeurs qui adorent leurs grand frères n’existent pas dans le monde réel. Là, là, c’est fini, pas besoin de pleurer. La petite soeur est sans aucun doute l’un des éléments les plus moe que l’on retrouve le plus souvent dans une série. Le pire, c’est que parfois, c’est elle qui gagne à la fin. Aucune morale ces japonais, mais qui s’en plaindra, hein?

Les particules de fin de phrase

-desu -desu yo -unya -nya -nyu -su -nyo -nyoron -de gozaru -pyoro -da… Ces petites particules que certains personnages affectionnent tout particulièrement nous paraissent comme un défaut de langage qui renforce leur petit côté kawaii. Parfois pour montrer que le personnage est poli (-desu partout) ou bien parle de façon un peu ancienne (-de gozaru) ou carrément de façon enfantine (-nyo, -da), les particules à la fin des phrases sont là pour caractériser encore plus un personnage. Heureusement que les fansubs ne les mentionnent pas, on aurait encore plus tendance à les sortir à la fin de nos propres phrases tellement ça marque.

La fille malade

Kanon, Utawarerumono, Sister Princess (hé oui encore), ils sont tous coupables de contenir une jeune fille à la santé fragile. Il est de bon ton de penser que le téléspectateur n’aura qu’une envie, la protéger. Pour après abuser d’elle, évidemment. +50 points quand c’est la petite soeur du héros qui est malade. Quels enfoirés ces japonais quand même, utiliser des malades pour nous attendrir avant de nous laver le cerveau. N’oubliez pas d’acheter vos Chinpokomons.

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L’amie d’enfance

Alors ça, alors ça, je ne sais pas trop comment vous la présenter, tellement elle est connue. On les trouve partout, comme dans des pochettes surprise, des séries harem ou des machines à pain (rayez les mentions inutiles.) Le héros n’a en général qu’une amie d’enfance, et même si elle part bien souvent avec un net avantage, celle-ci n’est pas assurée de gagner si les réalisateurs tirent la carte SHUFFLE!. Si cela se produit, le héros doit en général penser à se trimballer en armure par la suite. Les amies d’enfance ont en effet la facheuse tendance à se changer en killer loli quand quelque chose ne leur plait pas. Pourquoi est-ce donc alors un moe-mode tant prisé? Facile: une amie d’enfance, tout le monde en a forcément eu une, et la complicité avec une fille, ça n’a pas de prix, et ça peut mener vachement loin. Surtout dans les animes.

La maladroite

D’après un récent sondage IPSOS, 99% des héroines d’anime sont maladroites au possible. Les pertes dégagées par ces maladresses se comptent en dizaines d’assiettes et de verres innocents qui finissent en morceaux et dans une poubelle. Ces sacrifices ne sont néanmoins pas vains, puisque sa maladresse aura souvent pour conséquence de l’exposer dans des situations parfois compromettantes. En général, fille maladroite = pantsu = moe. Ne cherchez pas à comprendre.

La timide

Petite voix, doux sourire, la timide se cache souvent derrière des lunettes. Vous voyez très certainement le topo, pas besoin de vous expliquer. Ce genre de personnage est bien souvent moe car soit elle cache un secret et est en réalité une bête de sexe, ou soit elle ne demande qu’à un onii-chan ou un sempai de la protéger. Dans tous les cas, c’est win-win. En grandissant, les filles timides donnent parfois de bonnes Belldandys. desu.jpeg

Desu

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Bon, plus sérieusement, regardez Rozen Maiden. CQFD.

Le mot de la fin.

Voilà en gros ma liste de moe-modes, enfin ceux que je connais en tous cas. Après, il m’en manque très certainement, et je compte sur les trucs qui me servent de lecteurs de m’aider à rendre cette liste la plus exhaustive possible. Vous avez un fétiche bien à vous, je le sais. Faites votre coming-out! 😛

Sister Princess

Aujourd’hui, j’ai décidé de parler d’une série assez ancienne, mais que j’affectionne tout particulièrement. J’ai nommé, Sister Princess.

La série va bientôt sortir en France, vu qu’il me semble que Dybex en a acquis les droits. (et ils sont bien courageux). C’est une rumeur cependant, à prendre avec des pincettes.

Attention, Sister Princess, de son petit nom SisPri, mettra votre sucre-o-meter à toute épreuve. Cette série est bourrée de bons sentiments, de pureté et de ??kawaii? -itude presqu’inégalés jusqu’alors.

L’histoire de l’anime se résume, en gros, à l’arrivée d’un type qui a loupé son entrée dans une école célèbre d’une façon dont on ignore encore (machination?) sur une petite île où il ira à l’école. Or, sur cette île, avec son parc d’attractions, sa petite ville fort agréable et ses bateaux qui ne partent jamais pour le continent, habite non pas une, pas deux, mais bien 12, oui douze soeurs du héros. Alors ne me demandez pas comment ça se fait que le type ait autant de soeurs, certaines plus jeunes et d’autres plus vieilles que lui, mais elles sont là, et elles vont lui montrer qu’elles adorent leur unique frère.

Pour renforcer cette atmosphère presqu’incestueuse, mais (fort heureusement) qui ne franchira jamais cette limite,chaque soeur appelle son frère d’une façon différente, et toutes les façons y passent: onii-chan, onii-sama, onii-chama, anii-ue, anni-ue-sama, onii-san, nii-san, nii, aniki, etc. Autant de façons qui reflètent la personnalité unique de chacune des soeurs.

Et concrètement, que se passe-t-il? Ben rien. C’est juste mignon. Comme dans beaucoup de séries issues d’un jeu vidéo / dating sim japonais, il ne se passe strictement rien avant les 3 ou 4 derniers épisodes. La majorité de la série est consacrée à la découvert d’une soeur en particulier, son histoire et comment elle voit son frère.

La série animée est originaire d’un jeu, mais ce jeu vient lui-même d’une mini-série d’histoires d’un magazine (vous aurez plus d’infos dans l’article Wikipedia sur SisPri) qui permettait à ses lecteurs de voter pour sa ‘sister’ favorite. Forcément, ça a fait un tabac, d’où l’adaptation en jeu vidéo et en anime.

Techniquement, ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais la série date tout de même de 2000-2001, et c’est assez coloré et fort bien dessiné (à tel point que je me suis payé les artbooks, vraiment sublimes)

Ceci dit, la série vous réservera quelques surprises… Est-ce réellement possible d’avoir douze soeurs sans jamais s’en être rendu compte? Qui a pu organiser son echec à l’examen d’entrée de l’école studieuse où le héros souhaiter aller? Est-ce que ce sont bien ses soeurs, ou des prétendantes?

A vous de le découvrir, dans cette série calme et sympa 🙂