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Les 52 meilleurs moments de mes visionnages d’anime

p>Wah la liste de tags.

D’abord, on va commencer par attirer le Kyouray ici. Pas de raison particulière, juste pour le fun en fait. Il faut bien connaître le kyouray, cette bête légendaire parmi les scientifiques chercheurs en procastination. Le Kyouray est principalement attiré par deux choses: les dakimakura avec lesquels il effectue souvent un rituel de séduction dans le but de se reproduire, et Tamaki de To Heart 2 qu’il collectionne. Le monde scientifique est néanmoins divisé sur le fait que ça puisse être l’inverse, en fait…

L'alpha et l'omega des filles en parfaite santé

Maintenant que ça c’est fait, sachez que cet article sera intégralement composé d’images de filles en qipao. Parce que j’aime les qipao. Très fort même. Bon, pas aussi fort que les costumes de meido ou de miko, mais fort quand même.

Avant de continuer avec le contenu même de l’article, il y a deux choses que vous devez savoir absolument. En fait non, trois:

  • Meido-Rando encourage la radio Tsumugi, une radio orientée jeux vidéos, anime et rock. La programmation est facile à retenir et très sympa, et en plus de ça en passant par le forum des Thalie vous pouvez proposer vos chansons si vous en avez qui peuvent coller à la thématique. Je l’écoute la plupart du temps au boulot mais aussi sur le chemin de ce dernier le matin et le soir. C’est aussi à ça que ça sert la 3G.
  • Le Grand Tournoi des Seifuku (GTS) est toujours à l’ordre du jour pour début septembre. Sauf que là Raton est barré en vacances et je ne sais pas quand il referra surface. (la preuve, il n’a toujours pas fermé le Quartier Libre de l’Editotaku alors que normalement ça dure une semaine.)

  • Je préfère prévenir tout de suite que cet article va spoiler violemment. D’une violence rare et si extrème que j’en ai encore des frissons en relisant l’article (fake, je relis rarement ce que j’écris.) Non sérieusement, j’ai fait un effort en utilisant la balise spoiler pour dotclear développée par Keul pour l’Editotaku.

Quel est donc le but final de cet article? Hé bien, de trouver une utilité à MyAnimeList : J’ai pu ainsi me remémorer tous les animes que j’ai vu, et en parcourant cette liste, j’ai eu, sur certains titres, des visions. Oui, je vois des choses, ou plutôt je m’en rappelle. Qui n’a pas un souvenir particulier en rapport avec un anime, un épisode ou un personnage? J’ai commencé par les noter en parocurant la liste sur MAL et je suis tombé pile sur un chiffre presque tout rond, 52. Ca ferait presqu’un par semaine, tiens. Bien sûr tout dépend de votre degré d’otakisme et de visionnage d’anime, et vous en aurez peut-être beaucoup moins que moi, mais je tenais à partager cette liste avec vous. Qui sait, peut-être que nous avons ressenti les mêmes choses au même moment, ou bien peut-être qu’un de ces merveilleux (ou pas, ça dépend des cas) souvenirs ravivra en vous une flamme éteinte.

Certains moments sont forts, d’autres comiques, d’autres encore m’ont tout simplement touché ou titillé pour une raison que j’ignore encore. En fait, parmi ces moments il y a aussi beaucoup de fins d’anime et de moments clés à ne pas révèler aux malheureux qui n’auraient pas encore vu les séries. D’où la balise spoiler spécialement aménagée pour cet article.

Je n’ai pas mis d’image de chaque moment parce que ça spoilerait encore plus, et des vidéos auraient été un peu difficiles à faire et vous gâcheraient le moment encore plus (si jamais vous osez vous spoiler de vous même en dépliant les différents souvenirs.)

Alors voyons cette liste, la liste de mes meilleurs souvenirs. Voyez ça comme un test de compatibilité avec moi. Si vous avez une majorité de souvenirs en commun et qu’ils vous ont fait réagir pareil, c’est qu’on va bien s’entendre. Et si en plus vous êtes une fille qui habite la région nantaise, il y a des postes ouverts chez Meidolicious Inc. dont un très convoité…

1. Ah My Goddess The Movie – La chanson 1. Ah My Goddess The Movie – La chanson

C’est un moment qui m’a bien fait vibrer, associé aux images de l’oeuf, l’oiseau, le moment, la chanson en elle-même, et les déesses, tout cela m’avait fait frissonner à l’époque, et me fait toujours autant frissoner chaque fois que je revois cette scène, peu avant la fin du film. Un très bon film d’ailleurs, même pour ceux qui n’ont jamais réellement regardé ou lu Ah My Goddess.

2. Clannad Tomoyo Chapter 2. Clannad Tomoyo Chapter

Là je triche un peu parce que c’est avant tout un spoiler du jeu avant d’avoir été adapté en anime, mais la version animée rend tout aussi bien. C’est finalement les deux amoureux qui se retrouvent après s’être plus ou moins perdus pendant de longs mois qui m’avait le plus ému, et surtout la façon dont Tomoyo avait réagit. Finalement, Tomoyo j’ai l’impression qu’elle a un léger petit côté Tsundere, mais vraiment très très léger et pas caricatural pour un sou. Et puis la neige, ça a toujours été symbole de pureté, ça m’a toujours plu même si je déteste ça parce que c’est tout blanc et que j’y vois rien dehors.

3. Clannad – L’arc de Fuuko 3. Clannad – L’arc de Fuuko

Malgré tout le mal que certains pensent de Fuuko, moi compris, son histoire m’a pas mal ému, ne serait-ce que j’ai un faible pour les histoires de fantômes et de surnaturel. C’est finalement le dernier épisode de son arc qui m’a le plus touché, avec surtout Nagisa et Tomoya qui se rendent compte au fur et à mesure de ce qu’il se passe. C’est cette dimension surnaturelle que j’avais apprécié dans Clannad au début, je suis peut-être un peu déçu que, contrairement à Kanon, il n’y ait pas plus de place accordé à cela par la suite. Et oui, j’ai pleuré durant le dénouement de cet arc.

4. Full Metal Panic – Fin du premier arc 4. Full Metal Panic – Fin du premier arc

On dira ce qu’on voudra mais je trouve que Gonzo s’est pas mal débrouillé du tout sur cette première saison. Le passage où les AS décollent du sous-marin pour rejoindre le champ de bataille, et la musique qui va avec. J’aime bien les musiques héroiques qui donnent de l’espoir en fait, et puis les gentils qui vont au combat pour une mission de sauvetage comme ça, c’était grand. C’est pour moi la meilleure partie de FMP premier du nom, d’ailleurs.

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5. Gundam SEED – Meteor 5. Gundam SEED – Meteor

Je pense ne pas être le seul que cette scène ait marqué. Bon, c’était un peu surfait dans l’ensemble mais ça collait bien avec l’univers et on ne pouvait que sentir le soulagement du personnel de l’Archangel quand Kira ‘Jesus’ Yamato est arrivé. Un peu comme Zorro en fait.

6. H2O Footprints in the Sand – La révélation 6. H2O Footprints in the Sand – La révélation

Une série arrive à marquer encore plus lorsqu’elle nous surprend: ce fut le cas de H2O. Partant sur des bases saines (un héros aveugle) mais dégringolant rapidement en lui redonnant la vue au deuxième épisode, la suite n’a été que d’un niveau très moyen pour l’amateur de slice of life et d’adaptation d’eroge que je suis. Néanmoins, la révélation près de la fin, où l’on se rend compte que depuis le début il n’a jamais vu, fu très forte. Je ne sais pas si c’était juste parce que c’était moi et ma déficience visuelle, mais c’était rûdement bien écrit et amené. La fin elle l’était un peu moins, mais c’est un autre débat, ça.

7. Hack Sign – Les retrouvailles 7. Hack Sign – Les retrouvailles

Hack Sign avait été relativement moyen aussi. Joli, envouteur presque, mais il y avait ce petit quelque chose qui poussait à continuer. La scèene de fin où Tsukasa reconnaît son amie en chaise roulante alors qu’ils ne s’étaient jamais vus hors du jeu m’avait laissé un excellent souvenir.

8. Hand Maid May – Souvenirs 8. Hand Maid May – Souvenirs

Une série relativement moyenne mais bien foutue pour l’époque techniquement. Hand Maid May c’était surtout un des premiers animes de meido en 2000-2001, l’âge d’or des animes de meido. La fin était déjà assez touchante avec May qui perd la mémoire et a oublié tout de son maître, mais on a l’impression fugace qu’à la toute fin, May se souvient quand même de tous ses bons moments passés avec son maître. Quand je vous dis que les meido c’est le bien!

9. Happy Lesson – Réveil 9. Happy Lesson – Réveil

Relativement moyen aussi, la première OAV d’Happy Lesson m’avait laissé une grande impression de what the fuck, où le héros sort de chez lui et qu’il a 5 "mamans-profs" qui lui souhaitent une bonne journée. Hé, elles sont prof, elles devraient pas être prêtes avant lui pour aller à l’école?

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10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama 10. Higurashi no naku koro ni – La malédiction d’Oyashiro-sama

Si je devais nommer un des passages qui m’avait le plus marqué, ça serait difficile, mais je me souviens de tas de moments terribles. Higurashi aura atteint son but: marquer les esprits, que ce soit le moment où Rika place le manche du couteau contre le mur et se frappe la tête contre pour se tuer, ou bien quand Satoko arrive a s’échapper avant que Hinamizawa ne soit complètement décimé, pour ensuite mourir d’une crise cardiaque, un epu façon film d’horreur en fait: il fallait qu’elle meure.

11. Hitohira – La voix de Nono 11. Hitohira – La voix de Nono

Hitohira m’a laissé un excellent souvenir pour une petite série sur un sujet pourtant pas tant exploité que ça: le théatre. En l’occurence, dés le début de la série, on apprend que Nono, la sempai qui veut faire vivre le petit club de théatre secondaire de l’école a un problème à la gorge et ne peut pas parler fort au risque de perde définitivement la voix. Cela lui arrivera par moments durant la série (c’est dommage en plus, elle est doublée par Ayako Kawasumi-sama). Le moment où l’héroine s’en rend compte était vraiment fort, puisque le téléspectateur s’en rend compte en même temps qu’elle, et pour quelqu’un comme moi qui ait aussi des tas de choses qu’il aimerait faire mais ne peut pas physiquement le faire, ça marque.

12. I my me strawberry eggs – La rédemption 12. I my me strawberry eggs – La rédemption

C’était marrant comme fin pour IMMSE. J’avais beaucoup aimé le non happy end en quelque sorte qui sortait de l’ordinaire, et le discours de Hibiki à la fin, malgré l’outrage public qu’on lui avait fait subir, était pas mal touchant, surtout quand les élèves se sont rendus compte qu’en fait Hibiki les avait toujours bien traîtés. Ca fait du bien de se sentir soutenu, hein?

13. Initial D – Pleins phares! 13. Initial D – Pleins phares!

Initial D a beau être doté d’un character design douteux, il filait néanmoins bien la pèche avec sa musique eurobeat, et les courses étaient assez palpitantes malgré la 3D pas toujours du meilleur goût. Du coup après l’astuce de la roue dans le vide pour doubler l’adversaire, je ne m’attendais plus à rien, jusqu’au 4th Stage où Takumi éteint ses phares en pleine nuit pour éviter de se faire voir de son adversaire et le doubler alors que celui-ci ne s’y attend pas du tout. J’étais là en train de manger (je mange souvent en regardant ce genre d’animes où on peut débrancher son cerveau 20 minutes) et je me souviens avoir arrêté de manger quelques minutes le temps de voir ce qui allait se passer après. C’était couillu quand même.

14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous 14. Irresponsible Captain Taylor – Garde à vous

Vers la fin de la série, la flotte humaine et les aliens s’affrontent face à face, mais plutôt que de se tirer dessus, ils ne font que se regarder droit dans les yeux par vaisseaux interposés. Ils ont même été jusqu’à matérialiser la tension pendant un tel moment par des éclairs un peu partout, c’était assez inattendu et c’est un de mes meilleurs souvenirs de cette série de space opera. Quel dommage qu’il n’y en ait plus tellement de nos jours.

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15. Kaleido Star – What about my star? 15. Kaleido Star – What about my star?

Une série assez familiale que j’avais beaucoup apprécié (encore un rare Gonzo réussi d’ailleurs) pour ses personnages attachants et ses histoires et son monde originaux. Ca m’a tellement plu que j’ai pleuré à la fin de la première saison quand Layla, sachant pertinamment que le numéro légendaire lui grillerait l’épaule définitivement, elle l’a fait quand même pour Sora… Ca avait bien entendu bouleversé Sora autant que moi, je vous avoue. J’ai remis le couvert à la fin de la Saison 2 quand Layla après avoir permis à Sora en l’entraînant de faire le numéro angélique avec Leon, sort à Sora (haha) : "Sora, tu n’es plus seulement mon espoir, tu es aussi ma fierté." Ah, rien que de m’en rappeler, j’en tremble encore.

16. Kamichu – chuuuuuu! 16. Kamichu – chuuuuuu!

Bon c’était que le début mais ça m’avait bien marqué cette ambiance kawaii-tout-plein(tm) avec cette dose d’humour sur le toit de l’école. Kami…chu!

17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement. 17. Kannazuki no Miko – Le… euh… on va appeler ça l’évènement.

Pour ceux qui auront vu l’anime vous allez bien entendu voir de quoi je parle: le viol d’Himeko. Alors ouais, c’est peut-être bien malsain mais c’est tellement rare et inattendu dans un anime, et en plus de ça entre deux filles (Mai Hime a remis le couvert quelques années plus tard). Et puis Chikane était doublée par Ayako Kawasumi. Ayako Kawasumi + miko + soujou ai = $$$. Ca manquait de maids quand même.

18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite 18. Kare Kano – La rencontre, et la course poursuite

Je triche un peu y’a deux souvenirs pour Kare Kano.

Le premier épisode de Kare Kano m’avait laissé bouche bée. Il plaçait vraiment bien les personnages et était à mourrir de rire. On ne peut pas en dire autant du reste de la série mais même si globalement j’avais pas aimé Kare Kano plus que ça, rien que le premier épisode est un délice à revoir. Pour ce qui est de la scène de poursuite, c’est simple: quand Yukino voit sa photo déchirée et jetée dans l’incinérateur par la petite peste de service, la poursuite dans l’école en résultant était tout simplement épique.

19. Kimi ga nozomu eien – L’accident 19. Kimi ga nozomu eien – L’accident

Dois-je vraiment développer? En fait j’avais fait un article à ce sujet il y a longtemps. Oui, je suis toujours autant marqué par l’accident d’Haruka, et je trouve que c’est une des scènes qui m’a le plus marqué dans ma vie d’otaku.

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Source: ????

20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer! 20. Kokoro Toshokan – La bibliothèque ne doit pas fermer!

Cette série si douce et gentille profiati d’une bande son excellente. La petite Kokoro vit avec ses deux soeurs dans une bibliothèque à la montagne près d’une petite ville. Le truc c’est que vers la fin de la série, Kokoro apprend que la bibliothèque familiale où elle vit et travaille va fermer faute de subventions par la ville. Tous les personnages secondaires rencontrés jusqu’ici l’aideront à se rendre à la mairie, en moto, en mongolfière… et en faisant sa requête au maire, Kokoro s’aperçoit que la populace de la ville s’est amassée devant la mairie pour plaider en sa faveur et ne pas fermer la bibliothèque. C’était réllement magique de voir une petite fille comme ça être soutenue par tous les citadins pour qu’elle garde sa bibliothèque avec ses deux grandes soeurs. Bouh, c’était émouvant.

21. La Blue Girl – Mon premier hentai 21. La Blue Girl – Mon premier hentai

Bah quoi? C’est un souvenir émouvant comme un autre, merde.

22. Love Hina Christmas Special – Déclaration 22. Love Hina Christmas Special – Déclaration

Le Christmas Special, une OAV de Love Hina, est la seule partie animée de la série a ne pas avoir d’équivalent en manga. Keitaro qu’on croyait jusque là invincible, se casse finalement une jambe après que Naru (que j’aimais déjà fort fort) le fasse voler de nouveau. Un peu abattu, il ira quand même lui acheter un cadeau de noel, et elle tentera de le suivre dans Tokyo pour le retrouver sur fond de Winter Wish de Yonekura Chihiro. Elle le loupera, mais trouvera quand même son cadeau, et alors qu’elle est interviewée par une journaliste le soir de Noël et où sa tête est retransmise sur sur les télés de la ville et les grands écrans sur les immeubles, où Keitaro pouvait la voir. Et là elle lui annonce qu’elle veut aller à Toudai avec lui, et enfile le manteau qu’il lui a offert devant les cameras. Waaaah! Et dire que j’ai matté ça pour la première fois en plein cours en BTS, j’avais l’air fin à me cacher derrière mon écran pour cacher mon émotion.

23. Lucky Star – La mère de Konata 23. Lucky Star – La mère de Konata

Comme j’ai un petit faible pour le surnaturel, comme je l’ai écrit dans mon souvenir de Clannad, il est naturel que j’aie fondu comme neige au soleil devant la scène vers la fin de la série, où la mère de Konata apparaît en fantôme. C’était simple et émouvant, je n’ai rien d’autre à dire dessus.

24. Maburaho – Noooooooooooooon 24. Maburaho – Noooooooooooooon

Anime moyen en soi, Maburaho avait tout de même un concept rigolo pour lui. Dans un monde bourré de magie seul le héros a un potentiel magique ultra limité mais ultra puissant aussi, surtout que si on utilise tous les sorts de notre potentiel de magie, on meurt. Et le héros n’a que 3 sorts en réserve depuis qu’il est né alors que la majorité des gens en ont des centaines de milliers. Du coup les trois héroines se battent pour pouvoir faire des enfants avec lui, mais ça n’arrivera pas: il utilisera son dernier sort pour sauver Yuna, sa promise, et passera plus de la moitié de la série sous forme de fantôme. Fait marquant s’il en est, la scène où cela se produit était tout aussi terrible.

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Source : ????

25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain! 25. Mahoromatic – Revenons ici l’an prochain!

Mon article sur le sujet

Je pourrais parler des fins de la série, mais ça serait trop classique. Si je ne dois citer qu’un moment, c’est dans la saison 1 lors du festival de la ville, où Suguru, ignorant tout de Mahoro, lui annonce un jovial "Revenons ici l’an prochain!" faisant immédiatement perdre à Mahoro tout sourire: car elle sait qu’elle sera morte avant. Ca m’avait traumatisé à l’époque, surtout le changement de visage de Mahoro au moment où Suguru dit ça…

26. Nadesico – Le film 26. Nadesico – Le film

Une série et un film qu’il faudrait que je rematte un jour, définitivement. Néanmoins, s’il y a bien un truc qui m’a marqué dans la série, ça reste bel et bien le film, qui prenait à contre pied tous les fans de l’époque. Là où la série originale était plutôt légère avec un peu d’action, le film était sombre, voire dur, même. Mais incroyablement jouissif quand même, surtout pour les fans de Ruri.

27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino 27. Myself Yourself – L’opening et les tendances de Hoshino

Un peu de la même façon qu’avec Nadesico, Myself Yourself commençait somme toute sur des tons légers et de comédie romantique, pour progressivement dériver vers du drame en règle. Un peu trop peut-être, mais la surprise la plus totale, c’était quand même Hoshino qui passe en mode yandere pour… la jumelle du groupe! C’est dangereux les amours lesbiens, Kannazuki no Miko l’a déjà prouvé.

28. Nadia – L’île 28. Nadia – L’île

Passage décrié à juste titre dans la série, c’est néanmoins un passage qui m’a marqué dans la série à cause de son changement assez radical de ton avec le reste. Pas déplaisant en soi, c’est juste qu’on se demandait "mais qu’est-ce que ça vient faire ça?" sans compter que ça ne faisait pas avancer grand chose dans l’histoire. Enfin, c’était Nadia quoi, on en mange sans fin.

29. Evangelion – Dance like you want to win 29. Evangelion – Dance like you want to win

Si Eva m’a marqué au point de m’en faire écrire des fanfics , une scène dont je me souviendrais toujours, c’est bien l’épisode 9 où Shinji et Asuka doivent bouger en synchro totale. Une scène mémorable et bourrée d’action comme seul Gainax sait en faire.

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30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques 30. Dominion Tank Police – Les mines phalliques

Drôle à souhait (avec les doublages fr qui vont bien, pour une fois), Dominion Tank Police fourmille de scènes excellentes, mais celle qui m’avait le plus fait rire, c’est bien les "mines" plates qui une fois gonflées ressemblent à des penis et font se renverser les tanks de la police. Du grand n’importe quoi comme je les aime.

31. Noir – Premier contact 31. Noir – Premier contact

Le premier contact avec Noir se fut à Epitanime 2001, l’âge d’or de la convention où celle-ci passait encore du fansub pendant les nocturnes. Du coup on a eu droit à Noir, Mahou Senshi Riui, Angelic Layer et d’autres, et c’était énorme. Mais Noir, c’était envoutant. La musique qui tue, l’ambiance qui déchire, et la chorégraphie des combats qui surprend et qui a la classe. Difficile de ne pas aimer, et puis c’était le premier anime uqe je voyais qui se passait en France.

32. Onegai Teacher – Marrions-nous! 32. Onegai Teacher – Marrions-nous!

Mizuho. Robe de mariée. Les robes de mariée ça m’a toujours fait un petit effet, et si on combine ça au concept de la série… Bon et je vous parle même pas de l’OAV complètement abusée pour l’époque. Mais qu’est-ce que c’était fun!

33. Green Green – L’ours 33. Green Green – L’ours

Un grand moment de n’importe quoi dans cet anime tiré d’eroge qui ne se prend pas au sérieux, où le katamari pervers du groupe se retrouve nez à truffe avec un ours, et hum… je vous laisse deviner ce qui lui arrive, du coup. Encore plus fun si vous connaissez la chanson de l’ours pédé. L’opening vaut également le coup d’oeil.

34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère 34. Onegai Twins – Karen qui pleure sur les genoux de son frère

Une scène tout simplement hilarante où Miina apporte du thé à Maiku dans sa chambre alors qu’il laisse Karen pleurer la tête sur ses genoux. Imaginez la scène, vous entrez et vous voyez votre frère qui est assis sur son lit avec une fille la tête entre ses jambes en train de pleurer. Ouais, vous vous faites l’idée que Miina s’est faite en voyant ça. Et le pire, c’est qu’une scène de ce style, on en trouve dans des tas de films pour adolescents américains, mais ça passe tellement mieux en anime, avec les gros blancs , le plateau qui tombe, bref…

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35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette 35. Otome wa boku ni koishiteru – Roméo et Juliette

La pièce jouée par Takako et Mizuho était sympa. Ce qui l’était plus, c’était Mizuho sauvant Takako de l’humiliation que lui aurait procuré le fait d’être a moitié nue sur scène en la couvrant avant que le public ne puisse bien voir et l’embrassant pour la faire taire. Comment conquérir une tsundere en dix leçons, quoi.

36. Read or Die – Vol au dessus de New York 36. Read or Die – Vol au dessus de New York

Le passage où Yomiko construit un avion en papier géant avait quelque chose de magique. On se doutait qu’elle avait de grands pouvoirs avec le papier, mais à ce point c’était simplement extravagant. Et Yomiko avait sacrément la classe.

37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler 37. REC – Une bonne actrice doit savoir simuler

REC fait partie des animes dans mon panthéon, mais l’épisode où Aka doit doubler un anime hentai la gène horriblement, et elle va même jusqu’à en matter pour voir comment les doubleuses comédiennes de doublage ont fait avant elle. Le plus fun est que son petit copain, Matsumaru, est au courant et propose de "l’aider", la gênant encore plus. Ah, je craque…

38. Sailor Moon – Sacrifices 38. Sailor Moon – Sacrifices

Ca remonte à loin, j’avais 14-15 ans à l’époque, j’étais jeune et con. Maintenant je suis juste un peu moins con, mais qu’importe. J’avais beaucoup aimé le dernier épisode de la première saison où les senshi meurent une à une pour ensuite réapparaître pour aider Sailor Moon à vaincre le mal. Ouais j’étais aussi vachement fleur bleue à l’époque. Je le suis toujours un peu aussi, en fait.

39. School Days – Chou 39. School Days – Chou

Chou de Amano Tsukiko m’avait fait trembler, avec les images qui vont bien. Je triche un peu en fait car du coup là je parle du jeu School Days plutôt que l’anime, mais comme les deux se rejoignent niveau contenu… Pour voir l’AMV en question, c’est . Il va sans dire que, comme pour Higurahsi, n’importe qui ne connaissant pas School Days est royalement pris au dépourvu. C’est p’têt pour ça que ça m’a marqué.

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40. Shakugan no Shana – Deredere 40. Shakugan no Shana – Deredere

Si y’a bien unt ruc de satisfaisant dans un anime avec une tsundere, c’est bien quand la tsundere en question passe en mode deredere, et pour ça dans Shakugan no Shana, il faudra attendre presque toute la série pour la voir s’accrocher au héros. C’était super mignon en soi, et c’est le bon souvenir que je garde de cette série avant les melonpan.

41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux! 41. Shuffle! – Attention derrière toi c’est affreux!

L’aspirateur! J’ai oublié de l’éteindre!

Ahem…

Kaede fut pour moi l’une des premières yandere que j’ai connues, et ça fait un choc la première fois. Du coup on s’en souvient et on ne regarde plus jamais les amies d’enfance comme avant. Plus jamais.

42. Sister Princess – La chanson de Noel 42. Sister Princess – La chanson de Noel

Anime tranche de vie sans grand intêret finalement (à part d’avoir 13 soeurs plus moe les unes que les autres) mais dont certaines scènes m’avaient bien fait plaisir. Parmi elles, celle où les soeurs ont préparé une chanson pour le héros pour Noël. Elle était cool cette chanson et le pire c’est que je l’ai jamais retrouvée dans aucune OST.

43. Slayers – Prochain essai 43. Slayers – Prochain essai

(oh je sais c’est nul.)

La fin de Slayers Next reste pour moi le meilleur souvenir de la série, où Lina térasse Phibrizo et où elle est subitement habitée par Lord of Nightmares. Et puis y’a eu le baiser avec Gourry aussi, juste après…

44. Star Ocean EX – Les lapins! 44. Star Ocean EX – Les lapins!

Un truc qui m’a toujours marqué dans cette série très moyenne qu’était Star Ocean EX: A la fin de l’épisode 1 il y a des lapins. Et au second épisode, on voit les mêmes lapins sauf qu’ils se sont multipliés entre temps. On a longtemps blagué là-dessus avec quelques amis.

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45. Stratos 4 – La station 45. Stratos 4 – La station

Finalement c’était le truc dont les filles de Stratos 4 avaient toujours rêvé sans jamais pouvoir l’atteindre parce que leurs sempai étaient déjà sur place: pouvoir aller sur la station orbitale même si c’était pour une mission. Du coup ça a donné un final super sympa pour une bonne pétite série qui me restera longtemps en tête pour son opening et ending cools à souhait.

46. Gurren Lagann – Kamina 46. Gurren Lagann – Kamina

Beaucoup garderont en souvenir de Gurren Lagann Libera me’ from hell, la chanson du combat de fin et son côté épique, mais finalement moi c’est plutôt la mort de Kamina qui me revient à l’esprit quand je pense à Gurren Lagann. C’était couillu, bien amené, et ça n’a pas servi à rien. Du grand Gainax quoi.

47. Haruhi Suzumiya – Live Alive 47. Haruhi Suzumiya – Live Alive

Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais abandonner celle qui m’a donné la foi? Le premier souvenir qui me vient de la saison 1 de Haruhi, c’est sans conteste Live Alive et le concert de ENOZ, God Knows. Ca m’avait tellement secoué que j’ai coupé la raw que je regardais à cet endroit pour la montrer à Darksoul en lui disant "Ca, ça ira dans le Toyunda!" (le Toyunda étant le logiciel de Karaoke d’Epitanime). Il va sans dire que l’interessé n’y vit aucune objection.

48. Stellvia – Welcome! 48. Stellvia – Welcome!

Stellvia, c’était sympa aussi, et je me souviens avoir adoré l’ambiance rien qu’au premier épisode, avec Shippon qui voit tous les peitts vaisseaux s’envoler de Stellvia à leur arrivée pour dessiner un "Welcome to Stellvia" dans l’espace. Ca faisait bien chaud au coeur et ça avait une putain de gueule.

49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra 49. Vandread Second Stage – Le bébé d’Ezra

Autre grand anime des années 2000 et 2001, Vandread avait mis les héros de la série devant un accouchement pendant un combat, et ça avait donné un épisode remarquable et très touchant, avec les héros qui se débattaient dans l’ascenseur bloqué pour donner naissance au bébé et les autres dans l’espace en train de se fighter qui ont regagné leur moral une fois les cris du bébé passés sur la radio de tout le monde.

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50. Yakitate Japan – Croissant? 50. Yakitate Japan – Croissant?

Une blague d’anthologie, tellement énorme que c’est ce qui me restera à jamais dans Yakitate Japan, où Azuma se voit annoncer qu’il devrait faire des croissants, mais ne connaissant pas le mot, demande qui est Kurowa-san. Si vous n’avez pas compris, dites lentement "croissant."

51. Crescent Love – Le concours de cuisine 51. Crescent Love – Le concours de cuisine

Tellement bourré de QUALITY ce passage qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. La preuve? Cette image. Vous allez comprendre ce que je voulais dire par QUALITY. A gauche, la série télé originale, à droite, la version DVD.

52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls 52. UFO Princess Wakyure – Les nekogirls

Ou plutôt ce qui les a popularisées. Il faut dire que voir une armée de nekogirls obéir au doigt et à l’oeil de la nekomeido de service, ça marque, ça m’avait même poussé à regarder la série. Il m’en faut peu hein,mais ça vous le saviez déjà.

Voilà donc toutes les choses qui m’ont plus ou moins marqués: concepts, moments, personnages… Je suis sûr que vous en avez des tas que vous avez partagé avec moi, ou d’autres auxquels je n’aurais paspensé ou que je n’ai pas vus. Libre à vous de reprendre le concept de ce billet ou de poster vos impressions dans les commentaires.

Pourquoi les seiyuu ?

Dans la même lignée que mon article d’il y a très très longtemps sur "pourquoi les maids" je vais vous expliquer pourquoi j’ai une PASSION pour ce métier si méconnu.

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Méconnu, et pourtant si important: seiyuu est le terme utilisé pour désigner les doubleurs qui prêtent leurs voix à des personnages d’anime, de jeux vidéos, ou d’autres acteurs lors de l’importation d’un film étranger. Vous avez très certainement des voix qui vous ont marqué dans certains animes. Des voix énervantes ou qui vous ont fait rêver… Cela prouve bien que le choix de la voix d’un personnage est crucial pour son succès et que parfois, ce choix est très mal fait. Fort heureusement la plupart du temps, ce n’est pas le cas.

Il n’y a pas beaucoup d’anime ou de manga qui abordent le sujet. A vrai dire, j’en compte trois. On pourrait penser qu’il n’y a pas grand chose à tirer d’un anime sur les seiyuu, et pourtant, avec toutes les séries aux concepts plus improbables les unes que les autres, comment peut-on penser ça?

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Le premier, et sans doute le plus populaire (peut-être parce que j’en ai un peu trop parlé) c’est bien évidemment REC. REC nous contait une histoire d’amour adulte et contemporaine entre un salaryman un peu malchanceux et une jeune seiyuu et tout ce que ça comporte comme problèmes, surtout quand le couple s’est formé en une nuit à cause de l’incendie de l’appartement d’Aka, l’héroïne. Le manga, bien osé comme il faut, a été adapté avec brio par SHAFT en un petit anime de 9 épisodes de 12 minutes seulement. Cela évitait notamment les temps morts et j’ai encore ce souvenir délicieux de l’épisode où Aka doit pour son travail faire une voix dans un anime hentai.

Ensuite, on a eu droit à Love Get Chu, une série somme toute modeste et au design un peu laid sur les bords (même si on est loin de Initial D ou de Kanon par la Toei.) L’héroïne veut ici aussi devenir doubleuse sur fond de comédie romantique avec plusieurs autres doubleuses sur les rangs et un jeune animateur qui fait ses 20 heures par jour d’esclavage réglementaires pour un studio. Même si les subs avancent à deux à l’heure, (depuis 2006 nous en sommes à la moitié de la série seulement) la série reste agréable à suivre et très légère.

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Dans un rayon plus loufoque, nous avons le récent manga Koe no Oshigoto, où une lycéenne va devoir bosser avec sa grande soeur pour faire des voix d‘eroge. Ca n’a pas l’air de voler bien haut non plus (je m’apprête à commencer la lecture) mais ça s’annonce plutôt plaisant et surtout mignon tout plein.

Cependant, ces trois histoires omettent de gros pans de la vie d’une seiyuu. Ca a l’air sympa comme job après tout, mais les seiyuu sont loin d’être des stars au Japon.

Tout d’abord il y a nombre de seiyuu disponibles via les agences de talents. Devant tant de demandes (il y a des centaines de nouvelles seiyuu qui sortent de l’école chaque année) il est difficile de trouver un job pour tout le monde, et chaque seiyuu se doit de gagner des auditions et d’en faire tout le temps pour décrocher plus de rôles. Même si elle arrive à se dégoter un rôle dans un anime, ça ne paye pas assez: de 2 000-3 000 à 12 000 yen par épisode pour les plus chanceux et chanceuses, une seiyuu n’est qu’une voix après tout: elle est là pour parler sur le texte qu’on lui a écrit et basta. N’avez-vous jamais remarqué dans les credits d’une chanson comme un opening ou ending d’anime par exemple, que l’ordre des credits était paroles, musiques, puis enfin chant? En général les seiyuu sont très peu voire pas du tout impliquées dans le processus de création des opening ou ending, et encore moins dans les "character song" que l’on trouve parfois dans les OST d’anime. Et pire encore, elles ne touchent pratiquement rien car c’est l’agence de talents qui les paie. Ce ne sont que des salariées après tout.

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Bien que moins à plaindre que les animateurs (les plus grands esclaves de cette industrie) les seiyuu doivent la plupart du temps se trouver un second job du style serveuse dans un restaurant ou caissière à un combini (une sorte d’épicerie ouverte 24/7) pour survivre. Bien sûr, le rôle d’une seiyuu ne se limite pas aux animes: les films, les pubs, les annonces de magasins ou la radio sont d’autres options. Une seiyuu doit multiplier les auditions pour espérer avoir plusieurs rôles à la fois. Pire encore: certaines doivent parfois user de leur voix dans des jeux ou anime hentai (sous un pseudonyme) pour toucher un peu plus de yen à la fin du mois. Elles doivent bien faire attention à ne pas être découvertes, ou c’est la descente aux enfers assurée par les esprits bien pensants. Nous autres otakes ça nous dérange pas du tout, mais au Japon comme partout, dés qu’on sort des sentiers battus, ça devient un drame total. L’exemple le plus connu reste Yuko Miyamura qui a fait Asuka dans Evangelion et qui a eu beaucoup de mal à retrouver du travail après car ses ébats dans un porno qu’elle avait tourné quelques années avant Eva ont été mis sur le devant de la scène par un tabloïd peu scrupuleux.

Bref, on ne peut pas vraiment dire que ça soit un métier facile: beaucoup d’appelées, peu d’élues, et les seules bien payées sont celles qui ont de l’âge (du genre, qui ont doublé dans Doraemon, c’est vous dire l’âge.) Des seiyuu légendaires comme Megumi Hayashibara par exemple, que vous connaissez sûrement pour sa voix de Rei Ayanami ou de Lina Inverse, n’ont pas un si gros salaire que ça.

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Et pourtant, pourtant, ce sont elles qui nous font rêver, qui donnent vie à des personnages et qui se donnent parfois à fond dans leur rôles. C’est un métier où l’on se donne, où la PASSION doit brûler. Changer sa voix n’est pas si simple et pourtant elles y arrivent, elles font en sorte que les personnages que nous regardons bouger nous inspirent. Les doubleuses et doubleurs occidentaux ne m’ont jamais autant marqué que leurs collègues japonais. Pourquoi ? Tout simplement par les émotions qu’elles arrivent à faire passer dans leur jeu d’actrice est impressionnant. La plupart des seiyuu sont capables d’une grande versatilité pour incarner des personnages tsundere, des clones de Rei, des personnages moe, des petites filles, et d’autres rôles plus nobles. C’est cette diversité que j’aime beaucoup dans ce métier, et les émotions qu’elles font passer via leurs voix. Et je ne trouve même pas qu’elles sont aidées par la musique ou l’action à l’écran: une seiyuu sait être crédible même sans ça, il suffit d’écouter les drama audio de quelques unes de vos séries préférées pour s’en rendre compte. Je sais que je frissonne d’émotion à chaque fois que j’écoute le drama de Tomoyo inspiré par sa route dans le jeu CLANNAD.

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En s’intéressant à des seiyuu en particulier et en regardant leur parcours, on s’aperçoit qu’elles font en effet des rôles parfois très différents et éloignés. Sauf bien sûr Rie Kugimiya qui est étiquetée la reine des tsundere à vie à cause de Louise, Shana et Taiga notamment, on ne remarque parfois pas du tout leurs voix. Il m’a fallu un revisionnage de Kiddy Grade pour m’apercevoir qu’Aya Hirano, voix de la déesse faisait Lumière, l’une des héroïnes. De même, qui serait capable de dire que Saber de Fate Stay Night a la même voix que Chizuru de Kanokon tant les deux sont éloignées?

Pour finir, histoire d’être en conformité avec la norme ISO de qualité contrôlée Raton-Laveur(tm) voici le quota de poitrines réglementaire:

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Oui, ce sont des poitrines, mais pas de n’importe qui, ce sont des poitrines de seiyuu.

(et, merci au Raton, voici la selection des meilleures. Bigger, better comme on dit.)

Bref, seiyuu c’est un métier génial qui me fait rêver malgré toutes ses difficultés, et je compatis avec leurs problèmes, quand on voit le travail que les seiyuu font pour rendre nos anime encore plus prenants et passionants.

Mon harem à moi aussi

On va suivre la mode et faire comme les autres : lister ici mon harem. Enfin, celui que je verrais bien dans ma vie, quoi. Que mes trois meido d’elite me pardonnent, mais vous savez bien ce qu’on dit sur la 2D par rapport à la 3D, hein? (et puis, mes meido d’elite sont à un tout autre niveau, elles le savent bien.)

Comme je suis une bille en Photoshop et autres Gimp, vous aurez juste droit à de zolies images pour chaque haremette. Elles sont listées sans ordre d’importance.

Mahoro

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Sans surprise aucune, la première haremette est Mahoro. L’Alpha et l’Omega de la meido à mes yeux. L’utilité d’une meido dans un harem est évidente, mais comme pour certaines de mes haremettes, vous allez voir que je ne les ai pas uniquement choisi par leur potentiel romantique. Car ma relation avec Mahoro serait plutôt celle d’une domestique bienveillante sur laquelle je veillerai tout comme elle veillerait sur moi. Et puis elle serait la voix de la raison du harem selon Axel.

Tomoyo Sakagami

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Tomoyo est sans conteste le personnage de CLANNAD qui m’a le plus ému de par sa volonté de changer et la relation sentimentale qu’elle a entretenu avec Tomoya (tout du moins dans sa route et dans l’épisode 24 de la série). Son calme, son sérieux et son charme en font une waifu idéale dans mon harem. Et puis, elle sait se battre, je suis certain qu’elle saura me remettre dans le droit chemin si je dérape…

Naru Narusegawa

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A bien y regarder, je pourrais faire le même genre de remarques à Naru qu’à Tomoyo, mais Naru possède un atout par rapport à Tomoyo, c’est qu’elle m’a sorti d’une déprime post-echec amoureux. Le genre de déprime qui vous fait faire la gueule toute la journée jusqu’à ce que vous découvriez Love Hina, et qui vous remet la pèche. Telle une muse, Naru a sû me faire rebondir, et au cas où vous ne l’auriez pas déjà remarqué, j’adore les cheveux longs. Son utilité dans le harem? Nourir une rivalité avec Tomoyo pour m’avoir afin qu’on les observe se bastonner. Si possible sur un ring.

Konata Izumi

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Contrairement à toutes les autres, Konata serait ma meilleure pote otaku et geek. Comme l’avait dit Raton-Laveur dans un de ses articles sur Lucky Star, aimer Konata c’est un peu s’aimer soi-même, en tant qu’otaku. Car oui, on serait du genre à taper du mob dans une party sur un MMO quelconque tout en comparant la taille de nos dossiers de H ou en discutant ud dernier épisode de la 9ème saison de Haruhi… Tiens en parlant d’elle…

Haruhi Suzumiya

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Comment oserais-je justement mettre Haruhi dans mon harem? C’est simple, j’ose! En tant que grand prophète de la Déesse, il m’est arrivé de me demander ce qu’Haruhi pourrait bien apporter dans ma vie. En l’occurence ça serait la tsundere qui me maltraîte mais qu’au fond j’aime bien ça. Un peu comme Kyon en fait. Cette petite boule d’énergie rebondissante qu’est Haruhi peut rendre votre vie très intéressante, vous savez. Pour moi c’est un complément indispensable à sa lointaine cousine…

Haruka Suzumiya

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Vous voyez comment je soigne mes transitions jusqu’ici? Haruka, c’est simple: c’est la fille qu’on a envie de protéger, qu’on ferait tout pour elle. Quand on voit comment elle se démène pour ne pas perdre face à Mitsuki dans Kimi ga Nozomu Eien malgré son handicap, on peut sans conteste dire qu’elle aurait mérité la première place dans le coeur du héros. Clairement niaise au début, elle fait d’énormes efforts à la suite de l’incident principal de la série (pour ne pas spoiler trop.) Et puis Suzumiya quoi, c’est un nom de légende ça!

Aka Onda

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Aka, l’héroine de REC (à ne pas confondre avec le film) est une seiyuu en devenir, et pour ça elle va devoir faire ses preuves. Les seiyuu, je les adore, c’est simple. Je ne suis pas fan d’une en particulier si ce n’est Ayako Kawasumi (Mahoro, Saber…) mais de leur métier en général. Transformer sa voix, jouer des personnages différent, leur donner vie quoi! Même dans l’industrie de l’animation elles sont sous-estimées et ont un salaire de misère pour ce qu’elles font et pourtant elles se lâchent complètement pour qu’on aime leurs personnages. En outre, Aka est super mignonne, et puis l’avantage avec une seiyuu, c’est qu’on peut s’imaginer plein de trucs pendant l’acte. Si si, vous voyez ce que je veux dire.

Tsukino Azusagawa

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Un choix surprenant, me diront certains: et pourtant Tsukino est l’héritière d’un royaume entier de boulangeries, et ça messieurs, c’est indispensable pour le pannivore que je suis. Mes plus proches comprendront tout de suite pourquoi elle a une place de choix dans mon harem, car à elle toute seule elle peut me nourrir jusqu’à la fin des temps. Et puis, j’aime beaucoup son personnage. Quel dommage qu’il soit relégué au rang de personnage secondaire, néanmoins.

Et de 8!

En effet, ça fait déjà 8 personnages. Alors vous aurez sûrement remarqué quelques trucs qui reviennent comme les cheveux longs (on compte pas moins de 2 tsundere et seulement une meido) mais globalement, j’en suis assez content. Choisir son harem parmi 8 personnages, c’est plus difficile qu’il n’y paraît. Pas d’Asuka? Trop jeune mon fils, trop jeune. Et puis elle est trop imprévisible, trop difficile à gérer pour finir dans mon harem.

P.S. : On me souffle dans mon oreillette qu’un intrus s’est faufilé dans les liens en début d’article. C’est parce qu’il me manquait un lien pour compléter ma phrase et puis je suis curieux de connaître son harem à lui, si à tout hasard il n’est pas composé exclusivement de clones de Mai Shiranui.

Doujin Work

Il y a des jours où on se dit qu’on passe vraiment à côté de séries sympatoches, et au final on les dévore d’une traîte ou presque. Dans le cas de Doujin Work, le dîner fut bref: la série ne compte que 12 épisodes d’environ 13 minutes chaque. Mais est-ce réellement un problème?

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Crée par l’auteur du fameux doujinshi hentai sur Tsukihime "A cat is fine too" (en bon français, "un chat ça me va aussi") la série en manga a été adaptée en anime en 2007, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’à première vue c’est très très cheap.

Seulement, il ne faut pas s’arrêter si vite, car si les qualités graphiques de Doujin Work font plus penser à un anime petit budget qu’à une super production Kyoto Animation, les scénaristes ont trouvé de l’or en barre en écrivant les dialogues.

Osana Najimi (jeu de mot sur ‘amie d’enfance’ ‘osananajimi’) est trainée par sa camarade de classe Tsuyuri jsuqu’à une convention au japon. Pour rappel, les conventions au japon sont très éloignées de ce que nous avons en France, puisqu’au Japon, les conventions servent principalement aux auteurs amateurs comme professionnels (luttant bien souvent à armes égales) de faire découvrir et de vendre leurs oeuvres. C’est là-bas que sont acquis les dernières nouveautés en termes de doujinshis, hentai ou non. Najimi donc qui n’y connait pas grand chose, va être influencée par Tsuyuri qui va lui expliquer que les dojinshis ça peut rapporter gros. Rapide calcul de Najimi: si elle en vend assez, elle peut facilement se payer tout ce qu’elle veut. Bon plan!

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Pour achever de la convaincre, son ami d’enfance, Justice et sa loli cosplayeuse Sora lui expliquent que c’est encore mieux quand on est connu, comme lui. Il n’en faut pas plus à Najimi pour renoncer à tous ses principes moraux et mettre un pied dans l’engrenage qui al conduira à elle aussi créer ses propres doujinshis hentai. Une sorte de Comic Party débridé, en somme.

Et quand je dis débridé, je pèse mes mots. Tsuyuri prendra d’ailleurs un malin plaisir à créer des sous-entendus douteux pour faire rougir d’embarras son amie, et lui avouera même qu’elle dessine des doujinshis de viol dans un circle (groupe de dessinateurs) du nom de Pantsu Revolution. Des doujinshis de viol? Hé oui, car c’est ce qui se vend le mieux!

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Doujin Work offre un cocktail rafraîchissant d’humour otaku sans être bourré de références à la Lucky Star. Les dialogues sont très drôles, parfois à mourir de rire ("Mademoiselle, vous avez fait tomber votre livre érotique.") ou certaines situations sont tout simplement hilarantes, comme le moment où Najimi perd sa virginité avec les jeux hentai.

Bien sûr, d’autres personnages vont se montrer, comme le premier fan de Najimi (qui avec toute la meilleure volonté du monde dessine très mal) ou encore sa première rivale, qui se découvre un penchant pour le yaoi. Que les yaoiophobes se rassurent cependant, tout cela est traité avec humour, et je préfère toujours les meido aux jolies jambes.

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En clair, Doujin Work ne brille pas par sa réalisation, mais par son humour et ses personnages simples et efficaces. Pour 12 épisodes de 13 minutes, vous ne subirez aucun temps mort. C’est une série délicieuse qui se dévore vite, mais ne s’oublie pas de sitôt, un peu comme REC en somme, mais en moins sérieux. Vous aussi vous tomberez sous le charme de l’ambitieuse Najimi et de sa fourbe de copine Tsuyuri.

Et comme pour REC, mon seul regret sera qu’il n’y a pas assez d’épisodes.

10 concepts sous-exploités par les animes romantiques

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Cet article sera intégralement illustré avec des images de Tomoyo. Ne posez pas de questions.

Je vais tenter de vous proposer des idées qu’on ne voit pas si souvent que ça dans les animés romantiques ou de type harem. Bien sûr, vous trouverez sûrement des séries à me citer, mais dans le titre de cet article, il y a le mot sous-exploité. Je ne vous ferai pas l’affront de vous renvoyer à sa définition. On commence donc tout de suite par…

Le Héros Handicapé

Déjà exploité par H2O

Il n’est que trop rare de voir le héros d’un animé romantique avoir un problème autre que sentimental. Dans le cas de H2O notamment, le héros commence la série aveugle, mais malheureusement ne garde pas cet état très longtemps. Toujours est-il que pour des haremettes, cela change tout, et puis le héros ne se retrouve pas en position de force, pour changer. Je pense que l’animé aurait clairement gagné en intêret si le héros était resté aveugle (mais d’après les récents épisodes on dirait qu’il va perdre la vue de nouveau). Et sinon dans Myself Yourself, le héros est un dépressif.

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Epilogue & After Story

Déjà exploité par CLANNAD et Love Hina, ainsi que quelques autres séries

Vous n’en avez pas assez, vous, que l’histoire se conclue sur le choix d’une haremette par le héros ou bien sur une confession? Ils sont trop peu à réellement parler de "l’après" dans un couple. Comment les autrent voient-ils le couple, comment la vie ensemble se déroule, les voir se bécoter tranquillement dans un coin, et éventuellement se marier, se séparer peut-être, ou avoir des enfants… C’est personellement quelque chose que j’apprécie beaucoup: voir comment les personnages grandissent, évoluent, et savoir quel vie ils vivent.

L’héroine enceinte (accidentellement)

Déjà exploité par CLANNAD, School Days et quelques fanfics sans intêret sur Evangelion et Love Hina.

Note pour plus tard: Breveter cette idée.

Ca ferait une super idée d’anime non? Non? Vous trouvez pas? Imaginez deux secondes que le héros mette accidentellement enceinte l’une des haremettes, ça serait un joyeux bordel, non?

La différence d’âge

Déjà exploité par Onegai Teacher et Toshiue no Hito

Trop rarement utilisé, il faut savoir qu’au Japon la différence d’âge peut compter pour beaucoup dans une relation et qu’elle peut la rendre difficile. Il suffit de juste quelques années, hein. Le cas de Onegai Teacher est peut-être le mieux exploité de ceux que je connais, où les deux personnages ont appris à s’apprécier alors qu’au départ leur relation n’était que de circonstance. Toujours est-il que dans la majorité des animés romantiques et de harem, vous verrez trop rarement le héros finir avec une personne plus agée, même si cette route est possible dans les versions jeu vidéo de la plupart des harem.

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Le sexe au service de l’intrigue

Déjà exploité par REC… et c’est a peu près tout. Allez, on va être gentils et rajouter Kimi ga nozomu Eien, Nana et School Days.

On nous explique parfois qu’au Japon on livre plus facilement son corps que son coeur à autrui, mais dans les animes il n’en est rien. Trop rares sont les histoires où le ou les couples ne s’engagent pas dans des relation sexuelles, même sous-entendues. Et qu’on ne me fasse pas crorie que les lycéens ne font pas ça, je ne vous croirai pas. Le meilleur cas reste REC où c’est en couchant ensemble que le couple se crée.

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La possibilité d’un amour lesbien ou homosexuel

Déjà exploité par Myself Yourself, Kannazuki no Miko, Strawberry Panic, Marimite…

Plus souvent considéré comme du fanservice plus qu’autre chose, il est très rare de voir deux protagonistes du même sexe réellement tomber amoureux l’un de l’autre. C’est quand même terrible dans un monde comme le nôtre où ces sentiments se développent parfois plus facilement qu’on en voie pas plus, finalement, dans les animes. Ca doit être encore trop tabou, sauf quand bien sûr il s’agit d’en faire du fanservice. L’exemple le plus pertinent qui me vient à l’esprit reste Hoshino de Myself Yourself, mais je viens de vous spoiler grave, en fat.

Pour me faire pardonner, je vous envoie sur un très vieux post rigolo de Meido-Rando: Des animes et des vaches.

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Un environnement futuriste ou heroic fantasy.

Déjà exploité par presque rien en fait

Je n’ai aucune idée de série, en fait, mais avez vous déjà pensé à un anime romantique qui se déroulerait dans un monde heroic fantasy? Voire futuriste? Les animes dans ces mondes font plus souvent preuve d’action ou d’aventure avec des éléments romantiques, mais imaginer l’histoire d’un harem dans un village heroic fantasy… Avec la serveuse de la taverne, la prétresse du coin, une princesse, etc.

Des mechas?

Déjà exploité par Vandread et le petit clip spécial sur les DVD de Kimi ga Nozomu Eien

Imaginez une série Harem avec des mechas en arrière plan et qui ne se focaliserait pas sur l’action mais sur la romance. Oui bon, Vandread a essayé, et ceux qui me parleront de Gundam SEED pourront aller se recoucher. J’imagine très bien un combat de mechas entre les deux filles de la troupe pour savoir qui aura le droit de cuisiner un bento pour le héros.

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La lutte des classes

Déjà exploité par Emma et eventuellement quelques animes hentai.

Vous savez déjà de quoi je vais parler. Oui, le héros ne s’éprend jamais d’une meido en régle générale. Une meido est là pour le fanservice (et dans fanservice il y a le mot service) la plupart du temps, pas pour que le héros tombe amoureux d’elle. Un peu de la même manière que la différence d’âge, mais je suis sûr qu’une version moderne d’Emma aurait du succès. J’en achèterais des wagons entiers. En parlant de meido d’ailleurs, j’ai découvert la Nippon Meido Association grâce à un article de Alafista sur les meidos de Akihabara qui se font rembarrer par la Police en plein dimanche. Sûrement un coup des adorateurs de lycéennes qui voient leur popularité baisser d’année en année à cause des meido. Mais je m’égare.

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Y’a pas que l’école dans la vie

Déjà exploité par REC, Love Get Chu! et d’autres rares séries

Bien que je n’aie rien contre les superbes uniformes de lycéennes que l’on trouve parfois dans les animes, ça ne vous est jamais arrivé de penser que peut-être une histoire de harem dans le milieu hospitalier, dans une maison d’édition de manga, ou que sais-je encore, ça serait une bonne idée non? Il y a bien sûr eu quelques précédents notables. Dans le cas de REC la romance se joue entre adultes mais qui ne travaillent pas forcément dans le même bureau. Bref, le lycée est peut-être le moment le plus propice de la vie pour la romance, mais n’oublions pas que nombre d’adultes sont toujours célibataires…

Et c’est ainsi que ce termine ce patit article sur mes idées pour révolutionner le monde des animes romantiques. Ouais je sais, y’a du boulot quand on voit les productions actuelles.

P.S.: Un p’tit cadeau

REC – Segmentation Fault

Merci à FFenril pour m’avoir dégoté ceci en grand format. Il vient de gagner 20 MP (Maid Points) 🙂

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Aka + Maid = Instant Win. Ah si seulement ils avaient pu faire un poster avec seulement ça dessus, mais bon, ça laisse cours à l’imagination fertile 😛

(ce billet sert aussi à montrer que finalement je poste AUSSI les jours où je ne travaille pas. Faisons taire la rumeur comme quoi les fonctionnaires n’en branlent pas une! ^^)

REC – Le Manga

REC fait partie de ces séries, au même titre que La Mélancolie de Haruhi Suzumiya qui ont déclenché une fougueuse passion chez moi l’an dernier.

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Il faut dire aussi que la série touche un monde que j’apprécie tout particulièrement. C’est peut-être être un fanboy de base, mais j’ai toujours adoré le travail fait par les doubleurs et doubleuses d’anime japonais, qui arrivent à transporter les sentiments et les émotions de leurs personnages avec une très bonne conviction, ce qui fait que bien souvent, la voix retenue pour un personnage joue beaucoup sur sa personnalité et son charisme auprès des téléspectateurs. Que ce soit les hommes ou les femmes, un doubleur est vraiment bon lorsqu’il arrive à changer sa voix selon le personnage joué et la situation. Le panthéon est bien évidemment réservé à Megumi Hayashibara sans conteste la plus connue et appréciée pour son inégalable performance sur Lina Inverse ou Rei Ayanami, qu’on se le dise. Et ce n’est un secret pour personne si je suis un fanboy inconditionnel de Ayako Kawasumi , avec sa voix capable d’être la douce Mahoro, de s’énerver, ou de faire la froide Saber…

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Mais revenons à nos moutons. REC est donc sorti en anime l’an dernier, et après avoir décortiqué cette série pour le moins surprenante en 9 épisodes de 12 minutes chaque (pour faire court, c’est court.) on ressort avec un grand sourire béat à cause d’une histoire à la fois adulte et mignonne.

Rapide rappel des faits: Fumihiko Matsumaru attend une femme mais celle-ci lui pose un lapin. Despeséré il décide de jeter les tickets de cinéma qu’il avait, mais une jeune fille l’arrête. Elle décide de s’incruster et d’aller voir ce film avec lui. Film étranger où bizarrement elle récite à haute voix toutes les lignes de dialogue. Passé cette séance de ciné un peu étrange pour Fumihiko, ils mangent ensemble de façon fort amicale et la jeune fille révèle qu’elle est apprentie doubleuse. En faisant route ensemble ils vont s’apercevoir qu’ils vivent dans le même voisinage et se souhaitent bonne nuit.

Seulement voilà, Matsumaru cauchemarde cette nuit-là et est reveillé par le bruit des sirènes dehors. Un incendie a eu lieu, et une fois dehors pour aller voir ce qu’il se passe, il trouve la jeune fille de tout à l’heure et décide de l’héberger en voyant que sa maison a brûlé. La jeune fille est bien desespérée et se met à pleurer avant de s’endormir. Fumihiko tente de la consoler du mieux qu’il peut, et de fil en aiguille, il se retrouvent tous deux sur le lit. Ce n’est qu’à ce moment que la jeune fille se présente comme étant Aka Onda, juste avant qu’ils ne fassent l’amour.

Voilà en substance le récit du premier épisode qui donne tout de suite le ton à la série. Mais je ne suis pas là pour parler de la série animée, mais du manga, qui compte déjà quelques volumes (5-6 à ma connaissance)

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Le manga est à l’image de la série: propre et agréable à parcourir. Le style relativement kawaii d’Aka arrive même à masquer les moments un peu plus hot, entre le ecchi et le hentai. Inutile de dire que le manga est reservé a un public averti.

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Le premier volume retrace globalement ce qu’on a pu voir dans la série, mais c’est après que les choses se corsent. Aka devient réellement populaire et doit garder coûte que coûte sa relation secrète avec Fumihiko. Des gens seront là pour l’aider, comme ses amies doubleuses ou son manager, mais d’autres seront là pour mettre des bâtons dans les roues de ce couple somme toute banal mais ô combien mignon.

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Contrairement à de nombreuses séries de ce genre vues sous un seul angle, REC propose une vision à la fois centrée sur Aka et sur Fumihiko, sans jamais prendre l’un ou l’autre comme héros ou héroine de l’histoire. C’est le couple le héros, pas l’un ou l’autre des personnages. Bien sûr on a tendance à suivre Aka, mais l’un des arcs de l’histoire traîte justement d’un départ d’Aka de un mois pendant lequel Fumihiko va se sentir très mal à l’aise sans elle auprès de lui.

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Au lieu de proposer des chapitres "stand-alone", l’histoire est décomposée en plusieurs arcs de plusieurs chapitres chacun, ce qui permet de vivre des histoires plus longues et d’éviter de sauter du coq à l’âne à chaque changement.

L’une des choses qui me plaît, c’est que la série arrive à être drôle et amusante sans donner dans la loufoquerie et le fantastique souvent retrouvé dans des tas d’histoires d’amour (qui a dit syndrôme Ken Akamatsu?). C’est une histoire d’amour contemporaine que l’on vit: aucun pouvoir magique, pas de science-fiction, non, rien de tout cela.

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Sans conteste un très bon manga seinen, REC reste donc l’un de mes coups de coeur. C’est frais, c’est bien écrit, c’est agréable à lire et à regarder, Aka est un personnage à la fois adulte et innocente, et Fumihiko avant d’être amoureux d’Aka, reste avant tout… un homme. J’ai hâte de voir cette série arriver aux Etats-Unis ou en France pour en acheter les mangas. Pour les plus pressés comme moi, le manga est traduit chez XLG en anglais.

Un p’tit wallpaper pour la route.

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Il est là! (Mon box DVD de REC!)

Voilà, il est arrivé, enfin, alors que je pensais l’avoir le 17 Mai lorsque j’étais au japon, il a été repoussé au 30 Juin. (la haine hein?)

Donc voilà, le box est plutôt joli, les illustrations sur les boites superbes (Ah, Aka…) et le tout est accompagné d’un script de paroles pour la pub Neko-ki et d’autres choses (pour se prendre pour Aka.) et y’a aussi un petit artbook d’illustrations crayon.

Je vais de ce pas regarder les DVDs 🙂

RECflexions

Outre le jeu de mots pourri du titre de ce billet, je tiens à réagir, comme d’autres bloggeurs, sur la fameuse scène très controversée du premier épisode de REC.

Visiblement, beaucoup de personnes ont été plus ou moins choquées par le fait que Fumihiko (le protagoniste mâle) couche, comme ça, avec la jeune aspirante doubleuse à la fin de l’épisode 1.

Tout d’abord, je voudrais attirer l’attention sur le fait que des tas de séries, américaines, françaises, japonaises, peu importe, contiennent leur lot de références et de sous-entendus bassement sexuels. Oui, nul besoin de nous voiler la face et de faire les hypocrites, il suffit de regarder n’importe quelle série américaine. Et ca n’a pas l’air de choquer outre-mesure.

Ensuite, il y a l’aspect d’abus. Fumihiko a-t-il profité de la faiblesse d’Aka après l’incendie de son appartement pour faire ce que tout mâle normalement constitué aurait envie de faire? Doit-on condamner cela, même si Aka était consentante, bien qu’en état de choc après avoir échappé à la mort? Personellement je ne le pense pas: faire l’amour reste un acte de vie, et lorsque l’on a été a deux doigts de mourir, qu’on est encore appeuré et sous le choc, je pense qu’il est plausible de vouloir se réfugier, de se prouver que l’on vit encore malgré l’épreuve, et ce de cette façon.

Le héros est-il trop gentil ou calculateur? A-t-il réellement pensé à la finalité que l’on a vue à la fin de cet épisode? Ou était-ce simplement comme nos amis anglosaxons le disent du casual sex ?

Nos deux protagonistes sont des adultes. L’une a 20 ans, l’autre 26. Cela fait-il d’eux des êtres irresponsables de leur porpre vie? Je ne pense pas.

Dans quel état seriez-vous en voyant votre maison brûler et tout ce qu’il y a dedans?

Ne chercheriez-vous pas un peu de réconfort?

Certains pensent que cette scène était inutile. Hé bien non, je ne pense pas du tout. Le temps où il fallait 26 épisodes à faire mumuse avec les sentiments des héros, c’est fini ça, les gens en ont marre, moi le premier. Une histoire d’amour dans la vraie vie ça ne commence pas toujours tout doucement, et cette histoire nous le prouve.

Et puis, ça ne sera pas la première fois qu’on verra une scène de sexe implicite dans un anime. Rappelez-vous, Kaji et Misato dans Evangelion, Fray et Kira dans Gundam SEED ou Gladys et Dulindal dans Gundam SEED Destiny. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres quand on y repense, mais là on dirait que ça choque de nombreux bloggeurs…

Ce n’est qu’un anime, après tout, mais ça reste une histoire, tout comme un film et son scénario qui tient en 1h30. Il y a parfois des scènes controversées aussi. Qu’en pensez-vous? Le héros a-t-il abusé de la situation ou a tout simplement voulu la consoler en lui accordant ce moment de vie?