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Star Ocean 5 : Le manque de foi à l’état pur.

Ah ça le manque de foi, les dev de Tri-Ace connaissent bien. Ils ont dû faire cet épisode de Star Ocean dans cet état d’esprit, ce qui expliquerait pas mal de choses. Vous avez sûrement vu l’avis mitigé de la presse mais je vais vous le résumer : Star Ocean 5 est moyen. Le genre de jeu où tu te dis qu’il y a tout ce potentiel gâché par des choix particulièrement douteux, que ça soit en terme de game design, de budget ou de planning, ou les trois à la fois.

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Qui dit RPG dit histoire, et on ne peut pas dire que celle de SO5 brille. Je ne l’ai pas encore fini, mais on m’a annoncé 18-20 heures de jeux en ligne droite. J’en suis à 21 et je n’ai aucune espèce d’idée de si je suis à la fin du jeu ou pas, mais en même temps j’ai pas mal traîné à côté.

Et j’aurais pas dû.

Bref, vous êtes Fidel, un fils de général sur une planète qui est à l’ère de la fantasy avec épées et magie. Le pays de Fidel est en guerre avec son voisin, et c’est assez moyen. Un camp n’a pas vraiment l’avantage sur l’autre et ça énerve tout le monde. Fidel, lui est dans son village un peu paumé qui se fait attaquer régulièrement par des bandits. Après avoir fait tout le tour du pays pour aller à la capitale (alors qu’il y a un chemin plus court qu’on nous montre qu’après, évidemment) demander des renforts, on tabasse les méchants. Sur le chemin du retour, notre héros voit un truc en feu tomber du ciel, s’en approche, mais… rien. C’est alors qu’il se rend compte qu’un truc invisible se tient devant lui et une petite fille en sort. Des types pas contents aussi. Fidel et son amie d’enfance Miki vont escorter la petite et prendre soin d’elle. Bien sûr, tout va se corser car tout d’un coup, les ennemis du pays de Fidel et Miki vont se voir équiper de fusils laser. Pas pratique quand on porte des armures des arcs et des épées.

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Le grave problème du jeu est qu’il n’a aucune ambition dans sa mise en scène. Ce que je viens de vous décrire n’apparaît au joueur que sous la forme de scènes où on contrôle Fidel et où on ne peut pas sortir d’une certaine zone (celle de la « scène ». En gros, plutôt que d’avoir des plans de caméra un tant soit peu recherchés, on laisse au joueur le soin de voir les personnages discuter et bouger entre eux. Aucun effort de mise en scène donc, qui se voit aussi avec les NPC : on passe à côté des gens et une bulle apparaît pour qu’on puisse lire ce qu’ils disent. Sauf que le temps qu’on s’en aperçoive, on est déjà loin vu que les persos se déplacent en courant. Bref, les véritables scènes cinématiques sont bien trop rares et cela nuit grandement à l’immersion.

Ce manque d’ambition s’entend aussi dans les musiques, où Motoi Sakuraba nous sert sa soupe habituelle sans aucun effort. Aucun thème ne rentre dans la tête, les musiques de combat sont inaudibles tellement il se passe de trucs dans les combats…

A cela s’ajoute des persos pas follement intéressants. S’ils sont loin d’être énervants et stéréotypés au possible comme l’étaient les personnages de Star Ocean 4, ceux du 5 sont… pas inoubliables. La faute au manque cruel d’interactions entre eux, que ça soit via les Private Actions trop peu nombreuses (ces saynettes entre personnages qui se déclenchent dans les villes). Le seul personnage énervant reste celle qu’on appelle Welch. Oui, aussi pête-couille que dans le 4, et c’est juste une alchimiste ratée qui va quand même vous enseigner les joies de la création d’item. Si vous arrivez à la supporter.

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Le déroulement de l’histoire jusqu’ici est assez plan-plan. Comme je disais, le manque d’ambition tue dans l’oeuf toute tentative de scène un peu osée. Comme on doit forcément être du point de vue d’un des personnages du jeu, les séquences purement cinématiques se font rares et sont faites avec le moteur du jeu. Pire : je crois que le moment où je me suis senti insulté fut lors d’une bataille spatiale qu’on ne suit qu’à partir d’un pont de vaisseau fermé sur l’extérieur. Impossible de voir quoi que ce soit, on est obligé de suivre par rapport à ce que disent les opérateurs du vaisseau. C’est assez ouf de voir le niveau de cheap du jeu.

Les quêtes secondaires ? Quelles quêtes secondaires ? Dignes des pires MMO de l’histoire (tuer X ennemis, ramener Y objets) ces quêtes vous récompenseront la plupart du temps en compétences nouvelles pour vos personnages, mais elles sont tellement rébarbatives et vous obligeront à faire du rétropédalage pour revenir à la ville où vous avez choppé la quête. Sauf qu’entre temps vous êtes passé à autre chose, bien sûr ! Vous êtes loin ! Du voyage rapide ? Le jeu vous en donne la possibilité… avant de la reprendre une heure ou deux plus tard. « Tiens, voilà un jouet, je te le reprends après. » Sympa pour le joueur. Vous imaginez bien que les déplacements sont lents et fastidieux, la faute à des grandes cartes où les ennemis sont parfois difficiles à éviter.

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Quand je parlais de potentiel gâché, c’est bien ce que l’on ressent. Le jeu est loin d’être mal foutu. Il renoue d’ailleurs avec la difficulté bizaremment dosée des opus précédents (le 4 était très facile en comparaison). Il m’est arrivé de me taper un game over plus d’une fois parce qu’un combat avait mal tourné soudainement, alors que tous les précédents avaient été tout à fait faisables. Ca ou encore les successions de combats relous puis de boss entre lesquels tu ne peux pas sauvegarder…

Niveau gameplay ça peut donc être parfois impardonnable, mais on a quand même sept personnages à l’écran pour tatanner des monstres. Le jeu utilise un système de rôles assez ingénieux pour indiquer à vos personnages quoi faire quand vous ne les contrôlez pas. Défenseur, Attaquant, Sauveur, Sage, Militant Magique, etc. Tous ces rôles aux noms parfois énigmatiques augmentent certaines stats mais surtout indiquent à vos persos comment agir : rester à distance, attaquer comme un bourrin, parer, utiliser des sorts offensifs plus que défensifs… Il faudra parfois s’adapter en cours de route, mais l’idée est là et elle marche bien. On peut améliorer les rôles avec des points de compétence, et en découvrir de nouveaux en augmentant le niveau de certains.

Sept personnages à l’écran, ça donne des combats parfois un peu bourrins et illisibles, mais ce n’est que l’impression du début. On commence rapidement à mieux cerner ce qu’il se passe au bout de quelques heures d’adaptation. Le vrai problème via encore et toujours de la difficulté parfois mal dosée qui rend certains combats particulièrement pénibles.

Je pourrais vous détailler encore d’autres trucs qui m’ont donné envie de jeter ma manette de frustration. Les combats de protection de personnage qui arrivent sans crier gare et qui font game over dés que le personnage meurt (ce qui peut arriver en quelques secondes si tu spammes pas les soins), les spoils des cinématiques à cause de popups d’interface (« Machin a quitté le groupe » hein mais attends il est encore là ? Quinze secondes plus tard : Ah ouais ok, merde.)… C’est vraiment dommage tout ça, surtout que le jeue st pas moche du tout. Les textures sont parfois un peu baveuses mais le jeu s’en tire bien quand même.

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Au final, tout cela inspire le gâchis. Le pur gâchis. Pourtant j’adore Star Ocean et autant le 4 était parfois énervant, il avait le mérite de proposer une aventure variée. Là vous passerez le plus clair de votre temps à regarder des échanges entre des personnages sans âme, et à vous demander ce que vous foutez là. Après à savoir si le budget n’était pas au rendez-vous ou si les développeurs ont fait preuve de flemme, l’avenir nous le dira peut-être dans une interview post-mortem. Reste que pour un Star Ocean, on dirait plutôt un lac qu’un océan.

Je vais le finir promptement et jouer à des jeux hautement plus recherchés scénaristiquement. Comme GalGun 2 par exemple.

Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

Star Ocean 4 – Fin

Cet article sera sans gros spoilers, c’est promis. Juré même.

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J’ai fini hier soir Star Ocean 4. Voilà, ça devait être dit. Le jeu au final m’a duré près de 65 heures en prenant mon temps, soit 2 semaines de jeu. J’ai été un peu surpris par l’impossibilité de retourner faire des quêtes annexes et me gambader une fois attéri sur En II, ou alors j’ai loupé un truc.

Enfin gambader, le souci étant que les quêtes annexes de Star Ocean 4 sont d’une nullité affligeante. Elles consistent en gros à ramener tel ou tel item à la personne qui vous a confié la quête. Les gens chez Square / TriAce ont dû se dire "oh merde on a oublié de faire des quêtes annexes!" au dernier moment. Le pire c’est qu’ils ont aussi vraisemblablement "oublié" des donjons annexes, car il n’y a rien à explorer ou à faire à part suivre l’histoire. Encore une fois, j’ai peut-être loupé des choses mais ça me paraîtrait étonnant. Les seules choses à faire sont les courses de lapin et le colisée. Colisée qui reste un bon petit passe temps pour peu qu’on ait des persos au niveau.

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Côté histoire, comme je l’avais expliqué dans mon billet précédent on a droit à du cliché avec des rebondissements déjà vus mais qui fonctionnent. En gros, l’histoire n’a rien de surprenant mais elle est correctement racontée. C’est l’exemple même du scénario qui marche alors qu’il n’a rien d’exceptionnel. Les persos, aussi, subissent le même sort: ils sont sortis tout droit d’un manuel de design de JRPG, mais ils sont bien dessinés et dégagent suffisament de charisme pour accrocher. Et puis le système de Private Actions si cher à la série Star Ocean aide beaucoup à mieux les connaître.

Pour la répartition des DVDs, attendez-vous à passer un long moment sur le premier, un moment plus court sur le deuxième et encore plus court sur le troisième. Il faut dire que le troisième DVD doit être celui le plus bourré de cinématiques. Selon vos affinités avec les différents personnages de votre équipe vous débloquerez leurs différentes fins, ou pas. Je n’ai pas eu celle de Meracle et d’Arumat, ni cell de Crowe d’ailleurs (?! comment on fait pour l’avoir celle-là?) et la séquence de fin à partir du moment où vous battrez le dernier boss (qui est plus long que chiant) dure approximativement 45 minutes, générique compris.

A la fin, vous pourrez sauvegarder les données de fin dans votre profil, histoire de reprendre le jeu en mode Universe puis Chaos si vous en revoulez encore. Ce sont en fait deux New Game+ au niveau de difficulté plus elevé. Comme j’ai fini le jeu en mode Galaxy, j’ai pu débloquer le mode Universe, mais il existe un mode plus facile, Earth, pour les grosses brèles de Star Ocean.

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Car inutile de se voiler la face, ce Star Ocean 4 est un Star Ocean d’une facilité déconcertante, à tel point que je n’ai jamais pris un Game Over, pour la simple et bonne raison qu’en plus d’avoir des combats simples grâce au leveling de porc qu’on peut faire avec le Bonus Board, un perso tué peut être ressucité ou échangé avec un autre perso de son équipe (on en a 8 en tout et 4 par combat maximum). Sachant que si tous vos 4 premiers persos meurent, vous pouvez bien sûr switcher contre les persos en réserve pour balancer aux ennemis votre "seconde équipe". Bref, le jeu est un peu trop gentil avec le joueur, et j’aurais préféré en chier en commençant en Universe directement, voire en Chaos.

Globalement ça restera pour moi un très bon JRPG. Un peu court malgré ses trois DVDs mais super plaisant à jouer et surtout avec des envrionnements extrèmement variés (à défaut d’avoir des monstres variés…). Il y a bien sûr des succès de psychopathe à avoir pour les plus acharnés (comme créer 100% des items ou ouvrir 100% des coffres du jeu, ou collecter les données sur tous les monstres, vaisseaux, et armes du jeu). Comme d’habitude l’univers est riche et la base de données du jeu est pleine d’informations qui se révèlent au fur et à mesure que vous avancez. Et pour les allergiques de la scène cinématique à rallonge, la passer affichera un petit texte vous expliquant ce qu’il s’est passé dedans avant de vous rendre la main, histoire de ne pas vous laisser tout perdu, vous ne louperez donc aucune info importante.

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Ce que j’ai aimé:

  • Les persos, quoi qu’on en dise, sont sympa sans être exceptionnels. Au moins ils tapent pas sur le système (sauf un ou deux)
  • Le jeu est exempt de bugs.
  • Reimi :3
  • Myuria aussi un peu, mais plus parce qu’elle a la classe que parce qu’elle a une grosse poitrine (on est pas chez Raton-Laveur ici.)
  • Le colisée sur Roak
  • Les environnements super variés
  • Les trucs ici et là pour faciliter la vie du joueur (sprint, item creation centralisé sur le vaisseau, coffres visibles sur la map…) qui font presque oublier l’espacement des points de sauvegarde.
  • Le système de combats pas chiant (comparé à celui de Lost Odyssey par exemple…)
  • L’histoire qui se laisse suivre volontiers.

Ce que j’ai pas aimé:

  • Le doublage US, je suis bon public pourtant, mais là c’était trop mauvais.
  • Welch
  • Sarah
  • La voix de Sarah
  • Pas aussi ecchi que ce qu’on nous avait annoncé partout
  • Trop facile, le niveau Universe devrait être débloqué dés le départ.
  • Aucun donjon spécial à explorer (ou alors pas évident)
  • Impossible de revenir en arrière passé un certain point du 3ème DVD (qui n’est pas clairement indiqué)
  • Les séquences cinématiques avec le moteur du jeu c’est bien mais faudrait pas trop en abuser et penser à faire des scènes en full CG des fois aussi, parce que les combats dans l’espace avec le moteur du jeu ça fait pas du tout epique.
  • Les musiques, franchement oubliables. Enfin c’est ni nul ni bon quoi.
  • La fin, genre un bad end qui n’en est pas un
  • Les achievements pas très recherchés.